Les aventures de Racine le Saiyan ! [CYOA]

Boneco a écrit:

Description corporelle: Racine est un Saiyan à la carrure étonnamment élancé. Une musculature sèche mais peu prononcée, la longue silhouette du Saiyan en est proportionnellement affinée (sa musculature atteignant une forme bien plus développée lorsqu'il est en surcharge). En contrepartie, le Saiyan dispose d'une longue chevelure qu'il attache en queue de cheval ou en chignon selon les tâches qu'il effectue. Finalement, Racine est doté de l'emblématique queue de singe qu'il enroule bien souvent nonchalamment autour de sa taille, quant elle n'est pas laissée libre de fouetter l'air alentour.
Equipement de départ: Son armure quant à elle est tout ce qu'il y a de plus Saiyan, si ce n'est qu'elle dispose de peu de protections en dehors d'un plastron. A vrai dire, il s'agit là d'une tenue typique des ingénieurs Saiyan, la sacoche attachée autour de sa taille lui permettant de transporter toutes sortes d'outils. Parmi ces derniers, un scouter qu'il ne porte uniquement lorsqu'il en ressent le besoin, plusieurs outils et matériels de bricolage (tournevis, vis, marteau...), ainsi qu'un médaillon à l'emblème bien distincte.
Description Physique - Aucun Jet Demandé !

Racine, ton histoire commence comme celle de beaucoup d'autre : avec du noir dans les yeux et un très gros mal de tête. Et ensuite, un réveil soudain !

Tu te réveilles avec cette migraine, mais sans autre complication. Cette chute semble avoir troublé ton esprit. Tellement d’idées qui y entrent et qui en sortent sans cesse ! Qu’est-ce qui s’est passé ? Tu te souviens… Le pod de voyage interplanétaire de tes frères Saiyen. Tu l’as légèrement modifié… Il te fallait venir sur Terre ! Tu te rappelles… l’entrée dans l’atmosphère. Des lumières rouges, des messages d’alerte… L'atterrissage forcé ! Tu as dû finir sonné.

Tu te retournes et vois ton véhicule. Une capsule de lancement brisée parmi tant d’autres, maintenant. Observant le ciel, tu tentes de décoller !... Rien ne se passe. Ta force est elle aussi anéantie. Peut-être qu’en te concentrant, tu pourrais encore lancer une vague d’énergie, mais mieux vaut conserver sa puissance. C’est donc vrai, ce qu’ils disent. Le Ki a fini par perdre sa valeur, sur cette Terre. Observant cette capsule à nouveau, tu comprends rapidement que ce n’est plus possible de faire marche arrière. Dans la vitre, tu te vois. Malgré tout, tu es toujours toi. Ces muscles fins, cette queue de cheval, ce regard déterminé… Tu n’es pas un colosse, contrairement aux autres. Mais bon, quand est-ce que ça t’a dérangé ?

La machine n’a pas trop l’air anéantie. Tu finis par observer les alentours. Il y a une route. Enfin, un sentier battu là où avant se trouvait du goudron. En dehors de ça, des arbres, des arbres, encore des arbres. Tu as fini par atterrir au milieu de nulle part. Tu essaies de te concentrer. Tu as vu ta position depuis l’orbite, non ? Non, impossible de te remémorer quoi que ce soit, du moins pour l’instant. Une capsule qui ne peut plus voler, une forêt à perte de vue, une route en ruine, et ton énergie qui refuse de t’obéir. C’est bien ta veine !

Que comptes-tu faire, Racine ?

Sperk a écrit:

Racine inspecte brièvement l'état de sa capsule afin d'être certain qu'elle ne lui explosera pas à la figure. Si le danger s'avère nul, il usera de ses connaissances d'ingénieur pour extraire tout le matériel auquel il pourra trouver une utilité sur le moment, qu'il s'agisse d'objets contenus dans la capsule ou de composants de cette dernière.
Jet : 22 (Echec)

On raconte qu’un guerrier de l’espace n’a besoin que de sa force et son énergie pour parvenir à ses fins. Avec sa puissance manifestée en vagues déferlantes, il peut conquérir une planète sans que personne ne puisse lui résister. Mais toi, Racine, tu sais très bien que c’est faux.

Tu observes ta capsule. Il doit bien y avoir quelque chose d’utile à l’intérieur, non ? La vitre d’entrée est brisée. Les morceaux sont trop petits pour être transformés en surins improvisés. Passant ta tête à l’intérieur, tu regardes tous les recoins, tâtonnant dans l’obscurité. Non, tu n’avais pas pris de provisions. Peut-être que tu étais parti à l’arrache, en panique ? Tu ne sembles avoir rien apporté avec toi.

