Un moment dans le temps (PV Tytoon)

Un silhouette se posa près de la base de lancement. Une silhouette encapuchonnée sous un long manteau gris. Il s'agissait bien de Tytoon, dont la démarche trahissait encore la bouteille de Whisky qu'elle venait de s'envoyait avant son entrevue avec Simon. D'ailleurs son manteau était encore mouillé de la pluie qui avait accompagnée ses larmes quand elle tentait de chasser ses remords par l'alcool.

Mais elle allait mieux : Simon lui avait montré qu'il ne fallait pas baissé les bras et garder espoir.
Tytoon était libre maintenant que l'alliance n'était plus, et elle avait tout à faire. Mais dans un premier temps, il fallait aller sur Dark.

Kratos était le roi de Dark, et même si elle n'avait pas envie de revoir ce lâcheur tout de suite, elle sentait bien que le sceau faiblissant elle devait lui demander de l'aide : Elle n'avait aucune idée de la façon dont soigner le sceau, ni les conséquences qu'aurait son extinction. Pour seul indice, elle avait cette douleur qui la chatouillait telle mille épingle sur le ventre...

Elle se dirigea d'un pas pressé vers le panneau d'affichage : elle n'avait pas de vaisseau ici, elle était venu avec Kratos... Elle allait consulté la liste des appareil à louer quand elle sentit sur sa nuque une regard perçant... une aura qui lui glaça le sang.

Immédiatement, l'ange se retourna et ses yeux confirmèrent ses craintes : Gohen, le maître des démons, l'homme qu'elle venait douloureusement de trahir, était là, devant elle.
Fuir ? Elle y songea, mais cela était peine perdu : il la poursuivrait sans doute... Et puis... C'était Gohen...

Elle afficha l'expressin la plus désespérée qui soit, comme si son coeur venait de s'arrêter, prévoyant déjà la mort qu'il devait rêver lui infliger : incapable de faire le moindre mouvement de plus, elle ne put que gonfler sa poitrine nerveusement pour articuler, sans que pour autant le moindre son sorte de sa bouche, tétanisée pour la première fois en sa présence :

" Gohen. "

Tytoon fut paralysée à la vue de l'expression assassine du Maître des démons : Elle ne l'avait jamais vu avec un regard aussi cruel, et c'est en ce moment là qu'elle comprit enfin que Gohen était avant tout l'être démoniaque qu'elle n'avait jamais voulu voir...

Avoir toujours voulu tirer de lui sa part de bonté... Jeune enfant ignorant le danger, elle était parvenu à approcher et toucher l'homme qui se cachait derrière cette réputation de monstre qu'avait Gohen. Elle avait réussi à faire éclater au grand jour la face cachée de l'être le plus craint des temps jadis : et aujourd'hui c'était par sa faute qu'il était redevenu une créature assoiffé de vengeance.

A la place du Gohen qu'elle avait toujours aimé, se dressait devant elle un monstre, dont la vue insoutenable lui arracha une larme : Ce monstre... qu'elle avait créé.

Comme une souris devant le fauve, papillon sur la toile collante, attendant que
le prédateur abrège les minutes douloureuses qui s'annoncent ... Tout alla vite, et le poing chargé de l'énergie noire de colère de Gohen se planta dans son ventre, lui arrachant un gémissement de douleur : L'ange fut projetée à terre, en n'ayant offert aucune résistance.

" Je pense l'avoir mérité en effet... " articula-t-elle douloureusement pour ne pas se laisser abattre.

Elle retint le flot de larmes qui ne demandait qu'à se déverser : Avoir au moins un minimum de fierté devant le diable... et se relever, difficilement : le sceau ne brillait plus, mais à l'intérieur de son corps, Tytoon entendait les suffocations de cette autre "elle-même" intérieur qui s'éteignait...
Cela dit, sauver le sceau n'était plus une priorité puisque bientôt, à en croire le regard déterminé de Gohen, elle irait toute deux en enfer très vite...

