Age : 26 Date d'inscription : 14/10/2012 Nombre de messages : 106 Bon ou mauvais ? : Mauvais. Zénies : 1 000. Rang : - TechniquesTechniques illimitées : Canon Garric • Masenko • Déplacement InstantannéTechniques 3/combat : Big Bang Attack • Rayon de la MortTechniques 1/combat : Final Flash
| Sujet: Coups retrouvés - SOLO Lun 11 Nov 2013 - 13:35
Le roi Végéta venait de quitter la salle du trône après la visite de Baddack et de Tobi, un terrien. Cette visite l'a quelque peu ralentit, mais au moins, Baddack sera de la partie. Le reste de l'après-midi semblait à présent clair et net pour Végéta : la reprise de l'entraînement. La menace de Majin Végéta était trop grande pour se permettre de rester les bras croisés sur son trône, comme à l'époque. Depuis combien de temps avait-il exécuté un mouvement de combat ? Il n'osa même pas chercher. Il espérait juste que tout lui soit resté, et qu'il n'ait juste qu'à se remettre en train comme à l'époque. Les soldats remarquèrent l'arrivée -peu attendue certes- du Roi et firent le salut militaire. Végéta le leur rendit puis leur ordonna de garder la salle. Après s'être changé, il rentra dans la salle de gravité. Il se remémora alors les étapes de l'entraînement qu'il avait suivi plus jeune. Échauffement, deux trois coups, puis gravité faible qu'il augmenterait petit à petit pour travailler les muscles. L'objectif était clair : enchaînement d'entraînements pour devenir Super Saiyen. Il préférait être en solo, n'ayant jamais apprécié les entraînements à plusieurs. Echauffement Végéta commença par les étirements : grand écart, étirement des bras et des jambes. Cela faisait longtemps qu'il ne s'était pas senti revivre comme aujourd'hui. Reprendre l'entraînement lui faisait un bien fou - son sang et sa race le voulait. Après les étirements, le guerrier Saiyen se mit en position pompe : il se tenait parallèle au sol, avec les deux bras comme soutien. Il allait commencer les pompes normales en appui sur les mains puis les complexifierait. Au bout de deux centaines de pompes, Végéta décida de passer à celles sur le doigt au nombre de cent. La sueur était déjà là, et le manque d'entraînement commençait à se sentir.
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