Rybenn ; Byakuya, la nuit blanche.. Le dernier d'une lignée.

Mon physique n'est pas des plus spéciaux, Invité, bien au contraire. J'arbore un corps plus ou moins agréable au regard, bien qu'une cicatrice imposante se trouve sur mon torse. Ma couleur de peau est un juste milieu entre le noir ébène et le blanc pâle, un métissage certain se distingue donc lorsque l'on m'observe minutieusement. Toutefois, comme répéter bien trop de fois, "l'habit ne fait pas le moine", alors ne vous méprenez pas sur ce que vous venez de voir et d'entendre, car je suis loin d'être un ange, du moins, je le suis depuis un certain moment. En effet, une marque indélébile est incrustée au sein de mon faciès, plus particulièrement, au milieu même de mon front, et que j'essaie d'occulter du mieux possible via mes mèches de cheveux. Cette dernière est la cause de tous mes cauchemars, de toutes mes nuits blanches, car c'est le "M" de Majin. Sa couleur est d'un blanc limpide, ce qui n'est en soi pas étonnant, vu que j'ai réussi l'exploit qu'est me défaire des griffes du sorcier majin. Quant à ma crinière, elle est d'un noir de jais, tout comme mes iris, ainsi que la couleur basique avec laquelle je me vêtis. En parlant de vêtements, ma garde-robe n'est que très peu variée, car favorisant un style simple mais sobre, je ne change en général que très peu de vêtements, d'autant plus que la plupart du temps, ils sont plus ou moins propres. Aussi, je ne me vêtis que de choses larges, étant donné que j'ai la bonne ou mauvaise habitude, en fonction du point de vue, de faire des gestes amples, ainsi, des vêtements étreignant me gêneraient grandement dans ma vie de tous les jours... enfin, pour peu que j'en dispose d'une, de vie...

"Un esprit sain dans un corps sain. Cette phrase revient souvent dans les bouches des habitants de notre petite planète... sur celles n'étant d'ailleurs la plupart du temps, pas bien placées pour ne serait-ce qu'en esquisser les mots. Pour ma part, l'être que je suis ne semble ni mal placé, ni même bien placé, mais perdure en étant la preuve vivante qu'il y a un juste milieu plausible en cette citation, des plus connues et utilisées..."


Imbu de sa personne ; Notre jeune Rybenn est un être fier et arrogant, prennt les défaites comme une insulte à son propre nom. Son impétuosité lui a déjà valu bon nombre de raclées, mais il en a cure, pour lui, il reste non pas un être à part, mais supérieur aux autres. La trace majin s'est certes, estompée, mais il en reste que quelques effets perdurent, eux aussi...

Coureur de jupons ; Comme vous pouvez le constater, nous ne commençons pas avec ses qualités, mais ses principaux défauts, et il faut d'ailleurs bien avouer que la luxure en fait partie intégrante. En effet, non content de privilégier les demoiselles toutes en formes et arborant un faciès d'ange, à celles s'étant mises dame nature à dos, il est de plus adepte de la drague, et n'ira jamais sur le dos de la petite cuillère pour faire sienne une femme, qu'elle ait mari, ou non. Combinez à cela une joie de vivre ponctuée d'un certain humour noir, et ont pourra bel et bien affirmer qu'une bête de foire comme lui, il n'y en pas deux !

{Très} Con ; Défaut ou qualité, en fonction du point de vue de la personne concernée, s'il y a bien un mot pour le qualifier, je choisirais celui-là, sans hésité ! Grand blagueur, il est passé professionnel dans l'art qu'est le jemenfoutisme, et semble être né pour cela. Sa connerie pourra atteindre un point tel, que les blagues du plus grand des comiques paraîtront moroses aux côtés des siennes, non pas qu'elles soit drôles, bien au contraire, elles sont tellement nulles que vous en rirez... du moins, on l’espère ! Combinez à cela une joie de vivre ponctuée d'un certain humour noir, et ont pourra bel et bien affirmer qu'une bête de foire comme lui, il n'y en pas deux !

