| |
| Sujet: x [N]ana Øsaki x Sam 7 Nov 2009 - 17:46 " Tu sais, Hachi… J’aimerais bien être réincarné en poisson. Ainsi, Ren et moi, nagerions toujours ensemble. " " Si tu avais été un homme, Nana Nous aurions pu vivre un amour parfait C'est ce que je me disais souvent, à l'époque Mais dans ce cas Nous n'aurions sans doute pas eu Que de bons souvenirs Parce que la douleur va de pair avec l'amour Parce que l'amour est un sentiment pénible Au point de vouloir le noyer… " - Que pensez-vous de Nana Osaki ? - Ah, la petite Osaki ? Elle était super mignonne cette fille, tous les garçons la remarquait et ça faisait des jalouses, mais elle était plutôt bizarre, elle ne parlait à personne et restait toujours toute seule. - Dites-moi en plus sur cette Osaki ? - Une fois, nous avions élevé des lapins en primaire. On a retrouvé tous nos lapins mort, on a tous pensé que c’était elle. Après tout, ça doit certainement être possible, on ne voyait qu’elle capable de faire ça ! - Que savez-vous d’elle ? - Ah vous parlez de la fille qui se prostituait et qui a été virer du lycée ? C’est vrai que j’avais craqué pour elle moi aussi, mais elle était glauque et silencieuse ! A cette époque, chez moi, il n’y avait ni télévision ni radio. J’étais la première invitée à cette fête et j’étais la dernière au courant. Alors qu’égoïstement, j’avais abandonné la vie que j’aurais pus avoir avec Ren, maintenant que nous sommes tous les deux connus et que les paparazzis nous on coller au cul, ils ont rien trouvé de mieux à faire que de chercher des traces de nos passé, surtout le miens, pour faire un scandale. Je suis née dans une ville sans importance. Quand j’eus quatre ans, je fus abandonnée par ma mère. « Je reviendrais, très bientôt … » m’avait-elle dit, avant de me laisser seule, sur se trottoir, sous la ville enneigée. Je me rappelle que j’avais longuement attendue avant d’être emmener par ma grand-mère et qu’elle m’élève. En vérité, elle ne voulait jamais que je porte de vêtements rose ou rouge. Elle disait que sinon, je deviendrais inévitablement comme ma mère. Je ne comprenais pas pourquoi, j’étais trop jeune pour savoir que ma mère s’était barré avec un connard qu’elle avait rencontré, et que les promesses que je verrais mon vrai père un jour étaient inexistantes. C’est comme ça que, jusqu'à mon entrée au lycée, je vécue avec ma grand-mère, me sentant irrémédiablement seule. Ma mère m’avait laissé et elle n’était jamais revenue. Elle n’envoyait jamais de courrier, n’appelait jamais et n’était jamais là pour noël ou mon anniversaire. Je ne l’avais jamais revue. Quand ma grand-mère fus morte, lors ce que j’eus mes quinze ans, je crois que j’étais soulagée. Malgré qu’elle m’avait élevé, je crois qu’elle n’avait jamais eu de compassion envers moi, ni même d’affection. Au final, c’était du pareil au même. C’est comme si j’avais toujours vécue seule, alors cela ne m’avait ni attrister ni bouleversé. Grâce à l’argent que j’avais touché sur sa mort, j’avais de quoi me débrouiller seule. Elle n’était pas non plus milliardaire, mais j’avais besoin de peu pour vivre. Je ne parlais à personne, j’ignorais les autres et ne leur adressait aucun regard. Pourtant, j’avais entendu dire que j’avais du succès auprès de garçons, mais cela, je m’en fichais totalement. Je ne faisais pas grand-chose, car je n’étais pas motivée. Tout m’ennuyait, tout m’exaspérais et je passais mon temps à rêvasser, dans mes pensées. Ce que je voulais ? Chanter. Sans ça, je n’étais plus rien, ma vie s’arrêterait. Un jour, un garçon m’adressa la parole. Il était déjà avec moi au collège, il était blond, et avait un air idiot quand il parlait qui le rendait mignon. Je l’ignora, mais il ne céda pas et m’obligea à prendre des CD qu’il voulait me prêter. Comme il me gavait, je les avais prit, mais autant dire qu’il m’avait bien saoulé. En rentrant chez moi, j’avais quand même jeté un œil à ses CD, comme j’adorais la musique. Le lendemain, je lui redonnai, en le remerciant, sous le regard complètement exorbité de ses amis, comme je ne parlais jamais à personne. Il me retint alors le bras, pour me demander lequel j’avais préférer. Je lui dis que s’était un de ses CD avec un nom et une musique provoquant. « Les Sex Pistols ? S’exclamât-il, ce sont aussi mes préférés ! On a les mêmes goûts ! ♥ ». C’est comme cela que je fis, un tout premier, seul, et vrai ami. Son nom ? Nobuo, mais j’avais prit l’habitude de l’appeler Nobu. J’ai vite appris à le connaitre, c’est quelqu’un de drôle, toujours là pour épauler ses amis, de droit et de pur. Pour un garçon, c’est plutôt le genre timide, mais certainement entreprenant avec