Les emplettes [Solo]

Je suis au milieu de la foule, plus précisément sur la place du marché, il ne ma fallut que peu de temps pour trouvé cette place particulièrement prisé, commerce et rencontre était de mise, moi je suis ici uniquement pour trouver des vêtements pour la gamine que je n'est pas eu le temps de prendre sur la planète Terre. J'ai chaud, très chaud même sous mon masque c'est désagréable, je vais essayer de faire au plus vite, elle a certainement faim aussi, depuis que nous avons quitter la Terre elle n'as pas dis un mot, je sais pas ce qui ce trame dans sa tête, je dois rester prudent, si elle me file entres les pattes et qu'elle fait une fugue j'aurais bien l'air con.

Je regarde de droite à gauche, à part voir des vendeurs de tapis et d'épices aucun vêtement pour enfant à l'horizon, je commence alors à marche droit devant moi m'enfonçant dans la foule, instinctivement je prendre la main de la gamine. Rapidement je me fais accoster par un vendeur à la sauvette, ouvrant son manteau devant moi tel un exhibitionniste, il a une collection assez impressionnante de connerie, montres, briquets et quelque flacons qui contient une substance plus que louche, je le pousse sur le coter m'ouvrant le passage, mais le vendeur revient à la charge me collant de plus prêt que la première fois. Je fis mine de l'ignorer avant de sortir une seringue je lui enfonça dans le coup, c'est un puissant tranquillisant, l'effet fut immédiat il tombe à mes pieds, son regard plongé dans le vide, il restera allongé un certain temps tout dépend de la personne et la manière dont il assimile le tranquillisant.

Je tourne brusquement dans une ruelle et tombe enfin sur un magasin de vêtement, je pousse la porte, pas grand monde ne fait attention à ma venu, et c'est temps mieux parce que je compte pas passer à la caisse, je me sert allégrement dans les vêtements qui me semble les plus appropriée pour la gamine, pour finir par la bousculer dans une cabine lui donnant l'ordre de mettre ce qui lui plais, mais de pas traîner.

Je regarde un peu partout, je n'est encore éveillé la curiosité de personne, après quelque minutes la rideau s'ouvre je tire la gamine vers moi s'en prendre le temps de la regarder. A peine j’étais entré dans la boutique que j'ai déjà trouvé un moyen dans ressortir et ce sans rependre l'entré que j'ai prise, je pousse la sorti de secours, quand soudain une vendeuse m’interpelle, et merde ça par contre c'était pas dans mon plan je vais devoir improviser, je brise alors la vitre du bouton d'incendie avant d’appuyer sur ce dernier, il me reste plus qu'à filer en courant.

Me voilà sorti d'affaire, et la gamine est correctement vêtu, malgré que peut être son pull est trop large, j'étais assis sur un banc, la gamine étais assis à coter de moi et mange une glace, je regarde les gens passer, voici une nouvelle planète que je découvre. Je dois bien l'avouer, Dark, le sombre, la pluie, me manque.

"C'est quand qu'on vois ma maman ?"

Elle me prend de court je ne m'attendais pas à ce qu'elle me sorte quelque chose comme ça là maintenant, que dois-je lui dire, la vérité ou bien lui faire croire qu'un jour elle la reverra. Je vais jouer la carte de la pseudo diversion, je prend mon livre et arrache une page à contre cœur je dois bien l'avouer, rapidement la gamine est intrigué par ce que je fais avec la page du livre, c'est à ce moment là que je prends la parole :

"Tu sais ta maman vas bien, elle est apaisé, j'imagine qu'elle avait une tonne de projet pour elle et toi, mais surtout pour toi, la vie ne ressemble pas toujours à celle qu'on prêtant avoir, mais ça empêche pas que plein de chose arrive chaque jour. Moi je ferais de mon mieux pour te donner le meilleure des avenirs, d'où elle te regarde ta maman est fière de toi."  

J'avais fini la cocotte en papier, je montre alors comment l'utiliser à la gamine qui était ravie, elle n'avait certainement pas tout compris ce que je lui avait dis mais, elle avait certainement entendu une bonne partie.