Réfléchi ; Malgré tout, c'est aussi un être réfléchi, qui ne parlera que peu souvent pour ne rien dire, du moins, lors de combats ardus. Sachez aussi qu'il réfléchira toujours une fois de plus que vous, alors ne vous arrêtez pas sur son physique de jeunot, car des épreuves, il en essuyé un bon nombre...

Manipulateur ; Dans l'adversité, tout un chacun dévoile une face cachée de sa personnalité. C'est aussi le cas de Rybenn, qui saura se montrer parfait manipulateur quand il le faudra, et dans un contexte bien précis, bien entendu...

Tacticien ; Sa façon de toujours avoir un coup d'avance sur vous est exaspérante, et son expérience au combat fait de lui un être plus que dangereux, le mésestimer, ou tout simplement surestimer ses capacités physiques au détriment de ses capacités mentales, est donc un acte sans retour, au cours duquel votre existence même sera mise en jeu...

Impitoyable ; En général, notre Rybenn ne laissera derrière lui que très peu d'êtres vivants, si du moins, ces-derniers l'ont cherché... car la voie menant à la trouvaille que représente sa colère, n'est que trop aisée à trouver...


Sachez dernièrement que bien que la marque du majin se soit estompée, et que l'emprise du sorcier ne soit plus qu'un vulgaire songe parmi tous les autres qui tourment notre Rybenn, il arrive que la folie reprenne néanmoins le dessus. Cette sorte de schizophrénie est souvent due à de fortes émotions, telles que la frustration, la colère, la rage ou la jalousie. Ce n'est qu'uniquement lors de ces moments précis que son "M" passe de blanc opalescent, à sa couleur d'origine, le noir... sombre... et synonyme de dantesque... colère divine... châtiment céleste... jugement dernier...

Je suis né dans une époque où la poudre était encore la puissance qui primait, du moins, sur l'humble petite planète qu'est la Terre. Les sabres et autres armements étaient alors obligatoires, dans une société où les pensées utopiques n'avaient pas leur place, et étaient réservées aux rêves d'enfants bêtes et inconscients, qui ne se doutaient pas du poids que leurs bras devront soulever un jour ou l'autre, et que les armes, ce seraient bientôt à eux de les prendre. Je fis justement partie de ces enfants, nés pour gagnés, et dont la vérité serait exposée dans un avenir proche, aussi douloureuse qu'elle puisse être. Je grandis dans l'optique d'apporter une utopie durable au monde actuel, mais mes idéaux paraissaient dérisoires aux yeux de tous, tant et si bien que moi-même, je perdis un jour foi en mes propres convictions. Les batailles étaient d'un nombre gargantuesque, et chaque jour de plus, de nouveaux morts étaient à déplorés. Au final, elles passaient comme de simples aléas de la rude vie qu'est celle d'êtres vivant au sein de cette ère meurtrière. Je connaissais parfaitement le terrain, et était souvent envoyer pour combattre un groupe ennemi. Habile assassin, et disposant d'une force physique herculéenne, ainsi que d'une vitesse n'enviant rien aux balles adverses, mes pairs voyaient en moi une chance de survie, ainsi, au plus profond de mon être, une certaine pression avait élu domicile, car même s'ils ne me le disaient pas, je savais que je me devais... que je leur devais, d'être toujours le meilleur, quel que soit le challenge qui m'attendait. Alors que mes réussites s’enchaînaient, ma renommée prit de l'ampleur et, chaque jour de plus, bon nombre de nouveaux alliés rejoignirent ma cause, ou du moins, celle de mon groupe, pensant eux-aussi que je leur permettrait de triompher de leurs adversaires, tel un Messie. Mon nom commença à être connu de tous, le simple fait de dire "Rybenn" provoquait soit un élan d'hilarité, soit une vague de ressentiment... Mais cela tourna en ma défaveur, car je ne me doutais pas qu'un être possédant des pouvoirs surnaturels, et arborant le nom de "Bibidi", cherchait quelques cobayes afin d'en faire ses assujettis, et fit vite de s'intéresser à moi, mais surtout à mes aptitudes de surhomme. Il lança alors un raid contre mon camp, et les miens ne purent rien faire, les pouvoirs du sorcier dépassant l'entendement... l'entendement humain. Il me captura sans la moindre difficulté, laissant derrière lui un sillage de cadavres et de chaire lynchée. Je pu apercevoir que je n'étais pas le seul, qu'il utilisait à des fins guerrières en faisant esclave. La guerre et le sang ayant assombrit mon cœur, il n'eut que très peu de difficulté à décelé ne serait-ce qu'une quantité minime de haine au sein de ce dernier, et très vite, je fus sous son contrôle, sans possibilité de retour en arrière, mais disposant désormais d'un surplus de puissance non-négligeable...


