j'ai froid... (libre)

Marc venait de passer les soixante dernières années de sa vie à baver dans la section des fous dangereux de l' hôpital psychiatrique de Satan-city. Complètement amorphe, il devait être nourrit et même changer par les médecins. Un jour, comme il ne vieillissait pas, le gouvernement décida de le transférer à un laboratoire pour l'analyser, question de savoir comment pouvait-il avoir une telle longévité. Malheureusement, l'ambulance fut frappé par un conducteur ivre et termina sa course dans un édifice. Marc ouvrit les yeux, le choc de l'accident avait réveiller son esprit fragile. Il regarda autour de lui pour constater qu'il se trouvait dans une ambulance pour prisonnier psychiatrique complètement défoncer, renversé et dont les deux autres occupants du véhicule étaient mort. Le damné était en fait couvert de leurs sang lui-même.

Pris de panique, il sortit du véhicule accidenté par la porte arrière qui avait été arraché et fuit les lieux à toute jambes. Toujours emprisonné dans sa camisole de force, recouvert de sang et fuyant une scène de crime, les gens qui s'étaient arrêter sur le bord de la route s'éloignèrent prestement de son chemin terrifier. Un homme plutôt costaux tenta de lui barrer la route, mais un seul regard fou du fugitif le fit s'écarter lui aussi. Il courut et courut, il ne pourrait dire pendant combien de temps, les gens se retournant sur son passage. Un policier partit après lui, mais Marc, pousser par l'énergie du désespoir le distança.

À bout de souffle et mouiller de la tête aux pieds par las pluie, il finit par trébucher dans une ruelle et resta allonger au sol couver de spasme et sanglotant . Il reprenait son souffle, ce qui n'était pas chose facile dans une camisole de force. Tout en tremblotant pitoyablement coucher sur le sol, il pleurait et se demandait pourquoi avait-il fallu qu'il reprenne conscience. N'ayant plus la force de se relever, il resta la sous la pluie.Il avait froid, très froid...

L'homme marcha tranquillement, il avait tout vu.
L'accident avait attiré son regard et il avait decidé de suivre furtivement le fou qui s'échappait. Bien sur celui-ci ne se doutai pas que le policier qui s'était lancé a sa poursuite etait étendu dans les ordure quelque mètres plus loin, la gorge tranché et la langue arraché. L'homme avait beaucoup de plaisir a regardé le misérable être combattre la mort et le froid.

Le garçon aux cheveux blanc était arrivé dans ce monde que depuis très peu de temps et il avait besoin d'aide pour rétablir l'énergie qu'il avait dépensé pour changé de plan.
Il regarda avec attention le déchet qui tremblotait sur le sol mouillé et se réjouit de découvrir qu'il n'était pas dans une ville parfaite. Aux yeux de l'homme, qui était maintenant habitué a scruté l’âme des personne, Marc ne semblait pas aussi déconnecté qu'il pourrait laissé paraître.

- Enfin, un esprit tourmenté. Un esprit facile a manipulé. peut-être bien que si je laide a s'échappé celui ci pourra maidé en retour. Il fixa attentivement le fou. Et si il est vraiment fou, il prit une grande inspiration et sourrit, j'ai mes propres methodes pour réglé l'incident.

Il descendit du toit ou il était perché en prennat son apparence passe-partout et entra dans la ruelle. Il s'approcha du corps étendu dans la boue et lui donna un petit coup de pied.
-Hey toi, regarde moi et ecoute bien ceci. Je t'ai vu t'échappé et t'écrasé comme un dechet au bout de cette ruelle. C'est quoi tu donne tout ce que tas pour t'échappé mais plus rien ensuite ?? Arrete d'agir stupidement et releve toi que je te detache.
L'oeil du ''bon samaritain'' brillait d'une lueur rouge quasi hypnotique. Il ce pencha et agrippa Marc,le releva et coupa ces liens avec l'une de ses dagues.

