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 Fiche de Chi-Chi

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Motta
Motta
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Bon ou mauvais ? : Mystérieusement neutre
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MessageSujet: Fiche de Chi-Chi   Fiche de Chi-Chi ClockDim 15 Mai 2022 - 23:02
Voilà ta fiche.


Fiche de Chi-Chi Motta_12
Spoiler:

Fiche de Motta
Général des armées sayennes.

Past:


Transformations:
- Gorille Géant
- Super Sayen 1
- Super Sayen 2
- Super Sayen 3

Objets: Armure sayen, détecteur, 2 senzus, émetteur Alliance Ganshou, cape rouge.
Chi-Chi
Chi-Chi
Terrien
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Date d'inscription : 27/10/2009
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Bon ou mauvais ? : (( BON )) souvent, elle a rejeté se soucier du sort de la Terre. Pourtant, cette mère de famille a toujours fait partie du bon côté et le sera toujours.
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Techniques 3/combat :
Techniques 1/combat :

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MessageSujet: Re: Fiche de Chi-Chi   Fiche de Chi-Chi ClockLun 16 Mai 2022 - 23:11

Chi-Chi


Fiche de Chi-Chi L8tj

37 ans
Chi-Chi
Son
Féminin
Terrien
Bon


Longue chevelure ébène se laissant tomber sur les épaules d’une mère de famille n’ayant pas froid aux yeux. Regard empreint de détermination qui ne quitte jamais ce faciès pouvant facilement arborer une mine colérique, stricte, sérieuse. Femme qui vit au-delà d’une ère où la jeunesse ne souhaite pas demeurer éternelle sur sa peau, mais dont l’entretien mérite de souligner ces traits ne reflétant nullement cet âge proche d’une quarantaine qu’elle ne souhaite atteindre. Chevelure ébène qui s’allie parfaitement à cette même couleur recouvrant ce regard perçant pouvant se montrer doux et charmant. Rares sont ces instants où on ne peut apercevoir des joues teintées d’une fine couleur rosée, sur cette peau claire qui habille sa silhouette, tant par manifestation d’un compliment ou par manifestation d’un énervement qu’elle ne parvient à contenir.

Depuis qu’elle est devenue épouse et mère de famille, Chichi a abandonné le relâchement de sa chevelure pour un attachement complet de cette dernière, abandonnant, petit à petit, cette frange protégeant la surface de son front. La raison? Les multiples devoirs qu'inclut d’être mère, ne permettant pas d’avoir une liberté jouissive sur ses cheveux au vue des nombreuses activités qu’elle emploie pour s’occuper de ses enfants ou encore ce besoin qu’une femme ressent de changer d’apparence, tout simplement. Un changement capillaire qui lui donne une allure encore beaucoup plus stricte qu’à l’accoutumée. Une allure qu’elle a appris à accepter et à afficher fièrement. Bien qu’elle soit une parfaite cuisinière et une bonne mangeuse, sa physionomie n’est pas celle de son père. Physionomie héritée, sans doute, de cette mère qu’elle n’a jamais connue, elle affiche une silhouette fine, élancée, aux courbes dont Chichi n’a pas à rougir de leur générosité. Ancienne pratiquante d’Arts Martiaux, la belle conserve quelques attraits physiques récoltés de ces quelques entraînements d’antan. Une conservation qu’elle cultive secrètement, lors de ces quelques temps libres, à l’abri de tous.

