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Sujet: Let me break you ~ [ PV. Motta ] Lun 13 Aoû 2012 - 20:10
La jeune femme venait tout juste de laisser Tytoon, entre de bonnes mains, visiblement. Cela la rassurait, car même si elle était consciente que l’ange était loin d’être une faiblarde, dans la position dans laquelle elle se retrouvait à l’heure actuelle, elle avait besoin d’un bon garde du corps pour qu’il ne lui arrive aucun évènement fâcheux. Surtout qu’il fallait préciser qu’elle n’était plus vue du même œil par les sayens, les ganshous, et ceux qui étaient ses anciens alliés… ils n’auraient donc aucune pitié pour la tué. Surtout en sachant qu’elle est la femme de MV, leur ennemi de toujours… ça doit leur en foutre un coup, de voir l’évolution des choses. Plus ça va, plus on croirait que l’alliance Maléfique pourrait prendre contrôle, de plus en plus, de l’univers, avec MV comme nouveau maître de celui-ci. Il y a de quoi frémir. Mais Claire, elle, cela ne la dérangeait pas trop, vu dans quelle position elle se situait actuellement… Et puis son but à elle n’était pas le même. Que l’alliance maléfique domine les autres, cela elle s’en fichait, dans le fond. C’était surtout que cela l’avantagerait également, puisqu’elle en est allié.
La succube avait laissé une petite partie de l’énergie démoniaque s’emparer d’elle : une légère aura noire et violette l’englobait. Son regard était perdu dans le néant, alors qu’elle avançait jusque dans la foret. Elle n’avait pas encore mi son casque, qu’elle tenait fermement sous son bras. Il fallait dire que son armure allait complètement cacher son identité, et peut-être que c’était mieux. Motta ne la reconnaitrait sûrement pas. Et puis, puisque son aura avait radicalement changé, on ne pouvait pas se douter que c’était la sienne. D’habitude, son aura était semblable à celle des anges, et là, il n’y avait aucun doute : c’était plutôt une sorte de démon qu’un être angélique qui possédait ce genre d’aura maléfique. Cette dernière pensait qu’il serait plus facile pour Motta de se battre sérieusement s’il ne connaissait pas la réel identité de adversaire ; car elle le savait sensible, au fond. Et il fallait préciser qu’il était impossible de rester stoïque dans la situation où ils allaient tout deux se retrouver. Même Claire, pourtant peu expressive, démontrait une certaine mélancolie. Plus elle se rapprochait, plus les bruits provoqué par la destruction de la planète étaient assourdissant. Cela ne sembla pourtant ni déconcentré ni effrayé la jeune femme : des cris d’épouvante, elle en avait entendu. Le spectacle était impressionnant à voir : on remarquait aisément de là où elle était les énormes gorilles cosmiques, qui étaient donc la transformation des sayens. Ils étaient intimidants au premier coup d’œil, mais pas sans point faible. La succube n’y fit pas plus attention, car ce n’étaient pas eux qu’elle devait affronter. Son adversaire, elle le connaissait bien plus que les autres, et en n’ayant encore jamais lu dans ses pensées. C’était bien la première fois qu’elle n’utilisait pas son pouvoir sur quelqu’un. Disons qu’elle ne le voulait pas, elle préférait découvrir plutôt que de savoir tout à l’avance, avec lui. Et dans ce cas-ci, ça serait pareil : elle ne savait pas comment il allait réagir s’il découvrait l’identité de la jeune femme sous son aura démoniaque.
Lorsqu’elle arriva hors de la forêt, juste à la limite de celle-ci, elle regarda un moment son émetteur, se disant qu’elle pourrait le contacter via celui-ci… mais elle se résigna et rangea l’appareil. Elle avait mieux, enfait. La déesse se mit à chercher l’aura de Motta : Il n’était pas si loin. Elle sentait l’énergie des membres de l’alliance maléfique et de celle de Toma et de Fugma. C’étaient évidemment celles qui se faisaient le plus rapidement repéré, grâce à la puissance qu’elles dégageaient. Elle ferma alors un instant les yeux, et communiqua Motta directement par les pensées : « Je suis aux abords de la forêt, j’ai besoin de toi. »
Par la suite, un groupe de sayens en éclaireur débarqua. Ils se posèrent face à Claire sans faire attention à son aura ni à ce qu’elle faisait là : après tout, elle était censé être leur allié.
Sayen : Nous sommes venus en éclaireur voir s’il était possible d’occuper la forêt.
- Je m’occupe de cette zone. Retournez aider vos frères d’armes au front. Elle avait dit ça sur son ton toujours aussi sec. Sauf toi. Précisa-t-elle en ayant le regard sur le chef du groupe.
Les sayens acquiescèrent et firent marche arrière, ils retournèrent aider leurs compagnons qui étaient en plein dans la ville. Lorsqu’ils furent partit, elle s’enfonça dans la forêt en compagnie du chef de troupe qui l’accompagnait. Il lui parlait, sur le chemin, des positions des troupes et de la répartition de ceux-ci sur la planète afin de l’informer. Il lui conseilla également d’envoyer rapidement un message à ses supérieurs car personne ne l’avait encore vue. Elle ne faisait qu’acquiescer silencieusement. Sous son armure, ses veines commencèrent à être saillante, ses ongles devinrent rapidement d’énormes griffes digne d’une harfreuse, créature mi femme mi oiseau aux griffes longues et acérés, de quoi en faire froid dans le dos. Ses canines de vampires se développèrent, le reste de ses dents s’aiguisèrent comme celle d’un cannibale : pointues, très serrées, et mortelle. Le sayen ne fit pas attention, en présence d’allié. Elle avait commencé à se transformer pendant qu’il parlait, et vu qu’il ne s’était pas vraiment méfier jusque-là, elle en avait profité. Seulement c’était tout de même un sayen et il était loin d’être si bête que ça. Au bout d’un moment, alors qu’il marchait devant Claire, il se retourna. Il fut surpris de ne pas la voir derrière lui, et immédiatement, il se retourna de l’autre sens. Il regarda tout autour de lui, même dans les airs. Il commença à charger ses mains en KI. Il se demandait s’il lui était arrivé malheur ou si alors c’était elle qui…
Le sayen eut à peine le temps de réagir qu’il venait de se faire brisé la nuque. L’animal l’avait choppé si violemment à celle-ci qu’elle avait été brisé sur le coup. Mais sous la peur, il avait quand même balancé une énorme boule de KI, qui était venu directement se loger dans le ventre de la guerrière, qui avait maintenant un trou béant dans le corps. Cependant, on la voyait pomper tout le sang du sayen à une vitesse hallucinante. Elle le posa sur le sol par la suite et mangea ses entrailles. C’est alors qu’il n’y eut plus aucune trace de cette attaque sur Claire : son ventre était redevenu normal, son armure n’avait pas une égratignure. Elle semblait plus vivante que jamais après ce repas : les joues rosées, une teinte plus chaude qu’a l’accoutumé, et surtout, des muscles qui ressortaient aisément. Son repas en valait largement la peine.
Ses yeux étaient rivés sur le cadavre. Son expression était neutre, mais pas son regard. Elle semblait elle-même effrayé au fond d’elle de ce qu’elle avait fait. Encore, après toutes ses années… elle qui se retenait volontairement de se nourrir, au risque de dépérir ; que ce soit physiquement ou au niveau des pouvoirs… Comment accepté l’idée d’être résigné à faire ceci pour pouvoir se rassasié ? C’était pourtant sa malédiction… et seul Alucard semblait s’en réjouir. Elle l’entendait rire aux éclats. Un rire gras qui résonnait dans son esprit et qu’elle détestait par-dessus tout. L’homme au sol… Motta allait-il finir ainsi ? Mort, tué de la main de cette femme… ? A cette pensée, on devinait que Claire allait en devenir malade. Mais elle se devait de ne pas y penser et de se tenir au plan. C’était le plus important.