Tytoon ouvrit la bouche et chercha quelque chose à dire à ce visage qu'elle aimait mais qui était déformé par la haine et la souffrance : Rien ne lui vint à l'esprit.
Demander pardon serait risible, et entamer une discussion avec un animal aussi furieux serait vain.

Fébrile, aussi bien physiquement que mentalement, Tytoon attendait presque sagement le deuxième coup...

( pourquoi tytoon ne peut-elle pas juste tirer la langue et gueuler : "PARCE QUEEEEE" toute fière d'elle ? )



Tytoon n'eut pas le temps de souffler bien longtemps qu'elle se retrouvait à nouveau à terre après un coup au visage cette fois. Même lors de son combat contre lui, du temps où elle le considérait comme un ennemis, il n'avait pas été si violent. D'ailleurs si cela avait été le cas, elle n'aurait sans doute pas voulu le revoir après. ( hé !)
Gohen se mettant à son niveau au sol, se redressa pour lui infliger un nouveau coup au sol : la tête de l'ange s'enfonça dans le sol bétonné de la base de lancement.

Tytoon respirait douloureusement, et un filet de sang coulait maintenant de ses lèvres ternies par la peur de mourir des mains de Gohen.

A la respiration tristmenet sonore de l'ange vint se mêler la respiration animale du démon : dans ce qui sembla être un cri de bête, Tytoon discerna une question de la part de l'homme qu'elle aimait.

" Pourquoi ? "

Tytoon fronça les sourcils et ferma les yeux : cette question elle la redoutait, pour la seule et unique raison... c'est qu'elle n'était plus sûre de la réponse. Elle s'empressa de répondre tout de même, sachant que l'impatience du démon "frapperait" à nouveau en cas d'attente... et le regard dans le vague :

" Alors je t'ai fait aussi mal ? ... " articula-t-elle désespérée, " ce jour-là je t'ai alors frappé au coeur aussi fort ? " elle tourna sa tête dans un effort certain et le regarda vaguement, et continua avec un peu plus de force dans la voix : " Si ce jour-là je savais qu'un mot de moi pouvait te faire souffrir autant... Le scénario aurait était différent... parce que... jusque là tu ne m'avais jamais montré tes sentiments."

Ce n'était pas un don de regret mais plutot un ton de tristesse, mêlé à un soupçon de reproche. Elle ne bougea pas, restant à terre, attendant la réaction de son boureau, s'attendant à recevoir un coup n'importe quand, mas sans ciller, sans serrer le poing ni les dents... passive.


( je laisse un peu de reproche pour avoir une troisième rincée sinon c'est pas marrant, en espérant de pas t'avoir déjà adoucit :p )

Tytoon ressentait dans chaque coup de Gohen sa propre honte, sa faiblesse, sa bêtise tandis que dans chaque rugissement de l'homme -puisses-t'il en être encore un- elle ressentait la colère, la puissante, la détresse. Elle gisait au sol, inerte, dans un état entre la vie et la mort, entre la consciente et le cauchemar : se défendre était inutile face à ce monstre enragé, et de plus elle avait mérité son sort. Le plus dur n'étant pas de recevoir les coups, mais de sentir la douleur de Gohen transpirer dans ses membres raidit de rage.

L'ange ressentait des regrets, en plus de sa propre détresse, mais aussi de la colère : elle en voulait à tous. Au monde de lui avoir forgé une telle identité, un tel destin. A Gohen de ne pas lui avoir fait comprendre qu'il l'aimait. A Kratos de l'avoir bercée d'illusion. Mais surtout à elle-même d'être incapable de faire un bon choix.

Mais existait-il ce bon choix ? Sa vie n'était-elle pas simplement le sillon tortueux d'une suite d'événement catastrophique, tout simplement ?

