[En cour] C'est arrivé près de chez vous...

C'est arrivé près de chez vous...


Partit I : Lester un corps

"Sa tourne... Hey ACTION"

Dit alors un homme avec un blouson en cuire, des lunettes noires et des cheveux blanc tirés en arrière à toute une équipe de tournage; c'était le réalisateur. Le caméra man avait des cheveux en bataille, pas coiffés et il était un peut dégarnis au niveau des tempes; il était plutôt grand et il avait l'aire d'être méchant; il portait un blouson en cuire lui aussi et une casquette de facteur, mais allez savoir pourquoi. L'ingénieur du son, lui, tenais le micro, il avait de long cheveux bleu; deux yeux de couleurs différentes, il n'était pas très commun ce type; mais enfin tout est possible; il avait sur lui une veste à capuche et une sacoche en bandoulière, il était de taille normal. Et enfin, le dernier le plus beau : l'acteur ... heu... Enfin, l'acteur quoi, il était asses petit, il portait des lunettes, une seul mèche de cheveux qui faisait comme une flamme sur son crâne. Il avait le teint orangé, il n'était pas très commun non plus ce zigoto et il portait un costume à carreaux gris avec une cravate marron et il avait toujours un livre sur lui; un livre asses bizarre d'ailleurs. La scène ce passait sur le bord d'un canal, il y avait un gros paquet aux pieds de l'acteur.

"Alors, une petite règle dans le métier ! Je vais vous apprendre à lester un corps ! Petites chose à connaitre tout d'abord :un corps humain (ou extraterrestre) ce remplie d'aire lorsqu'il meurt. sauf si l'extraterrestre explose ou si il deviens tout dure ou si il fond ou si il...) Enfin bref, tout cela pour dire que lorsqu'il faut s'en débarrasser, le meilleurs moyen c'est de le manger ! Mais, si vous ne voulez pas devenir un cannibale (et il faut dire que certains extraterrestres son imbouffable, rien qu'a voir leur gueule on a envie de gerber...!), alors l'autre méthode avant de tout bruler, c'est de cacher les corps dans un cour d'eau ! Mais, il faut savoir la chose que je vous est dit avant... Cette chose est ?... Hidan !"


Il pointa du doigt le réalisateur en baissant la tête, il était tout à fait sérieux, ont aurait dit un professeur interrogeant un élève; il fit cela pour voir si quelqu'un le suivait. Le réalisateur du reportage répondit :


"Heu...! J'EN SAIS RIEN BORDEL DE MERDE !"


"Hidan, les gens qui n'écoute pas ont le dons de m'énerver !! C'EST EXCESSIVEMENT ÉNERVANT !!! Le corps humain ce R-E-M-P-L-I-E d'aire lors du décès ! Donc, il faut savoir lester un corps, et ce n'est pas si simple ! Il faut savoir aussi qu'un corps adulte et qu'un corps d'enfant sa ne ce leste pas pareil ! Prenons l'enfant : corps poreux, os pas tout à fait formés, quatre fois son poids ! L'adulte deux fois son poids ! Par contre les vieux, os poreux également et plus chétifs, quatre fois également."


Caméra man : "Et les nains ?"


"Les nains ? Facile, ils ont déjà les os lourds, une fois le poids ! Voilà, c'est très important de savoir ça car quand son "paquet" est mal fait, le corps remonte; démonstration !"


Il ce relève, remet ses lunettes droites et porte le "paquet" entouré d'un linge blanc et le jette dans le canal. Malheureusement, du mauvais côté de la digue, il n'y a plus d'eau dedans...


A suivre...

Partie II : Le petit facteur et l'amour celons Warui

L'acteur marche dans la rue, il suis un homme rapidement et discrètement. Il le pousse dans une ruelle, il l'attrape par la nuque et il lui claque la tête au mur e il le défonce à terre, un vrai bouché. On peut voir que l'homme est un facteur. Le "héros" est maintenant dans les habit du facteur et il s'explique :

"Alors, c'est simple, tout les mois, j'ai l'habitude de me faire un petit facteur ! Je me lève le matin, je prend la tenue pour récolter les pensions; ce qui me permet par la même occasion, tu vois de repérer les vieux qui ont de l'argent ! J'évite par dessus tout c'est les jeunes couples qui commencent, ça sa pue la pauvreté, c'est très désagréable ! Mais les vieux ! Ils ont de l'argent, ça c'est sure ! Des vieux pauvres j'en connais pas !... Avare oui ! Mais pauvre, non ! Non, non !"