Alucard : * Comment peux-tu te rendre aussi malade pour cet homme ? Il semblait dans une colère noire. Je ne laisserai personne se mettre entre toi et moi. Surtout pas une race inférieure. *
Claire fit la sourde oreille, alors que le démon la harcelait pratiquement en permanence dans son esprit. Elle se releva de sa position et revint près des abords de la forêt afin d’être plus visible. La succube regarda un moment son casque. Mais elle le jeta sur le sol: pourquoi se cacher ? Les yeux cernés d'un maquillage bleuté, les cheveux attachés en queue de cheval - laissant deux bandes de cheveux bordé son beau minois - la jeune femme était méconnaissable. Sauf au niveau des yeux, lorsque ceux-ci reprendront leur couleur jaune vivace... l'avantage ? Elle avait non seulement changer d'aura, mais aussi d'apparence. Motta ne la reconnaitrai certainement pas tout de suite. D’un coup, elle fit exploser son énergie : elle se laissa entièrement gagné par l’aura démoniaque, celle-ci fit des ravages et créa un énorme gouffre autours de la jeune femme lorsqu’elle la libéra. On pouvait à présent sentir sa présence à des kilomètres à la ronde. Elle alla se poser un peu plus loin, hors du gouffre, et elle dégaina ses deux énormes épées : les claymores. Elle n’en aurait pas besoin dans ce combat. Elle était déjà à moitié transformée, ses énormes griffes lui serviraient tout autant que ses épées. Cette dernière alla les planté loin d’ici, entre plusieurs arbres, afin de faire croire qu’elle ne lui appartenait pas. Revenant sur sa position de départ, elle leva son visage vers le ciel, attendant la venue de son adversaire…
Spoiler:
l'armure sans le casque.
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Motta
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Sujet: Re: Let me break you ~ [ PV. Motta ] Mar 14 Aoû 2012 - 23:42
Le lieu où le général Toma avait déployer les troupes de sont armée étant totalement dévasté, Motta avait décider de quitter les lieux. Il comptait lui aussi faire du mal sur cette planète gouverné par le maléfique Majin Vegeta, il n’allait pas se gêner pour lui rendre la monnaie de sa pièce. Le colonel aimait son peuple et ne reculerait devant rien pour laver l’affront qu’avait subit sa patrie. La vengeance était parfois considérer comme un sentiment peu honorable, mais si l’honneur est justement en jeu alors il n’y a pas à hésiter. Ce n’était pas pour sa propre personne que le sayen à l’armure verte voulait apaiser son désire de vengeance, mais bien pour tous ceux qui avaient injustement perdu la vie dans le camp sayen lors de la dernière bataille. C’était leur honneur à eux qui avait été souiller, et il n’était pas question que ce crime reste impuni. Chez les sayens, la fierté était quelque chose d’important, malgré leurs airs souvent froid et indifférent, ce sentiment prouve bien que s’ils ont quelque chose à protéger, ils peuvent parfois faire appel eux aussi à ce qu’on pourrais appeler le « cœur ». Souvent les sayens sont décris comme égoïste et imbus d’eux-mêmes, mais c’est tous unis pour leur patrie qu’ils vont sur le front venger leurs frères et sœurs tombés au combat lors de la dernière bataille. La soif de combattre, l’envie de latter ses ennemis n’était qu’une raison de plus, un plaisir qui faisait que les sayens n’hésitaient pas à cogner quand ils avaient besoin de communiquer leur mécontentement. Un peuple de brutes, soit, mais un peuple unis comme un seul homme.
Le colonel traversa une distance assez importante du lieu où les troupes de Toma avait fait un carnage, entre temps il ne manqua pas d’éliminer chaque groupe d’ennemi qu’il rencontrait. Il était lui aussi accompagner d’une troupe de soldat, alors Motta arrivait encore plus facilement à bout des ennemis de plus en plus faible et de moins en moins nombreux où qu’ils soient sur la planète étant donner le nombre important d’assaillants. La planète Kanasa était vraiment en train d’être mise à feu et à sang, la revanche des sayens était enfin acté, mais cela ne suffisait pas, un futur combat face aux plus puissants guerriers du camp de l’Alliance Maléfique allait sans doute éclater. Motta se demandait bien sur qui il allait tomber, il les connaissait à peu près tous, à part s’il y avait des nouveaux. Peu importe son adversaire, il ne lui ferai pas de cadeau, un combat comme celui-ci ne peut se terminer que par la mort de celui qui affronterai le colonel. C’était dû moins ce qu’il s’était mis en tête, pas de pitié quel que soit la personne qu‘il serait amené à affronter.
Après avoir parcouru une longue distance avec ses soldats, le colonel aperçu au loin un village encore en bon état, c’était l’occasion rêver de faire du grabuge par là. En plus, en consultant son détecteur il remarqua que toutes les personnes présentes dans ce village avait une énergie supérieure à la normale, c’est-à-dire qu’ils étaient entraînés pour combattre. Tous des guerriers dans un village ? Sans doute que les villageois, alertés par les assauts des alentours avaient dû se mettre à l’abris et que les soldats kanasiens avaient investis ce lieu pour la bataille. Parfait, il y avait du monde à éliminer, le colonel fit signe de la tête aux hommes qui le suivaient. Ils allaient passer à l’attaque, les forces adverses étaient beaucoup moins nombreuses, se serait vite régler. Dans le ciel, les soldats sayens apparaissait au loin comme un essaim de bourdons. Très vite les soldats kanasiens se mirent à s’affoler mais il était trop tard pour fuir, les sayens étaient déjà près du village, ils se posèrent tous rapidement en commençant le massacre. Les premiers soldats de Kanasa tombèrent aux sols lorsque Motta élimina d’un vif passage en coup de vent à travers une rue six guerriers ennemis. Les hommes du colonel se firent tous plaisir en éliminant les pauvres kanasiens complètement dépassés par les événements qui tomèrent les uns après les autres. En seulement dix minutes, plus de la moitié des ennemis avaient été tués, dont une partie assez importante par le seul Motta. Le colonel ne sembla rien ressentir en ôtant la vie de ceux qui avaient osés s’attaquer aux siens, mais il se mit en retrait au bout d’un moment pour laisser ses hommes finir le travail et se préserver pour un éventuel futur combat de taille. Le colonel avait pris de la hauteur, flottant dans les airs il observait ses troupes s’amuser avec l’ennemi, tout en restant vigilant il se permis de penser à Claire et de s’inquiéter de son sort.
