Saga Belle-Verte [Terminé]

Bon, quand on s'ennuie dans un studio sans le net on fait des petites histoires. J'espère que celle que j'ai concocté vous plaira.
PS : Ceux qui trouve l'origine du nom des frangins gagne un bisou!

Chapitre 1 : Préparatifs d’invasion (Titre médiocre)

Dans l’espace infini, un énorme vaisseau traverse le cosmos en direction de diverses planètes à conquérir car c’est l’objectif même du seigneur qui commande l’équipage, et bien qu’il soit absent dans la navette spatiale, ses hommes de mains lui sont fidèles … plus ou moins. Ce vaisseau conte pas moins d’une centaine de guerriers et matelots, parmi eux cinq se démarquent du lot. Cinq combattants qui surpassent les autres de façon claire et nette. Ils sont tous égaux en grade, néanmoins pour le moment c’est à Zazaho que les commandes ont été relayées. Zazaho est une femme ayant la cinquantaine, le corps bien proportionné, elle à une apparence humanoïde bien que sa peau soit entièrement blanche, tout comme ses yeux et sa chevelure. Elle a les oreilles pointues, et a le crâne rasé à l’exception d’une longue queue de cheval qui part du dessus de sa tête et qui se termine jusqu’aux hanches. Elle porte le traditionnel scooter ainsi qu’une armure de guerre comme tous les autres. La chef se dirigea vers la salle de briefing, l’un de ses supérieurs hiérarchiques à demandé sa présence immédiate, comme toujours, et comme toujours elle répond présente. Une fois arrivé, elle appuya sur un bouton et un hologramme du commandant Sauzer, le bras droit de Cooler, apparut.
Zazaho : Chef du « zeppelin » Zazaho présente. Quelle est votre requête ?
Sauzer : Nos experts ont détecté une nouvelle planète qui possède des ressources en grandes quantité dont les propriétés nous sont inconnues mais prometteuses, inutile d’en conclure que nous voulons obtenir cette planète.
Zazaho : Laquelle est-ce ?
Sauzer : Belle-verte qui sera renommée Cooler 5°H3, je transmets les coordonnées.
Zazaho : La planète est-elle habitée ?
Sauzer : Je ne vous aurais pas contacté si ce n’était pas le cas ! Par ailleurs, si ces minerais n’en valent pas la chandelle, vous êtes autorisés à utiliser la charge A. Fin de transmission.
Le profil projeté disparut aussitôt ! Et la guerrière porta sa main droite à son scooter et transmit les ordres et quelques minutes plus tard, les quatre autres fameux combattants arrivèrent a quelques secondes d’écart. D’abord il y eut Gédéon, un type à l’apparence purement humaine, les cheveux noirs et coupés court. Zazaho se méfit beaucoup de lui, Gédéon avait sans cesse hurlé lorsqu’ils apprirent que c’est elle et non lui qui dirigerait ce vaisseau. En un seconde temps, ce fut Lymass qui arriva, un namek avec des tatouages violets de forme triangulaire ici et là sur le visage. C’est un nouveau, pourtant il se démarque des autres et Zazaho n’en sait pas vraiment plus a part qu’il s’est fait exilé de sa planète natale pour violence gratuite. Et enfin Canad et Adry, deux frères jumeaux, des sortes de grenouilles sur pattes de deux mètres dix de haut et autant de large, et bien qu’ils aient du bide ils n’en restent pas moins dangereux … bien qu’ils pourraient faire un peu d’exercice, ils ne s’entrainent pas beaucoup, comptant plutôt sur la puissance née de leur race. Les quatre se mirent au garde à vous, le chef les passa rapidement en revue.
Zazaho : Gédéon, le garde à vous c’est avec l’autre main.
Gédéon : Et merde.
Lymass : Quelle est la raison du rassemblement ?
Zazaho : Seigneur Cooler exige que nous colonisions la planète Belle-verte afin de voir si le minerai qu’elle garde est utile. Sinon charge A !
Canad : Hey, on n’est pas des scientologues nous !
Adry : On s’en fout de la planète !
Zazaho : Leurs habitants se montreront sans doute hostiles.
Canad et Adry : OUAIS !
Gédéon : Donc le chef nous a concocté un plan digne de son rang j’imagine.
Zazaho : Figures toi que oui sous-fifre. On débarque, on leur propose d’intégrer nos rangs, de nous refourguer la planète et le reste coule de source.
Adry : Vivement qu’ils refusent.
Gédéon : La dernière fois vous avez faillit abimer le vaisseau les coasseurs !
Canad : Tu veux t’en prendre une ?
Gédéon : Viens pour voir !
Zazaho : Gardez ça pour les autochtones. Des questions ?
Gédéon : Ta démission ?
Lymass : Ils ont un niveau de pouvoir qui tourne autour de combien ?
Zazaho : Ils ont à peine le niveau de nos basiques soldats, mais il se peut bien que deux ou trois d’entre eux aient notre niveau. Retournez à vos postes.
Tous saluèrent impeccablement, sauf Gédéon, et repartirent à leur occupations ; Entrainement ou empifrement. Une fois seule, Zazaho transmit les ordres au pilote et se tourna vers la vitre qui donne la vue sur l’espace.
Zazaho : La charge A … parfait.