Les traditions familiales coulent dans ses veines. Elles s’écoulent jusqu’aux vêtements qui habillent son corps. Habits qui diffèrent et qui ne sont jamais les mêmes. Chichi a troqué son cheongsam (robe chinoise) bleu pour une robe violette dont la taille est maintenue par une ceinture jaune, ses épaules par un tissu dans un jaune quelque peu plus sombre. Un troc qui marque un cap dans sa vie de jeune femme à épouse, puis de mère de famille. Le violet semble bien s’installer dans les normes de la jeune femme. Pourquoi? Lorsqu’elle finit par donner la vie à son second enfant, Chichi semble avoir voulu retrouver les saveurs particulières de sa jeunesse. Une jeunesse où le combat fut présent, où cette infime passion pour les Arts Martiaux était inscrite dans ses veines. Couramment à présent, Chichi revêt un cheongsam similaire à celui de son passé. Similitude dans le tissu, mais différente dans cette palette de couleurs de tons violacés qui le recouvre. Néanmoins, lorsque les circonstances le nécessitent, Chichi peut porter des vêtements plus coquets, davantage dans l’ère du temps et qui savent la mettre en valeur.


Princesse se différenciant de l’âme redoutable affichée par son père, l’enfant qu’était Chichi a, autant, représenté une timidité parfaite qu’une rêveuse assumée. Rêveuse, parfaite croyante des histoires qui se lisent dans les contes de fées. Princesse recherchant la vision de l’homme parfait à épouser. Princesse régie par cette recherche enfantine et dénuée de raisons, sans se soucier de la terreur que son aîné pouvait octroyer. Véritable âme pure, Chichi s’est toujours montrée être une personne digne de confiance et sur laquelle on peut foncièrement compter. Sa jeunesse ne reflète pas toute la personnalité qu’elle a pu acquérir au fil des années. Enfance où la crainte a pu motiver le moindre de ses faits et gestes, incapable de pouvoir se défendre seule, incapable de s’en sortir par elle-même. Rares sont les fois où elle a pu s’en sortir sans aucune aide. Des rares fois où elle acquit victoire en relâchant des larmes s’écoulant le long de ses joues.

Une femme se met à changer dès lors qu’elle finit par se marier et par mettre au monde son premier enfant. Chichi ne déroge pas à cette règle ancestrale. Se marier a radicalement changé toute sa vie, mais aussi toute sa personnalité. Mère de famille protectrice, peut-être beaucoup trop, Chichi se montre très intransigeante sur l’éducation qu’elle souhaite inculquer à ses enfants. Gohan en a payé le prix fort et parfois, c’est indépendamment d’elle. Son souhait le plus cher? Éloigner son fils de chaque esprit malsain et mauvais, éviter qu’il ne rencontre ces âmes affreuses capables de lui arracher la prunelle de ses yeux. Elle a connu la perte. Elle a connu la douleur d’avoir perdu son mari la toute première fois. Événement qui vous marque. Événement qui vous brise en mille morceaux, dont le seul remède trouvé est d’être une femme, mais aussi une mère autoritaire, très dure et froide. Carapace pour ne pas reconnaître être incapable de supporter une nouvelle perte dans sa famille. Carapace lourde et douloureuse de ne pas assumer ces émotions qui la tiraillent et qui mettent son âme en émoi. Si Chichi possède des difficultés à montrer son bonheur, la raison réside en ce fait que lorsqu’elle le connut aux côtés de son mari, Gokû, ce bonheur s’est rapidement volé en fumée, comme rien n’avait existé. Carapace créée pour se protéger de ces maux qui la détruisent. Uniquement pour cela. Une carapace que Chichi a appris à vivre et à s’en accommoder. Une apparence qui montre à tout un chacun qu’elle n’est pas une femme à prendre à la légère. Qu’elle est une femme qui sait ce qu’elle veut, qui sait ce qui est le plus bénéfique pour sa famille et qui ne reculera devant rien pour la protéger, quitte à en payer le prix, quitte à devoir user de violence pour y parvenir. Mais, attention! Il faut savoir que, même si elle ne pratique pas l’art du combat, Chichi est une combattante qui n’a pas froid aux yeux. Combattante redoutable, elle ne lésine sur aucun moyen pour avoir l’avantage. Goten est celui qui a pu voir la véritable valeur de force de sa maman. Une vision octroyée pour que Gokû puisse être fier de son second fils. Et même si Chichi éprouvera toujours du mal à accepter les changements que provoquent les transformations de ses hommes Saiyans, elle n’est pas peu fière d’avoir accompli ce privilège qui s’est reporté sur Goten.

