Age : 35 Date d'inscription : 27/10/2012 Nombre de messages : 94 Bon ou mauvais ? : Neutre Zénies : 1000 Rang : - TechniquesTechniques illimitées : Techniques 3/combat : Techniques 1/combat :
| Sujet: Troie (Terminer) Mar 27 Aoû 2013 - 20:35 Prologue Qui n’a jamais entendu parler de la légende au sujet du cheval de Troie et des guerriers qui auraient combattu à cette époque-là ? La Grèce entière contre la si petite Troie et le nom des héros qui ont combattu avec courage, l’histoire d’amour entre Paris et Hélène alors reine de Sparte ! La légende d’Hector dernier rempart et grand protecteur de la mer Égée, Ménélas grand rois et ennemis de ses derniers désireux d’une vengeance certaine, demandant l’aide du grand rois Agamemnon son frère ainé mais, surtout grand dirigeants de l’armée Grecs réputée invincible ! Mais, également d’Ulysse, rois d’Ithaque guerrier doté d’une intelligence hors du commun et d’un sens de la répartie légendaire éternel allié d’Achille. Achille, le plus grand guerrier que la Terre est porté, véritable bénédiction des dieux vivant pour les allié l’ayant à ses cotées, chevalier sans peur et sans respect pour personne… Alors cette histoire vous revient elle en mémoire ? Je suis sûr que oui ! Ne vous estes vous jamais demander ce qu’il était arrivé à ce véritable héros lors de la guerre de Troie ? C’est pourtant une si belle histoire laissez-moi, vous la racontez :Au commencement on dit que se Thétis la néréide et servante de Poséidon fut mariée à Pelée simple mortel mais, néanmoins rois de Phthie en Thessalie contre son grès, elle qui avait longtemps était servante de Poséidon ou encore de Zeus lui-même ! En effet la néréide avait été informé à l’insu des dieux, que l’enfant qu’elle porterait serait amenez à devenir un grand guerrier égalent même les demis dieux eux même et que si par hasard, le père de l’enfant se trouvait être lui-même un dieu il serait lui-même surpasser par sa progéniture, lui mais aussi tous ses frères !Chapitre 1 : La profetie : Doté d’une sagesse sans limite les dieux préférèrent donc donné un humain sans importance à leurs yeux comme marie à la néréide. Malheureusement pour eux la prophétie c’était avérer exacte, voir même amoindrie vue l’étendue du talent du jeune Péléide aussi jeune soit-il. Son père désireux de le voir devenirs le plus grand guerrier de tous les temps et digne successeur de son empire, le confiant au centaure Chiron grand conquérant du mont Pélion qui lui appris comme convenu l’art de la guerre dont la chasse et bien évidement la maniement des armes mais, aussi d’autre chose qu’il considérait tout aussi importante quant à l’éducation de son jeune apprentie. Très vite le centaure et amis de Pelé remarqua les innombrables talents d’Achille et notamment son incroyable résistance aux douleurs, il en conclue donc qu’Achille avait dû être trempé dans les eaux du Styx dès son plus jeune âge ! De retour à Larissa son village natal, l’Eacide fait la rencontre et la connaissance d’Ulysse qui deviendra rapidement son meilleur amis et l’un des rares rois Grecs à avoir gagné son respect au fil de leurs batailles commune… Très vite le père d’Achille lui confie le contrôle des armées Thessaliennes, avec pour seul objectif d’agrandir un peu plus leur empire. Ce que le jeune homme ne tarda pas à faire, en effet en trois année seulement la Thessalie asservie d’innombrable peuple et vue donc naitre peu à peu la légende d’Achille réputé invincible par ses alliés mais, aussi par ses ennemis asservie ! Chapitre 2 : les Myrmidons Achille et sa soif de gloire fur si grande que l’homme décida de bâtir en parallèle de son père un deuxième royaume également en Phthie, avec un poignée d’homme qu’il baptisa les Myrmidons une nouvelle croisade vue donc le jour et la encore le fils de la néréide triompha, ce qui lui vallue le titre de souverain de Phthie donc… La prophétie était belle et bien accomplie, « Achille surpassant son propre père » La satisfaction de voir son propre royaume enfin crée, poussa le Thessalien à souhaiter recevoir des héritiers et se mis donc seul à la recherche de femme pouvant lui