Je suis curieux de savoir ce qui va se passer.

Pour te répondre un gros bordel

Chapitre 2 : L’accueil (Titre encore plus médiocre)

L’immense vaisseau pénètre dans l’atmosphère de Belle-Verte et on peut enfin voir à quoi elle ressemble. De loin on aurait une boule verte, de près cela en est tout autant, il y a de l’herbe à presque tous les recoins, il y en a même au fond des lacs, seuls les routes et maisons n’en sont pas envahit. Aussi bizarre que cela puisse paraître l’eau elle aussi est de couleur vert clair bien qu’elle soit pure. Après quelques minutes, la navette atterrit sur ce matelas verdoyant juste en face du plus gros village de la planète d’où une certaine agitation se fait déjà entendre. Une quinzaine de soldats descendirent du vaisseau et parmi eux les cinq spéciaux, et dès qu’ils mirent pied à terre les autochtones arrivèrent et se plantèrent devant eux. Cette espèce est recouverte d’écailles vertes/bleues de la tête aux pieds, en fait ils ressemblent a des dinosaures sur pattes, notamment l’espèce bipède qui une sorte de crête sur le haut du crâne et qui a un museau un peu allongé. Et bien là c’est pareil, sauf que les femmes ont le visage plus humain. Ces habitants sont revêtus d’une armure bleue foncée, aucun doute ce sont en quelques sortes les défenseurs de la ville.
Bellien : Qui êtes-vous, et que venez-vous faire sur cette planète ?
Gédéon : On …
Zazaho : C’est moi qui parle ! Nous sommes venus prendre la planète ainsi que ses richesses minières.
Bellien : Vous n’en n’avez pas la permission.
Zazaho : Vraiment ? Sinon c’est de gré ou de force que nous devons appliquer les règles ?
Sans crier gare, trois d’entre eux se jetèrent sur les envahisseurs.
Canad : Cool !
Zazaho : Ils sont à moi, et pas de discussions !
Adry : La lourde …
Et Zazaho se jeta dans la mêlée et maitrisa aussitôt le combat en jouant uniquement des poings et des pieds et en esquivant toutes les vagues d’énergies adverses.
Gédéon : C’est si rare de la voir se battre.
Lymass : C'est-à-dire ?
Gédéon : Ah ouais j’avais oublié que tu étais nouveau. Bah si tu veux c’est toujours moi Canad et Adry qui s’occupons de ce genre de situation, les seules fois où elle a dut intervenir c’est en raison d’une grosse bestiole, elle en fait aussi en solo … elle ne se bat que rarement en public donc c’est toujours un beau spectacle.
A la fin de ces petites explications, la femme blanche envoya valser les trois types à terre sans pour autant les tuer. Elle chargea donc ses mains d’une lueur blanche qui fit crépiter les scooters, mais au même moment, un Bellien plus imposant que les autres, d’une part de sa stature mais aussi de son armure plus menaçante, fit irruption.
Jurasik : Attendez !
Gédéon : Et si on veut pas ?
Zazaho : La ferme Gédéon !
Jurasik : Je me nomme Jurasik et au nom de mon peuple nous nous rendons, vos pouvoirs surpassent les notre, inutile de faire un banc de sang.
Canad : Et puis quoi encore ?
Adry : Notre chef n’acceptera jamais !
Zazaho : Entendu.
Canad et Adry : COMMENT ?!
Gédéon : T’a pétée une durite ?
Lymass : Non au contraire.
Gédéon : Gné ?
Lymass : Rappelez-vous, les ordres stipulent que si les habitants se rendent on leur laisse la vie sauve. Sans donc pour des raisons de mains d’œuvres.
Gédéon : Je préfère le terme d’esclaves.
Zazaho : Enfin un qui réfléchit …
Jurasik : Et donc ?
Zazaho : Et donc nous allons débuter notre colonisation, on va vous amasser dans un coin et procéder aux mise au fer.
La dame désigna quelques gardes du doigt.
Zazaho : Vous allez escorter ces gens à la ville là bas et bouclez-les ! Canad, Adry vous irez au nord faire de même dans le village s’y trouvant. De même pour Gédéon à l’est et Lymass au sud-ouest.
Les autres : Très bien.
Tous partirent sauf Lymass qui se dirigea vers sa supérieure.
Lymass : C’est vraiment étrange, leur abandon est vraiment spontanée, je doute qu’ils mijotent quelque chose. Et la puissance de Jurasik elle aussi est intrigante …
Zazaho : Sa puissance ?
Lymass : Oui, en venant jusqu’ici j’en ai senti, il y en a aussi une autre je ne sais trop où.
Zazaho : Senti ? Moi qui croyais en être la seule capable au vaisseau. Ne t’inquiète pas, je veillerais que ces crétins de dinosaures ne fassent pas de bêtises. Et maintenant il me semble que je t’ai donné un ordre.
Lymass : Mes excuses.
Et le namek partit, laissant la guerrière couleur craie seule avec quelques soldats de bas étage. Elle se mordit la lèvre avant de rentrer dans le vaisseau.

