Celieno

Nom: Andras.
Prénom: Celieno.
Age: 17 ans.
Race : Extra-terrestre.
Alignement : Mauvais.

Histoire :
Une nouvelle voûte céleste surplombait le petit village tandis que la brise annonçait un ultérieur hiver, qui ne faisait que commencer à corser la vitalité des abondants villageois. Au coeur de la localité, résidant dans une petite maison peu saillante, vivait Celieno du faite de ses dix-sept ans, il entamait sa seconde année en tant qu'orphelin de ses deux parents. L'un mort d'un cancer l'ayant peu à peu rongé la vie, tandis qu'il se battait depuis six mois; quand à l'autre, il perdit le souffle en mission de secours où il fut abattu par un subversif, également mort pour la faute qu'il eut commise. Malgré les quinze années qu'il arborait auparavant, aucun citoyen ne vit d'objection à le laisser perpétuer esseulé dans sa maison, sans aucune compagnie, comme il l'avait lui-même demandé. Consécutivement à la perte de son second parent, personne eut le courage de décliner la seule offre qu'il demanda. Ces deux années de vie donnèrent raison au choix des citoyens, puisque pendant tout ce temps, le jeune garçon vécut confortablement, sans avoir recours à une aide ou faire part de l'un de ses soucis. Malgré la perte de ses parents, Celieno perpétuait à exister en communauté, lui qui éprouvait une sempiternelle crainte de la solitude, n'avait aucunement l'envie d'être délaissé de la populace. Tandis que les jours et les nuits perduraient, on voyait constamment le jeune garçon accompagné, dans son itinéraire.

Le conséquent corps céleste sur lequel Celieno siégeait se dénommait Aphelion, une planète d'un macrocosme reculé qui subsistait dans un éther salubre et vivifiant depuis quelques mois, traînant pour mémoire une guérilla inexorable proche d'annihiler fondamentalement le globe. Heureusement et judicieusement, une convention fut intronisée où chacune des deux sphères trouva une concorde à leurs privilèges, tirant du néant une paix inopinée. Un raidissement persistait naturellement à cause de la complexité à inhumer la hache de guerre avec autant de désinvolture. De ce fait, nul périple d'une planète à une autre ne fut planifiée et l'un comme l'autre perpétuaient à durer sur sa terre natale, malgré le fiel voué par certains. La belligérance amoindrie nettement les forces d'Aphelion, au même titre que la netteté de la planète qui faisait partie de leurs grandeur. Celieno, par sa juvénile ne put participer au conflit, ce qui ne le manqua pas de l'assouvir étant donné sa privation de souhait à vouloir y faire part. Littéralement contraint et peu mécontent à toiser les nombreux rixes de sa cime, le garçon était parfois accaparé par l'épouvante de voir sa planète et plus précisément sa personne sombrer dans les abysses des futiles pugilats. Un effroi qui aurait très bien pu l'acheminer au carnage et ceci, peu importe les règles érigées, principalement à cause de la débandade qui s'édifiait petit à petit sur ses contrées.

Sur Aphelion, tous étaient pourvus d'une physionomie extérieure analogue à celui d'un être humain, vivant sur la planète Terre. Le contraste résidait dans leurs puissances ainsi que dans leurs avancées technologiques, nettement plus développées que sur la Terre. Un simple collationnement susciterait le plus grand désappointement autour du globe pourpre, qui avait pour habitude d'hisser un orgueil qui serait fâcheux de souiller, Celieno n'exceptait pas à la règle. Si l'on faisait abstraction de cette récente guerre à la source dérisoire, on pouvait s'apercevoir que la planète d'origine de Celieno harmonisait passivité et allégresse vis à vis des autres terres de son système, avec qui il n'eut aucune altercation, jusqu'à présent. Cependant, en raison des antécédentes vicissitudes connues et des moeurs de leurs jouxtent, entièrement avides de souveraineté et de pouvoirs, qu'importe l'harmonie qu'ils paraissaient tous arborer, nul ne risqua de s'abstenir de cette aubaine et entreprirent-il chacun une coalition dans le simple but de subtiliser les biens de la planète de Celieno. Sidérés par toutes ces attaques concomitantes et sanguinaires, personne ne put faire quoi que ce soit que d'user leurs dernières ressources en accordant affliction et douleur aussi bien morale que physique. Ce fut une futile lutte perdue pour une sphère en exhaustive réfection qui dût promptement rendre les armes et se fier à une tautologie des plus conforme. Une échéance pourvue de tristesse et de remords.