convenir. Sa mère lui conseilla de le rejoindre à la cour du roi Lycomède et que c’est seulement là qu’il trouverait le bonheur, ce qui s’avéra être un subterfuge visant à éloigner le fils de la néréide des champs de bataille. Cette dernière ayant appris la nouvelle des derniers exploits de sa progéniture puis, compris naturellement que la prophétie en question était en partie réalisée et crin pour la vie de son petit. Car, la fameuse prophétie concernant le fils de Thétis prendrait fin le jour où Achille mourait aux combats et à l’apogée de sa gloire aux portes de Troie ! Ayant eu vent d’une possible guerre entre Troy et la Grèce entière, la servante de Poséidon révéla enfin une petite partie du destin qui attendait son fils unique tout ce qu’elle savait afin de le convaincre de rester à ses côtés et donc ne pas participer à cette guerre qui approchait à grand pas… Finalement Achille décida de ne pas participé et après avoir épousé Déidamie, rentra cher lui en Thessalie où il rencontra son cousin Patrocle qui avait pris le contrôle de son armée durant son absence. Achille félicita son cousin d’avoir réalisé un tel exploit et décida de prendre ce dernier sous son aile puisqu’il était orphelin et l’un des rares membres de sa famille. Selon le roi de Phthie son cousin Patrocle pourrait être sa relève un jour où l’autre. Après plusieurs années de paix au sein de la Thessalie, un mendiant fraichement venu trouver asile lançait la rumeur que toute la Grèce était en guerre ! Le mendiant en questions dernier fut amener aux rois Achille en personne, qui reconnut aisément son vieille amis Ulysse, ayant une fois de plus mis en place sa ruse légendaire pour parvenir jusqu’au guerrier retraité prématurément qu’était devenu Achille. Apres plusieurs jours de festoyassions et de parlementassions intense, Ulysse mérita plus que jamais son titre de grand ruseur puisqu’il réussie habilement à faire revenir le héros que toute le Grècs entière attendait sur les champs de bataille, ainsi que toute son armée au sein de Larissa et plus particulièrement de Patrocle. Chapitre 3: Un long voyage Le voyage fut long pour parvenir jusqu’à Troie et de nombreux imprévue se dressèrent sur la route qui mènerait à Troie, mais cette guerre ferait de tous les hommes y participant de véritable dieux vivant et sa Achille l’avait bien compris. Jamais auparavant un tel déploiement n’avait été mis en place par les Grecs et le Péléide semblait peu à peu montrer à ses hommes à quel point ils devaient être fiers de participé à une tel guerre. La motivation portée par la mënis de leur leader, porta ses fruits dès les premiers coups d’épée sur les côtes de Troie. Les myrmidons à eux seul parviennent à prendre à revers le courage quasi sans limite des hommes d’Hector pour la première fois de leurs vie mis en échec face à la fureur des lions de Phthie ! Les Grecs décident d’installer leur campement sur la plage qui s'étend devant jusque aux abords de Troie. Une ambassade achéenne pour réclamer Hélène la femme de Ménélas échoue. La guerre est alors officiellement déclarera l’encontre des Troyens ! Achille ressent l’envie de voir la jeune femme de ses yeux mais, n’est pas exhaussé et fait le promesse de tuer Hector de ses mains. Une fois les Troyens retranchés derrière leurs murailles et à l’abri des assauts Grecs, Achille s'emploie à couper l'approvisionnement de la ville pour forcer ses ennemis à passer à la contrattaque , à la tête de ses nefs, il attaque et réduit ainsi onze cités d'Anatolie, tributaires de Troie. C’est finalement dans Lyrnessos , l l'une de ces villes, lors d’un lutte épic de la dixième année de siège, qu'il reçoit pour part d'honneur Briséis dont il tombera éperdument amoureux, tandis que son rois Agamemnon reçoit toute deux servante du dieux Apollon grands protecteur du peuple de Priam alors rois de Troy et père d’Hector et de Paris… C'est à ce moment précis qu’une peste frappe et décime violement le camp grec et Calchas, encouragé par le prince du mont Pélion, révèle que le dieux 'Apollon a décider de punir le frère de Ménélas pour avoir refusé à son prêtre, Chrysès, de