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 Cul-de-sac et cul-de-bouteille.

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Jade Highwind
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MessageSujet: Re: Cul-de-sac et cul-de-bouteille.   Cul-de-sac et cul-de-bouteille. - Page 2 ClockSam 29 Mar 2014 - 0:59
Malgré que Jade soit hypnotisée, paralysée par la peur de voir un gamin se faire tuer sous ses yeux, elle détourna un instant son attention vers une silhouette qui les rejoignait dans la ruelle : les traits plus vieillis et fatigué, l'imperméable dessinant sur le sol une ombre qu'elle avait d'abord prise pour celle d'un homme de loi, inspecteur ou autre venu voir ce que signifiait ce raffut, entre tapage nocturne, déballage d'armes lourdes et stationnement gênant de vaisseaux non autorisé.
Mais la Métamol ne craignait pas le nouvel arrivant et recentra son regard vers Stanley et appréhendait qu'il ne sache gérer la bombe à retardement devant lui. Un homme fou et armé devant un ado irrespectueux et éméché... Elle était certaine que l'issue allait être dramatique. Elle ne savait pas pourquoi elle avait si peur de voir ce grand dadet se faire tuer, elle ne le connaissait pas après tout, mais elle aimait autant ne pas assister à un meurtre de sang froid, qui plus est sur un pauvre gamin des rues qui n'avait rien demandé d'autre qu'un peu de citron.

Le nouveau venu arriva près d'elle et elle le sentit dans son dos en train enlever son manteau : il se mettait à l'aise ? Elle devint curieuse et suspicieuse et se tourna un peu pour voir qui il était mais elle sentit aussitôt le tissus se poser sur ses épaules.
Pendant un instant elle sentit en elle naître un espoir, un sorte de sentiment d'être protégée par une bienveillance paternelle qui viendrait alors réglé tout ce merdier. Pendant un instant seulement... Parce que la seconde suivante elle était déjà en train de se demander qu'elle sans-gène se permettrait de la prendre en pitié ainsi, et qu'est-ce que cela annonçait.

Il fallait être lucide, depuis quelques temps elle ne rencontrait que des fous et des dangers publics.

Il l'appela "jeune fille". Cela faisait longtemps qu'on ne l'avait pas appelé comme ça. C'était bizarre. Elle ne savait pas si cela lui faisait plaisir de ce sentir jeune, frêle et protégée, ou si ça la vexait qu'on la voit comme une jeune fille. Dans tous les cas, elle mit un temps à réagir. Elle sentit le tisus un peu déséquilibré commencer à tomber en arrière et le retint en attrapant le col du vêtement. Elle l'aurait bien rendu, par politesse, pudeur et orgueil, mais elle avait vraiment froid. Elle réajusta donc le manteau sur ses épaules et fut réveillée par Stanley qui d'un coup commença à répondre au comédien.
L'inconnu se permit un commentaire, annonçant que le comédien était un héros. Jade le regarda, voulant lui demandait ce qui lui faisait dire ça, lui demander qui il était mais la scène devant eux était trop dramatique pour qu'elle n'arrive à l'interrompre. Un héros... Elle l'espéra, peut-être que ce personnage tape-à-l'oeil se donnait des airs d'homme dangereux mais ne les attaquerait en aucun cas... S'il était vraiment si honorable que l'homme d'âge mûr annonçait, tout irait bien. Tout irait bien...
... Stanley continuait d'injurier son opposant. Non... tout irait mal. C'était impossible autrement. Un héros ne se présente pas comme un violeur...

Elle oublia le nouveau venu. Elle oublia de respirer. Le comédien dont le sourire n'avait jamais été aussi inquiétant bondit d'un geste devant eux, de nouveaux joujoux en main. Il n'attendit pas un instant et tira alors deux coups sur le jeune homme : choquée, Jade eut un sursaut qu'elle transforma en impulsion pour se donner la force d'intervenir, mais son geste fut avorté par le canon qui se dirigea d'un mouvement net et professionnel de l'homme masqué. Il lui lança même un regard qui lui glaça le sang, un regard qui signifiait qu'elle n'avait pas intérêt à bouger un seul cil... Un regard qui faisait d'elle sa proie, son otage, sa marionnette prisonnière dans une immobilité imposé. Un regard qui la rendait aussi frêle qu'un... chaton.