Exécrés dans un état de prisonniers, Celieno et les siens voyaient leur planète dévastée et pillée, sans la quelconque faculté de s'opposer, ils devaient se réduire à la subsistance qui leur était dictée. Dissous en plusieurs groupes, ils furent chacun prodigués sur une planète dissemblable, réduis en tant que modeste outils de travaux ou plus précisément comme esclaves. Celieno, quant à lui, se retrouva sur une planète d'alchimistes médiocrement nombreux, aux sciences des techniques très réduites ainsi qu'à une prophylaxie peu désirable. Durant une année accompagnée de six douloureux mois, le jeune garçon dût endurer son indigent fatum, soutenu par les quelques rescapés de la mort, chacun lui apporta un peu de soutien et surtout de compagnie. Les jours se répétaient et tous étaient contraints à une vie médiocre, certains allèrent même se donner le trépas eux-mêmes, ne pouvant plus supporter leurs destin qui ne paraissait pas près de se suspendre. Même ses nuits furent de véritable enfers, Celieno n'avait d'autres choix que d'affronter seul l'obscurité les légers bruits de bestioles méconnus et indétectables ainsi qu'un sommeille sur un lit pour le moins maculé d'innombrables taches de salissures. Ce n'est qu'à la veille de sa dix-septième année d'existence que ce changement tant attendu naquit, son attente ne fut aucunement vaine.

Après avoir rejoint sa chambre comme à son accoutumance et une fois disposé convenablement sur son couchage, une voix survint et frappa son audition qui eut vite fait de le rendre dubitatif, à pas moins de la cinquième heure du matin. Sidéré, Celieno se questionna sur un état d'aliénation, qui pouvait par ailleurs se comprendre à cause de sa vulgaire cadence de vie... Ses moments passés lorsque l'aurore était situé sous l'horizon ne furent que très rarement nantis d'un mode de léthargie. Mais illusoirement, son auto-questionnement fut dérisoire, un son patriarche avait effectivement touché son écoute puisqu'elle corrobora une nouvelle fois en réitérant le même mot, à savoir une salutation peu originale. Un frontalier voisin, se situant derrière sa cellule, séparé par la muraille. Le temps passait et il n'achevait de palabrer en mettant son révolu au coeur de l'histoire, bien qu'inintéressant à sa saveur, Celieno était assouvi d'oit la voix d'une personne autre que lui, la nuit. 7h00 du matin, le jeune garçon s'obtempérait à sa sonorité archaïque, sans broncher une seule fois, il était cependant censé se déverrouiller du sommeil bientôt et retournée travailler, comme le précisait son emploi du temps imposé. Cependant, le vieil homme était alloué d'une bonté sans égale et fut la plus somptueuse aubaine en ce jour pour le garçon. En effet, après tout ce temps, il fut enfin écouté et cela le remplit d'allégresse qu'il compta directement dépenser sur Celieno, pour le gratifier comme il se le devait. Sans même que le vétéran ne lui eut fait une quelconque proposition, ce dernier usa de ses derniers pouvoirs pour transporter Celieno vers un nouveau monde, le libérant intégralement de ses peines. Cet homme n'était qu'un alchimiste aux grands pouvoirs, ayant cependant désenchanté les siens, pour se retrouver dans une cellule. Suite à son chaleureux subside, il trépassa taciturnement...