Le pod s’est écrasé dans une position fort maladroite. Ta force supérieure de Saiyan ne peut la soulever. La réduction de maîtrise du Ki était vraiment incroyable sur cette planète. Tu ne pouvais plus pousser efficacement un aussi gros tas de ferraille ? Cela pourrait presque être embarassant.

Tu finis par faire quelque pas en arrière. Au moins, elle ne va pas exploser, c’est sûr. Tu regardes les outils dans ta ceinture. Impossible de démonter efficacement ton véhicule écrasé avec les moyens du bord. Les visses visibles sont d’autant plus enfoncées dans l’acier à cause du crash. Tu n’as rien ramené, tu en es sûr. De toute façon, si tu te trompes et qu’il restait des bagages dans cette grosse capsule, ils sont probablement anéanti dans cette sphère qui maintenant ressemblait davantage à un carré. On croirait voir un œuf écrasé. Tu as dû être expulsé à la dernière minute. Une chance.

Un craquement de brindilles ! Tu entends des mouvements non loin de toi. Au moins, tes réflexes n’ont pas été abîmés par l’atterrissage forcé. Tes souvenirs sont encore troubles, c’est certain, mais tes oreilles sont parvenues à déceler des mouvements dans les buissons prêt de toi. La capsule tombant du ciel a dû attirer du monde…

Que comptes-tu faire, Racine ?

Sperk a écrit:

Sur ses gardes, Racine fixe la direction d'où provenait le craquement. L'un des poings serrés, prêt à la riposte, se seconde main plonge à la recherche du scouter dans sa sacoche pour le porter à son oreille et activer le scan.
Jet : 12 (Echec)

Tu te retournes dans la direction du bruit. Ton regard est méfiant. Tes oreilles sont à l’écoute. Des paroles, une légère inquiétude. Tu parviens à distinguer deux voix. L’une de tes mains fonce dans ta ceinture afin d’y récupérer le scouter. Tu ne parviens pas à trouver l’origine de leurs Ki, mais cette machine devrait encore faire l’affaire. Cependant, avant de le sortir complètement, deux individus sortent des buissons !

Ils n’ont pas des apparences très compliquées. Ce sont des humains, ou du moins ils en ont l’air. Il n’y a aucune queue de singe en vue, après tout. Deux jeunes hommes en vêtements de tous les jours. Celui de droite porte une chemise aux manches déchirées, ouverte pour révéler un marcel. L’autre, une simple blouse de travail. Leurs jambes sont protégées par de simples jeans. Ils n’ont pas l’air très costaud, ni armés. Au mieux, le second, un peu plus gringalet, transporte un pistolet de détresse déposé entre son pantalon et son bassin. Ils semblent être de simples campagnards. Cependant, l’un comme l’autre couvrent leurs visages avec des masques de moutons.

“Nous, euh, nous venons en paix !” affirme le plus faible des deux, “nous sommes de simples éclaireurs. Et..."

"Et on a vu un truc tomber du ciel !" coupe le second.

"Laisse-moi parler... Nous faisons partie de la famille Lamb ! Nous sommes un clan pacifiste ! C'est la première fois depuis des années qu'on voit une capsule parvenir à atterir sur terre en bon état - enfin, en état convenable, avec son passager en vie, quoi. Euh, vous allez bien ? Avez-vous besoin d'aide monsieur ?"

"Il a pas l'air blessé..."

"C'est une formule de politesse, idiot ! C'est un Saiyan, on sait pas ce qu'il vient faire ici !"

Ils ne semblent pas comprendre que ton ouïe est développée... Au moins, ton premier contact avec la population locale ne se fait pas avec des belliqueux. Mais ils ont l'air plutôt terrifié. Que comptes-tu faire, Racine ?

Boneco a écrit:

Si il ne perçoit à priori aucun danger provenant des deux énergumènes, Racine se rend bien compte de leur méfiance de par leurs messes basses maladroites. Retenant un rictus sournois, il se décide à calmer le jeu, espérant gagner la confiance des premiers terriens qu'il croise:
"Je vais bien, je me satisfais d'être en bon état comme vous dites, encore en vie. Seulement, tous mes biens se trouvant dans mon vaisseau ont été emportés dans le crash, puis-je vous demander l'hospitalité, ne serait-ce que pour faire le point sur ma situation ? Je pourrais vous offrir mes services en échange."
Jet : 12 (Echec; oui oui deux fois d’affilées, quels jets de merdes...)