lui rendre sa fille Chryséis.. Obligé de céder, Agamemnon furieux réclame une autre part d'honneur. Achille se récrie et Agamemnon, pour l'humilier et attisé un peu plus la colère de son meilleur soldat, décide de prendre Briséis, sa captive. En colère, ce dernier décide de se retirer sous sa tente et de tous les combats à venir puis jure sur le sceptre d'Agamemnon, don de Zeus, de ne pas retourner au combat. Il y retourna cependant quelque temps après, en apprennent la mort de son cousin Patrocle qui avait pris sans son accord son armure afin de redonné un peu de courage aux peuple Grecs qui n’essuyait que des défaites depuis le retrait d’Achille mais, confronté à l’expérience d’Hector le fière cousin ne fit pas le poids et se fit tranché la gorge, ainsi tout le monde pue constaté amèrement que ce n’était pas Achille en personne qui combattait. Les troyen quant à eux comprirent avec autant d’amertume que leur pire ennemis viendrais bientôt chercher la tête de leur prince Hector comme vengeance ! Agamemnon comprenant lui aussi que la victoire de ses troupes n’était plus très loin et aussi pour calmer la tristesse de son seigneur de guerre béni des dieux, décida de lui restituer celle qui avait fait battre son cœur… Seulement cette dernière tenta tant bien que mal de calmer la ménis légendaire, qui prenait peu à peu le pas sur celui qu’elle c’était surprise à aimer. La décision du digne héritier de Pélé était cependant prise, il devait affronter Hector et le tuer de ses mains comme il l’avait promis à ses compatriotes et ses frères morts aux combats. Lorsque l’ennemis de Troyen se rendit aux porte de Troie seul, il pue constaté qu’Hector l’y attendait déjà, seul lui aussi… Instantanément le combat débuta avec un avantage certain pour l’étranger, alors que le prince tentait tant bien que mal et avec l’énergie du désespoir de lui tenir tête. Et après une rude lutte acharnée entre les deux hommes la prophétie dont tous les dieux avaient connaissance se réalisa enfin ! Hector n’était plus, Troie était sur le point d’être conquise désormais à la merci d’Agamemnon.
Chapitre 4 : La fin d'un mythe
Le corps sans vie du prince fut transporté hors de la ville, afin de montrer à tous comment Achille punissait ceux qui prétendait l’avoir tué et le calvaire post mortem du défunt ne s’arrêta pas la puisque, son bourreau lui creva les yeux, lui coupa la langue et lui retira les oreilles. Selon lui-même les morts seraient qui est le fou qui avait cru l’avoir tuer, en lui infligent ses tourments. Le vainqueur de ce combat en revanche constata qu’il avait gagné la gloire mais, perdu Briséis puisque cette dernière c’était enfuis, regagnant probablement la ville. C’est Ulysse qui accueillie donc le héros et lui annonça qu’in plan avait été mis en œuvre par ses soins pour pénétrer dans l’enceinte du château du monarque de ses terres. Un cheval gigantesque avait été érigé et allait être soit disant offert aux Troyen, comme une offrande aux dieux afin qu’il bénisse leurs voyage qui les ramènerais tous cher eux. Preuve donc indéniable que les assaillant quittait cette longue guerre… Mais, il n’en était rien, en réalité le cheval en question était infester de guerrier ennemis prêt à entrer cher l’ennemi pour en finir une fois pour toute. Sans même que son amis ne lui propose le fils de Thétis entrepris de se joindre à eux, en fait il espérait tout simplement retrouver sa chère et tendre avant de repartir pour la Thessalie. Le soir venu le loup fut invité cher les loups et un véritable massacre sans suivirent et alors que régnait la terreur Achille retrouva Briséis à qui il avoua ses sentiments, Paris devenu un véritable archée en herbe décocha une flèche empoisonné se dirigent droit sur le meurtrier de son frère et heurta le talon d’Achille désormais condamné à mourir quoi qu’il arrive ! Ses donc dans les bras de la femme qu’il a aimé plus que le combat, que le héros des Grecs perdit la vie…Ses dernier mots à l’égard d’une personne fut donc pour cette dernière, à qui avoua être un homme comblé grâce à elle qui avait été la seule joie dans sa longue vie de guerrier. |