Physique:
De la cime de son mètre soixante-dix, Celieno est caractérisé comme un enfant à la taille plutôt commune pour ses dix-sept années, tandis que ses soixante-cinq kilos s'harmonisent proprement avec sa stature, ni élevée ou modique. Pourtant, sa façon outrancière de se sustenter ne l'assujetti pas à un poids trop superflu, au contraire Celieno n'arbore la moindre controverse le concernant. Non leptosome, le garçon bénéficie d'une musculature embellit en satisfecit des fréquents exercices corporels qu'il concrétise, sans atermoyer, dès son éveil. Il les échelonne de manière à façonner au mieux sa corpulence, ne se risquant d'engendrer un contraste entre deux parties de son anatomie. Ceci, sans dénombrer les multitudes instructions éprouvantes que son instituteur, portant autrefois Celieno sous son aile, lui contraint à concrétiser. En somme, il est pourvu d'une solidité érigé pour son jeune âge, qui lui octroie une force et une défense physique davantage substantielle à la normale follement désirable pour quiconque juvénile de son âge, Celieno s'enhardira à y recourir dans le dessein d'annihiler le moindre scélérat pour pouvoir savourer l'émancipation de l'âme en affliction ou bien, dans un registre tout aussi louable, pour protéger son entourage.

Comme l'ensemble des membres de sa planète, Celieno est nanti de l'orthodoxe tenue conférée par sa congrégation, aux tissus enveloppant entièrement ses bras ainsi que d'un capuchon se rabattant communément vers l'arrière de l'uniforme. Cette dernière arbore intégralement deux couleurs, tel que la plus sombre et la plus limpide qui érigent un habillement pour le moins polychrome, ne scintillant que médiocrement. Hormis la paire de colorations se combinant intégralement et donnant une certaine élégance à son titulaire, on peut promptement déceler le fameux Rosaire argenté orienté sur le torse du vêtement et plus justement sur le coeur, illustrant son grade, différent de ceux de ses supérieurs. Des épaulettes équipent leur emplacement commun où s'articulent le tronc et le bras et sont chacune ornementées d'une croix vêtue d'une couche immaculée d'argent. En totalité, son manteau conçu par les scientifiques de la congrégation, lui concèdait la prérogative de s'intégrer dans n'importe quel lieu au sein de sa planète, quel que soit l'instant l'octroyant une parfaite liberté dans ses déplacements et autorisations. Autrement, Celieno arbore un couple de gant camouflant entièrement ses mains, soigné d'une blancheur terne ce qui n'exclut que son visage d'un quelconque vêtement.

Sa chevelure est exsangue, complètement décatie, absente de toute teinture, elle est décolorée et revêt une abondante lividité. Succinctement, elle est aussi blanche qu'un flocon de neige ce qui l'orchestre avec sa tenue, ne créant la moindre discordance; un quelconque bon sens ne sera pas nécessaire pour savoir qu'elle lui sied avec ingénuité. Tombante, sa toison enveloppe une partie de ses oreilles et de sa nuque mais se divulgue comme n'étant suffisamment étendu dans une notion de longueur, pour camoufler sa vision. Celieno ne paraît pas accorder de vigilance à sa masse capillaire, bien qu'elle ne soit pas graisseuse, elle ne déborde pas pour autant de salubrité et d'aspérités. De toute évidence, ce n'est pas le genre de garçon à se munir d'un outil à démêler les cheveux, comme d'un simple peigne, n'étant pas un considérable assidu de l'esthétisme, il aspire à se préoccuper de d'autres anxiétés qu'il juge davantage impérieuses. Sur ce visage faiblement arrondi s'exhibe deux iris aux coloris bleutée, fortement similaire à la voûte circonscrit par l'horizon, écrouant les habituelles pupilles que chaque être est censé détenir; ainsi que des traits agréables lui donnant, intégralement, un portrait plaisant à contempler.