Toutefois, il est bon de noter que Chichi n’est pas seulement une personne froide et parfois odieuse avec sa famille et son entourage. Elle est aussi capable de montrer ses sentiments. Elle est aussi capable de montrer à ses enfants et à son mari à quel point elle les aime, à quel point elle tient à eux. Même si parfois son époux peut lui sortir par les yeux, Chichi sait accepter l’inévitable et elle sait, surtout, apprécier chaque moment que la vie lui offre à ses côtés. Vivre sans avoir son homme pratiquement tout le temps à ses côtés, c’est un choc, c’est difficile. En se mariant, Chichi ne s’était pas attendue à vivre une vie de la sorte. Bien qu’elle puisse regretter certaines de ses réactions sévères, l’épouse tente de se rattraper en préparant de bons petits plats ou en faisant preuve de multiples attentions envers son époux, mais aussi ses enfants. Soucieuse de leur bien-être, Chichi est capable de rester à leur chevet en abandonnant toutes ces tâches qui incombent à la femme. Autant que faire se peut, Chichi tente de contrôler ses mauvaises humeurs et de se montrer plus laxiste. Au fil des années, elle apprend à s’assagir, mais elle apprend aussi de son amie, Bulma, qui est parfois, son opposé et auprès de laquelle Chichi continue d’apprendre pour être moins… dans l'agressivité.


Ancienne princesse, fille de Gyûmaô, la fille ne connaît l’existence défunte de sa mère qu’au travers une maigre et fine photographie. Enfance passée aux côtés de son unique parent, Chichi a dû vivre sans une figure maternelle. Très tôt, cette jeune fille a été formée à la pratique des Arts Martiaux, ne pouvant rendre que fier l’ancien roi. La quête des Sept Boules du Dragon se joint à son périple… pour découvrir un tournant décisif dans sa vie de jeune fille…

Sans même le savoir, sans même le vouloir, il a changé ton existence.
Lui, simple garçon parcourant les terres à la conquête et à la récolte de ces quelques boules permettant de réaliser des vœux.
Lui, simple garçon innocent, naïf, mais possédant un cœur aussi pur que peut l’être l’éclat d’une eau brillante. Une pureté qui a réussi à te séduire alors que tu n’étais qu’une jeune petite fille, partant simplement à la recherche d’une aide pour éteindre un feu s’étant abattu sur le château de ton père, sur le Mont Fry Pan.  Il t’a accompagné jusqu’à la maison de Kamé Sennin, Tortue Géniale. Sollicitation d’une aide miraculeuse pour éteindre un feu déjà bien trop éveillé. Il t’a aidé. Il ne t’a jamais abandonné. Il a poursuivi une route qui n’était pas la sienne pour que toi, et ton père, puissiez retrouver un véritable pied à terre et sortir de ce tourment qui semblait avoir pris le Château en otage. C’est une amitié qui s’en est découlée. Une amitié sincère. Une amitié forte. Une amitié qui laisse migrer cette petite graine folle dans ton esprit de jeune fille. Graine où tu émets ce souhait secret qu’il soit plus qu’un ami… qu’il soit celui qui t’accompagne jusqu’au restant de tes jours… parce que tu sais qu’il peut être l’homme idéal… A cet âge, tu t’en étais déjà bien persuadée. Douce innocence qui perle une existence de princesse déchue. Douce innocence qui se persuade qu’à vos prochaines retrouvailles, il reviendra pour t’épouser…