une femme qu’il aime. C’était vraiment un bon ami, un vrai ami. Quelques temps plus tard, alors que je venais lui rendre un CD, j’aperçus deux autres jeunes hommes en sa compagnie. L’un était chauve, avec des lunettes de soleil et l’autre… était brun, cheveux retrousser sur la tête, avec un regard envoûtant. J’évitai de le regarder, rendit le CD de Nobu et m’éclipsa sans rien dire. Le soir même, il m’avait invité à aller le voir en concert solo. La veille, il m’avait parlé de se garçon aux cheveux bruns. « Il se nomme Ren, me dit-il. Il a le même âge que nous et Yasu, le chauve aussi. Tu sais, Ren a été abandonner à sa naissance. Il a été mis à l’orphelinat avec Yasu, mais il s’enfuyait tous le temps et allait dans un entrepôt. Il avait réussi à afistoler une guitare et il ne faisait que jouer. C’est pour ça qu’il est très doué à la guitare, tu verras ce soir. De plus, sa fierté c’est de s’être débrouiller seul. » Ce mec était vraiment un idiot. Être fière ? Il fallait vraiment avoir de l’audace et je trouvais ça tellement stupide que j’arrêtais là notre conversation. Et pourtant… Lors ce que je l’ai vu sur scène, je ne l’ai pas quitté des yeux. Je ne sais pas ce qui se passait exactement en moi, cette sensation était indescriptible… et je m’étais rendu compte, qu’avec le recul, si Ren se disait fière, c’était pour oublier la douleur qu’il avait eu d’être ainsi jeter. Quelques jours après, Nobu, Yasu et Ren voulant former un groupe, Ren me demanda de devenir la chanteuse. Un bout de mon rêve s’accomplissait et nous formions les Black Stones, sous forme contractée BLAST. Un ans après notre rencontre, quand nous sortions tout juste d’un de nos concert dans notre petite ville, et que nous avions déjà des fans, dont Misato, une fan toujours là et très fidèle au groupe, nous fûmes couvert de cadeau de leurs part et Nobu se vantait d’avoir la côte auprès des filles. Après être sortit, Ren et moi décidions d’aller faire un tour dans la neige, près du lac. On avait bataillé dans la neige quelques temps, et quand nous fûmes complètement geler, je décidais de m’asseoir à côté de lui et de goûter le beau gâteau que Misato m’avait préparé. Alors que je saisis de la chantilly sur mon index, Ren me regarda avec un petit sourire moqueur : « Elle a surement empoissonnée le gâteau, pour tuée celle qui sort certainement avec le BEAU Ren ♥ » dit-il avec un sourire narquois. « Hey ! Goûtes, toi, moi j’veux pas mourir avant d’avoir fait quelque chose de spécial ! » Il s’approcha de moi, passa sa main sur mes épaules et m’embrassa. A ce moment, j’avais tellement été surprise que j’avais oublié de fermer les yeux. « Maintenant que j’ai fais quelque chose de spécial, dit-il, ça m’est égal de mourir. » Il lécha la chantilly sur mon index, puis m’adressa un doux sourire, que je n’avais jamais encore vu chez Ren. | |
| Sujet: Re: x [N]ana Øsaki x Sam 7 Nov 2009 - 17:46 C’est comme cela, que tout avait commencé entre lui et moi. J’avais découvert une personne très sensible en lui, bien qu’il n’en n’ait pas l’air. Sensible, tendre, mais surtout qui avait un besoin vital d’amour, tout comme moi j’avais besoin du sien. Nous avions chacun un passé lourd, et le fait que nous soyons là l’un pour l’autre était un fait extraordinaire pour moi. Quand je me sentais seule, Ren était là. Et jamais je ne le remercierais assez de ça… Le printemps de mes dix-sept ans, cela faisait bien deux ans que nous étions ensemble à ce moment, il me regarda droit dans les yeux, et furtivement, m’annonça son départ pour Tokyo. Ses raisons étaient qu’il allait rejoindre un autre groupe, nommé Trapnest. Je ne savais pas grand-chose de se groupe, mais ils avaient besoin d’un guitariste et ils allaient passer pro. En gros, il me lançait un dilemme. Il voulait que je vienne avec lui. Il me dit que je devais faire ce que je voulais de ma vie et qu’il ne m’obligerait à rien. Seulement… ma fierté, je ne pouvais pas l’oublié. Que ferais-je en allant avec lui ? Être une femme à la maison, sage, attendant son retour du soir en ayant préparé sa soupe miso ? Moi aussi j’avais des rêves. Ce pourquoi, il partit seul, sans moi. Et se fût la cassure de BLAST. Il ne restait que Nobu, Yasu et moi. Le jour de son départ, nous pleurions chacun de notre côté. Nous savions que ni texto, ni lettres nous permettraient de nous serrer l’un contre l’autre et que se serait purement que perte de temps et inutile. Moi aussi, un jour, j’avais pour ambition de partir sur Tokyo et de passer pro, avec mon groupe, avec Yasu que je considérais comme mon grand-frère, et Nobu comme le p’tit frère à emmerder. Heureuse qu’ils furent là pour