Leech

Ayant quitté Magma après avoir échangé quelques phrases avec un cyborg, le jeune Tupac avais choisi une destination différente de celles qu’il pouvait connaître. Dark, c’est vrai que le nom n’étais pas annonciateur de bonnes choses mais c’était une planète du système et Tupac voulait découvrir l’immensité de l’univers… après tout que pouvait-il lui arriver de bien méchant ?


Bien sûr si il savait ceux qui allait se passé il n’aurait jamais posé ses pieds ici. La capsule de voyage eu une déficience et s’écrasa en plein milieu de la planète. Sorti de la capsule l’air était suffoquant et le ciel très sombres, il ne le savait pas encore mais ce n’étais pas Dark ou la capsule l’avais amené mais une planète bien différentes. Il était comme impossible de pouvoir discerner les lieux dans l’obscurité qui régnait sur ce territoire néfaste. Le jeune namekian décida tout de même de visiter un peu, en s’élevant un peu dans les airs, afin de passer au-dessus de la brume et de tenter de repérer quelque chose. En vain sa vision aveugle le contraint à redescendre au sol. Le sol était vaseux et désagréable, sans parler de l’odeur infecte… L’odeur était plus qu’infecte en réalité elle semblait rentré en lui, intérieurement et rongé son corps de l’intérieur, au-delà de cette impression la douleur devenait vraiment très réelle, la brume du lieu semblait se rassemblait autour de Tupac et devenait plus opaque. Chaque tentative de bouffée d’air se soldait par une nouvelle sensation de déchirement intérieure. Il cracha une gerbe de sang au sol pendant qu’il développait une cécité soudaine. La douleur était insupportable, la brume entrait à présent dans le corps du namekian totalement à la merci de l’environnement. Ses veines gonflait, son corps tomba dans la vase répugnante, il tentait de se raccroché à la vie en gardant un de ses avant-bras debout pour éviter que sa tête ne tombe, mais de nouveau du sang gicla en dehors de sa bouche, ses pupilles était blanches, son bras lâcha, son corps stoppa tout mouvement, Tupac venait de succomber.


Alors que la brume avais disparu, totalement entré dans le corps sans vie du guerrier Namekian, quelque chose d’anormal pris forme autour de l’horrible scène qui venait d’avoir lieu. La peau verte du namek commençait à noircir puis à changer pour un bleu sombre et obscur, le corps était entouré d’une sorte de fumée noire et violette à présent et cette substance fit lever le corps mort pour le remettre sur ses deux jambes. L’aura-fumée s’affaiblit, regagnant l’intérieur du corps, la couleur de celui-ci étais resté bleu et ses antennes avait elle aussi subit un changement radical, celle si était plus épaisse et était dressé. La chose ouvrit le yeux, l’iris de ses yeux étais jaunes, et la cornet avait laissé le blanc naturel de tout organisme vivant à un rouge sang glaçant, la bouche de cette chose tel quel était s’ouvrit laissant une légère fumée s’en échappait.






« Ou.. Oui… Ouiii… OUIIIIIII !!!!!!!! »


Jaugeant petit à petit ce corps, commençant lentement par testé l’articulation de mes doigts, puis de mon poignée, continuant à me jaugé sur l’ensemble du corps qui était désormais mien. Enfin cela fait des milliers d’années que j’attendais ce jour et il arriva enfin ! Quelle joie de pouvoir ressentir de nouveau une sensation de chair et de sang ! Ce tout nouveau corps n’était sans doute pas le plus parfait, mais il était jeune et vigoureux, et donné des prédispositions au combat, tout ce dont je pouvais rêver de mieux. Je me mis à chercher dans l’esprit de corps défunt pour avoir des réponses. Je voyais le passé de ce garçon, un Namekian, voilà ceux dont j’étais devenu, tout semblais parfait.


« Les capacités que ce corps me met à dispositions me permettrons de pouvoir devenir celui que je fus jadis promis de devenir.»


Enfermé depuis plus de 250 000 milles ans, ce n’étais pas étonnant que je sois là à parler tout seul, le temps que mon esprit s‘accommodent de nouveau à la vie, et que je retrouve le plein contrôle, ne pas avoir de corps depuis tout ce temps il me fallait bien, et ce malgré moi, un temps d’adaptation.


« Allez montre-moi… Comment marche cette chose… Fais-moi quitté cette terre maudite…»


C’est à nouveau grâce aux anciens souvenirs de ce Tupac que je réussi à faire marcher ce qui se prénommais « capsule ». Mais n’ayant aucune autre information quant à la programmation de cette technologie inconnue pour moi je la laissai simplement me guider loin d’ici…