Age : 31 Date d'inscription : 26/11/2023 Nombre de messages : 16 Bon ou mauvais ? : Mauvais. Zénies : 1280. Rang : D TechniquesTechniques illimitées : Kamehameha | Kōsengan | Shōgekiha | TaiyōkenTechniques 3/combat : Régénération | AbsorptionTechniques 1/combat : Makankōsappō
| Sujet: Re: Fiche de Cell Lun 27 Nov 2023 - 15:56 Cell - physique:
Cell est une créature unique ; c'est encore la meilleure manière de le définir, car il ne ressemble à rien de connu. Tel est le propre d'une nouvelle existence - du prochain chaînon de l'évolution. Si l'on peut le qualifier d'humanoïde, ce n'est qu'au sens large du terme, car il n'a clairement rien d'humain ; de son faciès difforme à sa silhouette dégingandée, quiconque l'observant de plus près s'en rendra rapidement compte. Il conviendrait sans doute davantage de le décrire comme un insecte anthropomorphe, les subtilités de son apparence disgracieuse suggérant une hybridation contre-nature entre cigale et sauterelle - à une taille bien supérieure, évidemment. Si son regard inquiétant aux pupilles effilées trahit effectivement une intelligence trop développée pour n'être qu'animale, la gemme imposante qui trône au centre de son front et les cornes imposantes qui sortent de son crâne le rapprochent quant à elle du règne animal. Ce dont sa forme étique le prive en force, il le compense par une grande lesteté. Et si la protubérance qui lui tient lieu de bouche, à mi-chemin entre bec et mandibules, ne comporte a priori aucune véritable dentition, ce n'est pas cela qui l'empêchera de satisfaire son appétit. Lequel est d'ordinaire plutôt l'affaire de ce queue qui jaillit du bas de son dos, de son aiguille acérée qui n'a besoin d'aucun garrot pour trouver où se planter. Si sa couleur verte mouchetée de noir - largement dominante - pourrait en théorie lui permettre de se fondre dans le décor comme les espèces auxquelles il s'apparente, les parties orangées de son anatomie, elles, auront tôt fait de le trahir dans la plupart des paysages. Ce n'est pas dénué de sens : ne dit-on pas que dans la nature, les couleurs vives sont synonymes de danger ?
- caractère:
Du haut de ses deux ans, l'on pourrait potentiellement affirmer que Cell est encore un enfant. Mais pas n'importe quel enfant ; un enfant auquel on a promis le plus beau des cadeaux - celui de la perfection. « On » - la volonté teintée de haine de son créateur, intégrée en lui comme elle l'était dans les circuits de son ordinateur - lui a juré qu'il serait un jour le meilleur, la forme de vie suprême, pour peu qu'il s'en donne les moyens ; ainsi n'a-t-il de cesse de poursuivre ce seul objectif. Il sait ce qu'il lui faut faire pour parvenir à ses fins, et ne reculera devant rien pour obtenir ce qu'il estime lui revenir de droit - le nombre de morts dont il devra se rendre responsable pour en arriver là n'étant qu'un point de détail pour sa morale inhumaine. N'est-ce pas au fond le meilleur sort qu'il puisse leur souhaiter que d'avoir la chance de faire partie de sa future grandeur, fut-ce en tant que simple infime parcelle de sa bio-masse ? Car si ses actions peuvent d'ores et déjà paraître animées de malveillance, les notions de bien et de mal lui sont encore abstraites. N'est-ce pas le propre d'un prédateur, que de se nourrir de plus faible que lui ? N'est-ce pas le souhait de toute forme de vie, aussi primaire soit-elle, que de prospérer et de vivre mieux qu'elle ne le fait déjà ? Le désir profond de survivre n'est-il pas le fondement de tout instinct primitif ? Dès lors, qui pourrait le lui reprocher ? Ou peut-être ne faut-il y voir que le vice des ingrédients les moins recommandables de son cocktail génétique. Qui sait. Conscient de sa propre faiblesse, et d'autant plus après avoir frôlé la mort par excès de confiance, Cell sait devoir prendre son temps et se cacher, se terrer dans les recoins en attendant le bon moment. Dénué d'honneur - pourquoi une bête en aurait-elle ? -, il n'a aucun scrupule à tendre des pièges et à attaquer en traître, se montrant en cela aussi sournois et calculateur que ses donneurs peuvent l'être - voire même plus, étant la somme des parties qu'ils constituent. Pour lui, nulle méthode n'est trop abjecte si cela peut le rapprocher de son principal objectif - de se nourrir, voilà tout. La subsistance est maître-mot ; la croissance viendra ensuite.