Si Simon juste avant ne lui avait pas redonner un peu de confiance en elle, elle aurait sans doute déjà craqué, et se serait laissé mourir, pour ressusciter avec l'envie de rester seule à nouveau, de fuir, se cacher... déprimée et honteuse. Mais pas question de capituler aujourd'hui, et malgré les coups, Tytoon tenait bon.
Le sceau ne réagissait plus. Elle l'espérait encore vivant mais n'osait trop y penser.
Gohen avait enfin prononcé une parole plus imagée, et l'esprit entier de
ytoon se focalisa sur le son roque de la voix du démon.

"Jamais je n'ai voulu voir ton départ.
Avec Kratos tu as fuit enlacée
Me laissant périr, à terre, accablé.
Tu sais ! Ce ne fut pas dut au hasard !"

Le hasard ? Elle aurait voulu pourtant y croire... Une fatalité qui aurait simplement fait que les choses tournent mal, sans qu'elle y puisse quelquechose, elle aurait aimer en être sûre... Mais elle lisait malheureusement sa propre culpabilité en regardant son reflet dans l'oeil exorbité de Gohen. Le roi des démons avait presque prononcé une prophétie, une sentence : La chair de poule gagna Tytoon qui dans la prestance de son "adversaire" pouvait contempler le maître démoniaque dans son véritable rôle qu'elle ne connaissait pas : celui dont la parole raisonnait comme le bruit de fer mouillé d'une lame de guillotine.

Après un long silence ou Tytoon rassemblait force et esprit, elle articula, très difficilement, crachant du sang..

" Tu me vois là à ton image : prête à périr, à terre, acablée. Mais je l'étais bien avant tes coups ; Je le suis depuis que mon coeur m'a susurré sadiquement que l'homme que j'aime était l'inaccessible Maître et Roi des Démons. Gohen, ma maladresse est sans borne, je ne suis à tes pieds en ce moment et depuis longtemps qu'un morceau de chair minable et impuissant."

Elle reprit son souffle.

" J'ai voulut croire en un bonheur, croire que je pouvais fuir mon propre coeur et vivre une vie normale. J'avais peur de consacrer ma vie à l'attente des rares et brefs moments où tu venais à moi, qui était les seuls moments vrais et sencés de mon incipide existance. Gohen... Quelle femme pouvait espérer atteindre le coeur de l'être qu'on dit sans "sans coeur" ? J'aurai donné tout pour savoir que j'avais cette chance, et j'aurai éprouvé la plus grande joie sachant cela. Mais aujourd'hui j'en pleure d'autant plus : J'avais ce que j'avais toujours voulu, sans le savoir, et je l'ai perdu avant d'en avoir même eu conscience. Tes sentiments pour moi sont ma bénédiction et ma malédiction... "

Elle était toujours à terre, ne le regardant pas. Son corps brisé ne semblait presque pas vivant, et seule sa bouche parlait, alors que son regard semblait vide....

Elle allait prononcer une dernière phrase mais prise d'une toux mouillée de sang, elle s'arrêta. Une larme coula des yeux vides et éteints de Tytoon.

" Tout à changé... " répéta-t-elle, comme un vers religieux lourd de sens.

Tytoon sur le sol, n'ayant pas reçu de coup depuis plusieurs secondes, esperait que la tepête était passé, trop faible pour regarder la scène et voir les expressions du démon : seules la voix de Gohen et l'énergie dégagés par ses mouvements lui donnaient les indications à propos de la situation.
Tytoon n'avait donc pas encore reçu de coup fatal. Elle s'en réjouissait -se surprenant d'ailleurs à vouloir même en ces circonstances rester près de Gohen pour boire ses paroles, même douloureuses- malgré qu'une mort aurait abrégée ses souffrances.

Elle essaya de se redressait un peu : son bras se replia et vint se rapprocher de sa poitrine pour forcer contre le sol émietté pour soulever son corps... mis son effort était un peu trop optimiste est elle resta immobile.