Tu as bien compris qu'ils ne te veulent pas vraiment de mal. Ils ont cependant l'air méfiant. Tu ne peux pas t'empêcher d'être amusé par leur manque de calme vis-à-vis de la situation. Ils ont un peu l'air ridicule, après tout... Tentant de transformer un rictus moqueur en sourire sympathique, tu ouvres la parole alors qu'ils chuchotent l'un avec l'autre.

"Je vais bien, je me satisfais d'être en bon état comme vous dites, encore en vie. Seulement, tous mes biens se trouvant dans mon vaisseau ont été emportés dans le crash, puis-je vous demander l'hospitalité, ne serait-ce que pour faire le point sur ma situation ? Je pourrais vous offrir mes services en échange."

Rien ne semble se passer pendant un petit instant. Finalement, le porteur du pistolet de détresse ouvre la parole d'une voix quelque peu tremblante.

"On, euh, on va analyser votre proposition !" dit-il d'une voix tremblante, avant de se retourner vers son collègue, "Mec... il me fait peur."

"Peut-être qu'on devrait se tirer ?"

Peut-être que ton sourire n'était pas si bienveillant que ça. Ou alors, c'est ton aura provenant d'un autre monde. Leur méfiance semble s'être accrue davantage, mais ils n'ont toujours aucune idée de ton ouïe surdéveloppée.

"Si on le laisse comme ça, il pourrait s'énerver. Il dit qu'il peut proposer des services... Si c'est un guerrier et qu'on l'énerve, il pourrait faire des ravages."

"Mais, il aussi faible que tous les autres, non ?"

"Un Saiyan, c'est un Saiyan. Même faible, c'est un combattant dans l'âme !"

"On a des combattants aussi, s'il fait de la merde. Le temps qu'on ait des renforts il aura pas pu sortir de la forêt..."

"C'est, c'est vrai ça. Mmmh. On a rien à perdre si on continue de lui parler."

"Ouais, vas-y."

Le plus maigre des deux se retourne dans ta direction, tirant son pistolet de détresse un peu plus vers le haut. Il semble paré à l'utiliser pour donner l'alerte si tu leur sembles trop suspect.

"N-nous sommes prêts à vous accueillir mais... mais quelqu'un qui traverse l'atmosphère et s'en sort indemne, c'est pas tous les jours qu'on en voit un, vous comprenez ? Donc, euh, on est un peu méfiants, quoi. Avant de procéder, on aimerait savoir de quoi vous êtes capables."

"Et pourquoi vous êtes sur Terre, d'ailleurs !"

"O-ouais, ça aussi."

Veux-tu déjà dévoiler ta raison d'être là, Racine ?

Boneco a écrit:

Le sourire faussement amical de Racine se mue à nouveau en entendant les deux hommes conspirer, un regard plus sévère s'installe alors sur son visage, toisant leurs dos. Se reprenant aussitôt qu'ils se retournent dans sa direction, son oeil s'attarde un instant sur le pistolet dressé en direction des airs, avant qu'il n'écarte chaleureusement les bras:
"Votre inquiétude est bien naturelle, je suis un membre du peuple Saiyan mais loin d'être dangereux, je servais simplement en tant que mécanicien. Ce sont ces compétences que je vous propose. Ma venue sur votre belle planète n'est qu'un malheureux accident, je voyageais à travers l'espace quand soudain je rencontrais un champ d'astéroïde. Nul besoin d'appeler à l'aide, je cherche simplement un endroit où m'installer pour me requinquer."
Jet : 7 (Echec critique… )

Racine, tu toises du regard les deux énergumènes durant leurs dialogues plein de méfiance. Leurs blablas te fatiguent rapidement, mais tu es prêt à continuer tes tentatives diplomatiques. En même temps, perdu en territoire inconnu, la tête qui tourne et les repères anéantis, essayer de bien s’entendre avec les autochtones est toujours une bonne idée. Ainsi, après les avoir vu se retourner, tu écartes les bras dans leur direction avec toutes les sympathies du monde.

Tes yeux s’écarquillent alors. En l’espace d’une demi-seconde, un éboulement de visions terrifiantes déferle sur ton cerveau. Des yeux de couleurs surnaturelles, des bouches là où elles ne devraient pas être, un doigt mélangé à une langue qui s’approche de ton front. Tu les as déjà vu. Serait-ce… un flashback ? Ton coeur commence à battre à pleine vitesse. Des frissons hantent le long de ta nuque. Tu connais cette… entité ! Tu l’as déjà vu quelque part !

