[ Modifications de personnage ] ~ Heaven sent you

C a r t e . D ' i d e n t i t é ..

▬ Âge: Des siècles.
▬ Date de Naissance, Lieu: Treize Janvier 1224
▬ Origine(s): Allemande, Russe.
▬ Orientation Sexuelle: Aucune importance spéficique, si le sujet est assez intéréssant pour l'amadouer.
▬ Spécialité(s): Combat rapproché, avec ou sans armes.
▬ Capacité(s): Régération du corps indéfinie; à part si le sujet est en manque de nourriture, donc faible.

Les choses à savoir ♣ ♣ Adroite ♣ Séductrice ♣ Généreuse ♣ Stoïque ♣ Froide ♣ Serviable ♣ Perfectionniste

Georgia]Les choses à ne PAS savoir.[/size] ♣ ♣ Manipulatrice ♣ Vicieuse ♣ Libertine ♣ Rancunière ♣ Possessive ♣ Sadique ♣ Hypersensible

Histoire ~ Souvenirs.

[ Cette partie sera racontée à la première personne parfois, mais ce personnage ne sera pas Claire. Sinon, le reste sera à la troisième personne. ]

« Cet enfant est maudit. Il est marqué du sceau de Satan. »

" Tout commença en 1200 après Jésus Christ. Dans cette période, on se reconnaissait dans le Moyen-äge, la bourgeoisie ; la noblesse… et le reste. Et les croyances. Les sorcières surtout, et puis les mythes. Il faut dire que beaucoup de monde en rajoutait : ils racontaient des histoires comme quoi ils auraient déjà vu ou entendu des phénomènes paranormaux. Tout cela n’était qu’une question de temps pour que les gens paniquent à la vue de leurs propres ombres. De tels actes de la part de ces raconteurs d’histoires qualifié « de tout à fait dingue » et relevant de la pure folie, finirent par être punis, et on les exécutait un par un, dans la place publique.
Nombreuses familles possédaient de nombreux enfants, afin qu’ils soient utile et aident leurs parents aux tâches quotidiennes de la vie. Mais on avait entendu dure que dans la région provençale, des familles entières auraient été décimé. On ne savait pas par quoi exactement ; mais on soupçonnait que cela soit l’acte d’un animal encore inconnu des humains à ce jour. Les chevaliers qui s’étaient rendu là-bas, en pleine journée, avaient brûlé les corps. Mais l’un des hommes qui les accompagnaient avaient décidé d’emporter le corps d’un jeune garçon, mort de la même façon que le reste de sa famille : vider de son sang. Toutes les victimes étaient mortes les yeux grands ouverts, comme sous l’effet d’une mort subite.

Lorsque les chevaliers ramenèrent les corps jusqu’à Paris et les exposèrent face à la cours ; ceux-ci furent traverser d’un éclair de choc en remarquant que le corps n’était pas déchiqueter, pas souillé ni abîmer de quelconque manière. Ce qui avait provoqué la mort était seulement deux trous se situant la plupart du temps dans la nuque. Les questions se soulevèrent alors : comment pouvait-on vider un corps entier de son sang seulement par ses deux orifices ? Quelle bête pourrait faire preuve d’autant de délicatesse ? On aurait pu remettre la faute sur les loups. Mais ils auraient beaucoup moins raffiné que ça, ils auraient réduit leurs proies en charpie. On ne pouvait pas s’imaginer que cela provenait d’autre chose que d’un animal. Et on avait bien pensé que si jamais le peuple était au courant que la mort avait été de mourir en étant privé de sang, quelqu’un inventerait encore un nouveau monstre, après les sorcières, pour décrire ce prédateur, et flanquer la trouille aux autres. Il était hors de question que la cour soit encore confrontée aux problèmes de croyance stupide en des créatures de Satan. Cela était de toute façon impossible.

Douze janvier 1224 ; Paris.