Maintenant que je t'ai aidé, aide moi a survivre

Marc avait compris ce qui se passait, compris qu'il était à nouveau lui-même, compris qu'il avait failli mourir malgré sa déconnexion du monde réel, oui il avait compris.Il aurait préférer ne pas comprendre.il ouvrit un œil lorsqu'il entendit une voix. Quelqu'un l'avait trouver, bonne chose? Surement pas, toute les rencontres que Marc avait faite avaient terminer en bain de sang. L' homme en question l'aida à se relever et coupa même la camisole de force qui le retenait, celle-ci tomba sur le sol. Désormais libre et debout, le fou ne savait pas vraiment comment réagir. Il recula en dévisageant le démon d'un œil méfiant. Accoté sur le mur d'un bâtiment, il s'adressa à son sauveur.

-V-vous... vous devriez partir, je n'amène... je n'amène que des malheurs, vous seriez plus en sécurité... heuf... en étant loin de moi. Dit-il d'une voie érailler en haletant. Cela faisait tout de même soixante ans qu'il n'avait prononcé un mot.J-j'apporte seulement la mort... comme pour l'accident de voiture, fuyez avant que le pire ne se produise.

Marc avait peur, peur de mourir à nouveau, peur de souffrir, peur que le pire n'arrive et que cette ville ne disparaisse avec lui si il devait sombrer dans la folie à nouveau.

(Désoler pour la courteur du post)

Le detraqué semblait etre effrayé par sa propre personne, ce qui amusait encore plus le demon. L'homme ce demandait ce qu'avait pu faire le fou pour etre a ce point traumatisé. Il garda un visage froid denué de toute pitié. Il se placa directement devant Marc et planta son regard directement dans le sien. Un regard rempli de démence et de cruauté. Il sourrit a Marc et usa de sa capacité de paranoïa. Son oeil droit s'illumina d'une lueur chaotique. Ce qui eu pour effet de rendre Marc encore plus fou qu'il l'était deja. Car ceux qui subissent cette technique sont pris dans un tourbillon d'ombre illusoire a l'oeil rouge.

- Tu vois je pourrai te dire plus ou moins la meme chose. Par contre je ne suis pas ici pour faire un carnage. J'ai simplement besoin d'aide et moi je pourrai te ''protegé'' pendant ce temps. A moins que tu veuille finir ton existence dans une hopital psychiatrique ou une asile pour fou. Je ne sais pas ce que tu as fait par le passé ni pourquoi, la seul chose que je sais et je le sens car jy suis habitué c'est que tu as les mains couvertes de sang.

Pendant qu'il parlait L'oeil verifia si son equipement était bien ajusté et si rien ne manquait.

-Maintenant fait ton choix je n'ai pas que cela a faire luio dit-il a lui tendant une rose fait de papier.

(L'effet de paranoïa est passif, c'est une halucination durant pres d'une heure.)

Marc était pitoyable a voir, une véritable loque humaine. Sale avec une barbe de quelques jours, dans une robe d'hôpital taché de boue et de sang et completement trempé, il tremblotait malgré le soleil qui avait refait surface, avec ses yeux fou et injecter de sang, sans oublier les lourdes cernes sous ses yeux et ses propos bégayllant et incompréhensible. Lorsque Candel utilisa son pouvoir, Marc qui était déja appeurer se trouvait désormais completement terrorisé. Le démon lui demandait son aide en échange d'une certaine protection, a moins qu'il ne préfère retourner dans un batîment psychiatrique.

-J...je... s..se serait mieux surement pour... pour tout le monde si je pouv..v..ait retourner en état catatoniqe dans...dans l'hopîtal de f..f..fffou.Lachat-il en un chuchotement.

Il ne voulait pas être seul, car il croyait dur comme fer qu'une force maléfique lui voulait du mal, ce qui n'était pas loin de la vérité, mais il ne voulait plus blesser personne. La personne en face de lui disait sentir quelque chose, cela signifait peut-être qu'il possédait quelques pouvoirs qui pourrai l'aider. Si seulement il savait comment stopper son enfer.