Retrouvailles qui n’ont pas été escomptées, qui n’ont pas été comme tu l’aurais souhaité, ni même envisagé. La jeune fille que tu étais a bien grandi. Devenue une véritable jeune femme rempli de convictions et d’ambitions, c’est  sans consulter l’avis de ton père, que tu as décidé de t’inscrire au 23ème Tenkaichi Budokaï. Le but? Te prouver de quoi tu pouvais être capable, mais aussi de prouver au Roi Gyûmaô que tu peux être une combattante aguerrie si tu l’en décidais. Oui, tu as le souhait de le rendre fier. Seule fille qu’il possède, seule ombre féminine qui l’entoure, tu ne veux le décevoir. Jamais. Fière, vainqueuse, tu es parvenue à accéder à ces quarts de finale que tu cherchais tant à atteindre… Une victoire où tu as l’étonnante surprise de te mesurer à celui qui guide tes songes depuis ta jeunesse. Une surprise amère car il ne te reconnaît pas. Gokû ne te reconnaît pas. Il est vrai que ta silhouette avait beaucoup changé en ces quelques années, mais tu aurais bien espéré qu’il reconnaisse cette lueur de feu qui ne t’a jamais quitté. Dès que tu as su qu’il allait se mesurer à toi, tu as su que tu allais perdre. Ce n’était pas grave. Tu savais, dès le départ, que sa force dépassait la tienne. Mais, tu ne pouvais pas manquer cette occasion d’aller plus loin dans cette histoire que tu t’étais créée de toute pièce dans ton esprit. Révélation d’une identité qui met Gokû en émoi. Éveil d’une promesse qui revient dans les mémoires. Naïveté qui lie autant la fille que le garçon, mais dont les convictions du dernier font naître la réalisation de cette promesse. Fiançailles qui te rendent heureuse. Heureuse qu’il ne t’ait pas abandonné et qu’il ait voulu, malgré tout, honorer sa promesse. Folle idée de te lier à un garçon de la sorte, mais à quoi bon s’en retirer s’il est d’accord? L’annonce de cette nouvelle auprès de ton père aurait dû être grandiose et signe de fête. Malgré tout, les flammes de l’Enfer avaient décidé de s’emparer, une fois de plus, de votre château. Pris au piège par les flammes, c’est avec l’aide de ton fiancé que tu es partie à la conquête de l’éventail magique, seul objet capable de libérer le seul membre vivant de ta famille. Aventure périlleuse se soldant dans le sauvetage de ton père, in extremis. Une âme sauvée vous permettant, enfin, à toi et à Gokû de vous unir, aux yeux de tous.

Le mariage et la naissance d’un enfant changent une femme. Passer d’une jeune demoiselle à celle d’une épouse et d’une mère de famille est un cap qu’il n’est pas possible d’apprendre à l’école. Toutefois, c’est un rôle qui lui tient à coeur, extrêmement… même si elle doit recourir à des méthodes loin d’être tendres pour y parvenir.

Grandir sans une figure maternelle est une étape difficile pour une jeune fille. Difficile, car le point de repère n’existe pas. Difficile, car il lui est impossible de deviner quels sont les meilleurs préceptes pour une bonne éducation de son enfant. Est-ce pour cela que tu as été aussi intransigeante, aussi magnanime, aussi possessive et colérique envers ton enfant? Tu l’ignores. Tu l’ignores, mais tu te persuades qu’il s’agit de la bonne méthode pour lui inculquer les bonnes valeurs qui te suivent depuis ta naissance. Tu te persuades qu’il s’agit de la bonne méthode car tu n’es pas dupe. Tu sais de qui il est le fils. Tu sais qu’il ne sera jamais un enfant “normal”. Dans le fond, ça t’arrache le cœur qu’il ne puisse pas évoluer dans un monde sans la moindre existence de violences, de combats. Vivre avec l’idée que tu puisses le perdre un jour est une période que tu ne veux voir venir. C’est pour le protéger, autant que faire se peut, que tu refuses toujours catégoriquement les requêtes de ton mari pour l’entraîner. Tu as cette frayeur qui guide tes actes, tes pensées. Frayeur qui n’excuse nullement tes faits et gestes, ni même tes paroles. Seule force que tu es capable de brandir pour te défendre et te protéger. Donner naissance à Gohan te fait te rendre compte à quel point tu peux être dure et froide, même envers lui. Donner naissance à ton premier enfant ne t’a pas préparé aux dangers qui peuvent tant guetter ta famille. L’arrivée sur Terre du grand frère de Gokû t’a assené ce premier coup de grâce. En un rien de temps, tu as perdu, dans cette bataille, ton mari, mais aussi ton petit garçon, capturé par ce démon ayant toujours eu l’audace de souffler un vent glacial sur ta peau. Pour la première fois de ta vie, tu t’es sentie dévastée, anéantie. Inconsolable, la solitude s’était emparée de toi. La famine était entrée dans ton quotidien. Sans eux, à quoi bon continuer de vouloir vivre…? Rien ne t’importait plus que ton mari et ton fils. Rien de plus…