"V̕͞ò̕͢t́҉́͞r̵̡̀̕ȩ̶̛͜͝ ̴͡҉̡i̶n͝҉͝q̸̨́u̷̴i҉é̴̕͡͠t̶̢ưd̴́͟e̶̢̡͢͝ ̕͘e̶̴̕̕s͏̨͢͝t̡̧́͢͢ ̵̶̸͠b͏͠i̷͘͢è̷͘n̡͞ ͘͜͟͟͝ǹ͠a̴̡t͟͠҉ų̀̕r̶̢͝è̶̸̶ļ̢̨̛ĺ̸̵̶͢e̷̛͡,҉̸̢͝ ̢̀̕͜͜j̀͏͞e̴͘͜ ̵͟͝s̢̢͘͠u͟҉į́ś̴͝͠ ̧̀͠ù̴̴҉̶n҉ ̡͟͡m͏͟ęm̛͘͞b̵̀̕͞r͝e͠͡҉̴ ̵͜d̷͘u̧ ̷́͏̡p̷̸͜͏ę͘̕͜ú̵̧̡͞p̛͘͠l͝e̡͡͏͠ ̵̢̨͜S̷͟a҉̶͞ì̕͘͢ỳ̡͘͞á̢҉̡͢n̴̢ ̨͜͞m̵̴̛̀͡à̷̛͡i̶͝s͠͏ ̵͢l̸͟҉͟o̷̧i̡͏͟͏͞n̛͟ ̷̀͡d͜͝͡'̸͡ę̷̶̂t̷́҉̴̕r͏̷҉e͡͏̴́͠ ̷̕d̸̨̀a̷͠n͟͟g̷̵e̵̵r͠͏̀̀͢é͘͜ù̶̸̧̀x͟,̵̡̕ ̴̕͏̸j̡̛́͟é̸̷͟͞ ̶̢́͜s̡͏è̶͡r̸͝͝v̶̡á̵͘͝i̷̸̵͝͝s̨̧͘͠ ̶̸̧͜͜s̶҉̶̕i̴̢̛͢͡m̷̶̛͟p̶҉̧͘l̵̶̕͞͞è̴̴͝ḿ͜e̸҉͡n͜͞͏̸t̵̢̨̛͟ ̵̨͘͝e̷͘̕͢n̵̶̡ ̛͢͟͠t̷̨͢͠͡a̢͢͡͏̧ǹ̡t͟͢ ͏̷̀q̧͠͡ų͢͠e̢͢͝ ̀͞m̸͜͏̷̕é̸͟͢ćą̨͜͡͞n̷͟҉͘͟i̷̷̷̴c͢͏i͝͡ę͢͡n̶̷͘.́͟͜͠ ̨͜͞C̡͜͞e͠͞ ͜͟͜͞͝s̶͘͏ơ̸͡ń̨͢͏̶t̸͠͡͝ ̴̴̕͢͡c̢͢͠é̸́͟͞ś̛͜ ̶̧̨͢͟c̡҉̶̧̛ǫ̶̸͜͠ḿ̶̶̢̀ṕ͏̢́é͢͏̴t̵̡͘͝͞e̷̢̧̛͟ń͏c̷͞ȩ̸̨́́s̵͟ ͏́q̧̨͘̕͝ų̛e̛͜҉̸͞ ̕͟҉̕j̕͢͞e̛ ̧͟͝͠v̶̛̕̕o̷̡͜͠ừ͡s̴̴̨ ͘͜p͏͜ŗ́͡o̶̕͢͡p̸҉ò̢͟͠s̴̢̧̕͟e̸̛͝͡.͠͏͟ ҉͜͏̕M̴̛̛҉a͘͜͢͟͞ ̕͘v̷̵e̶̸̷̕͘n̸̨̛͟u̶͠ȩ̵̢̢ ̷͝s̀̀u̢̢͘͡r̵̶̸̢̨ ̨҉v͏͘҉͘ǫ̨͢͠҉t̢̀͟r͠͠҉͏͢e̡͠ ̨̕͠͏b̸̸̡́e̴̵̡̕͝l̢̕l̡͏̕̕͝ȩ̸̡̕ ̢͘p̶͟ĺ̢̛̛̛à̶͡ńè͘͞t̴͠é́͘ ̶̸̨ń̸̢̛'̸̴̧̡̛e͜͡҉s҉t̢̕͢҉͟ ҉̶̨̀q̴͜u̵̡̧̨'̸̢u̡̕͜͞n̸̸̢͟͠ ̶́͟͞m̶̶a̴͘͢͝l̢͡͡h̢̀͟e̛̕͢͢u͟r̴̨̢e̵̷͜͟͠ų̛͡͝x̧͢͝͡ ͞ą̴̸͜c̨̕͜͠͞c̶͞҉͝i̷̵͘͡d̀͟ȩ̶͜͢͢n҉̵̧t̷͜͜,̢҉ ̨̀̕͢͟j̴́͟͝e̷͠͞ ̴̀͟v̷̶̧͟o̢̕ỳ̸̕a͏̡͟͢ǵ̕͜e͡a҉҉ì̶̕͟͢s͠͝ ̶̡̨à͘͞͝ ҉͏̴͘t̴̛r҉͜a҉̢̛̀͜v̧̡̡̢̛e̛͢͠͡ŗ̛͠͏s̸͟͜͞ ͜l͘͞'́ę̀͢͏͟s̢̛p͏͠͡a̧̕c̀͡͝e̵̢ ̛͘q̶̨̀̀ú҉̸̕a͢͡n̨̧̛͞d̴̀͢͞҉ ̴ş͜o̢̡ų̸́͞d͟a̷̸i̡͟n̸̸̨͠ ҉̨̢͝҉j̵̛͘͘͡e̢̧̛ ̸̸̢̕͘r̶̀͝e̸͏n̸͏̢c̕͘o҉͏͏n̛͏̶͟t̀҉̀͠r̕͝a̢͏͞ì̛̕͞ś͘̕͠ ҉̡ù̵̶͞n̨̡͡҉̴ ̸͢͝c̀͘h̢̡͘a̴̕͟͠m̸̢͜ṕ̢̧͟͝ ̶̡͞͝d̵̨͞'̶̕a̵̢̕s̸͟t̶é̴r͏̧o̶͟͠ï̸҉͏̡d̕͟͠e̶.̷̀̕ ̶̶̢̕N͘҉̴͝ư̸̴̢͟l͘͠ ̨́͝͝b̴̸̕͢e҉̛s̸͟o̧ì̸͘͟͢ǹ̴͟ ҉̷d̡͟͢͢͞'҉̛̕a͏̢p̸̡p̸̴̨̢̀ȩ̨l̶̷͘͟͜è͞͏ŗ͢͟͝ ͢à̶͢͟ ̸̧͢͠ĺ̷̛͜͜'̧̢̛͞à̕i̧d̸͘͠e͏̀͠,̶̕ ̛͟j̶̧̨̡͜é̷̴͟͢ ҉̸̢̕͜ć҉̸͜h̡͞e̴̴̢͞͠r̸͠c̀͠h́e̡ ̶͘͢͜s̷̡̡i̢̕͡m̡͟͡p̵͞͝l̴͝҉e͢҉̴́m̵҉̸e͟͠͝͡n̴̨t̷̴̕͝ ̸̨͢u̴̕͟n͏̀ ́͠͏̛e̷͟͞͡n͜͢͝ḑ̨͜͝r͡ó͡i͢͏t̴̕͜͢ ̵̡͢҉̴ò̧͜͡͡ų̀͝ ̸̡m̸͘͡҉'҉͘͘͝i͘͜͟n̵͏́̕͡ś̴͟͡t҉̧҉a̢҉͝ļ͟l̴̛͞͝é̛͏ŕ̕͢͡ ̀̕͢͝p̷̶͘͜o̧͝u҉̡̛r̶̵̷͘͞ ̧m͢͜͢e̷͏̴ ͝͏̷́҉r̵̷̨͡e͝q͢͜ú̵̕͡i̸̧͡͏͝n̨̧͠q̕͘ųȩ҉̵̛͞r̵.̸͢͟͠"

