[En Pause] Destins croisés

Une Nuit fraiche et sombre (partie 1)

C’était une nuit fraiche et très sombre, le calme régnait: pas un cri, pas un bruit, rien ne semblait pouvoir perturber ce silence qui devait déjà durer depuis un certain temps. Des milliers d’étoiles était visible dans le ciel, la nuit devait déjà être bien entamer mais c’était assez surprenant de voir un tel calme surtout sur cette planète où il y a beaucoup de mouvements d‘habitude avec tout ce que l‘on peut faire ici normalement, c’était comme pour annoncer que quelque chose d’important allait se produire mais ce n’était peut-être pas quelque chose de très réjouissant. Une atmosphère un peu inquiétante régnait et ce silence risquait de devenir insupportable à la longue si il ne se passait rien. Heureusement, cela allait bientôt changer mais ce qui allait arriver n’était peut-être pas mieux que ce silence angoissant, quelque chose d’encore plus terrible allait sans doute arrivée. Soudain, le calme fut perturber par des bruits, c’était des bruits de pas: quelqu’un marchait dans les rues, était-il fou ? Se balader comme cela alors que quelque chose de terrible s’annonçait, à moins que c’était l’un d’entre eux… Oui ce devait sûrement être ça et puis les bruits de pas ressemblait beaucoup à des claquements de bottes ce qui pouvait laisser penser que cette personne qui marchait était l’une des personnes qui allait troubler cette nuit.

Les pas s’entendait de loin tellement il n’y avait pas un chat puis cela semblait se rapprocher jusqu’à l’on puisse voir la silhouette de cette personne. Elle était vêtu d’un long manteau noir avec une capuche de la même couleur qui cachait entièrement son visage, on ne pouvait donc pas voir si c’était un homme ou une femme, cependant la carrure de l’individu laissait pensé qu’il s’agissait d’un homme. Il se dirigeait vers un bâtiment encore ouvert, sûrement un bar. Bizarre, à cette heure-ci et avec une telle atmosphère, qui serait assez fou pour ne pas fermer sa boutique ? Ce devait sûrement être le lieu du rendez-vous. La personne ouvrit la porte et entra, quelques lumières éclairait la pièce mais c’était toujours sombre, en tout cas assez pour que l’on ne puisse toujours pas distingué le visage de celui qui venait d’entrer. L’individu s’approcha du comptoir et s’y accouda. Il avait remarqué la présence du barman ce qui le fit sourire, il dit:

"Tu es encore là ? Je pensais que tu te serait mis à l’abris comme les autres. Si tu ne veux pas mourir tu ferais mieux de t’en aller sinon…Serre-moi un verre ! N’importe quelle boisson, tant que ce soit assez fort. Promis je te laisserais un bon pourboire."

"Je suis encore là, mais ne crois pas que j‘ai peur de toi. Et si je te serre c‘est seulement pour joué mon rôle de barman comme je le fait d‘habitude." Répondit le barman d’un ton ferme mais pourtant pas mauvais. C’était un jeune homme aux cheveux longs et bruns qui était habillé avec des vêtements clairs et amples.

L’individu qui était arrivé rigola et bu son verre quand il fut servit. Il prit tout son temps, comme s’il voulait profiter de ce moment calme qui n’allait sans doute pas durer. Après avoir finit son verre il demanda à être servit une seconde fois puis déposa ce qu’il devait au barman en laissant taper sa main sur le comptoir pour poser les sous qu’il devait payer pour la boisson. L’homme se retourna et regarda dehors, il pouvait voir l’extérieur puisqu’il avait laisser la porte ouverte, il souriait et dit:

"Tu attendait que j‘ai finit mon verre pour te montrer ? Trop aimable." Demanda-t-il à quelqu’un mais l’on ne vit personne.

"Pas vraiment, je suis arriver bien avant toi, je t‘observait." Dit une voix sans qu’on sache d’où elle provenait avant qu’un homme sorte de l’ombre d’un coin de la pièce.

La personne qui était au comptoir continuait de regarder l’extérieur sans jeter une seule fois le regard sur celui qui venait de parler. Cet autre homme était lui aussi habillé d’un vêtement noir qui lui couvrait le visage, on ne pouvait donc pas voir de qui il s’agissait. Puis l’autre homme répondit:

"Tu m‘observais, hein ? Je savais que tu était déjà là quand je suis arrivé…
Dit, tu veux un verre ? Je te le paye si tu veux mais…cela risque d‘être le dernier. Hahaha haha !"