Combattre, plonger le monde dans une terreur d'une tout autre ampleur que celle qu'elle connaissait déjà, tel était mon but, que je le veuille, ou non. J'étais alors prestement passer de l'état d'entité, à celui de cauchemar que l'on contait aux enfants non obéissants avant qu'ils ne s'endorment, mon surnom, "Byakuya", vint donc tout naturellement. La folie de la marque majin grandissait en moi chaque minute, tel un feu nourri continuellement via du bois sec. Inconscient, je passais mon temps à rependre la peine et le tourment, ayant même fait de cela ma raison d'être, et toujours équipé de l'appareil tireur de puissance, sans même savoir ce que cela engendrerait... durant un nombre d'années si grand qu'introuvable, rien ni personne ne s'interposa au plan du sorcier, par peur d'aller au-devant de nombreux malheurs...

Un jour, alors que les autres majins et moi-même allions donner toute la puissance aspirée récemment à celui que appelions notre maître, ce-dernier nous envoya un message direct via télékinésie, nous demandant entre autres de nous hâter. Lorsque nous arrivâmes aux portes de son vaisseau, il nous attendait déjà, et cela était bien la première fois. Un rictus se forma sur son petit visage malsain, et ce rictus se transforma très bientôt en un rire jubilatoire, lorsqu'il vit la quantité faramineuse d'énergie amenée. Nous n'étions jamais mis au courant de ses plans, nous, les sous-fifres, et étions juste bons à rapporter de la puissance, seule la garde rapprochée du maître majin était au parfum de ce qu'il élaborait. Du moins, c'était le cas jusqu'à ce jour, car suite à cela, il nous annonça que nous avions contribué à la création de l'être le plus puissant qui soit, répondant au nom de... "Buu". Alors que nous nous attendions à être congratulés, ce fut le contraire, qui s'abattit sur nous... une véritable hécatombe... Bibidi tua ses propres serviteurs par groupes de dizaines... raillant... vociférant que notre devoir était désormais accompli, et qu'il n'avait plus besoin de nous... un seul de ses mouvements de main était synonyme de massacre... Si ce n'étaient ses gardes, il n'en épargna que quelques-uns, les plus forts, dont je faisais partie... mais notre destin n'était pas voué à être préférable... ô non... étant donné que nous étions prédestiner à être le premier, et le dernier échauffement de Buu...