me soutenir pendant les deux longues années qui me séparèrent de Ren. Nobu ne comprenait pas pourquoi je n’étais pas partit avec lui, et quand je lui expliquai, il me répliqua que lui ne partirait pas non plus, car il ne voulait jouer de la guitare que pour ma voix. Ses paroles me firent pleurer, car il avait dit ce que je voulais entendre de la bouche de Ren. J’avais des remords qu’il soit partit pour une autre voix que la mienne… mais part fierté, je lui montrerais que moi aussi, j’aurais un chemin et que je serais quelqu’un. Le printemps de mes 19 ans, un de mes rêves allait enfin se réaliser. Je partais pour Tokyo, enfin. Nobu et Yasu ne me suivraient pas. Nobu avait son auberge familiale à garder et Yasu ses études d’avocat. C’est ainsi que, seule, je continuais ma route. Dans le train qui avançait lentement à cause des conditions atmosphériques qui étaient froide, je rencontrai une jeune fille qui portait le même prénom que moi, qui avait le même âge que moi, mais qui était totalement différente de moi. Elle ressemblait un peu à Nobu, elle semblait idiote mais ça lui donnait un air mignon. Elle me parla de sa vie pendant tous le trajet, ce qui m’arrangea, car je ne voulais pas parler de moi à une inconnue, de plus que je n’aimais pas réellement parler de ma vie. Elle rejoignait sont petit ami à Tokyo, ce qui me fit sourire. Elle faisait le contraire de moi. Elle, le rejoignait, moi, je l’avais laissé partir seul pour accomplir mes propres rêves. Quand nous fûmes enfin arrivé, je la laissai retrouver son compagnon et partit de mon côté. Deux jours après, je cherchais un appartement à louer pour pouvoir y vivre. Et comme par hasard, je retrouvais cette Nana qui visitait le même appartement que moi. Nous décidâmes alors de vivre en colocation, comme ça, tout les frais seraient réduits. Je débutais la colocation avec cette fille, que par la suite, je surnommais Hachiko, ce qui veut dire petit chien. Ce n’était pas une insulte, mais plutôt parce que ça collait bien avec son caractère. Un petit chien agité qui demande beaucoup d’attention. Elle m’avait gonflé avec une paire de verre à fraises d’ailleurs, mais elle voulait qu’ils soient symbolique à notre amitié qui débutait. Les jours passèrent et notre habitat se meublait – surtout parce qu’elle avait trouvé un job dans un magasin de vente de meuble assez vieux mais qui fonctionnait toujours bien et, parce qu’elle tombe toujours « sous le charme » de tous les garçons qu’elle croise. Une fille facile, en somme. Je détestais ce genre de personne, mais pourtant, elle était très attachante. Quelques mois plus tard, après les problèmes de cœur d’Hachiko, du fait que son copain l’avait trompé, elle sombrait, pleurait, alors j’étais là pour elle. Du coté de mon groupe, Nobu avait tout abandonné et avait débarqué ici, il s’était déjà acheter une petite maison et la surprise me fit plaisir, - même si je ne lui avais pas fait directement remarquer, car je me devais de l’emmerder quand même. Et Yasu était venu aussi. Avec lui, c’est différent. Quand je l’ai vu, un soir, en rentrant, m’attendre avec ses bagages devant mon appartement, je n’ai pas pu m’empêcher de fondre en larmes en me serrant dans ses bras. Lui aussi avait trouvé un studio sympa, tout en continuant ses études ici. Eux, étaient de vrai amis, ils étaient venu à Tokyo me rejoindre et continuer notre performance de groupe, dans l’espérance de se faire connaitre. De plus, grâce à Hachi, on avait recruté un guitariste, de la même fonction que Ren : la basse. Il avait 15 ans, mais on considérait qu’il en avait 18, pour le grand public. Ce gamin était plutôt pas mal, les cheveux bleus redressé sur la tête et pas mal de piercing. Il dégageait un charme particulier, bien qu’il se prostitue pour avoir du fric, même s’il dormait chez les femmes avec qui il couchait où chez Nobu qui l’hébergeait. Le soir qui bouleversa ma vie une nouvelle fois, est le soir où Hachiko me proposait d’aller voir un concert de Trapnest. J’avais longuement hésité, mais elle savait pour ma relation d’auparavant avec Ren et je ne savais comment. C’est un peu avant le concert qu’elle m’avait dit ça et je la remerciais. Au concert, comme fait exprès, nos places étaient justes devant le guitariste. Ren savait jouer et de la basse et de la guitare. Là, il jouait de la guitare, car c’était le leader qui était bassiste. Quand ça commença, j’étais juste sous son nez. J’ai cru que pendant toute cette nuit, j’avais assisté qu’à un solo de Ren, car mon regard ne se détachait pas de lui. Il resplendissait toujours, comme une étoile que je ne pouvais saisir. Il m’avait donné