La résurrection de Gokû aurait dû se solder sous une célébration haute en couleurs, mais ça ne fut pas le cas. Colère vive d’une mère incapable de pardonner à son mari son manque de devoir envers son enfant. Colère vive d’une femme, incapable de pardonner à son époux cet abandon qu’elle ne peut accepter. Furieuse, tu l’as été. Furieuse qu’il ait osé impliquer votre enfant de cinq ans dans un affrontement de brutes contre brutes, sous le simple prétexte qu’il soit indispensable pour sauver la Terre. Longtemps as-tu mis pour le pardonner. Et malgré cette colère éprouvée à son égard, tu ne caches pas souffrir de voir Gokû se faire malmener, torturer par ses ennemis. Tu penses à un en particulier: Vegeta. Ce sont dans ces rares instants que tu réalises l’importance que tu peux avoir ton petit garçon dans cette prise de sauvetage de votre planète. Une importance où tu en viens à le supplier de se battre pour défendre et protéger son père… Sombre ironie, n’est-ce pas? Le temps s’écoule. Il s’écoule dans une période que tu ne vois pas venir… Il s’écoule dans une période où tu n’as pas le temps de profiter du retour de ton mari, malgré cette discorde t’ayant bien éloigné de lui. Démunie, tu te dois d’assister et de veiller au départ de ton petit Gohan, avec Krillin et Bulma, pour une planète bien éloignée de la Terre: Namek.

Passage d’une vie qui restera gravée dans sa mémoire. Passage d’une vie périlleuse et dotée d’innombrables montagnes russes parvenant facilement à donner la nausée. L’arrivée des Androïdes n’entraîne que des maux pour cette mère de famille qui n’a de cesse d’encaisser les pertes.