*J‘espère qu‘elle va bien. Mais tous cela est étrange, j‘espère qu‘elle sera bientôt de retour vers nous. Partir seule comme ça en terrain ennemi était une grossière erreur…*
Même si Fugma avait reçu de ses nouvelles, il n’était pas pour autant rassurer. Étrangement, c’est à peu près à ce moment là qu’il reçu un message de la part de Claire par télépathie. Elle lui signala qu’elle avait besoin d’aide et qu’elle était aux abords de la forêt. Le colonel pris un moment de réflexion puis donna ses consignes à ses hommes, il dit à un soldat de s’occuper de diriger les troupes pour finir le travail et il pris cinq soldats avec lui pour partir en direction de la forêt. Lorsqu’il s’approcha de la forêt en volant il sentit soudainement la puissante aura d’un guerrier non loin d’ici, il pouvait sentir à quel point celle-ci était maléfique. Motta fit signe à ses soldats de se poser près la forêt et il leur ordonna de sécurisé la zone avant de partir seul un peu plus loin, là où il avait ressentit l‘énergie dégagé par la puissance inconnue. Un ennemi était sûrement là, mais il ne sentait pas l’énergie de Claire. C'était bizarre, c'était peut-être un piège. Toutefois, l’aura qu’il avait ressentit tout à l’heure lui semblait familière, c’était vraiment étrange. Soudain, il aperçu la silhouette d’une personne en armure, il découvrit alors le visage d’une jeune femme au regard bien sombre, une tête qu’il n’avait jamais vu jusqu’ici. Qui était-elle ? Et pourquoi son énergie lui paraissait si familière ? Pas de doute en tout cas, c’était bien la puissance qu’il avait repérer tout à l’heure. Il aperçu le cadavre du soldat sayen tué par la femme en armure, il était déposé lamentablement un peu plus loin et cela faisait bouillir intérieurement le colonel de voir l’un de ses subordonnés dans cet état. Il pris la parole en jetant un regard à Claire puis au cadavre.
"Allier de Majin Vegeta, je présume ? Je pense que tu va devoir payer pour ça…Son sacrifice ne sera pas vain."
Toujours très calme, Motta ne montra aucune émotion, bien que son regard froid croisait celui de la jeune femme devant lui. Il ne savait pas qui c’était mais qu’importe, ceux qui s’attaquent à l’armée sayenne devront en subir les conséquences. On ne porte pas atteinte au peuple sayen impunément.
Spoiler:
Fiche de Motta Général des armées sayennes.
Past:
Transformations: - Gorille Géant - Super Sayen 1 - Super Sayen 2 - Super Sayen 3
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Sujet: Re: Let me break you ~ [ PV. Motta ] Mer 15 Aoû 2012 - 15:21
Le visage tendu vers les cieux, Claire attendait avec patience la venue du colonel. Elle savait qu’il viendrait, ils tenaient assez l’un à l’autre pour se permettre de s’inquiéter mutuellement de leur sort et de débarquer en cas d’alerte. Ce pourquoi elle avait procédé ainsi. Elle en aurait fait autant si le sayen lui aurait demandé – bien que cela aurait été pratiquement impossible, ces personnes-là sont tellement fières qu’elle préfère mourir dignement plutôt que d’être aidé par un allié. Cela pouvait se comprendre, sauf s’il était question d’un combat décisif, qui déciderait du sort des concernés. Cependant, il fallait avouer que Claire était également de ce style : mourir en gardant sa fierté et son honneur plutôt que d’être aidé, en position de faiblesse, par quelconque allié. Dans tous les cas, il n’y aurait pas question de ce genre de situation dans le combat qu’elle allait mener face à Motta. Toute personne se mettant entre eux s’attiserait la colère divine de la jeune femme, et on sait à quoi s’attendre de la part d’une furie sanguinaire tel qu’elle. Très calme de nature, mais capable de choses bien plus pire qu’on ne pourrait le penser en la regardant. Il faut dire qu’au premier coup d’œil, son visage d’ange laisse souvent les gens rêveurs. On ne pensait souvent que du bien de cette femme à l’allure angélique… mais qui n’est en réalité qu’un ange emprisonné dans l’âme d’un démon. Soit, c’est ainsi qu’elle fut faite, et c’est ainsi qu’elle finira : ange déchu. Puni pour avoir aimé le pire des démons qu’il soit. Le plus cruel des tyrans de son époque. Alucard, le Dieu Seth en personne, qui réside à présent dans son âme. Un sacrifice qui lui est pourtant avantageux, mais qui fait d’elle un monstre. L’inévitable s’était produit : Ne pouvant totalement mourir, elle avait préféré le scellé dans son corps afin de le maintenir enfermé plutôt que de le laisser tyranniser à nouveau les autres espèces qui vivaient à cette époque sur terre, qu’il considérait comme inférieur. Mais des centaines d’années se sont écoulées… et la succube, engeance maléfique d’Hadès, avait fini par s’adonner complètement au côté maléfique, délaissant sa nature angélique. Visiblement, notre cher Dracula avait fini par prendre raison d’elle.
Elle sentait l’énergie de Motta se rapproché. Il n’était pas difficile de la sentir, elle était bien plus puissante que celle des autres sayens qui l’accompagnait. Les yeux de la jeune femme étaient fermés : elle se concentrait sur la position exacte de son futur adversaire. Elle l’observait dans son esprit, disons, avant l’affront. Il s’était arrêté aux abords d’un petit village où des troupes kanasiennes s’étaient rassemblées, évacuant les civiles, afin de protéger comme ils le pouvaient cette zone. Cette zone bientôt inerte, après le passage des sayens qui arrivaient en masse. Ils s’entretuaient sans se poser de questions : chacun savait pourquoi il se battait. Mais pourquoi tant de haine ? Les sayens autant que les kanasiens n’étaient que des pions de leur Roi et de leur chef. Ils n’étaient que de la chaire à canon, rien de plus. Leur destinée était donc de mourir au combat, pour des causes comme celle-ci … ? Ce genre de causes qui dureraient indéfiniment, tant que MV régnerait de façon incontestée sur pratiquement tout l’univers… Et quoi qu’on puisse en dire, on savait que cela n’était pas prêt de s’arrêter. Son alliance perdurait, ses alliés étaient toujours présents, et de nouveaux rentrait dans ses rangs. Il avait largement de quoi répondre aux assaillants, et il connaissait la valeur de chacun. Il ne craignait personne : sa seule crainte se tournait vers Tytoon et sa descendance, mais cela, il le gardait secret. Et il avait bien intérêt à ce que cela reste une affaire étouffée, auquel cas ses ennemis sauraient où frapper pour le démolir.
Claire était toujours dans les pensées de Motta, elle avait donc lu son contenu et avait senti sa crainte par rapport à elle. Peu après, elle lui avait envoyé un message pas télépathie, et ainsi, elle savait qu’il n’allait maintenant plus tardé. Mais elle était préparé : finalement, avoir parlé avec Tytoon et entendre ses conseils et son vécu, l’avait considérablement calmé, elle était sereine malgré la situation qui se présentait. Lorsqu’il arriva près de la forêt en compagnie de ses soldats, il leur donna des ordres afin qu’il sécurise le périmètre. Quant à lui, il s’aventura plus profondément dans la forêt argentée, cherchant la personne qui possédait cette aura tout droit sortie des enfers. Lorsque l’aura de Motta fut juste à porté de Claire, celle-ci rouvrit ses yeux, ténébreux comme ceux de son créateur, Hadès, pour croiser le regard de Motta. Son sang ne fit qu’un tour, et elle sentit son cœur avoir une énorme pulsion. Elle gardait cependant son sang froid, ne laissant rien paraître, et elle se tourna vers le colonel. Elle était enfin face à lui, dans son armure si spéciale, forgée par Héphaïstos en personne. La jeune femme admirait cet homme pour qui elle aurait pu faire n’importe quel sacrifice, mais qu’elle devait affronter aujourd’hui même, car elle avait choisi son camp. Claire hésitait : devait-elle dévoilé son identité au final ? Ou le laisser dubitatif quant aux évènements à suivre ?