l’amour, m’avait appris la guitare, m’avait donné goût à la vie, m’avait protégé, m’avait aimé. Qu’avais-je apporté à Ren, moi ? Des larmes avaient coulées de mes joues toute la soirée. Mais personne ne pouvait savoir ce que je ressentais, moi, devant celui que j’aimais… Après ce concert, nous étions rentré chez nous à l’appart’. Entre temps, comme je n’avais pas de portable, Yasu avait envoyé un sms à Hachiko avec le numéro de Ren pour que je l’appelle. J’appelai alors Yasu pour m’expliquer avec lui : « Allô ? Ouai, boule à zéro ! Ta vraiment rien comprit, toi ! … » « Nana… je t’ai donné le numéro de Ren pour que tu puisses librement lui parler. C’est à toi de voir si tu l’aime toujours, ou bien si tu compte lui rendre les clés de votre appartement dans notre ville natale et la clé du pendentif cadenas que tu lui à offert… ». Grâce à Yasu, je savais maintenant où logeait Ren ce soir et il me proposa de le rejoindre. C’était un hôtel privé, mais il m’a dit qu’il m’attendrait au dernier étage et que je pourrais facilement rentrer car il n’y avait pas de sécurité, sauf en haut. Prenant la clé du cadenas et de l’appartement dans lequel nous habitions ensemble auparavant, je pris un taxi et me rendit à l’adresse. Je voulais mettre un terme à tout ça, mais au fond pourquoi ? Par fierté, au fond je le savais. Ma fierté m’empêchait de retourner avec un homme qui, pour moi, m’avais abandonné. Tout ça n’était qu’un cercle vicieux, où je souffrirais, de toute manière. Quand l’ascenseur s’ouvrit, je sentis quelqu’un m’attraper le poignet. Il m’emmena dans sa chambre, fermant à clé, puis me serra dans ses bras. Je n’avais pas réagi, mais je le sentais sangloter, se mettant à genoux et me serrant contre lui, si fort que j’entendais son cœur, dans des battements rapides, me prouver qu’il m’aimait toujours… cet homme n’était pas normal… comment pouvait-il toujours m’aimer ? Je le pensais… Ren est si fragile, au fond. Mais je ne pouvais rien faire… quand il me disais, de toute ses forces, de cette façon, qu’il m’aimais, moi-même, je me troublais et je passa mes mains autours de lui, l’embrassant avec tout l’amour que j’avais oublier, que j’avais renfermer en moi pendant si longtemps. Comme un homme et une femme, nous avions passé la nuit ensemble, avec tant de passion que j’aurais voulu que ça s’éternise… Les mois passaient. Ren et moi étions enfin réunis, mais nos conditions de vie et sa célébrité nous empêchait de nous voir. Hachiko avait rencontré Takumi, le bassiste de Trapnest étant son idole et j’eus comme l’impression qu’une chose étrange se passait entre eux. Il était 3h du matin, cette fois-là. J’entendis la porte d’entrée s’ouvrir. J’ouvris discrètement ma porte… et je fus choquée, j’en restais bouche bée. Takumi prenant dans ses bras Hachiko… que faisait-il ? … lui qui avait une réputation de coureur… pourquoi fallait-il que ça tombe sur elle ? Elle qui était déjà si sensibilisé a cause de sa cassure avec Shoji… Il me fit signe de me taire, sans réagir, je retournais dans ma chambre, fermant ma porte sans bruit. Hachiko pleurait contre Takumi, elle ne m’avait pas entendue. Cette nuit-là, je n’avais pas réussi à dormir. J’étais trop pensive. Hachiko ne m’en avait même pas parlé…
Dernière édition par Nana Osaki le Sam 7 Nov 2009 - 17:58, édité 2 fois | |
| Sujet: Re: x [N]ana Øsaki x Sam 7 Nov 2009 - 17:47 [ Je ne me soucie pas de savoir si on m'aime. Je veux juste pouvoir aimer quelqu'un. Quelqu'un du fond de mon coeur. Simplement.. Cela ressemble à une chose si simple, alors pourquoi... ... doit-elle être aussi incroyablement dure ?
Ren - " Cocaïne. " ]
Ce n’est que quelques temps après, quelle me dit qu’elle avait quitté Takumi car elle aimait Nobu. J’en étais heureuse, car Nobu était fou d’elle et qu’il haïssait Takumi, de peur qu’il lui fasse du mal. Cela ne dura que quelques temps, malheureusement… Hachiko tomba enceinte. Bien sûr, je ne le sût pas avant que Takumi, n’appelle Nobu avec le portable d’Hachiko, un soir où nous allions justement rentrer. Il avait vu qu’elle était enceinte et le dit comme ça, d’un coup à Nobu. Moi aussi, j’avais été choquée, surtout qu’elle ne m’avait rien dit. Ce qui suivit fus la pire partit de la vie de Nobu et celle où je lui rendis la monnaie de la pièce. Hachiko, égoïstement, avait décidé de rester avec Takumi, d’élever l’enfant avec lui et de vivre avec lui. A ce moment, je ne pouvais lui pardonner le mal qu’elle avait fait à Nobu et le fait qu’elle n’avait rien dit, elle n’avait même pas essayé de se justifiée, elle qui disait tant m’aimer. Avant qu’elle ne parte habiter avec Takumi, elle m’avait laissé une lettre.