Vivre avec le Sauveur de l’Humanité, tu n’as pas signé pour ça. Tu n’as pas signé pour que ton époux ne cesse de donner de son temps, de son énergie, de sa vie pour sauver les autres et se mettre en danger. Autant peux-tu être fière de tout ce qu’il a pu accomplir dans cette vie de guerrier qui lui court après, autant n’arrêtes-tu pas d’être inquiète et de vivre dans une inquiétude perpétuelle et constante. Même si les Boules de Cristal ont cette capacité de faire ressusciter plusieurs fois la vie d’une personne morte d’une cause tout sauf naturelle, cette fois-ci, tu as eu peur, extrêmement peur. Peur de ne plus avoir l’occasion de voir son visage tous les jours. Peur de ne plus entendre sa douce voix caresser tes oreilles, ou de ne plus le voir s’entraîner, réclamer ces nombreux festins qui parviennent à le rassasier. Cette maladie du cœur est arrivée comme un cheveu tombant dans une soupe froide. Bien que tu ne puisses pas toujours avoir la faculté de bien comprendre tout ce qui se passe dans la vie de l’entourage de ton époux, tu sais que tu seras éternellement reconnaissante envers celui ayant ramené ce médicament béni des cieux. Médicament du futur, le seul et l’unique, capable de soigner l’homme de ta vie. Dès que Yamcha te l’avait ramené, tu n’as pas arrêté de veiller sur lui, matin et soir, quitte à en perdre le sommeil ou à ne pas penser à te nourrir, à te réhydrater. Oui, tu ne montres pas souvent l’aimer. Il est vrai que votre quotidien ne se soumet pas vraiment à des effusions d’un réel amour. Toutefois, ce sont dans des circonstances aussi graves et aussi importantes que tu montres à quel point tu l’aimes et à quel point tu possèdes cette boule au ventre. Boule au ventre où tu crains, tout le temps, de le perdre. Période de veille où tu réalises l’importance que peut encore avoir Gohan au combat. Période où tu réalises que tu ne vas pas avoir le choix de le laisser s’entraîner, participer au combat avec son père, quand il sera guéri. Oui, ça t’embête, mais il peut aussi t’arriver de faire des concessions et cette sombre période s’y apporte. Plus que jamais et face à la menace que représente tant les Androïdes que l’apparition de Cell, tu sais que Gohan aura besoin de passer du temps avec son père. C’est légitime, parce que tu sais que la vie peut te le reprendre dès qu’elle en aura émis le souhait. C’est une fatalité à laquelle tu as fini par t’y soumettre…

« Sois prudent, Gokû… Promets-moi de me revenir en vie… » Ces mots sont les dernières paroles que tu as pu prononcer avant qu’il ne s’en aille combattre et affronter Cell dans ce fameux tournoi. Dernières paroles où la promesse n’a pas été exécutée. Nouvelle promesse soldée par le sacrifice du sauveur de l’Humanité, offrant une belle victoire à ce fils héritant de la force et du pouvoir de son père. Disparition d’un père, d’un mari, d’un ami, d’un allié qui ne connaîtra pas ce petit trésor qui est en train de pousser à l’intérieur de ton ventre…

La dernière édition du Championnat mondial des Arts Martiaux a été un moment marquant autant pour toi que pour tes enfants et vos proches. Dernière édition où tu as eu l’émouvante surprise de revoir, le temps d’une simple et unique journée, Gokû. Celui même qui t’a manqué durant ces longues et interminables dernières années. Années où tu t’es occupée de vos deux enfants autant que faire se peut. Années où tu t’es décidée à entraîner votre petit dernier, ton petit Goten, pour que Gokû puisse être extrêmement fier de lui. Tu as une humeur changeante. Autant as-tu été une mère à la limite de l’ignoble avec Gohan en matière d’entraînements et de combats, qu’autant t’es-tu montrée plus laxiste avec Goten… Une rencontre qui t’a émue. Une rencontre spéciale réunissant un père et ce fils nouveau. Des retrouvailles inoubliables, mais qui entraînent une nouvelle menace encore plus grande et maléfique. Tu es lasse. Tu es lassée que l’histoire se répète, encore et encore. Est-ce trop demandé de vouloir une vie à peu près normale…? Sans doute. Nouvelle menace sous la représentation de Majin Buu. Un être qui aura réussi à semer une terreur encore plus grande pour l’Humanité, pour chacun des guerriers peuplant ton entourage. Mais, surtout un être qui aura réussi à te soutirer la vie avant que tu ne viennes à revenir d’entre les morts grâce aux Dragon Balls.

La paix est revenue.
Tu as conscience que la durée peut être courte.
Autant que possible, tu tiens à profiter et à savourer chaque moment auprès des tiens.
La vie est devenue bien trop courte, tu l’as appris à tes dépends.
Tu veilles toujours au grain des hommes de ta famille, mais surtout, tu essaies de rattraper le temps qui vous a été volé, maintes et maintes fois…




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