Ca me fait délire les noms que tu leur donne

C'est pas mal mais lorsque tu écris une fic, je te conseille d'éviter la formule "script", comme ça:

Citation :

Jurasik : Je me nomme Jurasik et au nom de mon peuple nous nous rendons, vos pouvoirs surpassent les notre, inutile de faire un banc de sang.

Canad : Et puis quoi encore ?

Essaye plutôt d'y aller avec le type de narration suivant:

Citation :

Jurassic s'avança et posa un genou à terre.

-Je me nomme Jurassic et au nom de mon peuple, nous nous rendons, vos pouvoirs surpassent les nôtre, inutile de faire un bain de sang.

Canad croisa les bras et roula les yeux.

-Et puis quoi encore?!, lâcha-t-il.

C'est beaucoup plus agréable ainsi parce qu'avec la formule que tu utilises présentement, on a surtout l'impression de lire un script de film, bien que ce soit peut-être l'impression que tu voulais donner. ^^

Bah les noms dans DBZ ça doit rester bizarre alors bon.
Pour Fulgore j'ai retravaillé la suite et c'est déjà moins évident à écrire.

Chapitre 3 : Résultats et attentats (Ca rime, c’est bien)

Les scientifiques du vaisseau travaillent d’arrache pieds sur des morceaux de roches de couleur cyan qui brillent de tout feu. Zazaho arriva dans la salle d’examen et se dirigea directement vers l’un des ingénieurs.
- Alors ? Qu’est ce que ça donne ?
- C’est vraiment fabuleux chef ! S’exclama l’ingénieur. L’énergie contenue rien que dans ce caillou suffit à rayer un bâtiment entier !
- Et ?
- Un bâtiment blindé d’une quarantaine d’étages. Un gros bloc d’un mètre cube une fois traitée pourrait réduire en cendre une lune planétaire.
La supérieur ouvrit grand les yeux et recula d’un pas.
- A ce point ?
- Oui.
- Comment se fait-il alors que cette planète tienne encore en un seul morceau ? Répliqua-t-elle.
Le scientifique se tourna directement vers Zazaho en haussant les épaules.
- Sans doute à cause l’espèce d’herbe abondante qui orne cette planète, ils ont une sève qui tranquillise et stabilise la roche même si elle se trouve à des kilomètres sous terre.
- Impressionnant. Avez-vous déjà transmit ces informations au seigneur Cooler ou à d’autres supérieurs ?
- Non mais …
La dame blanche fit un geste de la main et l’interrompit.
- Je m’en occuperais, continuez le travail ! Le temps est précieux.
- B…Bien madame.
La femme sortit de la salle en direction de sa salle personnelle.