- C’est de ça, dont tu parles ? Les doigts de Claire se transformèrent en d’énormes griffes, aiguisées et pointues comme celle des horribles harfreuses. Elle empala le corps du chef des sayens dont elle avait pompé le sang, et elle le balança aux pieds de Motta. Cet homme méritait de vivre autant que les autres. Chacun défend sa cause ici, et personne ne fait le bien. Nous vivons dans des temps gouvernés par le mal, quoi qu’on en dise. On commençait à voir, petit à petit, le corps de Claire légèrement se transformé. Ses yeux avaient prit cette teinte jaune vif, ces yeux agressifs, inspirant souvent l’effroi chez ses adversaires. Vous les sayens, vous vous battez seulement pour votre peuple, les autres, vous les reniés et vous les décimés. Vous ne divergé pas tant que ça de MV… sous son armure, les veines de ses bras saillaient et ressortaient vivement. Ses canines de vampires se développèrent de sorte à dépasser plus que le reste de ses dents, qui s’aiguisèrent à leur tour pour ressembler à ceux d’un cannibale. Mais toi, je te connais. Et je sais que tu n’es pas un homme qui vie dans l’insanité. Malheureusement, tu en es partisan, comme moi, et tous ceux qui se battent en ce moment même…
Spoiler:
Pendant qu’elle parlait, on voyait une sorte de couche noire qui sortait de son corps pour s’évaporé étrangement dans les airs… du moins c’est ce qu’on pouvait croire. Notre cher Crommwell, chien des enfers, se tenait maintenant derrière le sayen, ses milliers d’yeux rouges fixant celui-ci, ses trois gueules ouvertes. La première petite goutte de bave qui s’écoula de son menton pour tomber au sol fit réagir Claire : elle s’était téléportée juste devant Motta, furtivement, ses sourcils étaient froncés, son regard était dur, et elle n’avait cessé de fixer le sayen. Elle avait directement ouvert les hostilités lorsqu’elle s’était téléporté en position pour frappé le sayen d’un coup de pied au niveau du thorax, ce qui aurait pour effet de le faire légèrement vacillé vers l’arrière, alors que le chien derrière lui fonça dans le tas pour projeter Motta vers l’avant, là où Claire l’attendait pour lui tailladé la face d’un gros coup de griffe si cela avait fonctionné. Elle se téléporta à nouveau, cette au dessus du sayen, alors que son énorme toutou tentait à multiple reprise de sauté sur l’homme pour le plaqué. Dans les airs, elle avait libéré deux de ses masques qui sortaient de son dos : le Fuuton ( vent ) et le Raiton ( foudre ). Décidément elle commençait directement avec du lourd, elle ne semblait pas vouloir faire perduré indéfiniment le combat : elle préférait directement en donner une issue !
Spoiler:
Le ciel se couvrit en une énorme tempête, des éclairs se mirent à partir dans tous les sens. Un vent énorme se préparait également, déracinant les arbres et toutes choses aux alentours, même très solidement imprégné dans le sol. Le chien se divisa en plusieurs chiens, c'est-à-dire en trois, encerclant Motta pour tenté de mieux le maintenir sur place. Claire avait disparue, elle n’était plus dans les cieux. Un autre masque s’était déclenché : celui du Doton ( terre). Ainsi, on entendit sa voix retentir dans tout ce boucan, mais on ne savait pas d’où elle provenait exactement :
- Elementis furentibus : vento et fulmina, Apocalypsis ! ( Éléments déchaînés du vent et de la foudre, apocalypse )
Un énorme gouffre se créa là où se trouvait Motta à cause d’une énorme tornade qui était un rayon d’énergie ( comme un kamehameha par exemple, mais sauf que le rayon lancé par Claire est modulé pour être une tornade ). Cette même tornade fut transpercée en son milieu d’une énorme foudre, partant des cieux et s’abattant dans un bruit assourdissant. D’autres foudres s’étaient abattu autours de la tornade, il ne s’agissait même plus d’une forêt, mais d’un désert où les plantes et les arbres avaient été ravagés, réduit à néant sous l’impacte de cette attaque peu commune et bien plus impressionnante à voir qu’un simple rayon d’énergie, car ses attaques étaient modulés. Mais où était Claire ? On remarqua son corps sortir du sol, sans difficulté, à des kilomètres du massacre. C’était grâce à l’activation de son masque Doton, qui résidait toujours dans son dos, avec celui de la foudre et du vent. La jeune femme ne paniqua pas, elle était sûr que Motta avait réussi à s’en sortir… elle le savait fort et intelligent, et c’était des qualités qu’elle possédait également, ce pourquoi la suite risquait d’être bien plus intéressante qu’à l’accoutumé… placé en position de défense, la succube resta sur ses gardes, attendant la réapparition du colonel sous toute cette agitation, il fallait dire qu'elle avait déjà commencer fort.
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Sujet: Re: Let me break you ~ [ PV. Motta ] Mer 22 Aoû 2012 - 1:28
Alerter par le message de Claire transmis par télépathie, le colonel des armées sayennes se rendit donc jusqu’à la forêt des pints argentés où elle disait se trouver. Cette histoire était plutôt louche, que la jeune femme s’aventure toute seule en terrain ennemi, qu’on n’ai pas de nouvelles d’elle avant un moment avant qu’elle n’envoie un message à Fugma pour le mettre au courant de sa situation. A ce qu’elle disait, elle allait bien, mais alors qu‘avait-elle fait pendant tout ce temps ? S’était-elle cachée ? C’était très étrange et il était normal pour Motta, qui avait fréquenté Claire d’assez près, de s’inquiéter de son sort. De plus, la position de la succube était assez proche de celle de Majin Vegeta avant qu’elle n’envoie un message à Fugma, si ça se trouve elle avait fait face à lui, mais son énergie n’avait pas été en activité depuis l’arrivée des troupes sayennes et Ganshou. Alors, pas de combat ? Mais que s’était-il réellement passé ? Cette question pour l’heure sans réponse était intrigante et même si le général avait dit qu’il valait mieux ne plus s’en inquiéter puisque Claire assurait aller bien, le colonel avait envie de savoir ce qu’il en était vraiment de cette histoire. Bien sûr, le sayen à l’armure verte n’était pas quelqu’un d’imprudent et il ne mettrai pas sa mission en péril. Cependant, il espérait retrouver Claire afin de pouvoir comprendre ce qui s’était passé depuis qu’elle s’était rendue sur la planète Kanasa toute seule et pourquoi elle avait agis ainsi sans prendre plus de précaution.