« Je pense que tu ne pourras plus me pardonner, mais... Je n'oublierai jamais Ces six mois que nous avons vécu ensemble L'idée de ne plus te revoir m'attriste énormément Mais je ne sais pas comment faire Alors s'il te plait, deviens chanteuse professionnelle coûte que coûte et passe à la télévision, pour que je puisse de nouveau te regarder chanter De qui que je sois amoureuse tu seras toujours mon héros Il n'y a personne au monde qui soit plus admirable que toi Ni en ce moment Ni jamais dans le futur
Le 7 septembre 2001 Hachiko »
Ren me dit que s’était une lettre d’amour, comme un jeune homme amoureux la première fois. J’étais heureuse, mais je ne pouvais pas oublier ce qu’elle avait fait à Nobuo, qui était totalement détruit. Comme j’étais seule à l’appartement, je n’y allais plus. J’allais chez Ren, bien qu’il ne soit pas souvent là. Mon groupe et moi, allions enfin être poussé sur scène. Mais un journal, avait publié un article sur Ren et moi pour faire éclater un scandale. Un putain de paparazzi avait réussit à nous prendre en photo, une fois où nous n’avions pas été vigilent, de plus ils étaient partit fouiller dans mon passé et avait interviewé des gens, qui ne savait rien de moi. Quelqu’un prétendait que je me prostituais, même. Cela me faisait rager, parce que ce n’était pas le cas, mais je me devais de rester impassible et de continuer ma route. Je fus lancer avec mon groupe sur scène bien vite et pour l’instant, nos chansons marchait bien au grand public. J’entendus dire par Yasu que Takumi et Hachiko allait se marier. Cela faisait 1 mois que je négligeais Ren, ne l’ayant pas vu depuis sa tournée. Yasu ne m’avait rien dit, mais j’étais sûr que Ren était toujours accro, qu’il se droguait toujours. Il disait que sa remplaçait son manque, son manque d’amour, de ne pas m’avoir à ses côtés. Quand je le retrouvais, vu notre situation actuel, comme on souffrait de ne pas se voir régulièrement, comme nous avions chacun une carrière à tenir, je croyais qu’il voulait en finir pour ne plus souffrir. Mais je me mentais moi-même. Il ne faisait que m’aimer, de plus en plus, ses sentiments étaient toujours aussi fort, tout comme les miens. Ma fierté de côté, enfin. J’en avais marre. Dire que si je l’avais suivi, nous aurions une vie heureuse, même si j’aurais été femme au foyer, cela m’aurait amplement suffit de faire sa cuisine et d’être là pour lui, pour être heureux et avoir un foyer, finalement. Une vraie famille, comme nous n’avions pas eu de famille quand on était gamins, en construire une tout les deux. Je savais qu’il l’envisageait. Quand nous nous retrouvâmes dans sa loge, il me prit les mains, me regardant droit dans les yeux. Je croyais qu’il me dirait que tout était fini, mais moi-même d’un côté, je croyais ça impossible. « Nana… épouse-moi. » Ce moment restera toujours dans ma mémoire. J’étais tellement surprise… les yeux écarquillé, je ne savais quoi lui répondre. Tout en m’allongeant sur le divan, sous lui, en me reprenant et lui adressant un petit sourire narquois, je lui répondis « Plutôt mourir que de me marier avec toi ». Gardant un air stoïque, il approcha sa main de ma nuque. « Si tu veux mourir, je te tuerais, moi-même. » - « Alors, tue-moi. » Lui avais-je répondu. Il avait défait juste le bout de mon collier à pointe, et le tira d’un coup vers lui pour me le serrer à la gorge. C’est ainsi, qu’à moitié morte, j’allai au septième ciel avec Ren.
La demande en mariage de Ren arrangeait bien les affaires de Takumi, deux mariages en un, en plus, ça évitera tout scandale à l’avenir si Ren et moi nous nous marions, ça prouverait que nous nous aimons vraiment. Comme bague de fiançailles, j’eu la même qu’Hachiko. Une bague qui était très très couteuse. Avec un beau diamant d’une forme ovale. Un diamant pur et brillant. Comme j’avais perdu Hachiko, qu’elle était sous l’emprise de Takumi, j’avais un plan pour qu’elle revienne dans mon jardin. Je voulais que Nobu la récupère, je savais qu’il l’aimait toujours. « J’ai un plan pour récupéré Hachiko. Je la veux dans mon jardin, Nobu, récupères-là. Je sais que tu l’aimes, alors ramènes la, je veux qu’elle me revienne.» dis-je, d’un air sérieux, regardant Nobu au plus profond des yeux. « Nana ! Je suis libre de faire ce qui me plaît non ? Tu ne te rends même pas compte à quel point tu es égoïste et possessive ! Tu veux juste m’utilisé pour qu’elle revienne vers toi parce que tu sais que je ne suis pas rancunier et que je l’aime toujours ! » Nobu avait raison sur toute la ligne. Après tout, j’avais laissé une certaine distance entre Hachi et moi, car j’avais peur de devenir trop possessive, de vouloir la garder à mes pieds, quitte à lui mettre un collier au cou, comme à Ren. C’était la première amie fille que j’avais et entre fille, ce n’était pas pareil. Takumi me l’avait volé.
Dernière édition par Nana Osaki le Sam 7 Nov 2009 - 18:08, édité 1 fois | |
| Sujet: Re: x [N]ana Øsaki x Sam 7 Nov 2009 - 17:47 La veille de mon anniversaire, Yasu m’a dit qu’une surprise m’attendait. Le soir, chez moi, j’avais hâte d’avoir cette surprise. Seulement, ce soir même, rien de spécial ne m’était arrivé… Le jour de mon anniversaire, alors que j’ignorais tout, Yasu était venu me voir. Il s’assied face à moi, me prit dans ses bras, mais je le sentais triste, même son regard à travers ses lunettes était étrangement souffrant. « Nana, je ne sais pas comment te dire ça, ni quel mots je devrais dire pour te sauver… il laissa un long blanc qui m’inquiéta. … Ren est mort. »
Comment pouvait-on imaginer que notre monde pourrait se détruire si facilement ? Dire que, j’appris que les intentions de Ren étaient de quitter Trapnest pour vivre avec moi. Les mots ne pouvaient pas me sauver. A ce moment, j’eus l’impression qu’une partie de moi-même n’existait plus. Je n’avais pas la force de parler, ni de me lever. J’étais resté là, à genoux, la bouche entrouverte et les yeux écarquiller. Ce jour-là, toute la tristesse que je disais oubliée remontait à la surface. J’avais pleuré toutes les larmes de mon corps. Comme il m’avait dit ça avant l’enterrement et qu’il savait que je serais dans un tel état, il me souleva du sol à la façon d’une mariée et me prit contre lui, tout en sortant d’ici. Lui aussi pleurait, mais sous ses lunettes, il était plus discret et était silencieux. Comment pouvais-je dire adieu à ma propre vie ?