-M..mais si... si vous pouvez faire disparaitre toute mes souffrance, d'une manière ou d'une autre je ferais tout se que vous me demanderer. Si...non, laisser... laisser moi a mon malheur ou ramener moi au poste de gendarmerie. Laissat-il échapper d'un ton laissan présager qu'il ne croyait vraimet pas que Candel pouvait faire quoi que se soit pour lui.

Marc allait s'écrouler a nouveau par terre de déséspoir, l'effet du démon lui donnait envie de se mettre en boule dans un coin et de pleurer... pour la deuxième fois depuis 10 minutes. Il commencait a reculer entre deux poubelle pour ne pas pouvoir être encercler par les ombres maléfiques qu'il s'imaginait dans sa tête. Si rien ne se produisait bientôt, rien ne pourrait le ramener a parler a nouveau a parler avant un bon moment.

Quoi de plus amusant que de reduire en poussiere une ame torturé. Pour Candle, Marc pourrait etre d'une grand aide. Pourquoi ne pas rendre l'utile a l'agreable ?

-J...je... s..se serait mieux surement pour... pour tout le monde si je pouv..v..ait retourner en état catatoniqe dans...dans l'hopîtal de f..f..fffou

- Tu sais que peut importe que tu sois present ou pas les gens cour toujours un danger ... Si tu crois que tu est la seul chose qui peux sommé mort et destruction, tu te trompe gravement mon gars. lui repondit le demon en fesant tournoyer sa dague entre ses doigts.

Le fou le supplia de faire disparaitre ces souffrances ce qui était parfaitement dans les cordes de Candle. Seulement le démon avait besoin de quelqu'un pour lui apprendre comment les gens de se monde se comportait et pourquoi pas joué avec le gouvernement. Il eu donc une merveilleuse idée.

- Je vais faire disparaitre tes souffrance dit-il en passant a coté de Marc, une fois le fou dépassé Candle se retourna avec une vivacité que seul l’expérience peut permettre d'acquerir et lui donna un cou de pomeau derriere la tête afin de l’assommé momentanément. En fait, je les ferai disparaitre jusqu'a ton reveil siffla-t-il entre les dents

Il prit Marc sur son épaule et parti vers ce qui lui semblait etre un chateau.

(dsl pour la courteur :S)

Marc malgré la terreur qu'il éprouvait, commencait a se poser de sérieuses questions. Il était la dans une ruelle suspecte a parler avec un individu tout aussi suspect tenant des propos a double-sens qui lui donnait froid dans le dos. Marc craignait Candel, mais il ne savait pas pourquoi ca malgré sa manière de parler un peu louche, il l'avait aidé a se libérer et a se lever, mais pourquoi? Pourquoi s'intéressait-il a un fou comme lui dans une ville en ruine. Le fou ne comprenait pas ce si le démon voulait le rassurer en lui parlant d'autres dangers que lui ou le menacer.

¨Se sont ses yeux¨ Se dit Marc.¨ Sous un premier coup d'oeil il semble calme et détendu, mais lorsque je regarde ses yeux... Ils semblent encore plus fou que les miens.¨

L'expérience des années passé de Marc lui disait de fur cet homme, mais le problème subsistait. Il était dans une impasse. Il se mit a regarder de tout les coté pour trouver un moyen de fuir quand Candel parla a nouveau.

- Je vais faire disparaitre tes souffrance.

Marc comprenait bien le sens de ses paroles mais restait paralisé par la terreur devant son bourreau qui ne fit pourtant que passer a coté de lui. Le fou en fut tellement soulagé qu'il soupira de soulagement juste avant de recevoir un coup précis derière la tête qui le fit sombré dans l'inconscience. L'oeil le ramassa ensuite et se diriga avec lui en direction du palais.

(Les miens sont pas mieux lol)