Le colonel Motta était arrivé aux abords de la forêt, comme Claire lui avait dit part télépathie qu’elle y était, il s’attendait donc à la voir. Mais pas du tout, il y avait bien une jeune femme présente sur les lieux, d’ailleurs son aura dégageait quelque chose d’étrange, mais à première vue il ne s’agissait en aucun cas de celle qui faisait partie des Ganshou. Cette jolie brune au regard captivant marqué de bleu avait tout l’air d’être un membre de l’Alliance Maléfique, c’était sans aucun doute elle qui avait pomper jusqu’à sa dernière goutte le sang du pauvre soldat sayen gisant au sol. C’était une scène terrible, certainement choquante pour les personnes les plus sensibles, mais le colonel n’était pas de ceux-là, il en fallait plus pour l’impressionner. Il resta droit à fixer la meurtrière, gardant son sang-froid légendaire qui n’était pas propre à ceux de son espèce. Il était un gradé de l’armée sayenne, il ne pouvait pas se permettre de faux pas aussi stupide que de se jeter sur l’adversaire plein de rage. Le guerrier de l’espace ne quittait pas des yeux la jeune femme, réfléchissant à la situation, il se demandait pourquoi Claire n’était pas là. Peut-être que c’était en fait un piège pour l’attirer ici, c’était curieux car il n’y avait personne à part eux deux dans les environs et le colonel ne se ferait pas avoir si facilement. Il y avait aussi cette sensation étrange, que celle qui est en face de lui possèdait une aura familière. Après quelques instants de réflexions il en vint à trois suppositions. La première, celle qu’il craignais le plus c’est que Claire ait été tuée par cette femme et que cette dernière en pompant l‘énergie de Claire, comme elle l‘avait fait avec le sayen, avait dû coup été marquée de l’aura de la succube. La deuxième, c’était que Claire était bel et bien captive et qu’on l’avait obligée à appeler le colonel jusqu’ici pour lui tendre un piège, mais Motta n’y croyait pas trop. Et la troisième c’était celle auquel Motta n’avait pas envie de croire, mais qui pouvait sembler être la plus probable: la femme qu’il avait en face de lui était en fait Claire ! C’était possible, même si l’aura dégagée par la jeune femme ne correspondait pas parfaitement elle avait un air familier, et puis la succube avait déjà montrée par le passé qu’elle pouvait changer de visage et complètement d’apparence. Tout semblait concordé pour que cette hypothèse soit la bonne mais sans être sûr de cela, Motta refusait d'y croire et c’était bien normal.
Toujours aussi calme, le sayen n’avait pas arrêter de fixer la jeune femme, cela pouvait être très intimidant. Il lui avait adressé la parole en premier quelques minutes plus tôt et cette femme lui répondit en le provoquant, comme si c’était si facile de lui faire perdre son sang froid. Elle le narguait, jetant le corps du pauvre soldat sayen mort aux pieds du colonel, le désignant même par « ça ». C’était absolument inacceptables mais cela n’incita pas le guerrier à répondre à ses provocations. A ce moment là, Motta se disait que ça ne pouvait pas être Claire… Mais en vérité, connaissait-il vraiment cette jeune femme lunatique ? Et si justement, depuis le début elle l’avait manipuler ? Tous manipuler ! Fugma, Toma et les autres… Le colonel ne pouvait se résoudre à croire à ça, avant d’être fixer il écouta la succube parler de bien ou de mal, cela lui fit esquisser un petit sourire en coin, elle disait que les sayens n’étaient pas si différent que ça de Majin Vegeta et prétendait même connaître son adversaire du jour. Cette dernière affirmation intrigua beaucoup Motta qui pensait de plus en plus à ce qu’il espérait ne pas être vrai. Il lui répondit enfin, cachant toute sa colère, mais sa voix était très légèrement teinté de peine. De la peine pour ses frères mort au combat et aussi parce qu’il souhaitait que celle avec qui il avait passé son séjour sur Terre ne soit pas son futur adversaire.
"Qui parle de bien ou de mal ? Je ne crois appartenir à aucun des deux, cela ne m‘intéresse pas. Majin Vegeta nous ressemble, rien de plus logique puisqu’il est un sayen à la base, il est normal qu‘on trouve certains points communs avec les gens de son espèce. Ces agissements sont simplement impardonnable, de plus il a trahit son peuple… Il en deviens donc notre ennemi, l‘ennemi des sayens. Mais tu as raison, nous nous battons pour défendre notre cause et puisque le Roi de Kanasa cherche à faire du tort à son peuple, quoi de plus normal que de s‘en prendre à lui ?" Le sayen s’arrêta un instant en regardant vers la droite, au loin il sentait que ses hommes avaient finit le boulot dans le village, mais de son côté un autre combat allait commencer. "Ah bon ? Tu me connais, vraiment ? Eh bien alors tu dois savoir ce que je réserve aux traitres…"
Il venait là d’utiliser une phrase à double sens, soi-disant pour parler de Majin Vegeta qui avait trahit son peuple, mais sous-entendant aussi qu’elle pouvait être une traitresse. Cela devrait sûrement tilter dans la tête de Claire si la femme qui était en face de lui était bien la succube. Si ça se trouve elle en serait même un peu troublée et cela donnerai un indice au sayen. Soudain, alors qu’il lui avait répondu, il avait sentit que la jeune femme allait passer à l’attaque, rien qu’à la voir se transformer ça ne laissait aucun doute sur la suite des événements. Très vite, il sentit quelque chose derrière lui et tout aussi rapidement la succube se jeta sur le sayen pour l’attaquer. C’était l’heure du combat et Motta ne comptait pas se laisser faire. Claire s’était téléporter et instinctivement le sayen en fit de même pour l’éviter, avec cela il y avait de grandes chances qu’elle se prenne de pleins fouet son chien à trois têtes. Il réapparut à proximité d’elle, la succube continua son assaut avec le monstre qu’elle avait invoqué et Motta esquiva toujours de la même manière mais toujours avec autant d’efficacité. Soudainement, Claire sembla vouloir passer aux choses sérieuses, le chien divisé en trois essayait d’encercler Motta mais c’était bien vain puisqu’il les repoussa à coups de Kienzan, il n’eut aucun mal à s’en défaire. Claire qui s’était mise un peu au dessus du sayen montra qu’elle n’avait pas envie de faire durer le combat, le sayen au bouc compris de suite qu’elle préparait une grosse attaque, alors il fit de même, mais avant cela il passa en super sayen 1 pour avoir un avantage. Le temps était tout à coup déchaîné, des éclairs partaient dans tous les sens après la création de cette tempête et du coup une tornade était en train de se créer. Cette tornade qui se formait autour de lui était accompagnée d’un dangereux éclair qui allait arrivé à une vitesse folle au dessus de lui ! Motta se propulsa alors dans les airs en utilisant sa puissance de super sayen, il compris que l’attaque avait pour but de l’enfermé alors il monta rapidement dans les cieux en essayant de résister aux dégâts provoqué par la tornade. C’était dur mais il se concentra pour arriver à se défaire de là, c’est à ce moment là qu’il utilisa sa technique fétiche, Griffes du Tigre, ses trois doigts pointèrent vers le ciel et tirèrent trois vagues d’énergies pas forcément imposante au vu de l’épaisseur mais très efficace. L’un était destiné à annulé l’éclair tandis que les deux autres devaient percé une brèche à travers la tornade pour qu’il puisse sortir. Mais il envoya une multitude de Kienzan afin de maintenir la brèche et il réussit à passer à travers un trou grâce à la propulsion de son super sayen. Résultats, quelques coupures et deux trois blessures mais il s’en était sortit vivant.
Enfin sortit de ce traquenard digne des plus grands fourbes, Motta pensa d‘abord à sa sécurité. Sachant le danger encore présent il se téléporta loin de là et se redevint normal en attendant que la tempête se calme. Il pris un peu de temps aussi pour localiser Claire qu’il avait perdu de vue, il toucha à son détecteur et se fia à l’énergie que dégageait l’ennemi. Une fois repérer, même s’il ne savait pas sa position exact il se téléporta proche d’elle afin de la voir de ses propres yeux. Même pas une seconde après il se téléporta de nouveau et réapparut dans le dos de Claire en lui choppant le cou fermement avec son bras gauche, il semblait avoir préparer quelque chose de très puissant lui aussi dans sa main droite. Le bout de ses trois doigts, pouce, index et majeur se collèrent au bas du dos de la succube et il tira sa fameuse technique Griffes du Tigre qui devrait transpercer facilement son adversaire en trois points dans le bas du dos. Il avait fait gaffe de ne pas la tuer sur le coup et la garda comme ça, son bras enroulé autour du cou, il ne la lâcherai pas. Motta avait l’air plus énerver que tout à l’heure même si on voyait qu’il se retenait malgré la poigne de fer qu’il gardait sur sa prisonnière.