A quelques dizaines de kilomètres de là, Canad et Adry arrivent tout juste à destination en pleine place centrale, en démolissant au passage une statue locale représentant surement un ancien personnage célèbre. Juste après les habitants sortirent en trombe l’air surpris.
- Zut on a cassé un truc. S’inquiéta Adry.
- Pas grave.
- Euh … salutation. Dit un bellien en s’avançant vers les deux affreux.
- Encore un qui cause bizarre. Bon on doit…
- Inutile de nous expliquer la situation, interrompit-il, nos collègues nous ont tout dit par transmission radio et nous sommes déjà prêts à partir.
- Pas la peine !
- Que ?
Adry fonça dans le tas et arracha la tête du pauvre innocent. Un autre bellien prit de panique tenta des les raisonner, notamment Canad.
- Attendez, vous nous…
- Bah non. On dira que vous avez été vilains avec nous. Oh mon dieu ils foncent droit vers nous !
Le frère jumeau fonça à son tour et brisa la cage thoracique du pauvre d’un seul coup de poing. Le bellien hoqueta avant de tomber raide mort. Les habitants paniquèrent et la dizaine de guerrier qui sont présents décidèrent de stopper l’agression, mais les deux homme-crapaud ne se laissèrent pas faire, ensemble ils prirent une grande inspiration avant de recracher une grosse vague d’énergie jaune chacun. Comme cela ils en exterminèrent huit.
- Ah, j’ai gagné j’en ai eut cinq !
- Coup de chance. Grogna Adry.
Puis les frangins se retournèrent vers les deux survivants, se mirent à sourire et frappèrent leur poing l’un contre l’autre et formèrent chacun de cette façon une grosse boule d’énergie jaunâtre et la lancèrent vers leurs cibles. Mais c’est alors qu’une ombre surgit de nulle part munit de deux auras vertes stoppa les boules et les envoya dans les airs où elles explosèrent dans un énorme fracas. C’est Jurasik !
- Je me doutais bien que vous n’étiez que des lâches et des menteurs et surtout des meurtriers.
Canad se releva des débris.
- Beuh ! Il fait quoi ici lui ?
- Je suis venu mettre un terme à vos crimes.
- Rohohoho, gloussa l’autre moche, il se prend pour un justicier. Mais comment t’as su ?
Tel un professeur de science, le bellien répondit.
- Une fois bien entrainée nos guerriers ont un don accru d’instinct.
- T’as compris quelque chose ?
- Rien pigé.
Le sauveur se tourna vers les deux survivants belliens.
- Retournez à la ville centrale et préparez les navettes de secours pour les civils. Et…
Jurasik se retourna et fila une baffe à Canad et Adry qui avaient tentés de le tabasser par derrière, les deux jumeaux furent expédiés vers une maison proche qui s’écroula aussitôt. Les deux guerriers blessés eux partirent se cacher. Les crapauds sortirent des gravas avec un visage haineux.
- Enfoiré. Gueula Adry.
- T’as pas idée de la connerie que tu viens de faire !
- Celle d’être tombée sur les deux plus faibles meneurs de l’escouade ?
Et ils se jetèrent dans la mêlée.

La flemme de tout réécrire, je vais fiare facon script de film

Chapitre 4 : Qualité ou quantité ? (Ca c’est un titre classe et philosophique)

Avant de se jeter dans la foulée, Jurasik entoura ses bras d’une étrange lueur verte et y alla. Canad tenta de porter un violent coup de poing à la gueule du bellien alors qu’Adry lui visa plutôt la hanche avec un coup de pied. Jurasik ne porta pas d’attaque et se contenta d’attraper la main et le pied de ces derniers bloquant ainsi les attaques. La lueur verte continua le travail en brulant ce quelle touche ce qui firent gémir les jumeaux qui se défirent de l’étreinte adverse et sautèrent en arrière.
Canad : Hey on peut pas le toucher sans cramer, c’est quoi c’t’arnaque ?
Jurasik : Volonté ardente. Elle apaise les impurs par le feu.
Adry : … Formation Ail et Gingembre ?
Canad : Non, il a eut juste du bol, mais maintenant qu’on sait on va impr … inovri …
Adry : Imprimer ?
Canad : Pas ça !
Jurasik : Improviser ?
Canad : Ouais on va proviser !
Adry : Et tu vas chialer mon lézard.
