La chaleur du feu de camp n'affecte pas les morts. Ceux-ci sont bien trop occupés à chasser leurs mauvaises idées. Il fait bien trop froid pour eux. Leur épiderme ne réagit même plus à la présence des flammes. Et pourtant, il y avait toujours quelque chose à rester assis là, et à observer les flammes. Tellement de lumière émanait du bois qui se consumait petit à petit. On pourrait regarder le feu tellement longtemps. On pourrait le regarder une éternité. Une... éternité...