Les paroles de Gohen étaient tristes : annoncer qu'on est personne, alors qu'on est le maître des démons... Un ange déchu... Encore une fois Gohen en illustrant sa personne donnait l'impression à Tytoon qu'on pouvait dire la même chose d'elle.
C'était l'une des raisons pour laquelle elle s'était toujours senti proche de lui, depuis leur premier combat : Deux anges déchus, perdus, ignorants leur futur, leurs buts, perdus et n'ayant pas ou plus de moral, déprimés, prisonniers de leur réputation.

" Un changement dans mon existence serait un don de la vie. Si tes paroles annonce un renouveau, tu seras plus que jamais la voix de l'espoir à mes yeux. "

L'ange, qui ses derniers temps avait été possédée par une personnalité maléfique arborait maintenant une expression qu'elle n'avait pas eu depuis longtemps... Camouflée sous ses blessures et par l'ombres de son assaillant, Tytoon, toujours tournée vers le sol, souriait presque, bénéfique.
Gohen se traitant de "rien du tout"... Alors que pour Tytoon il était l'être le plus important et le plus influent de l'univers... C'était cela qui la faisait sourire en ce moment.

Il venait de la frapper presque mortellement. De lui faire ressentir de la peur, de la culpabilité, du désespoir... Et à ses pieds, elle avait envie tout de même de le rassurer, de le consoler, d'être ce qu'elle avait toujours rêvé d'être et ce qu'elle aurait pu être sans cette odieuse trahison quelques temps plus tôt : une confidente, un soutien... Une amie ?

Tytoon souriait, même pas tristement : Elle se sentait si minable en se moment...

" Si toi tu es devenu un rien du tout... je ne suis même pas l'ombre du néant. " Après tout elle avait trahis l'homme qu'elle aimait le plus, qu'elle admirait le plus, pour ensuite être prête en ce moment à le blâmer alors qu'il venait presque de lui donner la mort.
Son comportement était aussi illogique que misérable. Presque idiot... il était en réalité le comportement désespéré d'une femme sans vie, cherchant à comprendre le monde autour d'elle sans doute.

Contre toute attente après un long silence où l'ange n'avait pas trouvé le courage ni le moyen de réconforté de démon, son sourire plus présent que jamais sur ses lèvres, un rire fou et dénué d'espoir résonna dans la pièce. Tytoon éclata de rire. Un rire froid, glacial. Un rire qui aurait pu être démoniaque si on y décelait pas la peur de la pauvre créature à demi-morte au sol, effrayé parle futur, par elle-meme, par ce quelle avait détruit par ses agissements.

" AH AH AHA AH Aaaaaaah ! ....... à quoi bon ? Regardez-nous, forces supérieurs, nous vos enfants perdus !! Y'aurait-il quelque chose de plus minable que nous-même ? de plus ridicule... de plus insensés... "

Le rire s'étouffa jusqu'à devenir un sanglot inasumé : Tytoon cachant des pleurs provoqués autant par la fatigue que par la tristesse... faible, elle répéta, tristement, de plus en plus fébrilement... jusqu'à ce que sa voix ne soit plus audible...

" Insensés... minables et insensés........ insensés............ "

Tytoon sentit son corps reprendre vie peu à peu alors que l'énergie de
Gohen l'envahissait. Doucement, tendrement. Son coeur battait à tout
rompre : le flots chaleureux en elle portait l'empreinte de ce démon
qu'elle chérissait, de l'homme qui hantait ses pensées à chaques
secondes depuis ce jour, ce combat, où elle comprit qu'il serait le
seul à la comprendre.
Gohen... se délectant de cette énergie qui l'envahissait comme une
adolescente s'enivrerait de l'odeur de son aimé laissé sur un foulard,
Tytoon ferma les yeux, laissant ses membres reprendre vie peu à peu.
Elle avait regagné de la force et finalement sa poitrine se gonfla comme si la vie elle-même s'y était glissé à nouveau.

