Je suis Rizzrak, pas touche !

Rizzrak a passé des jours et des nuits à construire sa tenue de guerre, examinant chaque maillon et chaque mécanismes, aiguisant sans relâche chacun des lames qui seront primordial à sa machine, tremblant encore de ce qui s'était passé à Augury Bay. Les images des lianes étranglant ces semblables et enveloppant les maisons, ces collègues étouffant du pollen qui envahissaient leurs poumons, ces arbres détruisant les dernières défenses de la ville avant de poursuivre les derniers survivants, tout ces images le hantaient, l’empêchant de pouvoir se reposer... Il devrait être sauf, et seul son invention pourra le protéger. Après des semaines de travail, sa combinaison-scie était fini, et d'une main fébrile, lança la machine à lames. Il n'était point délivrer de sa peur, il savait que maintenant, il devrait affronter tête à tête sa peur pour pouvoir enfin trouver la paix, et il savait qu'il n'allait aimer aucune seconde de sa quête.

Avec son invention, il détruit de nombreux arbres, ceci n'était que justice après tout, et il ne semblait qu'il était impossible de satisfaire sa soif de vengeance envers la forêt, cette machine le rendait immunisé aux racines et aux feuilles. Avec une telle puissance, c'était qu'une question de temps avant qu'il soit entremêlé dans la guerre entre les anciens, deux entités extraterrestre voulait détruire l'autre. Rizzrack le Timbersaw n'avait aucun intérêt dans ce conflit avant qu'il n'aperçoive un arbre anthropomorphique dans la mêlée, ressemblant exactement aux créatures sylvestres qui ont détruit Augury Bay. C'était lui, la solution. Enfin Rizzrak pourra trouver la paix après l'avoir couper, écarteler, décimer, jusqu'à seul de la poussière de cette abomination fait de bois et de feuille. Il rejoins la guerre sans savoir qu'il allait devoir répéter les mêmes combats en boucle, à mourir et revivre, jusqu'à la fin des temps, juste pour pouvoir détruire mettre ces lames à l'action contre cette erreur de la nature... Maintenant, piéger à répéter un conflit sans fin Rizzrack ne pouvait mettre fin aux bruits de ces voisins, criant alors qu'il était écraser par des racines, dans son esprit, sachant que l'arbre monstrueux reviendra à chaque fois qu'il tombera, Timbersaw ne souhaitait qu'une seul chose à ce point, ne plus faire partir de cette bataille sans queue ni tête.

Rizzrack ressemble à un gobelin violet musclé, mais peu remarquable due à sa petite taille. Il porte un tablier marron, un pantalon beige, des bottes marrons, de gants jaunes qui arrive jusqu'au cou et d'un casque gris auquel ces lunettes de protection sont placées. Il est toujours dans sa "tenue de combat", une machine massive fait de bois et d'acier, ayant bras et jambes. À la place de mains, cette terrifiante machine est doté d'outils pour combattre. Au bras droit, est équipé une grappin relié à une chaîne qui peut être envoyé à de longues distances, prioritairement vers des arbres pour s'y agripper et propulser la machine en avant. Au bras droit est une scie circulaire qui peut être envoyé dans n'importe quel direction Rizzrack le souhaite. Il y a également une scie placé au niveau du torse, en cas de violation de la zone de confort du Smallkzeen.

Rizzrack a été pour du moins, traumatisé par l'attaque d'Augury Bay par des créatures sylvestres, il est relativement instable et paranoïaque, ayant une constant peur des arbres, dont il détruira à vue. Due de sa paranoïa, il ne fait confiance à peu de personnes, généralement réservé aux gens qui apprécie la destruction des zones forestières, craint toutes entité ayant des pouvoirs en relation à la forêt et déteste n'importe qui appréciant la vie sylvestre. Néanmoins, il est également quelqu'un qui est rapide à devenir arrogant quand il pense avoir un avantage contre quelqu'un, n'hésitant pas à provoquer quiconque ayant des difficultés contre sa tenue de guerre, et autant à paniquer si elle s'avère pas suffisamment puissant contre son adversaire. Il a horreur d'être touché et, malgré son efficacité envers tout ce qui est fait de bois, Timbersaw n'apprécie pas le feu, pour une raison qui lui est inconnu.