- histoire:
Ce n'était pas terminé, bien que la colonne de lumière du Dôme de Chaleur ait englouti Cell.
Il aurait pu mourir. Il aurait dû mourir, et il le savait. S'il avait accédé ne serait-ce qu'au stade suivant de son évolution - pourtant encore loin de sa forme finale -, sans doute aurait-il péri sur le coup. Mais pas sous cette forme, non, pas alors que tout en lui était fait pour qu'il survive envers et contre tout ; pour qu'il surmonte tous les périls et embrasse sa parfaite destinée. Dans un dernier sursaut de conscience, alors que sa chair se consumait dans une attaque contre laquelle il n'avait aucun moyen de lutter, Cell eut ainsi un réflexe désespéré ; celui d'enclencher sa propre auto-destruction. Se suicider plutôt que d'être tué n'aurait dû faire aucune différence ; à quoi bon, si c'était pour tout de même mourir au bout du compte ? Pour disparaître sans avoir rien accompli ? Mais il ne s'agissait pas seulement de mourir selon ses propres conditions. C'était un pari ; une tentative désespérée de sauver sa peau d'une exécution sommaire à laquelle il n'aurait pas pu s'attendre. Car en se faisant sauter de son propre chef alors même que l'attaque de Trunks allait l'anéantir, non seulement put-il la repousser en partie, mais aussi lui faire croire qu'il n'était plus utile d'alimenter son attaque puisqu'il ne restait rien de sa cible. Et en cela, il aurait presque eu raison. Presque.
Car l'immense majorité de son corps, de ce qui faisait de lui ce qu'il était fut bel et bien pulvérisé, ne laissant ni abattis ni cadavre - ni rien d'autre ; pas même une trace de son énergie. Tout ce qu'il en resta fut un seul et unique infime lambeau de chair, trop petit pour être perçu à l'œil nu, surtout au milieu d'une déflagration de cette ampleur. Un morceau de pulpe vivante ensanglanté... Tout juste assez grand pour contenir son noyau. Et au fond, c'était peut-être là le seul tort qu'il fallait reconnaître au fils de Vegeta : pour l'exterminer, il n'avait pas lésiné sur les moyens, il avait vu les choses en grand - alors qu'il aurait dû penser à un niveau microscopique. « Cell ». Comme « Cellule ». C'était tout ce dont il avait besoin pour se reconstruire. Ils auraient pourtant dû s'y attendre.
Plus mort que vif, le monstre du docteur Gero profita que la technique de Trunks ait ravagé son environnement et se laissa retomber parmi les gravats, au risque que cela l'achève. Il n'aurait de toute façon pas pu faire autrement, ne possédant plus ni bras, ni jambes, ni quoi que ce soit ; juste une dernière étincelle de lucidité, plus « instinct » que « réflexion ». Et surtout, il ne devait rien faire qui puisse le faire remarquer ; la moindre once de ki causerait sa perte. Réduit à un si petit fragment de son être, c'était à peine s'il savait encore qui il était, ce qu'il était ; tout ce qu'il retenait, c'était qu'il devait survivre. Survivre à tout prix. Même au prix de la honte et du déshonneur ; même en se faisant passer pour mort. Il n'en reviendrait que plus fort. La partie Saiyan de son ADN serait là pour s'en assurer.