La puissance du monstre, arborant d'ailleurs une déplorable couleur rose, d'après mes souvenirs, aussi flouent soit-ils, dépassait tout ce que j'avais pu voir jusqu'à présent. Toutefois, nous lui avons résister un certain moment, mais cela n'était qu'une question de temps avant qu'il ne finisse de musarder. Sa rapidité surpassait celle de nous tous réuni, et la force se dégageant de chacun de ses coups était une véritable correction... j'étais d'ailleurs le seul à ne pas avoir ployer, du moins, pas encore, alors que les autres n'attendaient plus que la mort. Mais alors que le Buu lança une nouvelle offensive, ayant sans doute pour but de tous nous occire une bonne fois pour toutes, Bibidi leva sa main, et ce-dernier se stoppa instantanément dans sa course. J'eu juste le temps de tourner ma tête, pour voir l'état des autres majins... mais la mort les avaient déjà prit... le sorcier les avaient achevés. Se tournant vers moi, je me souviens encore de ses paroles... comme si c'était hier... « Dorénavant, tu feras partie de mes esclaves favoris, tu es le seul à avoir survécu... félicitations ! »... il tapa alors soudainement des mains, puis ses autres serviteurs vinrent me faire une accolade dont la sincérité ne laissait aucun doute, puis il partit, me laissant seul, moi, et le nombre de morts, pesant de plus en plus en mon cœur... les morts... Suite à cela, je fis partie de l'élite du sorcier, il m'emmenait partout où il souhaitait que les défunts s’enchaînent. Les survivants se comptaient sur les doigts d'une main, et c'était d'ailleurs, de mes propres mains, que la fatalité se répandait, alors que mes idéaux de paix durable n'étaient plus qu'un songe parmi les innombrables cadavres que nous laissions derrière nous, Buu, se faisait un plaisir d'exterminer le reste de l'humanité, et ce, à une vitesse stupéfiante... Mais un jour, il échappa au contrôle de son propre maître, ainsi, désireux de ne pas mourir par les mains de sa propre créature, ce dernier l'enferma dans un cocon, via une formule qu'il avait lui-même mit au point pour des cas comme celui-ci... Ce fût dès lors, la fin de l'ère Buu...

Cela ne se passe jamais comme prévu, c'est bien connu, une quelconque emmerde s'incruste toujours dans les projets, que ces derniers soient pour, ou contre l'évolution de l'humanité. Bibidi le comprit très bientôt, et à ses dépends. En effet, non content qu'il ait été contraint d'enfermer son propre protégé, un être se disant "Kaioh-Shin", vint à sa rencontre, et l'abattit, sous nos yeux ébahis, avant de s'en aller aussi vite qu'il était arriver. Évidemment, nous n’avions rien pu faire, cet être étant d'un niveau tout autre au nôtre. Désormais libérés de notre état d'esclaves, nous étions livrés à nous même, dans une société qui ne voulait pas de nous, malgré le fait que de nombreux changements se faisaient ressentir. Nous ne pouvions leur en vouloir, et en y repensant, cet être, ce Kaio-Shin, aussi puissant et impartiale soit-il... il livra les réelles victimes à la solitude, en tuant le seul être qui leur servait de famille. Nous n'aimions pas Bibidi, ô non, mais aussi exécrable soit-il, c'était bien le seul à nous donner une raison de vivre, et en son vaisseau, se trouvait être notre seul toit. Lapidés par la main-même des familles en deuil à cause de nous, la plupart des majins périrent. L'état de surhomme et la découverte d'une aura appelée "Ki" ne combla pas un manque certain d'effectifs, d'autant plus que ne maîtrisions pas notre force, et même si un seul de nos pairs valait bien une vingtaine d'humains lambda, le surnombre de survivants nous contraint très vite à vivre en exil. Les années passèrent et se ressemblèrent, nous fûmes au bout d'un certain moment, oubliés de la civilisation actuelle, le massacre de Bibidi étant passé de réalité à songe en un temps record. Au fur et à mesure du temps, les majins restant s'éparpillèrent, chacun prenant la voie qu'il souhaitait, car tous redevenus bons. La plupart jouèrent la carte d'une vie de nouveau normale, et se fondèrent donc dans la masse. La plupart... car moi, ainsi que certains autres, avons souhaités approfondir nos connaissance en ce qui concernait le Ki, et nous sommes donc voués aux entraînements, aussi fastidieux puissent-ils êtres...


Aujourd'hui, en tant que mercenaire, je mène une vie honnête, ou presque... Le comportement dont je fais preuve envers les autres n'est-il qu'un masque, ou est-ce ma vraie personnalité ? Je n'en sais rien...

Merci bien à vous .

Merci à vous xP.

Merci à vous x'}.

Merci à toi. Je travaille dessus en ce moment même, mais étant donné que je compte faire bien moins long qu'à mon habitude, je ne pense pas qu'elle aura le mérite des autres, enfin, on verra bien, la longueur ne fait pas forcément la qualité, après tout^^.

Merci à toi. Euh, par contre, c'est un problème venant de ton ordi', car je n'ai nullement changer la taille de ma police^^.