« - C’est une fille. Comment allez-vous l’appeler, madame ?
-Claire… Elle s’appelle Claire. »

La femme prit le nourrisson dans ses bras, un grand sourire tracé sur les lèvres, et les larmes aux yeux. Ils avaient bien essayé d’avoir des enfants à mainte reprise… on la croyait stérile. Et au moment où ils s’y étaient attendus le moins, elle était tombée enceinte. Le miracle s’était produit il y’a cinq mois avant la naissance du bébé : la femme s’était rendue compte que les symptômes qu’elle présentait était ceux d’une grossesse. Cela faisait si longtemps qu’elle attendait ce moment : avoir un enfant.
Son mari n’était qu’autre que le Chef de Bataille de la cour, celui qui présentait et appliquait ses plans de guerre. Il était réputé pour être un fourbe ennemi : il savait toujours faire dans l’original pour démonter sans problème la défense des opposants. Depuis qu’il était là, la France ne possédait plus d’ennemis qui posaient problème. Le roi l’en félicitait.

Lorsqu’il avait apprit la nouvelle ; il avait accourut au chevet de sa femme et avait serré le bambin contre lui. C’était pour lui, sa première grande réussite, sa première véritable fierté. Il pensait qu’ils allaient enfin pouvoir construite une véritable vie, en présence de la nouvelle arrivante ; Claire. La vraie vie allait commencer pour eux, celle dont ils avaient toujours rêvé. On pouvait dire que pour l’époque, c’étaient de vrais parents : ils avaient fait cet enfant par désir, non par principe, et ils allaient donner l’amour parental à cette petite.
Fièrement, ils avaient parlé à tous leurs « amis » présent dans la cour de cette merveilleuse nouvelle ; et plaçaient déjà de grands espoirs en leur fille. L’un disait qu’elle pourrait devenir une grande couturière, l’autre un maitre de cuisine.
Ils n’auraient ni l’un ni l’autre, tort, dans le fond.

16 Mars 1226 ; Provence.

La petite Claire avait maintenant déjà trois ans. Elle assimilait très vite les choses : c’était une petite curieuse, un petit bout de fille timide mais qui aimait agrandir son savoir. C’était essentiellement sa mère qui l’avait élevé pendant ces trois années, car son père partait bien souvent sur son terrain de pratique : la guerre. Quant à sa femme, elle avait l’âme d’une jeune fille qui respectait les principes à la lettre. Elle avait de l’amour à partagé, tout comme son mari. Mais cela ne dura pas.
Cette même nuit, un feu immense s’élevait dans le ciel.

« - Ses mains glacées… je l’ai vu, je l’ai vu… je les aient vus. Ce sont des monstres ! »

Les bêtes avaient attaqués, une fois de plus. Ils n’agissaient plus seulement en Provence, ils s’attaquaient aussi aux diligences des nobles des autres comtés. La petite ville tranquille provençale avait cette fois prit bien plus de dommage que les autres fois : les gens avaient entendus les cris affolés des voisins. Et étaient sortit de chez eux en criant, en hurlant, et tous se mirent à sortir, à lancer des torches enflammer aux endroits où les cris s’amplifiaient, puis s’éteignaient dans un souffle. Tout le monde se dépêchait de partir en courant vers la ville la plus proche, pour prévenir les autres de l’arrivée de ces bêtes sauvages. Tous le monde migrait ailleurs, à dos de leur humble monture : l’âne. Ou à pieds, mais en ne s’arrêtant pas de courir pour sauver leurs peaux.
Ils ne s’étaient pas soucier des autres sur le moment. Ils ne se souciaient pas d’avoir laissé derrière eux un enfant, seul, en dehors de la maison où il avait vécu avec ses parents. L’enfant était perturbé. Elle pleurait, seule, dans les décombres de la maison de vacances de ses parents. De ce qu’il restait de ses parents…

« - Cette petite lui ressemble tellement, tellement à ma petite… Ne pleure pas, ne pleure plus. »