Elle regarda, paniquée et impuissante le pauvre Stanley qui devait douiller comme pas deux, et détourna même le regard quand le comédien lui piétina les articlations. Et quand lorsqu'il allait pour lui saisir les doigts, sans doute pour le torturer, Jade hurla :

"Laissez-le, ça suffit !" Ce n'était pas un ordre, mais plutôt une supplication tant sa voix manquait d'assurance et trahissait son inutilité. Mais ce fut un coup d'épée dans l'eau et le comédien finit sa "leçon de vie".

Le comédien commença à retourner sur son vaisseau faisant un signe au vieil homme pour l'inciter à venir, confirmant le doute de Jade sur le fait que ces deux-là se connaissaient. Quand le comédien fut à quelques mètres, elle retrouva un peu de facultés physique et sentant en elle toute la peur se transformer en rage, elle déclara au nouveau venu qui était encore près d'elle.

" Un héros, hein ?! " Elle lui lança le regard accusateur qu'elle n'avait pas réussi à lancer au comédien, mi dégoutée mi agressive. Elle s'empressa de retirer le manteau sur ses épaules et de lui rebalancer dessus en visant son torse pour qu'il le récupère, et lança un dernier regard vers le comédien.
Elle savait qu'elle n'avait aucune chance de l'atteindre d'une quelconque façon, que ça soit morale ou physique. Pas la peine de surenchérir en gueulant, et puis si le comédien partait et que la scène se terminait, inutile de la faire durer, qu'il dégage ce gros taré.

Elle se tourna vers Stanley alors, et fit un pas vers lui, enjambant l'arme que le comédien lui avait laissé. Des blessures aux articulations, c'était plutôt vilain, et Jade espérait que les secours qui étaient en route seraient capable de rendre à ce pauvre gamin sa mobilité.

Déjà qu'il n'avait pas l'air d'avoir grand chose...

Elle qui avait voulu partir se retrouva piégée, avec cette connerie de sens moral qui lui dictait de rester avec le blessé pour attendre l'ambulance. Elle n'en avait aucune envie pourtant, son seul souhait était de partir de cette planète de malades : elle n'avait rencontré que des barjots sur la planète bleue, à croire que le climat tempéré grillait les neurones de tous ses habitants.

Elle se mit à côté de Stanley et s'il le permettait elle tenterait de se soulager un peu en déchirant son pantalon pour voir les plaies et éventuellement faire des premiers soins avec les moyens du bord : quand on a travaillé auprès de soldat en tant de guerre, on sait se démerder. C'est donc avec un savoir-faire aussi bien médical que d'infirmière qui sait s'imposer et imposer ses soins qu'elle cala les jambes du gamin pour veiller à ce que son état ne s'empire pas.
Les plaies étaient couvertes de saletés à causes des bottes du comédien qui étaient venues écraser les genoux en bouillis du pauvre jeune homme... Elle regarda l'alcool non loin : réflexe logique... Mais elle n'en fit rien.

" T'as de la chance que l'ambulance soit en route..."
dit-elle en pensant que les soins d'infirmiers seraient moins douloureux... "Parfois il vaut mieux se la jouer discret face à ce genre de taré... Ton courage n'était qu'inconscience. Bordel vous êtes tous des tarés sur cette planète." râlait-elle. Alors elle releva son regard vers Arthur et lui lança un regard sombre. "J'ignore qui est ce comédien en réalité, mais s'il ressent le besoin de mettre à terre un môme pour faire respecter son image de connard, je ne serai pas fière d'être un de ses admirateurs à votre place : votre héros ne mérite aucune estime mais mériterait bien de se faire trouer." Elle se demandait si le vieux allait le suivre ou pas... Elle s'en moquait un peu. Son regard se posa ensuite sur l'arme laissée à terre. Fusil à pompe terrien... Elle en avait jamais vu de ceux-la. Un beau calibre, pas le genre de bête qu'on abandonne sans raison. L'attitude du comédien était incompréhensible...