Les deux se séparèrent, encerclant ainsi le bellien qui doit sans doute gérer deux attaques frontales, et sans pause Adry sauta sur lui tentant de le renverser avec un coup d’épaule. Jurasik n’eut aucun mal à esquiver cette attaque mal réfléchit … enfin c’est ce qu’il crut, Adry dans son élan attrapa ses vêtement l’emportant ainsi avec lui. Le bellien tenta de répliquer en frappant Adry, mais il oublia qu’ils fonçaient tout droit sur Canad qui l’intercepta. Canad avait joint les mains et frappa avec force sur le torse de Jurasik qui s’envola dans les airs en crachant du sang. Mais il ne perdit pas sa concentration pour autant, il se vit violence pour maintenir les yeux ouverts. Les deux affreux arrivent tout en tournoyant dans les airs, un peu comme une spirale à deux hélices. Jurasik contre attaqua en fonçant a son tour sur eux tout en tournant dans le sens opposé. Et les deux groupes se heurtèrent et malheureusement pour Canad et Adry, Jurasik fut plus agile et esquiva le coup tout en enfonçant ses jambes dans les vilaines bedaines de ces messieurs qui furent expédiés tout vers le sol où ils s’y engouffrèrent tête la première. Quelques secondes plus tard ils ressortirent de là avec des bleues.
Canad : Il a pas de droit !
Adry : Alors on le fait la formation ?
Canad : Ouais … il peut pas se remettre d’un coup comme ça.
Adry : OK on y va !
L’instinct de Jurasik le prévint d’un grand danger, ce dernier décida donc de charger tout son corps en cette étrange lueur verte qui l’enveloppa. De leur côté, Canad se baissa et Adry se mit derrière lui. Canad inspira profondément en aspirant autant d’air que possible, Adry lui frappa ses poings l’un contre l’autre et créa une grosse boule jaune qui prit rapidement la taille d’une capsule de voyage. Une fois chargé à bloc il la lança vers le bellien.
Adry : GINGEMBRE !
L’autre recracha l’énergie emmagasinée sur la boule ce qui l’accéléra légèrement mais surtout l’amplifia de façon phénoménale.
Canad : AIL !
Jurasik, contre toute attente, fonça vers l’attaque adversaire et d’un coup de pied rotatif bien exécuté renvoya l’attaque contre ses créateurs. Mais ce n’est pas tout, Jurasik avait également insufflé son aura à l’intérieur de cette boule ce qui l’amplifia d’avantage. Canad et Adry tentèrent ensemble de bloquer l’attaque à deux mains et résistèrent. Bien que la boule n’avance plus elle ne recule pas non plus.
Canad : Mais pousse !
Adry : Toi aussi !
Jurasik apparut une dizaine de mètres au dessus d’eux en haletant. Sa technique bien que puissant ne le protège pas de l’attaque ce qui l’affaiblit donc. Il ne fit rien, il attendit juste. Au bout d’une minute, les deux homme-crapaud cédèrent et se firent avaler par l’immense sphère jaune qui explosa dans un vacarme épouvantable. Même le bellien dut se protéger du souffle en croisant les bras. Une fois que la poussière générée se dispersa, Jurasik alla voir ce qu’il reste des deux compères et surprise, ils sont toujours en vie … mais complètement vidés.
Jurasik : Bien, j’estime que vous avez perdu.
Canad : Va te faire … *kopf* … foutre.
Après cette phrase son regard fut vide et sa respiration inexistante. Il est mort.
Adry : Frangin … merde.
Jurasik : Il n’a eut que ce qu’il mérite, attend toi au même sort.
Adry : Va ch…
Jurasik ne le laissant pas terminer son texte lui envoya une boule d’énergie en pleine gueule qui l’acheva, après quoi il perdit de l’altitude et posa genou à terre … la bataille est plus dure que ce qu’il n’avait prévu ou de ce qui a été annoncé. Les deux gardes survivants arrivèrent alors en courant.
Garde1 : Bien joué chef, vous les avez massacrés !
Garde2 : Ouais, il y a que vous qui puisse maitriser de telle techniques.
Jurasik : Merci …
Garde1 : Faudrait vous emmenez dans les navettes de secours. Vous n’êtes pas en état de continuer.
Jurasik : Je refuse de laisser Maguate seule à se battre contre ces salauds ! Je vous signale que ces deux là n’étaient pas les meilleurs.
Garde2 : Même sans vous elle ne sera pas seule boss. Et puis il me semble le gars qui est partit a l’est n’est pas aussi terrible que ces deux la.
Jurasik : Je sais … mais j’ai un mauvais pressentiment. Très bien, je vais évacuer et en même temps protéger les civils.
Les gardes hochèrent la tête et embarquèrent leur boss vers la ville centrale.