L’homme prit la petite fille dans ses bras. Son grand manteau couvrait sa silhouette entière, mais on remarquait ses cheveux dressé en arrière, blancs. Un autre homme était présent sur les lieux, portant le même manteau, mais visiblement plus grand que le premier. Ses cheveux étaient longs et attaché, il était brun. Cet homme restait silencieux, alors que l’autre semblait recenser des souvenirs profonds, en berçant la petite fille dans ses bras. Il était impossible pour cet homme de saigné celle qu’il tenait contre lui… cela lui était impossible… tellement impossible…

Lorsque l’homme aux cheveux blancs posa son doigt sur le haut du nombril de la petite fille, une trace noire se gravait sur la peau de l’enfant, à chacun des mouvements qu’il pratiquait avec ses doigts. Il lui avait fait dont d’un insigne. Par la suite, il mordit l’enfant. Mais sans la bestialité dont il avait fait preuve lorsqu’il avait tué les autres… Bien sûr que non, eux n’avaient pas d’importance…
On déposa le bambin dans une ville campagnarde, plutôt pauvre. En espérant que quelqu’un veuille bien d’elle. Puisque chacun maudissait l’enfant en voyant la marque sur son ventre… la marque du Diable.

On eut vent d’une autre bête qui se propageait dans la population : des démons, caché dans l’enveloppe corporelle de leur victime, cherchant à traquer leur prochaine proie en se faisant passer pour une personne normale. Ils se nourrissaient de cette manière, changeant de corps à chaque victime. Les villageois paniquaient, et employait des guerrières spécialement entrainés à cette effet. Bien plus évolué que n’importe quel chevalier, bien plus fortes et compétentes. C’était grâce à elles que les démons étaient découverts, puis éliminer. Bien entendu, les dirigeants de chaque village y mettaient le prix.

Tout cela avait débuté à cause des expériences de l’Organisation, un organisme inconnu de tous, qui opère pour développer les hommes et les rendre plus fort en leur implantant des démons. Comment leur implanter des démons ? Ils avaient découvert l’existence, dans des caveaux souterrains, d’humain déformé, s’apparentant à un symbole démoniaque. On ne savait pas grand-chose de plus, mis à part qu’ils ont enfouis les gènes des démons dans des corps d’hommes en guise de premier essaie, et que ces hommes se sont tous transformer en démon. Ce sont eux maintenant qui se nourrissent en tuant les villageois. Dès lors, ils ont testés sur des sujets féminins, et ceux-ci ont réussit à contenir le démon ; mais on estime que à trop long terme, les sujets féminins commencent à s’affaiblir et à laisser le démon prendre le dessus sur l’humain.

Ce sont elles… les guerrières aux yeux d’argents.


Claire avait été adoptée par un homme du village. Mais pas n’importe qui : cet homme l’éleva jusqu’à ses dix ans en tant qu’esclave. Cet homme était pervers et malsain, qui faisait du trafic d’enfants. Cela était quelque chose qui rapportait bien plus que de s’approprier un métier. Pendant sept sans de sa vie, elle n’avait reçus aucune éducation, a part celle de l’autorité de l’homme qui l’obligeait à se plier à tous ses désirs. La petite fille n’avait jamais vu le jour, elle était toujours enfermée dans la maison noire de tous ses cauchemars. Elle avait apprit à fermé les yeux et à ne rien dire. La plupart du temps, il l’enfermait dans une pièce qui servait de cave, quand il recevait du monde. Dans cette pièce, il y avait d’autres enfants, entassés, dont on ne s’occupait pas. On pouvait peut-être la classé comme privilégié, car à la différence des enfants qui arrivaient puis étaient vendus, elle était resté chez le même homme. Tous les jours, elle allait une fois en haut, pour y faire les tâches ménagères, et servir le maitre des lieux, ou éventuellement les invités. Elle n’avait aucun droit ici, seulement le droit du silence. L’homme l’avait souillé plus d’une fois… une enfant de dix ans qui n’avait jamais eut loisir de se socialiser. Jamais eut le loisir de s’amuser, de recevoir la tendresse que ses parents d’origines lui octroyaient quand elle n’était encore qu’un bambin… Et dire que cela était une vie pour beaucoup d’autres, à cette époque. Elle enviait les enfants qui étaient nés dans une famille qui ne les avaient pas abandonnés… car l’homme qui l’avait accueillit lui disait toujours :

