Rien que du sale.

Dans un premier temps, il est nécessaire de préciser que nous parlons pas de la tapette de super dragon ball heroes.
Reipu à la base avait une vie banal, une vie de saiyan, pour vulgariser, il avait une vie de merde dans laquelle il obéissait à des individus qu'ils lui sont semblables bêtement, comme tout les autres personnes de son genre. Mais un jour, alors qu'il se rendait sur l'une des planètes déserte visé par le conquérant, astre qui ne servira probablement à rien, celui-ci se perdit.
En réalité, il n'en était rien de tout ça. Tout était prévu. Certains trafiquants ont vendu cet être à des scientifiques fous. Ces derniers ayant modifié la direction du véhicule avaient tout prévu et contrairement à ce que l'on peut penser, l'opération fut un succès. Oui, rien n'allait sauver le Saiyan qui s’appelait initialement Bajiru, il allait bien servir de cobaye à ces fous.
Dès son arrivé, le missionnaire fut facilement appréhendé d'une façon violente qu'on aura le temps d’expliciter dans un sujet ayant une balise spéciale. Bref, il se retrouva entre les mains d'une organisation rassemblant des scientifiques de toutes sortes de spécialités. Des hackers, des récolteurs d'informations, des programmeurs, des espions, et même des kanasiens.
L'alliance ultime de ces gens en plus des moyens colossaux qu'ils détenaient créa l'être parfait, et ce n'est bien évidemment pas Cell, ou plutôt la pâle perfection de Gero...
Bajiru n'était plus le même, il est passé de Random à Reipu, prénom dont la traduction choquerait plus d'un.
Il était l'être suprême, il avait la puissance et la résistance, la connaissance ultime et l'intelligence artificielle. Pour couronner le tout, il avait le Zenkai des saiyans que les scientifiques se sont forcé de garder et  l’énergie d'un cyborg.
Malheureusement pour eux, le surplus d'intelligence qu'on lui attribua lui fit développer une philosophie partant du principe de la totale liberté. Il élimina donc tout ses créateurs, emporta toutes les informations de la base et parti pour ne faire que ce qu'il lui plaisait. Et au cours de sa virée, il développa un malin plaisir pour le mal dans toutes ces catégories...