Chapitre 5 : Pas de bras, pas de chocolat (Titre qui craint je sais)

Gédéon est en direction de la ville de l’est et il y arrivera d’ici quelques minutes. En chemin son capteur lui annonça que Canad et Adry semblent faire du grabuge et qu’un troisième type a rejoint la bagarre. Encore quelqu’un qui va se faire disloquer les vertèbres pensa le soldat. Mais il s’arrêta net lorsque le scooter lui annonça la disparition soudaine du pouvoir des jumeaux. Seule celle de l’inconnue, bien que faible, reste affichée.
Gédéon : Et merde, comment ils ont put crever ? Et d’où sort l’autre con ? Ils sont capables de dissimuler leur ki ? Putain ce n’est pas clair ce qui se passe ici.
Il tapota sur son scooter et tenta de délivrer un message à sa supérieure, bien que cela le dégoûte.
Gédéon : Allô Zazaho ! Hey t’es la ? Les deux obèses ont crevés, je n’aime pas la tournure que prennent les évènements, et en plus les gardes qui sont allés à la ville centrale n’ont toujours pas donné de rapports.
Zazaho : Arrête de gueuler comme ça !
Gédéon : T’es le chef, t’es sensé pouvoir tout écouter.
Zazaho : Toujours enragé ? Bon, en ce qui concerne le rapport je l’ai eut et tout va bien.
Gédéon : Et pour les gros ?
Zazaho : Je ne sais pas.
Gédéon : Bah voyons !
Zazaho : Continu comme ça et je t’arrache un bras pour te l’enfoncer dans la gorge.
Gédéon : Pfff !
Zazaho : Poursuit ta m…
BRAOUM, le scooter explosa en mille et un morceaux qui se dispersèrent dans le vent. Le soldat se retourna et aperçu un groupe de cinq autochtones. Quatre avaient des armures simples dont une partie qui entoure complètement leur bras droit qui fait penser maintenant à des snipers. Le dernier, ou la dernière, parce que oui c’est une femme, a une armure plus gradée que ces congénères et n’a pas de prolongement au niveau du bras. Elle s’avança et pointa l’autre du doigt.
Maguate : Rend toi ! Tu as en face de toi Maguate, la femme du boss et surtout la numéro 2 de la planète et celle qui va t’éclater avec le sniper quatuor !
Gédéon : T’es obligé de me montrer du doigt, c’est impoli.
Maguate : Aussi impoli que ta coupe de cheveu.
Gédéon : Tu peux causer t’en a pas plus que moi.
Maguate : Non mais j’ai une belle crête, ça c’est du charisme.
Gédéon : Y a pas de charisme dans une planche à pain.
Effectivement c’est le cas et cela n’a pas plut à la bellienne qui claqua les doigts, aussitôt les quatre subordonnées tirèrent avec rapidité et précision mais Gédéon les esquiva en perdant de l’altitude et en reculant mais à sa grande surprise la bellienne l’attendit et commença à l’enchainer de coup mais au bout du cinquième le soldat se retourna, para et contre-attaqua mais alors qu’il reprend l’avantage il se prend quatre coup du quatuor dans le dos. La bellienne finit avec un magnifique coup de genou en salto avant qui arracha un hurlement de douleur à Gédéon qui atterrit au sol avec fracas. Mais il n’eut pas le temps de soupirer car les snipers relancèrent une nouvelle salve, qui força le guerrier à sauter sur le côté pour échappé à de nouveau dégâts. Mais déception, Maguate revint à la charge, le tabassa et acheva par un coup dans l’estomac qui Gédéon à genou. Elle l’envoya plus loin via un coup de pied. En clair il se fait malmener de manière royale.
Gédéon : Salope !
Maguate : Alors tu te rends. Ce n’est pas une honte pour le plus faible de l’escouade d’élite tu sais ?
Gédéon : Va te faire mettre.
Il se releva et fit exploser son ki qui monta en flèche, le vent se leva et fouetta autrui.
Gédéon : Je vais te permettre d’observer ma transformation, j’avais prévu de le garder pour Zazaho et la détrôner, mais je vais devoir accélérer les choses.
Le soldat prend du muscle à vue d’œil, passe de son petit mètre soixante à deux mètres dix. Mais surtout deux bras supplémentaires poussèrent. Une fois sa transformation achevée, les bourrasques se stoppèrent laissant les belliens sous la surprise.
Maguate : Et alors, t’a juste fait un excès de protéines et ta doubler le nombre de bras sur ton corps.
Gédéon : Ce n’est pas tout.
Gédéon fonça à toute vitesse sur Maguate et en effet il avait gagné en vitesse. Mais cela n’empêcha pas la bellienne d’esquiver la charge en prenant de l’altitude. Mais cela fit partit du plan de Gédéon qui tendit chacun de ses bras en direction du quatuor et envoya de chacune de ses mains une grosse boule d’énergie qui les exterminèrent. Leur corps carbonisés et sans vie tombèrent sur l’herbe verte de cette magnifique planète.
Maguate : Sale monstre.
Gédéon : Ne pleure pas, c’est ton to…
Trop tard, depuis le début du combat, Maguate avait placée ici et là des mines d’énergie. Elle ne les utilise que dans les cas extrêmes et c’est le cas actuellement. Elle claqua des doigts et les mines proches du soldat éclatèrent simultanément détruisant tout ce qui est trop près.
Maguate : Les pauvres … ce n’est pas le moment de se lamenter je dois … non.
Juste devant elle apparut Gédéon, certes avec quelques hémorragies bénignes et l’armure en moins, mais bien vivant. Il saisit les jambes avec deux bras, les deux membres supérieurs avec seulement le troisième et avec le dernier il prit la tête de la bellienne qui trembla de peur.
Gédéon : Pas mal, mais insuffisant. Je trouve curieux que vous soyez autant informer sur nous, dommage d’ailleurs que vous ayez crut que j’étais le plus faible des supérieurs. Dis moi gentiment comment vous obtenez les infos et j’envisagerais de te laisser en un seul morceau.
Maguate : …
Gédéon : Très bien.
Maguate : Désolé Jurasik.
SKCHARGLE, Gédéon sépara la tête, les bras et les jambes de la bellienne du tronc. Il laissa tout tomber et envoya une salve d’énergie pour cramer tout ce qui reste de Maguate. Après cela il assembla un scooter de rechange avec divers truc, heureusement qu’il y pense. Il l’activa et tout de suite le capteur vibra et signala quelque chose qui laissa Gédéon bouche bée.
Scooter : Charge A activée. Détonation d’ici une minute.
Gédéon : QUOI ! Zazaho, Zazaho t’es là ? C’est quoi cette histoire.
Zazaho : Toujours vivant ?
Gédéon : Pas le temps pour ça, pense plutôt à désactiver la bombe anti-planète !
Zazaho : Pourquoi ? Je suis à l’abri dans l’espace avec le vaisseau.
Gédéon : Qu’est ce que ……… les soldats de la ville qui ne répondent pas, les deux gros qui sont morts, mon embuscade …….. Putain t’es qu’une sale taupe !
Zazaho : Bingo !
Scooter : Détonation d’ici dix secondes.
Zazaho : C’est triste de devoir me débarrasser de toi et du minerai de cette façon. Adieu.
Gédéon : SALOPE !
BADABOUM (je manque de fonds pour des onomatopées de qualité), la bombe qu’à placée Zazaho pendant que les autres étaient écartés explosa entrainant la destruction totale de la planète, de ses ressources ainsi que tout le monde qui s’y trouvait. Comment expliquer tout ça ?