« - Si tu n’es pas dans une famille comme les autres, c’est parce que tu es l’engeance du Démon. Il suffit de voir la marque que tu portes sur ton ventre. Les autres te détestent… tu n’as que moi. Tu devrais me remercier. »

Elle avait vécu le plus clair de son enfance en étant séquestrer. On avait abusé d’elle dans tous les sens du terme, et tout le monde faisait mine de passer à travers, même s’ils savaient… ils savaient bien que cet homme était loin d’être saint. Mais personne ne voulait avoir de problème, surtout en cette période de terreur, où les démons règnent. La seule préoccupation des habitants était leur propre survie, bien évidemment. Il y avait tellement de problème à gérer déjà par soi-même, que personne n’osait voir plus loin que le bout de son nez. La famine, la pauvreté, cela ne concernait que les villageois. Les nobles, eux, étaient déjà plus confortablement installé, et la noblesse se tournait les pouces. C’était à ceux qui passaient leur temps à se prêter aux plaisirs que l’on remettait toutes les richesses, alors que ceux qui travaillent pour gagner leur pain n’avait rien d’autre.

On pouvait définir l’enfant comme quelqu’un de calme, et de très introvertie. Mais elle obéissait au doigt et à l’œil, sans jamais se demander pourquoi. Sans jamais e dire que sa vie aurait dû être différente, que la vie n’était pas comme ça. Elle ne disait jamais rien, même quand l’homme recevait des gens chez lui. Elle ne s’était jamais plains d’être l’esclave. Elle n’avait jamais rien dit. Elle ne parlait jamais… on la croyait muette. L’homme n’en avait d’ailleurs rien à faire, du moment qu’il tirait d’elle ce qu’il avait envie.
Un jour où le village entier devait se réunir – car c’était l’arrivé d’une guerrière aux yeux d’argents, on les appelait claymore - et donc, tous les membres du village étaient priés de se rassembler afin de procéder à l’élimination du Démon, appelé Yoma à l’époque. L’homme laissa pour la première fois Claire à l’étage, et sortit sans rien dire. Les consignes étaient pourtant simple et l’une d’entre-elle était bien de ne jamais sortir de l’enceinte de la maison. Pourtant, la petite fille le suivie, discrètement. C’était la première fois qu’elle voyait comment était l’extérieure du village, la première fois qu’elle voyait le soleil et les autres. Sa peau d’une pâleur de mort la brûlait face au soleil qui frappait sur son épiderme, pour la première fois en sept années. Elle dû alors s’habiller d’un vieux manteau à capuchon.
Elle arriva au milieu de la foule, réunit autour d’une femme. Quelqu’un l’attrapa par les épaules, c’était l’homme, et son mécontentement se lisait dans ses yeux. Mais il ne dit rien, et garda ses mains sur les épaules de la jeune fille.

« - Oh tiens, vous avez une fille .. ?
- J’ai recueillit cette pauvre petite ce matin, elle était seule et paniquée… »

C’était sa seule excuse pour justifier le fait qu’il gardait cette gamine depuis longtemps.

La guerrière qui effrayait et attirait la curiosité de la foule était une femme beaucoup plus grande que la moyenne, avec environ 1m77 de grandeur. Ses cheveux étaient longs, très longs. Ils bordaient ses hanches. Ils étaient d’un blond pur, et bouclés. Mais son visage… son vissage stoïque, mettait une barrière à la beauté qui l’habitait. En un instant, ses yeux changèrent de couleurs : ils virèrent au doré.
Du sang en grande quantité, inonda le manteau de Claire. Tous le monde mit de longues secondes avant de se rendre compte que l’homme qui tenait les épaules de la petite fille, venait de se faire trancher en deux par l’épée de la combattante. Le sang des Yoma était violet, donc impure.