Tu te réveilles soudainement, à nouveau, seul dans la forêt. La capsule est toujours là. Que s’est-il passé ? Tu remarques… des traces de pas sur le sentier, dans la poussière. Elles vont dans l’herbe qui devient arrachée. Ta vision améliorée te permet de voir un passage à l’arrache dans les buissons. Vraisemblablement, ils viennent de fuir. Il n’y a aucune trace de sang, après tout. Dans les airs, aucune fusée de détresse. Tu leur a fait définitivement peur, mais tu ne les as pas attaqué. Du moins, de ce que tu en crois.

Tu ne sais pas pourquoi, mais tu te sens un petit peu moins Saiyan…

Racine gagne un nouveau pouvoir :
Message Eldritch : Racine entre dans une transe momentanée où ses paroles sont traduites dans un langage lovecraftien terrifiant le commun des mortels. Cette capacité peut s’activer toute seule en cas d’échec critique pour ruiner ses tentatives de dialogues diplomatiques.

Boneco a écrit:

Déstabilisé par cette expérience aussi inattendue que déroutante, le Saiyan prend un instant pour se remettre de ses émotions puis décide de se relever. Fort heureusement, les fuyards ont laissé des traces de leur passage dans la précipitation. Sans plus tarder, après un dernier regard en arrière pour inspecter rapidement son ancien vaisseau, Racine décide de suivre leurs traces et d'emprunter le chemin laissé derrière eux, espérant qu'il le mènerait directement à leur village.
Jet : 67 (Ah, enfin une réussite !)