Chapitre 6 : Le bon, la brute et le truand (QUOI !)

Dans l’espace, si on se trouve aux bonnes coordonnées, on peut apercevoir la planète Belle-verte exploser. Dans un premier temps son centre réagit à la charge et on a l’impression que cette masse rocheuse s’effondre sur elle-même, après des zébrures apparaissent à la surface suite de quoi les morceaux de plaques terrestre sont soufflés puis balayés dans le vide intersidéral. Zazaho observe tout cela d’un regard neutre, toutes ces couleurs variant entre le rouge et le bleu cyan sont magnifique, mais à quel prix. Elle est debout sur un vaisseau remplit des cadavres des guerriers de bas étages et des scientifiques du seigneur Cooler, elle les avait tous exterminés jusqu’au dernier. Son scooter émit quelques « bip bip », elle y porta ses doigts et appuya sur le gros bouton rouge.
Zazaho : C’est toi Jurasik ?
Jurasik : Qu’est ce que ça dire ? Pourquoi la planète à éclater ?
Zazaho : Je l’ai fait sauter via une bombe.
Jurasik : QUOI ? Il y avait encore plus de la moitié des habitants et Maguate. T’a tué Maguate !
Zazaho : C’est Gédéon qui l’a tué.
Jurasik : Il n’était pas sensé être le plus faible du lot ?
Zazaho : Je ne connaissais pas sa puissance cachée.
Jurasik : Ca ne m’explique pas pourquoi tu as fait ça ? Je croyais que tu bossais pour le front de libération anti-Cooler !
Zazaho : C’est le cas … écoute, la roche radioactive qu’il y avait dans la planète est trop dangereuse, et cela n’aurait été qu’une question de temps avant que Cooler mette la main dessus.
Jurasik : Putain, tu aurais du attendre que nous soyons tous parti !
Zazaho : Si je mets trop de temps a ne pas de donner de nouvelles ca éveillerait des soupçons sur mon identité.
Jurasik : As-tu seulement pensé aux conséquences ?
Zazaho : Pour des milliers sacrifiés aujourd’hui, d’autres âmes seront sauves.
Jurasik : Ca ne me rendras pas Maguate !
Zazaho : Elle a fait ce qu’il fallait … j’aurais fait de même.
Jurasik : Tu n’as pas le droit de jouer avec la vie des gens de cette façon !
Lymass : Surtout de pas se foutre d’elles.
Zazaho : Quoi ? Tu n’as pas sauté avec la planète ?
Lymass : J’ai forcé les villageois à tout me dire je me suis douté alors que tu ferais sauter la planète via la charge A.
Zazaho : Mais ça ne …
Lymass : L’ordre m’est venu de Sauzer directement de jeter un œil sur tes agissements louches.
Zazaho : Merde, Jurasik, emmène ton peuple en lieu sur loin d’ici.
Jurasik : Adieu.
La navette que Lymass a volée aux belliens, qu’il a tués, aborda le grand vaisseau principal. Il y entra et monta directement au toit où il vit Zazaho, son blanc naturel se contraste de façon étrange avec le noir de l’espace.
Zazaho : Tu n’as jamais songé à te battre pour une cause juste, je sais que tu aimes les combats, or on ne fait que ça dans notre front afin d’obtenir la paix. Ne veux-tu pas nous rejoindre et crever cette ordure de Cooler et tous les salauds qui vont avec ?
Lymass : Et une fois fini on fait quoi ? Du jardinage ? La conquête ne s’arête jamais et c’est plus stimulant de se battre pour la victoire que pour ces principes abstraites.
Zazaho : Je vois, tu es exactement comme eux.
Zazaho se mit en garde. Lymass en fit de même avec un léger sourire.