Tous les autres étaient là, Nobu, si fragile, pleurait lui aussi tellement qu’il cachait son visage dans ses mains. Shin, avait la tête baissée vers le sol et seul la vue des larmes qui coulaient de ses joues contre le sol prouvait que lui aussi pleurait. Je voyais Hachiko, pleurante contre Takumi, qui lui, gardait toujours sa fierté, mais on voyait bien que s’était un jour de deuil. Après ce jour, je crois que ma vie a été complètement bouleversée. J’avais l’impression d’être sans repaire, comme si j’étais de nouveau, seule. J’avais reçus tout ce qui appartenait à Ren, absolument tout, même son compte bancaire avec tellement d’argent dessus, et qui, pourtant ne me préoccupait pas. Je m’en foutais de son fric. C’est moi qui avait tout gâché avec ma putain de fierté, ne l’ayant pas suivi juste par égoïsme, pour pouvoir réaliser mon rêve de chanter. J’ai vu tout ça trop tard. Vivre en tant que femme à la maison, avec les deux trois gosses qu’on aurait faits, finalement, m’aurait comblé de bonheur…
Le 4 mars 2002, La veille de mon anniversaire, Le temps c'est arrêter pour moi. [ Nana est dans les bras de Yasu qui la transporte à l'enterrement de Ren. ]
Dernière édition par Nana Osaki le Sam 7 Nov 2009 - 18:18, édité 1 fois | |
| Sujet: Re: x [N]ana Øsaki x Sam 7 Nov 2009 - 17:47 Vivienne Westwood La cocaïne Les sex Pistols Les Seven stars Le café avec du lait Les gâteaux aux fraises Ainsi que les fleurs de lotus, Sont les seules choses qu'il me reste et que j'aime. Le mot cocaïne à dût vous sauter aux yeux. C’est vrai que ce n’est pas une référence, mais maintenant, je comprends pourquoi Ren était accro. Quand vous avez un certain manque, la cocaïne vous prend cette place, vous encombre, ou plutôt vous change les idées, même si ce n’est pas de la meilleur façon. Je n’ai plus la force de me battre, mon esprit fragile se révèle être cassé depuis déjà des années. Les Seven stars, ce sont les clopes que Ren fumait. En vérité, j’ai commencé à en fumer quand je suis sorti avec lui, il y a longtemps. J’ai commencé à aimer les mêmes musiques que lui, à avoir les mêmes gouts que lui, aussi. Mes goûts alimentaires se basent sur la nourriture Japonaise et les gâteaux. La fleur de lotus que je porte sur le bras n’en ai pas directement une, c’est une fleur de Ren, que je porterais toute ma vie. Pour ce qui est de mon coté caractère, on dit de moi que je suis une pile électrique et que je ne possède pas de bouton « stop & » sur mon système – Si jamais vous en trouvez un, enlevez le. Dans le genre, je suis super nerveuse, ce pourquoi je fume, au lieu de prendre ces putains de médicaments à la con. Je fais de l’hyperventilation. Ce truc, c’est quand vous ressente un putain de sentiment qui vous trouble, et puis aussi sous un coup de choc, vous commencez à avoir du mal à respirer. C’est l’enfer. Vous pensez que vous allez mourir, la première fois. Heureusement, je peux atténuer ça avec un sac en carton, qui permet de régulariser le souffle. Je suis une personne simplissime à vivre, j’suis pas compliquer pour deux trois trucs. Du moment que ça marche, moi, je m’en tape. Je suis une personne toujours réaliste, ce qui fait que je ne suis pas du genre à plané sur un petit nuage inexistant. L’essentiel, c’est qu’avant, j’aimais me marrer, et ce, peu importe l’humour. Même l’humour noir ça m’fessait rire, le pire c’était l’humour de Shin sur les sujets de cul – il avait pleins de choses à raconter lui, qui se prostituait. L’alcool aussi c’est pas mal, on va dire que quand on était tous ensemble, j’étais la deuxième après Nobu à finir par terre, torchée. Shin et Ren tiennent très bien l’alcool, Yasu et Hachi ne buvaient que très peu. Du coup, on finissait comme deux saoulo, Nobu et moi. C’était l’bon temps. Je suis du genre relaxe, je me prends rarement la tête, sauf si le sujet en vaux le coup et qu’une personne le dénigre. Je n’hésite pas à en venir aux poings, même si la violence ne règle pas les choses, je suis du genre spontané, et si je m’énerve, je n’contrôle pas forcément mes actions. Je ne sais pas combien d’années il c’est écoulé, mais je crois qu’une éternité est passée. Le monde à changer, mais je ne me suis pas beaucoup intéresser à ce dernier. Je suis éternellement déprimé, depuis qu’il n’est plus là. Après sa mort, je suis parti en Angleterre, pour chanter mes tristes chansons dans des bars, sans aucun but dans ma vie, maintenant. Je garde toujours ma bague de fiançailles, se gros diamant étincelant au doigt. C’est comme s’il n’était jamais partit et qu’il me hantait sans cesse. Je crois que mon inconscient ne se faisait pas à l’idée qu’il ne soit plus de ce monde. Autrefois, on