Gohen s'était excusé. Il semblait encore plus perdu qu'elle qui
finalement, amoureusement niaise, souriait presque intérieurement
d'être en présence de son ami : car dans la lueur des yeux du démon,
l'ange reconnu l'homme qui avait su être doux auprès d'elle dans cette
source chaude. Son ami était revenu, le monstre était parti.

Elle n'hésita pas un instant : son énergie retrouvée elle aurait pu en
profiter pour refermer ses blessure grâce à son sort de soin mais ce ne
fut pas sa priorité.
Devant le visage troublé du démon qui venait d'attaquer son amie, elle ne put résister.

Elle se redressa et se précipita contre lui, l'étreignant tendrement.
Elle mit sa tête contre son cou, et le serra fort : une étreinte
presque violente... animée de colère, de désir, de regret et de
culpabilité :
Gohen était maladroit. Il lui avait même laissé croire qu'il ne
l'aimait pas autant qu'elle l'aurait espéré. Il venait de la blesser...
Mais sa présence lui était douce et à réfléchir elle avait été la plus
maladroite des deux.

" je suis désolée, je suis désolée, je suis désolée, je suis désolée..."

Elle répéta ses mots plusieurs fois, sans compter. Elle aurait voulu
que ses mots soit une formule magique qui remonterait le temps et
l'empêcherait de le trahir.

Puis finalement, elle arrêta, simplement heureuse d'être là, contre
lui. Qu'importe la façon dont il réagirait. Elle l'avait en ce moment
contre elle, sentant son parfum, sentant entre ses doigts sa
vulnérabilité et sa force. Elle profita de l'instant simplement.

Ne pas l'avoir trahi... Elle repensa à Kratos. Le
deuxième "elle-même" du sceau s'éveilla, mais ne pris pas le dessus.
Comme un esprit discret elle ne fit que ressentir de la haine celui
qu'elle aimait... car en réalité il n'y avait que la Tytoon du sceau
qui l'avait aimé, il était celui qui l'avait réveillé. Cette autre
Tytoon remarqua que l'ange du Cruxis avait une aura faible. Il perdait
sans doute un combat. Ne sachant si cela la réjouissait ou pas, elle
disparut à nouveau dans le sceau.

Et si elle n'avait pas trahi Kratos finalement, se dit-l'ange, après
avoir été rassuré de constaté que le sceau n'était pas mort, finalement
peut-être qu'elle n'aurait jamais compris que Gohen était accessible et
qu'elle comptait pour lui.
Finalement, dans ce malheur il y avait du bon ? Elle le pressa à nouveau fortement contre elle.
Et si l'ange avait triomphé du monstre démoniaque en le trahissant, découvrant ainsi sa nature profonde, ses sentiments ?

L'ange, presque soulagée et ravie qui tenait le démon percé à jour, pâle et la gorge nouée.

L'ange savourait presque une victoire. Celle de la femme qui comprends enfin où est la route à suivre...

( Bon, on savait plus quoi faire et comme tu ne réponds pas et n'a pas l'air motivé en ce moment j'abrège le topic )



Tytoon relâcha sa prise doucement. Elle sentait au fond d'elle une supplication, un grondement plaintif : " L'autre", la Tytoon éveillée par le sceau lui demandé de partir et d'aller sur Dark...

Tytoon se releva sans mot dire.

" Gohen, quoique tu fasses, tu seras toujours le premier être à me comprendre... Je dois m'envoler loin de toi, mais saches que c'est toi qui m'a donner mes ailes. Nos routes se croiseront à nouveau, j'en suis persuadée. " Elle sourit. Tendrement.

Elle avait dit ça car elle savait qu'elle ne pourrait retrouver Gohen quand elle le désirerait : Le maître des démons est un personnage discret qui apparait lui même quand il le désire.

Elle passa sa main sur la joue de son ami et s'éloigna, avec le regret de ne pas rester prêt de lui. Montant dans une capsule, elle prit la direction de Dark... Et s'envola.