Ainsi, Cell - ou ce qu'il restait de lui - finit-il par se retrouver enseveli sous des tonnes de gravats, heureusement sans qu'aucun ne l'écrase avant qu'il puisse commencer à se reconstituer. Dans son état, le moindre choc aurait pu lui être fatal, pour de bon cette fois. Il sombra dans un coma artificiel, comme l'aurait fait tout organisme trop mal en point pour consacrer son énergie à sa guérison et uniquement à cela. Même avec ses facultés de régénération, se recréer un corps complet n'était pas chose facile, qui plus est à ce stade primaire de son développement. Après plus d'une semaine entre la vie et la mort, à devoir mobiliser toutes ses forces pour ne serait-ce que se réussir à se maintenir en vie, il finit par réussir à se restaurer intégralement, reformant son enveloppe complète jusque dans ses moindres détails. Pas une de ses taches n'était pas à sa place. Revenant brusquement à lui au cœur de son tombeau de pierre brisée, l'être artificiel eut l'impression de prendre seulement alors sa première respiration ; d'ouvrir les yeux pour la première fois. Comme si rien de ce qu'il avait vécu auparavant n'avait compté. Il était en vie. Lui-même n'en revenait pas.
Cette joie euphorique fut cependant rapidement tempérée par le besoin impérieux de camoufler sa puissance - de ne laisser personne, surtout pas Trunks, savoir qu'il était toujours de ce monde. Celui-ci était loin, de ce qu'il pouvait sentir, mais il ne devait prendre aucun risque. La conclusion à tirer de tout cela était qu'il allait lui falloir un nouveau plan. Il ignorait comment le voyageur temporel s'était doté d'une telle force, mais de toute évidence, comme il l'avait appris à ses dépens, il n'était absolument pas de taille à lutter contre lui dans l'immédiat. Se voiler la face ne servirait à rien : il ne devait sa survie qu'à un coup de chance - un littéral miracle. Il n'aurait su assez remercier son défunt créateur pour l'avoir fabriqué tel qu'il était : sans ses gênes à la fois de Namek et de Démon du Froid, il n'aurait pas donné cher de sa propre peau, n'en déplaise au pan de sa personnalité qu'il devait à Vegeta.
Il allait devoir faire profil bas. Reprendre des forces - et surtout continuer à en accumuler, jusqu'à avoir une chance de le vaincre s'il devait à nouveau être confronté à lui. Non qu'il en ait véritablement l'intention s'il pouvait l'éviter, quand bien même prendre sa revanche ne serait pas pour lui déplaire : après tout, il n'avait eu à combattre que parce que Trunks était un peu trop bien renseigné sur ce qu'il complotait et avait pu le voir venir. Il n'aurait pas deux fois cette chance. Hélas, les cyborgs n'existaient plus. C-17 et C-18 avaient été mis en pièces, au sens premier du terme. Il avait bien tenté de dévorer les restes encore présents à l'endroit de leur destruction, mais cela ne lui avait pas rapporté grand chose.
En conclusion, il ne restait donc plus au magnum opus du docteur Gero qu'à se tourner vers le reste de la population terrienne, déjà dangereusement émaciée par ces deux imbéciles génocidaires, mais - heureusement pour lui - pas encore éteinte. Il n'était peut-être pas en mesure d'évoluer dans ses circonstances, mais il pouvait toujours se nourrir, et avec chaque repas, il se rapprochait un peu plus du niveau de celui qui avait tenté de l'abattre. Choisissant méticuleusement les camps de survivants les plus éloignés, il coupait leurs communications pour s'assurer qu'elles ne seraient pas capables d'appeler au secours pour ensuite se repaître de tous les êtres humains qu'il pouvait trouver - hommes, femmes ou enfants, sans distinction - jusqu'à laisser derrière lui des villes fantômes. Régulièrement, Cell s'assurait même de laisser derrière lui des « scènes de crime » plus barbares et dérangeantes qu'elles n'avaient besoin de l'être - quitte à laisser quelques cadavres défigurés derrière lui plutôt que de s'en nourrir entièrement - pour laisser planer le doute ; les jumeaux n'étaient morts que depuis peu et l'on ignorait encore la portée exacte de l'ignoble massacre qu'ils avaient commis. Oui, s'il pouvait semer la confusion et leur faire porter le chapeau de ses exactions, il n'allait pas se priver : plus l'on peinerait à s'y retrouver, et plus ils auraient du mal à soupçonner qu'il puisse y être pour quelque chose... Que l'humanité n'était pas encore tirée d'affaires.