"Je ne suis pas venu pour boire et tu le sais très bien…Et puis des verres, j‘aurais encore l‘occasion d‘en boire une fois que ce sera terminer." Dit-il d’un ton sec, puis il enleva sa capuche et l’on pu voir qui était la personne qui venait de parler: Motta.

Puis, l’homme qui s’était accouder au comptoir enleva lui aussi sa capuche et s’éloigna un peu de là où il était, on savais maintenant de qui il s’agissait: Candaves. Les deux sayens se regardait et Candaves fit quelques pas vers l’autre en souriant , il se tenait le poignet droit, comme s’il était prêt à frapper puis il s’arrêta et dit après avoir rit brièvement:

"Bon, comme tu voudra, je faisait un geste amical pourtant. Mais tu semble ne plus avoir envie de rester dans ce monde alors…Finissons-en !"

"Tu semble bien sûr de toi, c’est ce qui te perdra !
Juste une chose, ne commençons pas le combat ici, nous risquerions de détruire cet endroit et il avait déjà été détruit autrefois par l‘un de tes amis d‘ailleurs…" Répondit Motta.

"Héhé, ok comme tu veut, je te laisse choisir le lieu de ta mort et puis, comme ça je pourrais fêter ma victoire en buvant un verre ici après le combat ! Nous serons mieux dans un endroit plus spacieux aussi, c‘est vrai."

Les deux guerriers quittèrent l’un après l’autre le bar, on sentait que ça allait bientôt éclaté entre les deux sayens. Candaves semblait très sûr de lui tandis que Motta était concentré sur ce qui allait arriver maintenant.

A SUIVRE…

I need the sweet

Une Nuit fraiche et sombre (partie 2)

Les deux hommes avait quitté le bar, soulageant un peu celui qui en avait la propriété qui n’avait pas envie de voir son enseigne détruite par un combat qui s’annonçait terrible. Motta avait quitté le bar en suivant Candaves mais une fois dehors le sayen à la musculature impressionnante avait suivis Motta. Il suivais celui qu’il allait combattre en se tenant le poignet droit avec son autre main en faisant de petits mouvements, ses yeux brillait à l’idée de se battre, il semblait très impatient tandis que l’autre homme semblait serein, sans crainte pourtant il y avait une grande tension.

Après avoir marcher pendant un petit moment Candaves commençait déjà à perdre patience déjà qu’il n’en avait pas beaucoup, il était nerveux et ralentissait, ne suivant plus trop Motta. Ils passèrent encore quelques ruelles avant d’arriver à un endroit avec un peu d’espace mais pas assez selon le colonel pour s’y arrêter. Cependant l’autre sayen semblait en avoir marre, il arrêta de marcher tapa avec sa main droite dans l’autre, il n’avait pas l’air très content. Il dit:

"Hey ! Dit-le si tu veux qu‘on se battent sur une autre planète ! Moi, ici ça me convient très bien et je n‘ai pas l‘intention de bouger. Je ne suis pas venu pour épargner qui que se soit ok ? Et si t‘es pas d‘accord tu devra me battre pour m‘emmener ailleurs…En d‘autres thermes, tu n‘a pas le choix. Ce sera ici !"

"Hum, je croyais que c‘était moi qui décidait du lieu où nous allions nous affronter..."Répliqua Motta.

"Tss ! Tu avais le choix mais maintenant c‘est trop tard. Nous allons nous battre, il y a assez d‘espace ici pour que nous nous affrontions…et puis si cela ne te conviens pas on aura qu‘à détruire quelques bâtiments pour se faire plus de place héhé hé !"

"Peu importe le lieu mais de préférence je voudrais éviter de détruire des endroits ou j‘aurais besoin d‘aller plus tard. C‘est une planète commerciale tout de même !" Dit Motta.

"Haha ha haha ! Parce que tu crois vraiment que tu va survivre à ce combat ? Si c‘est le cas-tu te trompe. Ce sera ton dernier combat, crois-moi." Dit Candaves.

"Tu ne m‘impressionne pas du tout. Ce que tu dit, c‘est du vent pour moi. Je ne vais pas trembler face à un traître…C‘est dommage qu‘on en arrive là, les choses aurait pu être différentes." Dit Motta.