Les images reviennent et repartent de tes esprits. Tu la vois clairement et pourtant tu ne peux le décrire. Qu-quel genre peux-tu même attribuer à cette chose ? Tu respires fortement. Inspiration, expiration, inspiration, expiration. Le stress appuie contre ton coeur, mais chaque seconde un peu moins, jusqu’à ce qu’il ne reste qu’un petit malaise dans ton ventre. Tu te relèves enfin, tes mains sont à présent stables. Aucun tremblement ne peut ternir tes mouvements. Ça doit bien être la première fois que cette vision s’offre à toi, mais tu ne peux t’empêcher de penser que c’est la deuxième…

Ton vaisseau est toujours là, toujours dans le même état désastreux. Peut-être qu’avec ton ancienne force ou tes ancien outils, tu aurais pu le démonter. Qu’importe, tu sais qu’il reste prêt de ce sentier battu. Si jamais tu te trouves des camarades, peut-être que tu parviendras à gagner des ressources utiles pour tes prochaines aventures. Tes yeux se posent sur les traces des deux énergumènes ayant tenté de faire le premier pas. Il a fallu que ce soit à ce moment là que cette expérience te revienne dans la tête. Quelle malchance…

Tu t’élances finalement, l’esprit plus ou moins serein malgré ce qui vient de se passer. Oui, ça va aller… Tu suis les traces, parfois en courant, parfois en s'agrippant sur une branche ou deux. Un petit parcours facile à suivre. La forêt devient petit à petit de plus en plus marécageuse, comme si tu finissais dans un bayou. Des torches éteintes et posées contre des surfaces de pierres te permettent de voir que tu t’approches d’un lieu habité. Finalement, tu commences à entendre du bruit en fond. Des outils de fermier qui se plantent dans la terre ou qui s’entrechoquent, des animaux nourris, des dialogues plus ou moins concernés par une certaine sphère tombée du ciel et le tremblement de terre résultant de son crash. Tu t’arrêtes et grimpes à un arbre, ton ouïe affinée permettant de saisir une conversation avec des voix que tu reconnais :

"... Et là, et là, il se met à léviter et à parler dans une autre langue ! Mais genre, pas du Namek ou quoi, il parlait avec une voix qui résonne dans la tête avec de l’écho et tout et tout !"

"Comme des paroles de musique à l’envers !"

"Ouais, exactement comme ça ! On a pas réfléchi, on a fui."

"P’t’être qu’on aurait pas dû ?"

Tu parviens à décerner les deux voix que tu as entendu tout à l’heure, encore essouflées. C’est donc probablement de toi qu’il s’agit. Les voix sont éloignées du reste du village. En fait, elles s’approchent un peu de ta direction.

"Vous en avez parlé à quelqu'un d'autre ?"

Une voix plus rauque, plus vieille se fait entendre. Probablement un type important. Tu peux juste le sentir. Les deux éclaireurs sont donc tout simplement en train de faire leur rapport, éloigné du camp.

"Non, Lawrence, juste toi."

"Très bien. N’alertons pas les autres en attendant d’en savoir plus."

"T-t’as une idée de ce que ça pourrait être ?"

"Pas vraiment. Peut-être une possession ? Il me faudrait le voir pour être sûr. Mais si ce type est vraiment un Saiyan et qu’il aurait survécu à un crash, qui sait quelle puissance il possède véritablement. Peut-être… peut-être que nous devrions nous préparer à une possible attaque..."

Les voix se rapprochent. Peut-être que tu pourrais interagir avec eux ? Dans tous les cas, ils ne te repèreront pas tout de suite...

Sperk a écrit:

Épuisé par cette série de quiproquos, Racine comprend que continuer sur la voie qu'il a emprunté ne lui apporterait que des embarras supplémentaires. Avec précaution, il rebrousse chemin, usant de son ouïe supérieure pour s'assurer de ne pas être suivi. Abandonnant ces individus et leur paranoïa derrière lui, il décide d'emprunter le sentier qu'il avait aperçu près de la zone du crash.
Jet : 92 (Coup critique !)

Tu peux toujours les entendre, mais ça ne veut pas dire que tu les écoutes. D’arbre en arbre, tu fuis la scène. Tous ces quiproquos commencent à te gaver. Des trouillards, encore et toujours. Personne ne te suis, tu prends de la vitesse. Pas besoin de ces idiots à visage de mouton, tu t’en sortiras très bien tout seul. Non seulement ils te craignent, mais tu ne désires pas leur faire de mal non plus. Si tu perdais le contrôle de toi-même à nouveau… qui sait ce qui se passerait. Cette apparition indescriptible te hante à nouveau. Des visions qui viennent et s’en vont immédiatement. Avant même de t’en rendre comptes, tu es déjà de retour près de la case départ.