Hélas, le « gibier » était rare et les précautions qu'il devait prendre retardaient d'autant sa progression. Il le savait, ce n'était pas un plan viable sur le long terme : il accumulait simplement un peu plus de ressources avant de dire adieu à cette époque - de retenter sa chance, maintenant que le seul à pouvoir l'arrêter avait baissé sa garde. Car il n'avait pas fait une croix sur ce projet, évidemment. Pas même alors qu'il avait déjà failli y laisser sa vie. Devenir parfait restait sa raison d'être, et rien ne pourrait l'en empêcher. Les cyborgs ayant été détruits et les Dragon Balls ne permettant plus d'y remédier, pas plus qu'un quelconque autre moyen, il n'avait donc aucun autre choix que d'aller les chercher ailleurs - « à un autre moment », si l'on peut dire. Trunks ne pourrait s'en prendre qu'à lui-même pour ne pas l'avoir laissé l'en débarrasser.
Ainsi finit-il par lancer sa deuxième tentative. Celle-ci consistait avant toute chose à se montrer négligent - à laisser des traces qui, cette fois, ne pourraient être que les siennes. Trunks le connaissait très bien, trop bien, plus qu'il ne le devrait ; il allait donc retourner cela contre lui et l'utiliser à son avantage. La Capitale du Nord - l'une des plus grandes villes encore habitées, du moins avant son passage - serait parfaite pour cela ; elle était trop voyante pour que son ennemi ne se rende compte de rien en passant à côté. Et pendant que le fils de Vegeta serait sur place pour investiguer, pour réaliser avec horreur son échec... Cell, lui, n'aurait plus qu'à faire le trajet inverse et profiter de son absence pour faire main basse sur la machine temporelle. Peut-être tomberait-il sur Bulma, mais celle-ci n'était pas un danger pour lui ; tout au plus une collation avant le départ. Mais non. Le hangar était désert, dénué de protection, si bien que c'en était presque décevant. Il fallait dire qu'avec tout ce qu'ils avaient à reconstruire, sans doute la plus grande scientifique encore en vie devait-elle avoir mieux à faire que de mettre en place un système de sécurité. Tant pis pour elle. Le véhicule était déjà prêt, semblant n'attendre que lui ; à son grand regret, il constata cependant être trop grand pour y entrer sous cette apparence. Si l'idée de se faire régresser de manière à tenir dans le cockpit lui traversa bien l'esprit, reprendre sa forme larvaire le rendrait beaucoup trop vulnérable si on devait lui mettre la main dessus. Il ne devait pas perdre de vue qu'il se pouvait très bien qu'il ait quelqu'un à ses trousses - que le temps qu'il faudrait à Trunks pour le poursuivre ne serait que celui dont Bulma aurait besoin pour construire une nouvelle machine. Ainsi préféra-t-il dans l'urgence se mutiler pour pouvoir fuir, à l'image de certains animaux, détruisant ses propres ailes pour qu'elles n'entravent pas sa montée à bord. Après avoir réchappé à la mort, il avait assez confiance en sa régénération - qu'il n'avait pas testée jusqu'alors ; fameux baptême du feu - pour savoir que ce n'était qu'une égratignure. Ce ne serait pas sans laisser de traces, mais il n'y aurait de toute façon pas de doute à avoir quant à l'identité du voleur quant ils s'apercevraient que la machine n'était plus là où ils l'avaient laissée. D'une certaine manière, se dit-il alors qu'il s'engouffrait dans les couloirs du temps, peut-être qu'il voulait que l'on sache que c'était lui ; que Trunks vienne naïvement le chercher - et qu'il puisse lui régler son compte. Mais pour cela, encore allait-il falloir le trouver. Car la traque ne faisait que commencer...