Stanley O.
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MessageSujet: Re: Cul-de-sac et cul-de-bouteille.   Cul-de-sac et cul-de-bouteille. - Page 2 ClockMar 8 Avr 2014 - 10:03
Il savait pertinemment qu'en le provoquant, il allait s'attirer des ennuis grand comme sa gueule mais il ne pouvait juste pas s'en empêcher, c'est comme ça. Stanley est un abruti fini. Point.
Il voit le comédien sauter de son vaisseau comme dans un espèce de film de Zack Snyder, le slow-motion et tout... Mais il sait surtout que cette descente du comédien n'est absolument pas un bon présage pour lui. Enfermer autant de conneries dans un tas de muscle armé jusqu'au dents, ce n'est jamais une bonne idée. D'ailleurs, c'est exactement ce qu'il lui dit. Mot pour mot. Donc, l'autre abruti atterrit enfin au sol après 42 heures de chute. Au sol il dégaine ses pistolets à une vitesse fabuleuse, si Stanley avait eu le temps de voir le mouvement, il aurait sans doute lui-même été impressionné mais en ce moment, il regarde ailleurs. En reposant son regard sur le clown masqué il a par on-ne-sait-quelle-magie eu le réflexe de se pousser légèrement, pas assez pour éviter les balles mais assez pour s'en prendre une non pas dans la rotule comme c'était prévu, mais dans le haut du tibia. La jambe droite quant à elle n'a rien eu le temps de faire et se retrouve avec un genou en morceau. Il tombe au sol.
Juste quand il pensait en avoir fini avec la douleur, quand il pensait que le plus dur était passé, -oui, car dans ce genre de moments extrême, on pense vite,- le comédien lui saute dessus pour presser les poings d'entrée des balles. Là, il ne pense plus à rien, il ouvre la bouche de douleur et une quantité de salive plus importante qu'il ne pensait vint éclabousser à tout va ce qui se trouvait dans un rayon de 10 centimètre autour de sa bouche. Cette surface correspond au sol et surtout à son visage.
La bave lui arrivant sur la tronche, il reprend le cour de ses pensées. Il a mal. Le comédien veut qu'il ait mal. Le comédien ne le tuera pas, il n'est pas si con. Il ne faut pas faire plaisir au comédien. Alors, ignorant la douleur du mieux qu'il peut, il se met à exploser de rire. Un rire fort. On a l'impression que quelqu'un est en train de torturer le Joker. Mais, la douleur oblige, il pleure toute les larmes de son corps. Pleure, tu pisseras moins qu'on lui disait. Il est au sol comme un chien près à être abattu, il rigole comme un fou dans un asile, il pleure comme un enfant qui se fait martyriser à l'école. Mais le sourire est là, il ne semble pas avoir mal, et c'est tout ce qui importe. Il chasse de son esprit toutes pensées. Il a toujours mal, son corps à mal, mais lui, il n'a plus cette impression. Il fixe le comédien et toujours en gueulant et en rigolant comme un dératé:

- C'est là toute la force que tu as ? Fillette !

Putain, mais comment on peut être aussi con. Le comédien dit des choses lui aussi, mais il n'a pas la force ni d'écouter ce qu'il a à dire, ni de regarder à qui ses paroles sont destinées. Au final, il ne sait même pas s'il parle.
Par contre, il le voit clairement s'approcher de son oreille pour lui chuchoter des mots comme quoi il ne faut pas provoquer plus fort que soit. Il se calme, cesse de rire, mais ne peut s'empêcher de pleurer, un grand sourire aux lèvres. Il entoure la tête du clown de sa main gauche et lui dit à son tour:

- Si on ne provoque pas les plus forts, ils ne réagissent pas, ils se croient tout permis. Attaque-les en face et ils sont déconcertés, perdent leur moyens et font des conneries. Ils se décrédibilisent car ils n'ont pas l'habitude. C'est un petit jeu assez amusant à regarder.

Il ne sait pas comment il a pu formuler une phrase autant réfléchie en souffrant à ce point. Ce à quoi il s'empresse par ailleurs d'ajouter:

- Tu m'as bousillé les jambes, à mon tour de te laisser un souvenir de moi, pour que tu ne m'oublies pas.

À ces mots il ouvre grand la gueule et mord à pleine dents dans l'oreille du comédien, lui arrachant le lobe. Il se repousse de lui et lui crache le morceau de chair fraîchement retiré au visage.
Après, plus tellement de souvenir jusqu'à ce que l'autre rousse viennent "à son chevet" lui dire que c'était un inconscient toussa toussa...Il n'en à rien à foutre et tourne la tête vers elle pour sourire de toutes ses dents. Le sang -le sien et celui du comédien- est présent partout dans sa bouche, son gosier, son haleine.
Il attend l’ambulance, toujours les larmes aux yeux.