Déjà ? Tu regardes tes mains, puis tes pieds. Viens-tu de bondir d’arbre en arbre sans même t’en rendre compte ? Plusieurs dizaines de mètres parcourues en moins d’une demi-minute… Peut-être que ce sont d'anciens réflexes simiens et ancestraux qui se manifestent en toi ? Cela fait du sens, après la découverte du Ki, du vol et la disparition des jungles de Végéta, ta civilisation a abandonné cette incroyable agilité. Face à la perte de tout tes repères, tu te vois forcé de redécouvrir les gestes maîtrisés par les premiers Saiyen… Ça, ou tu étais entraîné à la gymnastique avant ce crash. Qui sait ?

Tu décides de prendre le sentier vers la droite, bien heureux d’avoir découvert une telle maîtrise de ton corps à travers ce départ du camp. Finalement, c’est l’esprit tranquille que tu finis par apercevoir de loin les ruines de quelques immeubles. Te rapprochant, tu parviens à voir des bâtiments un peu mieux aménagés. Serait-ce… des grues ? Ces terriens sortaient donc bel et bien d’une catastrophe. Tu continue de suivre le sentier qui petit à petit se transforme en véritable route.

“Bienvenue à Squat”, tu lis sur un panneau, “dans cette partie de Satan-City séparée du reste, les réfugiés du cataclysme se sont regroupés. Avant, nous nous rassemblions. Maintenant, nous reconstruisons. Demain, nous revivrons ! Rejoignez nos efforts !”

Une fois enfoncé davantage dans cette ville, tu arrives à une croisée et le spectacle qui t’es offert est un bouillon urbain. Certains bâtiments semblent rénovés, voire construits de toutes pièces. D’autres sont encore en ruine, mais des clochards y séjournent. Un baril enflammé regroupe plusieurs individus. Sur un autre trottoir, un champ de construction. La plupart des travailleurs y ont les mêmes masques d’agneau que ceux que tu as rencontrés. Y a-t’il une possible symbiose entre ces deux communautés ? Les terriens ne semblent pas tous de sang pur, cependant. Quelques Nameks font également partie des maçons, par exemple.

As-tu un plan maintenant que tu es dans cette ville, Racine ?

Racine a débloqué un nouvel Attribut !
Mobilité Simiesque : Racine se déplace avec une agilité incroyable quand il s’agit d’utiliser des points d’appuis ou de suspensions. Dans une forêt ou une jungle, il peut rivaliser avec des singes !
Physique : Pieds à morphologie un peu particulière (imaginez Tarzan).

Sperk a écrit:

D'abord stupéfait par l'immense étendue urbaine qui s'offre à lui, Racine se ressaisit bien vite, et tente de trouver une source d'information écrite quelconque qui pourrait lui apporter des éléments sur le monde dans lequel il vient de débarquer. S'il n'en trouve pas, il ira converser avec les sans-abris qu'il a aperçu plus loin. Dans tous les cas, les sujets prioritaires auxquels il s'intéressera seront l'état de la société dans laquelle il vient de débarquer, les raisons d'être de ce groupe rencontré dans la forêt, et enfin de potentiels témoignages extérieurs concernant son propre crash.
Jet : 88

Cette ville est impressionnante. Tu ne sais pas si ce sont les efforts collectifs de sa population pour reprendre leur existence en main après la catastrophe, l’immensité des gratte-ciels ayant résisté aux secousses, ou simplement la largeur urbaine qui s’étend dans toutes les directions autour de toi. Et soudainement, tu te reprends. D’accord, très bien. Il te faut trouver une source de renseignements. C’est une très grande ville, en effet. Mais est-ce qu’il y aurait de quoi te renseigner sur les environs…

En arpentant un peu les rues, tu découvres finalement ce qui semble être une bibliothèque. L’intérieur a accès a l’électricité, mais les étagères sont tristement vides. Au final, l’attraction principale sont les ordinateurs. Des gens en tout genre s’y sont regroupé, préférant les encyclopédies en ligne plutôt que les quelques bouquins sans intérêt sauvegardés après l’apocalypse. Ce modèle ne t’est pas forcément inconnu, quand bien même la disposition des lettres sur le clavier a l’air extrêmement maladroite. Tu passes un peu plus de temps que prévu à… MAIS BON SANG, QUI POSE LE “Q” À LA PLACE DU “A” ?!