disait que mon sourire illuminait tout une pièce, parce que bien que je sois distante et peu bavarde à mon sujet, j’avais le sens de la solidarité et j’avais de l’amour à partager. Maintenant, je n’ai plus rien à moi. Sauf ma voix, qui me permet de continuer à vivre, et la photo de Ren, dans son appartement, juste sur la table de chevet à côté de là où je dors. Il ne me reste plus rien de valeur. Je ne voulais pas de son fric et de ses guitares de valeurs, mais j’ai récupéré ses vêtements et son manteau de cuir, trop grand pour moi, mais que je porte. [Nana, pendant ses années en Angleterre] Il m’enveloppe, avec la douce odeur des Black Stones qu’il fumait avec Yasu, souvent. Une odeur sucrée, exotique, qui me rappelait le temps où nous sortions à peine du collège et du lycée. J’avais assez pour vivre plus de toute une vie, avec tout le pognon qu’il avait sur son compte. Il y en avait pour au moins 300 000 000 yens. Vue que j’avais déjà trois maisons, toutes les guitares et basse de Ren et tout ce dont j’avais besoin, je ne touchais pas à son argent. Je gagnais mon fric par ma voix, en chantant dans des bars mes chansons mélancoliques. Les gens qui m’écoutaient, disaient que je chantais ces paroles comme si je les avais vécus… et moi je ne disais rien, je leur souriais tristement, parce que ce n’était que la vérité. Après que Ren soit mort, j’ai donc été en Angleterre, laissant mes cheveux pousser, je me les étais teint en blond, pour qu’on ne me reconnaisse pas. Mais, au bout de plusieurs années, un détail m’avait échappé : mon tatouage. Les journalistes de plusieurs entreprises me cherchaient, partout dans le monde. Une année, alors que je chantais, un d’eux m’avait reconnu, par mon unique tatouage, ma voix et ma grosse bague qu’il n’y avait pas en cinquante exemplaires. Je n’avais plus de raison de me cacher… Alors, je repris mon ancienne coupe de cheveux, noir corbeau, pour satisfaire leur prochain article. J’allais me faire un plaisir de les jeter. Je ne sais combien de temps ma vie à été comme cela, sans but. Je passais mes journées à chanter, jusqu’à l’épuisement, juste pour ne pas voir les jours passer. J’ai perdu la notion du temps. Même si ça ne parait pas, je suis aussi très fragile, mais je préfère ne pas montrer le côté nostalgique de ma personne, parce que je sais qu’il y a des personnes capables de vous faire souffrir, de vous manipuler, avec ce genre de choses. De toute façon, je n’ai plus rien… Moi qui n’avais ni famille, ni amis, auparavant, je me retrouve une fois de plus seule, ayant tout perdu d’un coup. Après tout, j’étais trop choquée pour rester là-bas, mais je pensais quand même à ceux m’ayant entouré. Mais j’avais trop mal pour revenir, faire comme si rien n’était… Niveau fringues, je m’habille en punk commercial, où se qui s’y apparente. Ne venez pas me faire la moral sur ce qu’est un punk, puis ce que de toute façon, la société ne comprendra jamais que le punk n’a pas de look particulier et qu’il est anarchiste ( et par ailleurs, anarchiste c’est beaucoup plus construit qu’un gros bordel). Ce que je mets le plus souvent, ce sont des jupes courtes, en dentelle où a motif écossais qui s’accordent avec des bas en résille ou opaque. Mes chaussures varient, mais j’aime les chaussures gothique lolita avec les grand talons et ouverte, ou alors mes bottes avec une petite semelle démonia en dessous. J’aime beaucoup Vivienne Westwood, d’ailleurs j’ai une bague que Misato m’avait offerte à mon majeur de la main droite. Bon, je crois que je vous ai assez détaillé ma vie comme ça, pour le peu que vous en avez à faire…
Dernière édition par Nana Osaki le Lun 9 Nov 2009 - 12:02, édité 2 fois | |
| Sujet: Re: x [N]ana Øsaki x Sam 7 Nov 2009 - 17:48 " Depuis quelques temps déjà, lors ce que je m'approche de l'eau, elle devient glace à mon toucher. Je croyais que s'était les effets des pétards, de l'héroïne ou même de la cocaïne que je prenais. Mais un jour, j'ai congelé un verre qui a éclaté, parce que je me sentais mal... J'ai des ailes d'ange dans le dos. Je croyais que ça aussi, s'était une hallucination. Un soir, alors que j'avais mal dosé le contenu de ma seringue et que je la jetai contre un mur, m'allongeant sur mon lit, je crus voir un flash. Le visage de Ren me revenait en tête, son sourire si agréable était flou. Pourtant, je crois que même si j'étais défoncé, les larmes qui avaient été versées n'étaient pas une mise en scène stupide. Le matin, le lit où je dormais avec lui était entouré de plumes blanches... et j'ai découvert deux ailes dans mon dos. J'ai même essayé de les retirées, mais elles sont ancrées dans ma chaire... je crois que c'est un