[Désolé encore pour le retard et le court post]


Dernière édition par Stanley O. le Ven 11 Juil 2014 - 11:38, édité 2 fois
Charles "SélNat" Wallace
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MessageSujet: Re: Cul-de-sac et cul-de-bouteille.   Cul-de-sac et cul-de-bouteille. - Page 2 ClockSam 12 Avr 2014 - 23:56
(Je suis désolé mais je n'ai aucune inspiration sur ce topic, du coup je vais faire un post court puis m'en aller suivre le Comédien et libérer Jade qu'elle puisse aller sur Metamol ^^)

Stoaks se sentait blasé, son objectif premier était de humer l’air de sa ville avant de préparer et lancer son plan, il n’avait en aucun cas prévus que les choses iraient si loin.

Il venait de toucher machinalement son poignet pour ré ajuster sa montre.

Il regarda avec surprise ne sachant trop quoi faire la "dispute" entre le comédien et l’adolescent.

Jade venait de lui lancer sa veste au visage et enfin Blake lui fit un signe de main pour l’inviter à le rejoindre.

Stoaks bredouilla une excuse à Jade :

"Je suis désolé jeune fille mais… le monde est dure, le nôtre surtout."

Arthur s’en alla suivant le comédien.
Jade Highwind
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MessageSujet: Re: Cul-de-sac et cul-de-bouteille.   Cul-de-sac et cul-de-bouteille. - Page 2 ClockLun 14 Avr 2014 - 14:25
D'un côté le vieil homme au par-dessus partait, suivant le comédien, après s'être excusé, annonçant que le monde était "dur" pour toute justification. De l'autre, le gamin souriait le visage couvert de sang, comme fou à cause de la douleur. Debout au milieu, la femme se demandait dans quel monde elle vivait. Elle savait qu’elle aurait dû partir bien plus tôt que cela dégénère. C'était lâche de penser ainsi, mais elle se sentait de toute manière un peu dépassée... Tant que cela n'est plus une affaire d'un moteur grippé ou d'un mécanisme déréglé, elle n'avait pas les outils. Les affaires humaines, c'était pas dans ses compétences, surtout quand il s'agit de traiter avec des fous.

Non décidément, les terriens avaient tous un grain. Sans exception ! Si c'était un truc dans l'eau, elle se félicitait de n'avoir bu ici que de l'alcool... Et aller quitter la planète bleue fissa de toute manière.

Elle pesta en regarda la silhouette d'Arthur disparaître, et se tourna vers Stanley. Elle grimaça en le voyant baignant dans son propre jus, avec son regard de demeuré qui se poile pour tromper la douleur.

" Vous êtes tous tarés. " Ne put retenir la métamole. Elle entendit alors la police et l'ambulance faire chanter leurs sirènes au loin. Elle hésita puis ramassa le "cadeau" du comédien, imposante arme qui dans les petites mains de Jade paraissait encore plus immense. "Je me demande si tu vas réussir à la manier... c'est peut-être pas très raisonnable de te laisser ça petit génie." Elle s'assura d'un geste précis trahissant l'habitude qu'il n'était pas armé, et regarda le nombre de munition qu'il y avait avec. Elle fit la moue et se résigna dans un soupir. "Cela m'étonnerait qu'ils te la laissent en guise de doudou pour te réconforter dans l'ambulance... Ce serait con qu'on te la confisque." Jade le regarda, toujours sans sourire et bien à la vue de Stanley se chargea de cacher l'arme dans la ruelle, là où personne ne devrait la trouver en attendant que Stanley ne sorte de convalescence. Elle se demandait si elle faisait bien, mais elle n'était pas sa mère, qu'il se démerde.

L'ambulance allait pointer le bon de son nez. Jade lança un dernier regard au gamin dont elle ignorait toujours le nom. Une phrase d'adieu ? Un sourire sympa ? Elle n'en avait même pas la motivation. Elle se contenta d'un regard après lui avoir caché l'arme et elle lui fit un dernier signe avant de partir, laissant l'ambulance pénétrer dans la ruelle.


(désolée ma planète va être envahie je dois filer... de toute façon à part monter dans l'ambulance et faire la meuf protectrice qui se la joue mère de substitution -et ça aurait été bof- je vois pas quoi faire :/ J'espère qu'on te verra vite à nouveau sur le chat, tu sais où me joindre tte façon Wink )
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MessageSujet: Re: Cul-de-sac et cul-de-bouteille.   Cul-de-sac et cul-de-bouteille. - Page 2 Clock
 
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