Il semblerait qu’il y ait eu une dérive des continents. L’une des causes aurait été bien sûr la totalité des bombes enfouies profondément dans la terre, mais la vitesse des déplacements de si grands terrains avec aussi peu de catastrophes est encore inexpliquée. C’est comme si elles avaient décidé de flotter. Entre ça et les radiations dans la stratosphère, les surfaces terrestres ne sont plus connectées entre elles. Cet archipel n’a d’information que sur ce qui le concerne et quelques témoignages sur le reste du monde de la part de voyageurs très chanceux.

Oui, Racine, un archipel ! Plus précisément, une “combinaison” de trois îles qui se nomme Centratan. Satan-City aurait été morcelée par la dérive susnommée, mais ses territoires ne se seraient pas éloignés tant que ça les uns des autres. Tu te retrouves sur l'île de Welline, dans son unique véritable ville nommée Squat. La plupart des espaces urbains ont été annihilés avec la population terrienne. On estime qu’il ne resterait pas plus de cinq cent millions de terriens encore vivants. Une statistique dite “optimiste” selon l’article. Le seul autre espace urbain de Welline est son port de l’autre côté de l’île, un chantier maritime qui figurait déjà dans la métropole de Satan-City et qui avait été facilement réaménagé, ayant été renommé le port Videl Satan en honneur de la fille tout aussi disparue du maître des arts martiaux.

Évidemment, tu te retrouves à faire des recherches sur les mystérieux habitants de la forêt, ici appelé la Lamb Commune (que certains surnomment Family). Selon les dires de leur leader, Lawrence Lamb, ils sont les derniers survivants d’une branche d’une secte assez populaire d’il y a quelques années : la Wyatt Family. Après la disparition de leurs patriarches, certains ont décidé de réécrire leurs principes. Ils semblent être un groupe de chasseurs/cultivateurs évitant d’abandonner complètement les voies de la technologie, vivant en symbiose avec la ville où tu te trouves. Ils servent de muscles, de chasseurs, d’agriculteurs et d’artisans pour la cité en reconstruction, mais refusent catégoriquement de se fonder directement avec la société. Ils vivent selon des principes plutôt anarchistes, préférant ne pas élire directement un leader mais plutôt un orateur principal qui prendra le nom de “Lamb” pour représenter le groupe. Quelques rumeurs sur leurs pratiques, quelques sous-entendus sur des compétences magiques, quelques craintes sur leurs origines… plus grand chose d’intéressant.

Squat, la ville où tu te trouves, n’a pas de véritable système politique. On essaie de garder le mode de vie libéral précédent les bombes, mais pas assez de temps s’est passé pour tenter d’établir tout un système compliqué. Un certain Andrew Purple, charismatique commerçant ayant eu le panache de faire de jolis discours à la foule, aurait gagné le rôle de maire. Il semble excentrique et porte lui aussi un masque, encore plus ridicule que celui des autres : un crâne violet en plastique lui couvre entièrement la tête, et par dessus s’y trouve des lunettes de soleil et un large chapeau. Tu imagines qu’après l’apocalypse, certains préfèrent devenir des personnages.

Les autres îles sont Midcentre, constituée de l'entièreté de ce qui reste de Satan-City, gérée par une nouvelle entreprise nommée Providence, ainsi que Karuzakie, nommée après le sacrifice d’une démone; sans surprise, le départ de SK a fait des démons les bouc-émissaires du cataclysme, les laissant se rassembler sur le plus larges des territoires de l’archipel. Midcentre est un centre scientifique et administratif, d’où son nom. Karuzakie semble davantage être l’endroit où on produit les matières premières et où les transforme, car c’est de là qu’on trouve l’origine de la majorité des véhicules et des minéraux. Et Welline est la source d’eau et de nourriture. Tu peux rapidement comprendre la figure géométrique de ce commerce.

Sinon, rien vis-à-vis de ton crash. Les nouvelles circulent vite, sauf quand il n’y a pas beaucoup de gens à voir. À la recherche de possibles questions à entrer dans le moteur de la machine, tu vois du coin de l'œil… serait-ce… ta capsule ? Posée sur une remorque et tirée par quelques bras lourds ?

Tu ne t’es pas levé de ta chaise. Tu as vu d’autres Saiyen dans cette ville, certains portant encore les justaucorps de votre fière civilisation. La remorque s’arrête, peut-être un dialogue entre les porteurs et d’autres ? Certaines personnes dans la librairie se retournent pour voir avant d’ignorer l'événement, tandis que d’autres sont plus intéressées. Il y en a même qui sortent voir le pod brisé.

Que comptes-tu faire, Racine ?