On ne sut pas ce qui se passa dans la tête de la jeune fille à ce moment, mais elle enlaça la guerrière, les larmes aux yeux. Mais il semblait que bien trop de souffrance après tant d’années l’empêchait de relâcher complètement ses larmes.
La claymore poussa si violemment la petite fille qu’elle la fit lourdement tombé au sol. Son air toujours aussi impassible sur le visage, elle n’adressa aucun regard à la petite.

« - L’argent sera récupéré par quelqu’un d’autre que moi. Il arrivera d’ici quatre jours. »

A ses mots, elle rangea son énorme épée dans son étui, derrière son dos, et s’en alla sans plus rien dire. Les villageois restèrent bouche bé, regardant la petite fille avec pitié et compassion. Mais la petite n’en avait que faire, elle savait qu’ils savaient. Et qu’ils n’avaient rien fait. C’était cette femme qui l’avait libérer du mal dont elle avait été prisonnière pendant si longtemps… elle lui devait tout, absolument tout. Claire n’oublierait jamais cette personne qui l’avait sauvé. "

" La belle jeune femme aux long cheveux blonds s'étaient prit de sympathie pour la petite Claire. La gamine l'avait suivi pendant des jours et des heures, alors que la claymore ne lui avait accordé aucun regard. Jusqu'à ce que l'enfant tombe dépuisement et que la dame, charmée par le courage de celle-ci, décide de la transporter jusqu'à une auberge.

C'était ainsi que tout avait commencé.

Elles s'étaient liés d'un amour très fort, ni comme une mère et une fille, ni comme deux soeurs, c'était au delà de toutes ces banalités. Claire et Térésa étaient inséparable, elles étaient inévitablement liées d'une certaine manière, indescriptiblement. Comme l'indiquait la statue sacré des deux déesses: Claire et Térésa, jumelle dans la mort et l'amour. Les plus beaux moments de son enfance étaient en train de s'écouler. Notre cher claymore, prise d'afféction pour la petite, avait décider de déserter l'association. Elle avait enfin trouvé une raison de vivre.

- Je vais vivre pour toi, et avec toi, Claire. Quoi qu'il arrive, je serais toujours là pour toi. Et, souviens-toi, dit-elle en prennant la petite par les épaules, Ne laisse jamais les ténèbres t'envahir. "

" Térésa s'était toujours battue en utilisant que le premier stade de transformation. Oui, les démons qu'on implantaient aux claymores engendraient plusieurs stades de transformations. Trois. Le premier ne fait qu'accroître les capacités des sens, ainsi que les caractéristiques de base comme la force et l'agilité. Le deuxième stade est une pré transformation finale. Les membres principaux commencent à changer, ils prennent la forme et les couleurs du démon. Encore une fois, les capacités et les caractéritiques sont fort améliorés. Le dernier stade, c'est se transformer en se démon qui est en vous. Mais à ce stade, il est dur de le contrôler... c'est même presque impossible, puisqu'il prend plus de quatre-vingt pourcent du contrôle globale de votre corps. C'est à partir de là que les caractéristiques et les capacités sont accrues.

Elle avait été condamné à mort. Térésa avait tué tous ses opposants d'un mouvement de bras. Elle n'éprouvait aucune difficulté à combattre, c'était elle la numéro 1. Tellement puissante qu'elle combattait des Yoma en n'activant que le premier stade de transformation. Personne ne l'avait jamais bléssé.

Térésa et Claire, après cette éxécution qui n'avait finallement pas eut lieu, avaient continuer leur chemin, main dans la main.

Jusqu'au jour où la nouvelle numéro 2 fit son apparition.

Priscilla, adolescente au caractère infantile.