cadeau de Ren... je le pense sincèrement. Je ne sais même pas pourquoi je vie encore. Je ne sais pas pourquoi il m'a offert des ailes. Est-ce qu'il veut que je puisse m'envoler, au lieu de m'enfoncer six pieds sous terre ? J'ai l'immense privilège de pouvoir créer la glace. Mais mon corps est tellement froid que, j'ai l'impression d'être une personne avec le coeur frigorifié dans sa poitrine, une âme si froide et souffrante qu'elle ne pouvait être purifiée...Je crois que j'ai été bénie. Mon corps est rester conservé, il n'a pas changer, ni prit un ride, depuis se fameux 4 mars 2002... Je peux vivre autant de temps que je le souhaite... mis à part si on venait à me crucifier.Le temps n'existe plus, pour une immortelle " Nom: OsakiPrénom: NanaÂge: ?Race: AngeAllignement: NeutreAvez-vous lu les r...: Nan j'ai rien lu j'suis une méchante fille x)- Spoiler:
Quebec ! ( J'ai regardé sur les autres prez' O yeah xD
Dernière édition par Nana Osaki le Lun 9 Nov 2009 - 19:00, édité 1 fois | | Age : 30 Date d'inscription : 09/06/2009 Nombre de messages : 4543 Bon ou mauvais ? : Neutre Zénies : 4590 Rang : - TechniquesTechniques illimitées : Spirit Cannon / Téléportation / Souls Healer SoulsTechniques 3/combat : Slayers Souls / Souls Healer Souls IITechniques 1/combat : Souls Stardust Punishment
| Sujet: Re: x [N]ana Øsaki x Sam 7 Nov 2009 - 18:09 Welcome | |
| Sujet: Re: x [N]ana Øsaki x Sam 7 Nov 2009 - 18:19 Merci, même si je n'suis pas nouvelle. [ Lucy-chan 8D ] | | Age : 30 Date d'inscription : 09/06/2009 Nombre de messages : 4543 Bon ou mauvais ? : Neutre Zénies : 4590 Rang : - TechniquesTechniques illimitées : Spirit Cannon / Téléportation / Souls Healer SoulsTechniques 3/combat : Slayers Souls / Souls Healer Souls IITechniques 1/combat : Souls Stardust Punishment
| Sujet: Re: x [N]ana Øsaki x Sam 7 Nov 2009 - 18:24 Je m'en suis un peut douté : ta façon d'écrire ... Pit je me suis dit : *Merde sa va faire concurence à Lucy ...* JERRY> | | Age : 32 Date d'inscription : 20/08/2007 Nombre de messages : 1960 Bon ou mauvais ? : bon mais ça varie selon les émotions Zénies : 1850 Rang : - TechniquesTechniques illimitées : déplacement instantané, manipulation énergétique, éclair noirTechniques 3/combat : Duria blaster ,orbe colère Techniques 1/combat :
| Sujet: Re: x [N]ana Øsaki x Sam 7 Nov 2009 - 22:04 Rebienvenue,superbe présentation lucy,perso inventé ou non? | |
| Sujet: Re: x [N]ana Øsaki x Sam 7 Nov 2009 - 22:14 Mercii bien Sïlzchou ! Non, c'est Nana Osaki du manga Nana. Un manga à ne pas lire si vous voulez pas finir déprimer xD | | Age : 31 Date d'inscription : 27/05/2007 Nombre de messages : 8936 Bon ou mauvais ? : Mauvais ! Tu vas goûter ma puissance suprême ! Zénies : 1435 (+840 pour alliance) Rang : Z TechniquesTechniques illimitées : Canon Garric // Déplacement instantané // Atomic BlustTechniques 3/combat : Final Flash // Big Bang AttackTechniques 1/combat : Rage Kanasiène (Laser de Kanasa)
| Sujet: Re: x [N]ana Øsaki x Sam 7 Nov 2009 - 22:42 Mais là je ne vois même pas ta fiche, c'est ça le problème, où est la fiche type XD ?
Transformation : SSJ1,SSJ2,SSJ3,SSJ Blue Energie dans l'épée / Vol Objets : Hyper Sword, 1 sabre, 1 carte passe, 2 senzus, 1 Carte passe espace Roi de Kanasa Champion du Tournoi de Dösatz N°2 Le combat n'est pas fini tant qu'il me reste un souffle de vie ... | | Age : 32 Date d'inscription : 04/08/2008 Nombre de messages : 39368 Bon ou mauvais ? : Mystérieusement neutre Zénies : 3515 Rang : Z TechniquesTechniques illimitées : Téléportation// Kienzan // DodompaTechniques 3/combat : Final Flash // Griffes du TigreTechniques 1/combat : Supernova
| Sujet: Re: x [N]ana Øsaki x Dim 8 Nov 2009 - 12:42 Re-bienvenu lulu !! ^^ Je savais pas que t'aimais bien Nana.
- Spoiler:
Fiche de Motta Général des armées sayennes.
- Past:
Transformations: - Gorille Géant - Super Sayen 1 - Super Sayen 2 - Super Sayen 3
Objets: Armure sayen, détecteur, 2 senzus, émetteur Alliance Ganshou, cape rouge. | |
| Sujet: Re: x [N]ana Øsaki x Dim 8 Nov 2009 - 13:14 Elle est DTC MV-chéwi ! :3 ( Je l'aime beaucoup ce modo tient xD )
Motto -> Ohwi j'adore se manga, même si à lire il fait déprimey xD | | Age : 239 Date d'inscription : 19/04/2008 Nombre de messages : 2083 Bon ou mauvais ? : Mauvais Zénies : 3680 Rang : Z TechniquesTechniques illimitées : FirePunch - Illusion - Vitesse - Malleable Beam - ForceTechniques 3/combat : Fire Bomber - Maboroshi Techniques 1/combat : Assaku Kuuki
| Sujet: Re: x [N]ana Øsaki x Dim 8 Nov 2009 - 13:16 N'empêche que pour le moment tu as fait que l'histoire ^^' | |
| Sujet: Re: x [N]ana Øsaki x | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
|
|