"Je tiens vraiment beaucoup à quelqu‘un…Et j‘aimerai, si possible la sauvée…Tu dois forcément savoir où elle est, hein ? Je n‘ai pas reçu ce message de détresse pour rien ! Je veux que tu me dise qui est la femme que je tiens en ce moment même près de mon corps. Je n‘hésiterai pas à envoyé une autre attaque alors réponds-moi franchement !"
Le colonel, méconnaissable avec cet air pressé, avait envie de réponse, il se doutait de quelque chose mais préférait l’entendre de sa bouche. La partie gauche du visage du sayen était contre l’arrière la tête de Claire, ce qui montrait qu’il la serrait vraiment de près, elle pouvait sans doute sentir son souffle chaud balayer son cou. A ce moment là, il n’attendait que des mots mais il se préparait au cas où elle ne voudrait pas parler et se déciderai à attaquer.
Spoiler:
Fiche de Motta Général des armées sayennes.
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Sujet: Re: Let me break you ~ [ PV. Motta ] Mer 22 Aoû 2012 - 11:38
Dire que Claire s’était désignée volontaire pour affronter Motta, directement, sans rechigné. Pleine d’émotions, mais sûre d’elle, prête à affronter cet homme qui fait barrage à ce qu’elle est. Ou plutôt ce qu’elle est devenu depuis qu’il habite dans son corps. Et qu’il occupe son âme, dévorant petit à petit l’esprit de la succube, qui ne serait pas devenu fou ? Mais elle ne s’était pas sacrifié en vain… les peuples qui avaient été soumis aux vampires avaient été libéré, en particulier les loup-garou qu’elle affectionnait particulièrement. Au point d’enfermer, une fois de plus, une nouvelle atinté dans son corps… Comment une femme pareille peut-elle garder au fond d’elle ce monstre ? Ne faut-il pas avoir une force de caractère et d’esprit à toutes épreuves ? C’était bien là son avantage. Alucard n’était pas qu’un simple homme vampire aux pouvoir extraordinaire. Bine loin de là. C’était le premier Dieu paru sur Terre, Notre cher Seth, sous toute sa splendeur, sans être tout à fait tel que les peuples d’antan l’avaient imaginé. Que pouvait-on dire de lui ? Il ressemblait tant à MV : Cruel, adorant rabaisser ses ennemis avant de leur montrer inévitablement qu’ils allaient les détruire, et surtout, sans aucune pitié pour personne. Claire en avait vu des horreurs à ses côtés, il n’épargnait ni les femmes, ni les enfants. Tous étaient à sa merci, et il n’y avait qu’elle qui pouvait agir, ce qu’elle avait fait. Malheureusement aimé de se fou dans le passé, elle fut contraint de le suivre dans ses actes afin de mieux se rapprocher de lui et d’avoir sa totale confiance, afin de le poignarder dans le dos. Pour mettre fin à cet empire de tyrannie, et rendre la liberté à son ancienne amie, Narumi, et à son peuple. Elle ne leur donna plus aucunes nouvelles et resta dans l’ombre par la suite. Pourquoi ? Parce que les sentiments la rendent faible, maintenant qu’il est dans son corps... Après tout ses siècles, elle était la seule qui résistait à l’appel du Yoma, du démon qui inévitablement devait un jour où l’autre prendre le dessus sur l’ange… mais elle s’y était brûlé les ailes, et l’âme aussi, y était passée. C’était la dernière des claymores, la dernière de la race des vampires, la dernière déesse venue sur Terre et provenant de l’Olympe. Pourquoi tant de malheurs ? L’Olympe, s’était voulu. Zeus et ses frères avaient ravagé la vie d’Hadès, son créateur, en tuant sa femme dans le massacre. Ironie de la chose : seul Hadès était un mari fidèle, le reste de l’Olympe n’étaient que des cocu, ils se fichaient éperdument de ce qu’était l’amour. Alors qu’on disait tant de mal d’Hadès, c’était le seul à connaitre sincèrement cela… et il l’avait transmis avec soin à Claire, lorsqu’il décida de la façonné.
En punition, Chronos avait eut pour dernière volonté de l’envoyé sur Terre pour qu’elle y vive une vie de simple terrienne en lui effaçant tout ses souvenirs. Elle vécu alors des siècles en compagnie des humains, mais à de mauvaises époques… On se rappelait aisément de petite fille, gentille et souriante, serviable et aimable qu’elle avait été. C’était son véritable caractère, qui avait été corrompu et salit par le temps et les évènements. En étant sur Terre, qu’avait-elle eut de bon ? Elle était né dans une famille de riche, dont le village de vacances fut détruit et incendié par des vampires qui commençaient déjà à irradier le pays. C’était là qu’elle se fit mordre par Alucard, qui décela un potentiel spécial chez la petite, et qui décida de la mordre pour qu’elle le retrouve, plus tard. Par la suite, elle fut recueillit par un homme dans un autre village, qui l’avait maltraité, séquestré et violenté pendant plusieurs années. Jusqu’à ses onze ans. Elle n’oublierait jamais… Jamais quand cette femme, si belle, Thérésa, était venue la libéré de tout ses malheurs. Elles avaient créer un lien mère/fille très vite, et ce fut de toute son existence sur le Terre, le souvenir le plus heureux qu’elle gardait. C’était elle, qui l’avait appelé Claire. Comme par hasard, puisque s’était son prénom au sein de l’Olympe… Chronos n’avait pas fait les choses par hasard.
Thérésa se fit assassiné pour avoir déserté l’organisation par Priscilla. Claire décida de faire parti elle aussi de l’organisation, se faisant transplanter la chair de Thérésa et le démon qu’elle contenait. C’est là que le Cromwell commença à se réveiller en elle de nouveau. Elle rencontra Raki, qu’elle considérait comme un petit frère sur le chemin, ainsi que Myria et d’autres femmes claymores à qui elle tenait. Ensemble, elles étaient arrivé jusqu’à Priscilla, que la succube réduit à néant sans aucune pitié. C’est la dernière fois qu’elle cru voir Thérésa : elle l’avait vu sous forme d’esprit, souriante, faisant un signe de main à Claire. Tout ça n’était pas un hasard, Claire de son temps sous l’Olympe était également celle qui veillait sur le Styx. Même après toutes ses aventures, une autre génération de femme claymore revint, et ses amies se firent tué. Myria demanda personnellement à Claire de l’achevé car elle voulait mourir en tant qu’humaine, car le démon commençait à prendre sérieusement le dessus. Quant à Raki, elle le tua également de ses propres mains, car il avait été corrompu par Isley, un abyssal ( Personne contrôlant sa forme de Yoma et possédant des pouvoirs bien plus grands que ceux des claymores ). Par la suite, une toute nouvelle aire éclata sur Terre : l’existence de loup-garou, d’harfreuses, de vampires… des bêtes des ténèbres, entre outre, fit son apparition petit à petit. Elle rencontra alors un homme, Darcia, qui était le prince des anges à cet époque et qui avait connaissance du Paradis. Il y emmena alors Claire, qui tomba grièvement malade. C’était le mal du paradis. Les personnes qui étaient corrompu par un démon tombaient malade. Seul l’être totalement pur pouvait y vivre. Tout ça encore, émanait d’une longue histoire. Mais cet ange avait consacré sa vie à protéger Claire et à trouver un remède à son malheur. Darcia ne mourus pas, mais après avoir délivré Claire du mal du Paradis, il quitta la Terre : pour lui qui voulait la rendre pur, ce but était impossible, la corruption y régnait à présent et personne n’y pouvait quelque chose. Il repartit au Paradis, Claire continua alors sa route et on la vit alors tenter de retrouver les traces d’Alucard.