Des dernières précisions viennent parfaire le somatique du jeune personnage, se rapportant plus justement aux facultés dont il bénéficie dans le cadre de ses pouvoirs contre l'humanité de son globe terrestre. Avant tout, son pouvoir lui confère une apparence distinctive sans même qu'il ne l'active, située dans la plénitude de son bras gauche, si l'on excepte le deltoïde. La particularité de ce membre supérieur n'est autre que sa teinte, ayant subi une sorte de hâle pour l'imprimer d'une peinture davantage foncée, virant au rougeaude sanguinolente. Mis à part sa carnation, l'on peut conjecturer une plausible vigueur additionnelle à l'ordinaire de sa condition normale, capable de lui être particulièrement utile au cours de futiles rixes, ne nécessitant le déploiement de son innocence. Sur sa main gauche, elle-même frappée de cette vermeille, ou soulignera l'unification d'un objet implantée en elle sous une forme tréflée aux bouts perforants et plus longilignes; et de cinq ongles d'une couleur d'ébène, reflétant un certain manque d'esthétisme. Pour conclure, toujours du côté du coeur, l'oeil de Celieno est à préciser en raison de la cicatrice ou forme de dessin imprégner sur la peau, qui le défigure. Elle esquisse au niveau du front par un pentacle et décline d'un trait effilé par l'extrémité de la branche du signe frontale le plus rapprochée de l'oeil, jusqu'à la lippe sans souiller l'oeil lui-même.

[Je suis forcé de faire un double messages, à cause de la longueur du premier message... 'zolé. =S]

Caractère: (Minimum 2 lignes)
L'ésotérisme est un nom qui qualifie intégralement ce jeune garçon. Seuls ses connaissances les plus rapprochées peuvent pénétrer sa facette hermétique, adroitement dissimulée en ses abysses, qui pourrait diligemment en désemparer plus d'un. En effet, Celieno est caractérisé par un tempérament bien trempé, oscillant de la cordialité jusqu'à l'animosité et la cruauté. Lui accorder ne serait-ce qu'une partielle de confiance résiderait dans un erratum fourvoyé, tellement innombrables sont les connaissances ou amitiés qu'il a pu desservir. Une légère acrimonie, peu importe sa dérision, lui a déjà coûté des liaisons qu'il aurait très bien pu préserver si ses crispations ne se répercutaient pas sur autrui. Oui, c'était indéniable, Celieno s'irritait aisément même si la cause était incommensurablement inepte ; il avait coutume de ne jamais retranscrire sa colère sur le responsable, étant pourvu d'une dignité pour le moins anormale. De ce fait, on ne discerne jamais un changement d'expression sur sa figure au moindre mécontentement de sa personne.

Ceci n'est pas le seul motif pour lui accorder un perpétuel manque de confiance, puisque Celieno est à tout moment prêt à vendre son âme au diable dans le but d'obtenir un satisfecit pantagruélique, au même titre d'être préparé de tromper la confiance de n'importe qui dans le simple motif d'être alloué. Pour lui, l'amitié, la sympathie, l'estime ou encore l'amabilité ne sont que des chimères qui aveuglent éperdument chaque personnes. Son comportement se situant dans un immuable paradoxe, Celieno s'accorde en plus le prétexte d'un postérieur acte perfide pour justifier l'entourage qu'il a l'habitude de fréquenter. Doué d'une aptitude de manipulation harmonisée à une lucidité sans égale, il ne reste jamais dubitatif pour les consommer pleinement à la première vision d'un quelconque avantage, suffisamment nécessaire. La séquelle de son inhumanité repose sur son cercle d'amis désormais très restreint, frôlant l'inanité. En somme, Celieno ne s'est jamais octroyé la permission de laisser ses affections prendre le dessus même s'il lui est parfois arrivé d'hésiter, bien que cela ne soit que rarissime.