Il marche vers des enfants, toujours déguisé en facteur. Les enfants jouent au pistolet. Il s'approche et fait signe à la caméra.


"Bonjour les enfants, vous portez un revolver comme moi ? Amusant ! Tiens tac !" Il tire avec le jouet sur l'enfant qui sourit, content de s'amuser avec "monsieur le facteur". "C'est bien fait ces petites choses là..." Il regarde la caméra, parlait-il du jouet ou des enfants; peut-être confondait-il les enfants et des jouets ?... "Allez jouaient !" Il tapote les fesses des enfants et s'en vas récolter ses retraites, pas le temps de jouer cette fois...

La journée de notre Warui consista à égorger un homme, à éclater le crâne d'un autre avec ses poings, à assassiner des passants avec à coup de Revolver, étouffer une grand mère avec un sac plastique devant son mari qu'il a ensuite dépecé vivant, à exploser la cervelle d'une coiffeuse et à la planquer dans les chiottes après avoir "joué" avec son cadavre. Il a également violé deux ou trois fillettes et leurs petits frères et un chaton. Il à ensuite jeté tout les corps dans un canal après les avoirs lesté. Il s'était fait 5000 zénies dans sa journée. Content de sa journée de "travail", il décida de ce récompenser chez Tonton Enki avec des bonnes pintes de bières !


L'acteur est assis à une table dans un bar, il bois une Bière et fume une cigarette. Il discute avec la Caméra, il parle de ses envies, sentiments et partage ses angoisses tout en mimant comme un Italien ses paroles. Il


"C'est ça le drame avec les femmes ! Oui parce que je leur ait donné des choses, elles m'ont donnés des choses !! Et à un moment, tu remets en question tout cela, à cause de cette petite porte. Parce que cette porte, dans un couple dois rester ouverte ! Et à un moment si elle est ouverte, soit c'est pour faire rentrer de nouveaux aliments ! Tu comprends ? Soit c'est pour sortir... Soit tu rajoutes un petite graine ! Et la petite graine c'est quoi, c'est l'enfant, la petite graine, c'est le plaisir, c'est les vacances ! Soi tu t'en vas et tu reprends tes graines, tu reprends tout ! Et avec le cœur d'une femme des fois, tu n'es pas conscient que la porte est ouverte, et qu'il faut soit rajouter une graine... Ou soit foutre le camp Hidan..." Il tapote sa cigarette, regarde son verre, fait signe à Enki de lui en resservir et reprends. "Et moi, tu sais les femmes m'ont fait beaucoup souffrir car moi, j'ouvrais grand les portes et les femmes les fermaient !..." Il avale son nouveau verre cul sec et s'en ressert un autre, puis un autre et il reprend. "Ouaip ! L'amour, laisse comme un trainée de souffre derrière lui, comme une odeur qui traine ! Et que malgré tout, dès que tu rencontre quelqu'un, tu sens ça... Un peut comme quand tu vas pisser et que tu sens tes doigts après... Tu vois ? Ou chier aussi c'est pareil. San sens toujours... Il faut te laver deux trois fois les mains pour que l'odeur disparaisse..." Il fini sa bière encore et reprend. "Regardaient bien, je vais vous montrer quelque chose ! Quand j'étais gamin, on m'appelait la pieuvre, parce que je peux faire bouger n'importe quel organe individuellement ! Regarde, je vais te montrer !"


"Non !"


Il montre qu'il sais faire bouger son nez, sa langue, ses sourcils et ses cheveux. Il ce lève et reprend :


"Mais alors, j'en ait un autre qui bouge ! Et..."


"Ne le montre pas !!" Dis alors Hidan en le plaquant au sol. "Coupe couillon coupe !!"


A suivre...