C’est ainsi que tout avait commencé, et qu’avec tout ce qu’elle avait pu vivre, elle avait retrouvé mémoire de qui elle était et pourquoi elle était là. Condamné par une malédiction à voir ceux qu’elle aime mourir devant soi, alors qu’elle, ne pourrait jamais se donner la mort. Et Claire refusait instinctivement de donner la vie éternelle à ses proches qui lui avaient demandé dans le passé, car ils en seraient eux aussi damné. Tout ça pour quoi ? Dire que Claire fuit désespérément l’amitié autant que l’amour. Deux valeurs qu’Hadès lui avait inculquées fondamentalement. Elle décidait de mettre son cœur de côté alors qu’elle aurait dû le suivre ? Au fond elle le savait. Motta et elle, dès le début, avaient été attiré l’un vers l’autre comme par l’effet d’un coup de foudre, tout avait été si magique à ses côtés… Ces moments qu’elle partageait avec lui la rendait si heureuse… Alors c’était forcément un coup de Chronos, une fois de plus, qui tentait de la faire aimer quelqu’un une nouvelle fois pour l’achever. Claire savait que si elle perdait encore un proche… elle péterait littéralement les plombs. La douleur d’avoir perdu son cher Hadès, puis Thérésa, Myria, Raki, Darcia… et même d’autres personnes qu’elle affectionnait, l’avait totalement détruit, d’où le refus radical d’être trop proche de quelqu’un. Elle fuyait les sentiments comme la peste, c’était ce qui faisait également qu’Alucard la rendait de plus en plus… inhumaine. D’où le fait qu’elle ne se considérait plus comme humaine, mais bien comme une bête assoiffé de sang et dépourvu d’âme. Claire, ange déchu, et consciente qu’elle n’était plus qu’un horrible monstre, triste histoire pour une personne cherchant l’absolution. Elle n’avait plus rien à perdre.
Elle savait que Motta bouillonnait au fond de lui. C’est ce qu’elle cherchait. S’il la haïssait, au moins, il ne souffrirait pas. Claire voulait le préserver de cette souffrance dont elle avait été sujet tant de fois depuis son existence. La succube avait parlé des sayens, de son peuple, afin de le faire réagir et que cela ne l’agace qu’un peu plus. Elle savait qu’il gardait son sang froid car son caractère le voulait, mais qu’il n’en était pas moins enragé au fond. Lorsqu’il dit qu’elle devrait savoir ce qu’il réservait au traître, Claire ne broncha pas. Elle avait l’expérience du « faire semblant de & » ou de changer de personnalité pour mieux amadouer autrui. On lui avait apprit tout cela. Finalement, à l’heure actuelle, cela lui servait. Le combat s’était engagé, Claire avait fait quelques attaques futiles pour évaluer la vitesse et la façon de faire du colonel. Il était loin d’être un bête bourrin qui fonce dans le tas, au moins. Le cromwell qui était censé le gobé et que Claire était censé se prendre dans les dents ne fit que la traversée, puisque cette entité sort de son corps. Elle ne voulait pas faire durer le plaisir, car elle n’en ressentait pas. Elle voulait que tout cela se termine plutôt vite. Ce pourquoi elle enchaîna avec ses attaques modulées, la tornade alliée de la foudre. Comme elle s’en doutait, Motta s’en était sorti avec un certain brio, on voyait qu’il avait de l’expérience, beaucoup aurait paniqué face à ces attaques plutôt spéciales. Il en était ressortit avec quelques coupures dû au vent violent et à des blessures, mais rien de véritablement alertant.
Claire avait réapparut plus loin, ne lâchant pas du regard et de l’aura son compagnon. Elle l’avait vu toucher à son détecteur, c’est qu’il la cherchait pour prendre un nouvel assaut. Elle n’en fit rien. Elle se laissa chopper comme un vulgaire débutant, mais sous une emprise bien plus forte qu’on ne pouvait l’imaginer. Prise par la nuque, Le sayen se tenait derrière elle, avec une technique fraichement préparé dans son autre main. Celle qu’il avait utilisé tout à l’heure. Il l’utilisa pour perforer la succube dans le bas du dos, qui n’eut aucune réaction. Un vrai pantin, désarticulé, ne connaissant pas les ressentis. La douleur ? Non, elle ne savait pas ce que c’était. Son corps était une chose sans vie. La seule douleur qu’elle pouvait vraiment ressentir c’était celle de la perte d’un être cher. Et éventuellement quand l’on brisait l’un de ses masques, mais ça, c’est une autre histoire. Elle avait d’ailleurs rétracté le masque de la foudre et d la terre dans son dos. Il ne lui restait que celui de la du vent, flottant légèrement au dessus d’elle et relié par une sorte de fil noir et épais jusqu’à elle qui n’était pas touchable. Son sang était rouge très foncé, pratiquement noir. On voyait une épaisse masse noire sortir du corps de la jeune femme avec un nouveau masque, enfait ce masque embarqua celui du vent et ils partirent plus loin, on ignorait ce qui se passait. Claire sentait Motta énervé, très énervé, même s’il tentait de se retenir. Il avait donc des doutes, évidemment… Au fond de lui, il devait savoir qui elle était. C’était inévitable. Que de fatalité…
- Ne me fais pas croire que tu ne sais pas qui je suis. Elle disait ça d’une voix basse, presque un chuchotement. Sa voix était toujours aussi mélodieuse et suave, enchanteresse. Ce n’est pas le fait que je change de visage qui change qui je suis réellement. Ce que tu vois de moi là, c’est ma véritable forme. Tel qu’Hadès m’a façonné. Elle resta un moment silencieuse, visiblement les mots se bloquaient dans sa gorge. Pas par honte d’être une traîtresse, mais parce qu’elle était l’adversaire de celui qu’elle aimait et qu’elle n’avait d’autre choix que de se montrer sous son vrai jour. Si c’est toi que j’ai choisi d’affronter, c’est parce que tu es la seule personne à qui je tiens réellement et qu’il faut que je puisse remédier à cela… avant que toi tu… Les images défilaient dans sa tête, elle revoyait ses proches du passé, tous mort, touché par la malédiction qu’elle portait. Elle semblait coupée au souffle à ce moment, ses yeux étaient perdus dans des visions d’horreurs. … sois la victime de cette malédiction qui pèse sur moi.
Presque immédiatement après, une ombre noir s’était posé devant les deux personnes, on n’avait pas eut le temps d’étudier qui ou quoi. Un énorme souffle de feu ( Utilisation du masque Fuuton du vent et Katon du feu ) inonda les deux jeunes gens sur plus d’1 km. L’utilisation de ses deux masques ensemble faisait que le feu était si rapide et si puissant qu’il en était très dur à dévié. Il fallait dire que ça, c’était un coup par surprise. En effet, les masques de Claire peuvent prendre une forme d’ombre, ils se déplacent donc sous sa volonté en se matérialisant.