Gratifié d'une verve évasée, il s'en sert avec finesse et délicatesse à la première occasion d'établir un avis, ou un simple discours. Son principal intérêt de ses talents de rhétoriciens résident dans le fait de provoquer un charme, auprès de la première personne qui en sera le mieux fascinée. Et ceci, simplement pour se faire davantage de connaissances, qui l'aideront à ne jamais se retrouver seul, lui qui éprouve une profonde phobie envers la solitude. Ses amis, ou du moins ce qu'ils peuvent penser lui être, ne sont en fait que de simples objets lui servant seulement à sa mesquine carrure. Celieno n'en reste pas moins un garçon très peu volubile, une simple présence à ses côtés est suffisante pour le rendre satisfait, tandis que converser peut le répugner, allant même jusqu'à lui faire tirer une expression harassée à un certain moment. Son avidité à peu palabrer l'incorpore d'un mystère, masquant intégralement son histoire et tout ce qui est susceptible de le concerner. Autrement, l'énigme qui plane sur Celieno ne pourra être que divulguer par l'habilité incarnée, capable sans mal de l'intéresser assez pour ouvrir son passé si peu connu à ce jour.

C'est un personnage avide des désirs que peuvent offrir la vie et d'un rien utopiste, l'immortalité faisant parti de se nombreux désirs, Celieno est prêt à tout pour s'approprier les nombreuses merveilles qui effleureront sa vision. Malgré cela, il est tout de même joyeux de la vie qui lui est offerte et arbore intérieurement une allégresse constante, en temps normal, qui ne le poussera néanmoins jamais à éprouver un quelconque respect pour quoi que ce soit, pour la nature ou un individu il n'aura généralement la moindre pensées civiles. Détestant se leurrer, Celieno sait parfaitement que ses envies comme son existence perpétuel n'est qu'une simple croyance chimérique, qui ne le mènera nulle part. Pour cause, il préfère généralement arpenter son itinéraire sans véritable but dans la vie, d'effroi qu'il ne l'ancre vers une aspiration vaine qui minimisera sa fréquence de concentration pour d'autres agréments méritant d'être vécus. En totalité, Celieno et l'individualisme ne font qu'un et c'est seulement et uniquement pour lui qu'il vit et qu'il continue de durer, sachant que la mort peut le frapper à n'importe quel moment, il catalogue l'importance à autrui comme une béotienne gabegie.

[Je n'ai procédé à aucune relecture, les fautes d'ortho doivent être abondantes...]

Trés trés bon post (j'ai pas encore tout lus car j'ai aps le tempt mais je le ferrai plus tard ^^) Je te valide mais j'espere que cette fois si tu restera sur le forum.

Toujours impressionnant ces post.
Bon rp.

Bienvenue

Merci.
Timbo, j'ai toujours détenu ce compte. Seul mon pseudo a déjà été rénové, j'me suis immatriculé sous "Flora" et ultérieurement, j'ai demandé à ce qu'on me le rectifie en "Shin". Sinon, j'ai déjà joué un autre perso', "Kaozium", mais ce fut éphémère. ='(

Au fait, j'vais user de ce perso en tant qu'intérim... Plus tard, je voudrais constituer une fiche d'un protagoniste du manga. =S

On peut avoir plusieurs compte tu sais...

J'en ai conscience. C'est juste que je déteste cumuler plusieurs personnages (ou comptes) sur un forum, j'en suis incapable.

Un revenant .
Bon rp ^^.

je comprend, je suis déjà débordée avec deux ( et pourtant, ils sont au meme endroit en ce moment, et je poste un message pour les deux à chaque fois ^^' ) et en plus j'ai tendance à en délaisser un en faveur de l'autre parfois ( quand j'ai créer Enki, je me lassai de tytoon... si-si, je vous jure )

re-bienvenue ! et au plaisir de te rencontrer RP