Cette chère Priscilla était encore une enfant, à l'âge de la majorité. Le genre de personne insouciante. Elle avait été recruté sous peu, et avait été directement envoyée pour tuer Térésa, avec l'aide de ses compagnes, les numéro 3, 4 et 5. "

" Personne n'avait jamais osé se transformer aussi vite. Priscilla, jeune et bêtement, avait poussé sa transformation en Yoma bien plus vite que prévu. Ainsi, elle réussi à reprendre le dessus sur Térésa en lui tranchant les bras, puis la tête.

Ayant vaincu son ennemi, et sous emprise du démon, elle avait quitté les lieux en adressant seulement un regard à la petite fille aux longs cheveux bruns. La petite Claire, désamparée, qui s'aisit la tête de son autre elle-même en pleurant toutes les larmes de son petit corps, fragile.

S'en suivit qu'elle trouva l'un des fondateurs de l'Organisation. Ce grand homme au crâne chauve, habillé d'un smoking noir et d'un haut de forme de la même couleur. Des lunettes assorties et un sourire qui en disait long sur les lèvres.

- Implanté sa chair et son démon en moi. Térésa est tout ce que j'ai... Je vous en pris. "

" Des années, et des années de souffrance. Quinze ans d'entraînement intensif. Depuis que Claire était entré dans l'Organisation, elle avait apprit à devenir une femme " sans visage ". Stoïque, froide et insensible. Comme ces soit disant homme qui sont des combattants sans sentiments. L'Organisation transformait toutes les jeunes femmes qu'ils recrutaient en des femmes parfaite. Aussi bien physiquement - toutes blondes, la peau blanchâtre, de bonne formes dans un corps saint - que mentalement - en les rendant apte à s'adapter à n'importe quelle personallitée. Leur but ? Anéantir les Yoma, bien entendu. En formant des sortes de femmes robot, puisqu'on se sert d'elles comme des machine à tuer.

Quant à Claire, elle avait éxécuter des missions pendant des années. Elle avait rencontré un jeune garçon, Raki, qui lui avait beaucoup rappelé ce qu'elle avait été, avant. Tout deux était lié comme Térésa et Claire l'avait été avant. Ainsi, elle continua son chemin dans l'Organisation, avec pour seul but d'exterminer Priscilla, celle qui lui avait tout prit. "

" La haine se propagea en elle comme une mer salée et amer.

- Claire ! hurla un jeune garçon

- C'est trop tard. Elle n'avait pas d'autre choix que de l'éliminer. Rien ni personne, même pas cet homme qui arrivait à lui faire ressentir quelque chose ne pourra se mettre en travers de son chemin.

Une jeune femme aux cheveux blonds se tenait devant la scène, tenant fermement Raki par l'épaule.

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Claire avait rencontré, il y a de cela sept ans, un jeune homme brun, grand, aux yeux aussi gris et profond que les siens dans une ville sans histoire. Ils s'étaient croisés de nombreuses fois, et s'étaient lié d'un étrange sentiment, avec le temps. Tous deux ne se voyait que peu de fois, mais ces fois-là étaient d'une intensité enviable. Malheureusement, lorsque Claire partit à la recherche de Priscilla, il s'avéra que ce cher Rigardo fut le bras droit d'Isley.

Isley est l'un des trois Abyssal. Un Abyssal est un ( seulement dans le cas d'Isley ) ou une ancien/ne claymore ayant déserté l'Organisation, mais en maitrisant parfaitement les transformations de leur démon. Ce sont des puissances légendaires. On y compte Isley, Abyssal du Nord; Riful de l'Est et Luciela du Sud. En sachant que Claire, avec l'aide de Galatea, avait réussit à éliminer Luciela.

- - -

C'était le cadavre d'un être pour qui Claire avait eut un semblant d'amour, de compassion, un être qui lui était cher, résidait devant elle.

Elle l'avait tué.

- La haine... la haine te transformera en monstre, Claire... tu le sais.

Ce fut ses dernières paroles "


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