Kamehameha Conçu à partir de l'ADN de plusieurs de ses utilisateurs, Cell se voit naturellement doté du fameux Kamehameha. Joignant ses mains en coupe et les ramenant derrière lui, il y accumule une énergie bleutée qu'il projette ensuite sous la forme d'un rayon d'énergie destructeur. De par l'ancienneté de ses données, la version de la technique qu'il possède est la plus élémentaire qui soit, mais il ne désespère pas de lui donner de plus en plus de puissance avec le temps.
Kōsengan Faisant rougeoyer ses yeux, Cell expulse depuis ceux-ci une paire de rayons perforants. Particulièrement fins, ils peuvent toutefois aisément handicaper un adversaire s'ils l'atteignent au mauvais endroit. Si l'on pourrait lui reprocher son manque d'amplitude, la provenance inattendue de cette technique lui confère souvent l'effet de surprise, en plus d'une précision bienvenue.
Shōgekiha En déployant son énergie, Cell est capable de projeter une onde de choc depuis son corps, repoussant ceux qui se trouveraient trop près de lui. Il s'en sert principalement pour se dégager de combats rapprochés auxquels il n'aurait pas envie de prendre part, mais peut tout aussi bien s'en servir pour mettre à mal la défense adverse.
Taiyōken À ce stade, sans doute la technique la plus utile de son arsenal. Portant les mains à ce qui lui sert de visage, Cell produit à partir de celui-ci une vive lumière qui lui permet d'aveugler ses adversaires et de prendre la fuite. Couplée à sa grande discrétion, elle lui permet de disparaître facilement dans la nature pour revenir ensuite plus fort...
Régénération Généreusement doté de cellules Namek, Cell est capable de se régénérer, non seulement très vite mais également de dommages très importants. Pourvu que son noyau ne soit pas détruit, il est en mesure de se reconstruire un corps entier en l'espace de quelques minutes ; la perte d'un membre, elle, n'est donc que l'affaire de quelques secondes. Mis en confiance quant à cette aptitude, Cell préférera donc parfois subir des blessures et s'en guérir que de chercher à s'en défendre, cela lui coûtant moins cher en énergie.
Absorption En plantant son aiguillon dans le corps de quelqu'un, Cell est à même de le vider de sa substance et de son énergie. Ainsi, il ne lui faut que quelques secondes pour dévorer entièrement un humain ordinaire ; néanmoins, plus sa cible est puissante et plus il lui sera difficile de la vider de ses forces. Cela peut néanmoins lui permettre de la priver facilement de l'usage d'un membre - et tout le monde n'est pas capable de s'en remettre sans moyens extérieurs.
Makankōsappō À l'image de Piccolo dont il tient cette technique - non que ce dernier ait eu son mot à dire -, Cell porte deux doigts à son front et y concentre une quantité massive d'énergie, qu'il projette ensuite sous la forme d'un rayon perforant d'une grande puissance. Cette technique est particulièrement lente à préparer, mais tout ce qui se trouve sur son passage se trouvera généralement transpercé de part en part.
Aucun don
Régénération Toute partie du corps ablatée peut repousser moyennant des efforts.
Fuite Vous pouvez fuir d'un combat sans que l'on puisse vous poursuivre sauf si vous êtes porteur d'une Dragon Ball. Par ailleurs, vous ne pouvez pas attaquer une planète, une ville, un joueur ou un PNJ, puis utiliser votre capacité de fuite si un joueur vient pour vous en empêcher. Vous ne pouvez utiliser votre capacité de fuite que pour fuir un combat que vous n'avez pas engagé. En temps de guerre, si vous utilisez votre capacité de fuite, vous ne pourrez plus revenir dans le conflit jusqu'à ce qu'il soit terminé.
|