Age : 22 Date d'inscription : 29/04/2021 Nombre de messages : 125 Bon ou mauvais ? : Bon Zénies : 0 Rang : - TechniquesTechniques illimitées : Crush CannonTechniques 3/combat : Burst CannonTechniques 1/combat : Ultimate Attack
| Sujet: Mission - Rénovation Ven 28 Mai 2021 - 5:55 ‘’Bougez, les nazes ! Laissez faire la pro !’’ C’est ce qu’avait dit Caulifla en arrivant sur les lieux, le 25 Mai 1021. En effet, elle voyait déjà les ouvriers travailler avec leurs outils et autres. Elle s’étira doucement, faisant craquer ses jointures. Elle s’avança vers le chef ensuite et lui prit la carte des lieux à rénover et sourit. Elle attrapa alors le sac contenant les nouvelles dalles et poussa un gros souffle en voyant que le sac était en réalité bien lourd. Néanmoins, elle n’abandonna pas là-dessus. Elle devait rénover l’école et elle allait bien le faire. Elle leur fit bien comprendre qu’elle voulait faire cela seule. En riant, car la pensant incapable de faire une telle prouesse, les ouvriers acceptèrent et s’occupèrent alors du batiment secondaire.
Sous le regard circonspect des ouvriers, elle avança alors et fit un bond afin d’accéder à la fenêtre brisée du premier étage, laissant le sac de dalle se vider sur le sol. Elle jura alors avant de tout ramasser et de trainer le tout. Elle arrachait à la main les dalles abimés pour les remplacer par les nouveaux. Elle solidifiait le contour avec son Ki, ce qui n’était pas une mince affaire. Tout était une question de dosage.
Cela avait duré au moins trois heures et à la fin, Caulifla était courbaturée de partout. Elle avait refusé que quiconque ne l’aide, voulant faire cela seule. Elle ne prit même pas la peine de faire une pause et s’attaqua immédiatement à la suite : la peinture qui s’était effacé à certains endroits. En voyant la tonne de peinture, elle eut un soupir :
{Je crois que je vais laisser tomber et retourner à la recherche de Kale.} ‘’Tu peux le faire, Soeurette.’’ Entendit-elle distinctement. Surprise, elle leva la tête et regarda les alentours. Non, elle n’était pas là. Elle aurait juré avoir entendu la voix de Kale. Après un petit temps, elle sourit et répondit dans le vent, comme si elle s’adressait à elle : ‘’Tu as raison, Kale. On peut le faire. Ensemble !’’
Grandement motivée, Caulifla se remit alors au travail et courut partout, tenant les pots de peinture sur elle et étalant la peinture sur les murs de chaque étage. Cela dura assez longtemps et elle fut vers la fin, épuisée. Mais il restait encore tant à faire et elle refusait toujours l’aide des ouvriers.
Maintenant, elle devait changer les ampoules. Elle ne prit même pas la peine d’éteindre l’éléctricité, changeant les ampoules, se faisant éléctrocuter. Mais en tant que Saiyan, sa résistance à la douleur est plus élevé, tout comme son seuil de douleur. Alors, elle serra les dents et continua ce boulot…pour Kale.
Elle décida alors de prendre une petite pause. Elle prit une bouteille d’eau et but alors calmement. Elle ne prit une pause que d’une demi-heure. Et cette demi-heure fut alors crucial dans la vie de Caulifla. En effet, le chef des ouvriers était venu lui parler afin de lui expliquer certaines choses qui lui trottèrent dans la tête pendant longtemps. ‘’Salut petite. On peut dire que tu nous as impressionnée aujourd’hui à faire tout cela, toute seule.’’
Caulifla l’avait regardé froidement, prête à le corriger sur place à ce moment-là. Elle prit néanmoins la parole et dira alors :
‘’Traitez-moi de petite et vous allez le regretter.’’
La réaction de l’homme fut étonnante. Il éclata alors de rire et lui dira alors :
‘’Bien, bien ! Je ne voulais point t’offenser ! Mais dis-moi. Avec ta force, tu ne voudrais pas faire quelque chose de plus utile dans ta vie ? Construire et rénover ? Tu comptes réellement moisir alors que tu pourrais aller plus haut ?’’ Et Il ne dira rien d’autre, s’en allant tranquillement, lui déposant un sandwich. Caulifla n’avait même pas répondu, grignotant le sandwich sans un mot. C’était vrai. Elle était une Saiyanne. Mais qu’avait-elle accompli jusqu’alors ? Rien à part voler. A part qu’elle pouvait faire tellement mieux. Finissant rapidement son sandwich, elle soupira : Elle n’allait pas arrêter ce qu’elle faisait. Mais il était sérieusement temps qu’elle aille plus loin dans sa vie.
La pause terminée, elle se releva, semblant bien pensive à cela. Elle se ressaisit alors et retourna au boulot. Elle laissa même les ouvriers tellement elle était pensive, ce qui était une chose inhabituelle, venant de sa part. Le boulot se passa plus calmement, tandis qu’elle continuait de s’exercer grâce à cela. L’académie Orange City fut entièrement rénové vers 18h30 et Caulifla fut grandement satisfaite. Elle se tourna alors vers le chef et l’interpella : ‘’Oy, vieil homme ! J’ai bien réfléchi à ce que tu m’as dit. Et tu as raison. Je vais devenir la meilleure ! Prépares-toi, tu ne vas pas en croire tes yeux.’’
Et elle ne dira rien d’autre, lui faisant un signe de main ensuite avant de s’envoler sur le toit de l’école, sous l’œil des ouvriers. Elle observa tout les efforts qu’elle avait fait et fut…surprise. Elle ne faisait jamais ce genre de choses. D’habitude, elle était dans son coin avec son gang et elle ne se faisait connaitre qu’en volant les forces de défense de Salada, au grand dam de son grand frère Renso. Ainsi, voir cette académie avoir été rénové grâce à elle…Cela provoquait un drôle d’effet.
Elle se sentait néanmoins courbaturé de partout et c’était normal. Elle avait dû porter les dalles de tout l’école à mains nues et en une seule fois.
‘’Et maintenant, je peux aller réclamer l’argent à l’agence.’’ Toujours sur le toit du Lycée Orange Star, elle poussa un petit soupir : Elle espérait réellement revoir Kale et se demandait si elle allait bien. Mais peut-être était-elle resté sur leur monde d’origine. Si c’est le cas, elle était avec leur gang. Elle espérait donc qu’elle allait bien et qu’elle ne s’inquiétait pas trop.
‘’C’est ma petite protégée. C’est certain qu’elle saura s’en sortir même sans moi. Allez, il faut y aller.’’
Elle s’envola alors rapidement vers la Maison des Missions, prête à récupérer son argent.
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