"Si tu crois m‘avoir par les sentiments tu ne sais pas à qui tu as affaire. Allez, assez parler, battons-nous que tu puisse voir qui est le plus fort ! Mouhahahaha hahahaha !"

"Tu as perdu la raison, mais aujourd‘hui ce n‘est pas la seule chose que tu perdras..."

Les deux guerriers n’ajoutèrent aucuns mots, ils se mirent en place, se positionnant prêt au combat, les mots allait laisser place au combat que l’on attendait tous. Un combat qui désignera sans doute un vainqueur.

Un moment de silence s’installa entre les deux hommes qui se tenait désormais face à face à quelques mètres de l’autre, le calme était tout à fait incroyable à ce moment là. Pas un bruit, pas un grincement ou ne serais-ce qu’un murmure vint perturber ce silence aussi incroyable que tendu. On aurait dit que toute la ville n’attendait que le début du combat pour que cela puisse vite se terminer mais pourtant à part les deux sayens il ne semblait y avoir personne. Ils se tenaient tous les deux face à face en se fixant droit dans les yeux dans une position de combat prêt à bondir comme deux tigres affamés. Une légère brise balaya le terrain où se situait les deux hommes et l’on vit une feuille morte tomber et se poser délicatement au sol. Comme si cette feuille était le signal du début du combat, les deux guerriers disparurent d’un coup comme s’ils n’avaient jamais été là. On ne les vit plus pendant un petit moment, ils devaient sûrement se chercher en se déplaçant très rapidement en tentant de mettre un coup à l’autre. Tout se passa très vite, trop vite peut-être puisque l’on ne voyait pas grand-chose jusqu’au moment où on les vit s’arrêter, ils avait tout deux changer de place et ne semblait pas avoir reçu de coups pour le moment. Candaves lâcha ces quelques mots pour déstabiliser son adversaire:

"Tu ne tiendra pas tout le combat comme ça, en m‘affrontant tu as déjà signé ton arrêt de mort. C‘est la fin pour toi !!" Dit-il en haussant le ton sur sa dernière phrase.

En finissant ces quelques mots le guerrier balança une boule d’énergie à Motta, se dernier l’a dévia d’un revers de la main droite et la boule s’envola dans le ciel. Quand le colonel regarda de nouveau vers Candaves ce dernier n’était plus là alors il ne tarda pas et se téléporta dans une autre direction, l’autre sayen s’était déplacer rapidement et était arrivé derrière Motta mais le coup qu’il avait préparer frappa dans le vide. Motta se téléporta de nouveau et frappa son adversaire d’un puissant coup de pied, Candaves para d’un réflexe incroyable en mettant son avant-bras droit en opposition. C’est alors qu’un enchaînement de coups de poings et de pieds s’enclencha entre les deux hommes. Les deux sayens esquivait ou parait à chaque fois les coups de l’autre Aucuns coups n’avait réussit à atteindre sa cible jusqu’ici, les deux sayens se neutralisaient, ils avaient l’air d’être de même niveau, le combat s’annonçait long et intense. Ils ne comptaient pas abandonner ce combat alors ils allaient sans doute se battre jusqu’au bout, peut-être même jusqu’à la mort en supposant qu’aucun des deux guerriers n’allait avoir pitié de l’autre au moment crucial qui désignerait un vainqueur.

Bref, le combat continua sans relâche, Motta tout comme Candaves avaient l’air d’être en pleine forme. En les voyant combattre on devinait facilement que ce n’était pas le premier affrontement entre les deux hommes, ils s’étaient déjà rencontrer par le passé et semblait nourrir une grande rivalité. Quel était donc la source de cette concurrence entre ces deux sayens ? Pourquoi vouloir se battre ? Une chose était certaines, ils travaillait tous les deux pour le Roi Végéta auparavant mais maintenant cela avait un peu changer et ils n’étaient plus tout les deux dans le même camp. Après la destruction de Végéta puis sa reconstitution, Motta était de nouveau l’un des hommes du Roi mais Candaves avait changer de bord pour une alliance avide de pouvoir.

Le combat continuait entre les deux sayens, ils enchaînaient pour le moment les coups avec une intensité et une rapidité assez impressionnante. Ils étaient très concentrer, tellement déterminer à gagner ce combat qu’ils ne remarquèrent pas que depuis le début du combat, même dès leur arrivée dans ce lieu ils étaient observés…

A SUIVRE…