Je suis sur que Lymass va gagner lol

Bah ouais, sinon je n'écrirais pas
Et j'aime pas les escargots grillés

Chapitre 7 : Liberté contre dictature (Ca sent le dénouement)

Lymass et Zazaho se jetèrent l’un sur l’autre et se livrèrent bataille. Les coups partent de tout les côtés, certains se font bloqués, esquivés alors que d’autres passent la défense adverse et inflige des dégâts. Sur ce point de vue la il semble que le vert et la blanche sont à égalité. Ils tentèrent simultanément un coup de pied retourné, les deux jambes s’entrechoquèrent créant une onde de choc qui froissa la carcasse du vaisseau. Le duo s’écarta en exécutant un petit saut en arrière et se jetèrent un regard de défi. Zazaho créa une dizaine de flèches blanches juste devant elle en suspension et d’un mouvement de main les envoya directement sur Lymass. Le namek les esquiva en se déplaçant rapidement suivant la trajectoire des flèches. Alors que la dernière passa à côté, Zazaho surgit par-dessus, joignit ses mains et lança en face d’elle une puissante vague d’énergie blanche qui fusa tout droit vers la tête de Lymass. Ce dernier fonça vers la vague, tendit les bras et utilisa le pouvoir de ki contraire pour dissipé l’attaque comme si elle n’avait jamais existée. Lymass continua sa course jusqu’à arriver sur Zazaho et lui flanquer une dizaine de coups bien placées et tenta de terminer avec un coup les mains jointes. Cependant la femme blanche contre attaqua et fit un coup de boule qui déstabilisa Lymass. Ensuite elle créa une boule de feu lumineuse dans sa main et visa la gorge, mais le soldat d’élite se protégea avec son bras droit qui explosa. Lymass maugréa et recula, puis il hurla après quoi son bras repoussa, caractéristique des namek. Les deux en profitèrent pour souffler un peu.
Zazaho : Tu viens à peine d’entrer dans l’armée que tu as déjà une telle force … quel gâchis.
Lymass : …
Zazaho : Ca fait depuis trente ans que je contrecarre les plans diaboliques et fous de cette salamandre avariée qu’est Cooler. Et toi tu voudrais détruire tout mes efforts ? Il en est hors de question. Au nom de la paix je vais te tuer.
Lymass : Moi au nom du seigneur Cooler.
Lymass croisa ses bras face à Zazaho qui les leva en l’air, une grosse boule d’énergie blanche s’y forma, elle a la taille d’une maison de trois étages. Et les deux lancèrent leur terrible offensive, d’un côté une sphère d’un blanc éclatant et de l’autre une croix d’un violet sombre comme le mal. Les deux s’entrechoquèrent, en temps normal la croix est sensé découper l’attaque adverse tout en continuant son chemin pour toucher l’adversaire, mais la boule est trop forte pour ça. Au final les deux explosèrent détruisant une partie supérieure du vaisseau. Zazaho et Lymass se refondirent dessus et s’échangèrent de nouvelles volées de coup. Zazaho vit une ouverture créé volontairement par Lymass et tenta d’en profiter. Elle est tombée dans le piège, Lymass saisit le bras de la dame tout en y plantant ses griffes ce qui la fit gémir. Le namek la fit tournoyer avant de l’expulser dans le vaisseau où elle s’engouffra dans les câbles et systèmes électriques qui la paralysèrent. Lymass profita de cette occasion pour tirer une sombre touche, une petite vague d’énergie fine rapide et précise, qui perça l’estomac de Zazaho toujours enchevêtrée et bloquée.
Zazaho : AHHHH, non tu …. Tu ….
Lymass : On va voir si tu apprécie le même traitement que tu as proposé à Gédéon.
Zazaho : Non, ne fais pas ça AHHHH …. Penses à …
Lymass : Adieu chef.
Le namek laissa Zazaho dans sa prison et prit une capsule monoplace de voyage qui sortit du vaisseau. Lymass regarda le vaisseau, son état ne laisse qu’une seule issue à son avenir. En effet six secondes plus tard, la titanesque navette explosa, fruit du combat, en emportant avec elle Zazaho. Elle avait servi la liberté et ses principes du mieux qu’elle pouvait. Lymass utilisa son scooter pour faire un rapport à ses supérieurs, heureux hasard il tomba sur celui qu’il voulait. Bien qu’il ne l’ait pas encore vue il reconnue sa voie.
Lymass : Soldat d’élite Lymass au rapport.
Sauzer : Alors ?
Lymass : Zazaho était bien une traîtresse, elle a détruit la planète Belle-verte ainsi que ses ressources de grandes valeurs, tuée ses coéquipiers et a permit aux tiers des belliens de s’enfuir.
Sauzer : Et elle ?
Lymass : Je l’ai supprimé et je suis le seul survivant.
Sauzer : Il aurait été préférable que nous obtenions cette planète intacte, le seigneur Cooler va être fâché ! Mais la mort de Zazaho le ravivera. Fin de transmission.
Ainsi l’armée du seigneur Cooler vient de faire un pas de plus vers la domination totale de l’univers et pour cela il peut conter sur ses fidèles guerriers les plus compétents. FIN

Sympat la fin ^^