Spoiler:
La succube avait été complètement irradié par l’attaque. Un tas de chauve-souris noir se formèrent et la fit reprendre son apparence normale. Ses masques rejoignirent alors son dos, elle ne laissa que celui du feu sorti, planant légèrement au dessus d’elle. Il était obligatoire qu’elle en laisse au moins un de sorti lorsqu’elle commençait à les utiliser. La jeune femme s’était mi à l’abris plus loin de toute la zone complètement dévastée et brûlé. Tout d’un coup, une main se posa sur l’épaule de Claire.
- J’ai toujours su que ton potentiel était extraordinaire.
Son sang se glaça dans ses veines lorsqu’elle entendit cette voix. Comment avait-il fait pour sortir ?!
Spoiler:
Alucard était là, tout sourire, du haut de son mètre 88, fixant Motta avec cette envie de meurtre très visible dans ses yeux. Il ne pouvait de toute façon rien faire, car même s’il était là, il n’était qu’un esprit enfermé dans l’âme de Claire, qui se permettait de sortir lorsqu’elle laissait trop son potentiel démoniaque l’envahir. La jeune femme ne bougea pas, relevant son visage vers celui de Motta, plongeant ses yeux dans les siens… et ce fut à ce moment qu’il pouvait ressentir toute la tristesse qui régnait au fond d’elle, au fond de son cœur démolit par le temps…
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Sujet: Re: Let me break you ~ [ PV. Motta ] Ven 24 Aoû 2012 - 14:36
Le combat avait été engagé, c’était cette jolie brune qui avait ouvert les hostilités, mais de toute manière, en tuant un soldat sayen elle s’attaquait directement à toute l’armée alors Motta aurait forcément enclencher la première offensive si son adversaire ne s’en serait pas chargé. Il avait pu constater que la jeune femme qui était en face de lui était loin d’être une amatrice en terme de combat. L’attaque combinée qu’elle avait lancé n’avait pas été loin de fonctionner, cela ne s’était jouer à pas grand-chose et le colonel avait eu un peu de chance. Mais les plus puissants guerriers bénéficiaient souvent d’une part de chance, c’était la réussite de l’expérience. De la chance il en fallait, encore plus dans ce combat qui risquait d’acté une tragédie. Celle de deux être partageant des sentiments profonds obligés dans venir aux mains et peut-être jusqu’à en perdre ce qu’ils ont de plus cher. La guerre détruit tout sur son passages, biens matériels, bâtiments, vies humaines, constructions prestigieuses et sentiments… Comment allait se passer la suite des événements ?
Après être sortit de la tornade, un piège bien pensé de la part de son ennemi, le colonel des armées sayennes était allé plus loin pour s’éloigner du danger. Poster au sol en train de chercher la présence de Claire dans les alentours, le sayen à l’armure verte avait aussi reçu un message de la part de Fugma, sûrement alerter par ce qui se passait ici avec l’agitation de tout à l’heure. Le chef de l’Alliance Ganshou demandait au colonel se qui se passait, Motta se devait de le tenir informé de la situation. Il lui envoya donc ce message.
"J’ai engagé le combat avec un allié de l’Alliance Maléfique… Je ne suis pas certains de son identité. En tout cas il s’agit d’un adversaire redoutable, mais pour l’heure je maîtrise la situation. "
Le message était assez bref, Motta avait dit l’essentiel à Fugma et il n’avait pas le temps d’entrer dans les détails, il fallait qu’il continue le combat. Le colonel avait l’intention de créer un effet de surprise en s’attaquant à son adversaire, il avait donc utilisé la téléportation, une technique qui correspondait parfaitement pour attaquer avec surprise. Il se retrouva rapidement derrière Claire et se colla à elle en enroulant son bras autour du cou de la belle. Il la tenait fermement pour qu’elle ne puisse pas s’échapper de son emprise, et pour la maîtriser avec plus de facilité il décida de tirer dans le bas de son dos une nouvelle fois Griffes du Tigre. Étrangement, Claire avait sembler se laisser faire, elle était complètement à sa merci et n’avait même pas essayer de se débattre. Du sang se déversa sur le corps de la jeune femme suite à cette blessure et Motta aussi en avait sur lui puisqu’il était contre elle. Le sayen voulait des réponses et il desserra légèrement son étreinte en entendant la réponse de Claire, fatale. Cette femme qui l’avait attaqué tout à l’heure, cette même femme qu’il venait tout juste de blessée était bien celle à qui il tenait le plus. Nerveusement, son bras se resserra un peu autour du cou de la jeune femme, non pas pour lui faire mal, c’était le choc d’entendre Claire avoué qui elle était qui avait automatiquement fait resserrer son bras. Cependant, il ne la tenait plus comme tout à l’heure, il avait fermer les yeux en fronçant les sourcils, sa main s’était placée sur la blessure qu’il avait fait lui-même à la succube comme pour arrêter le sang de couler.
"Alors…C‘est donc vrai. " Murmura-t-il la voix marquée par ce qu’il venait d’entendre, avant de reprendre sur un ton plus habituel. "Bizarrement, j‘étais certain de ne trouver personne d‘autre que toi ici, comme cette fois où nous nous réservions un moment juste pour nous. Il est facile d’être trompé si on ne se fit qu’à ses yeux, il n’en est pas de même pour le cœur… Mais maintenant je me demande…quel est donc ton vrai visage ? Ai-je eu tort d‘avoir confiance en toi, de croire en toi ? Croire en no…"
Il ne parlait bien entendu pas de l’apparence physique que Claire avait désormais, mais de la personnalité qui l’habitait. Jouait-elle un jeu avec lui pour le manipuler ? Non, il ne voulait pas le croire mais la situation actuelle permettait ce genre d’hypothèse. Il continuait à la serrer contre lui, à la frontière entre l’envie de parcourir son corps et de continuer à se battre contre elle. Cela pouvait paraître malsain dit comme ça, mais le colonel était partagé par deux sentiments bien différents et ne savait plus trop où était sa priorité. Il s’était arrêté, comme s’il avait trop honte de finir sa phrase. S’il avait été dupé, sa fierté en aurait pris un grand coup, comme son plus profond sentiment et s’il avait vu juste alors à quoi rimait cet affrontement ? C’était absurde.
"Pourquoi ?! Pourquoi agis-tu ainsi ? De quelle malédiction parles-tu ? Quelles victimes ?!! Je ne sais pas de quoi tu parles… Mais si nous ne nous sommes pas voilés la face, pourquoi continuer ce combat ? Nous en connaissons déjà l‘issue: il y auras deux perdants dans tous les cas de figures. Si tu n‘y crois pas, alors nous n‘avons aucune chances…"
Soudainement, après avoir dit cela, une ombre noire apparue devant eux, Motta ne voyait pas bien ce qui se passait mais il compris qu’il courait un danger et étrangement que Claire aussi pouvait en être victime. Il ne savait rien de son histoire et de son passé, ou bien très peu mais il était persuader qu’ils étaient en danger. Le colonel n’avait pas eu tort, une vague de feu s’abattit sur eux et par réflexe il balança deux Kienzan avec sa main libre pour éviter les dégâts, c‘est tout ce qu‘il avait eu le temps de faire. Claire était la plus exposés à l’attaque et Motta réussit à s’en sortir tout de même en se téléportant ensuite, même s’il avait été un peu touché. Séparés l’un de l’autre par le souffle de l‘attaque, Claire et Motta se retrouvait à quelques mètres. Le sayen se redressa, voyant un homme plus grand que lui de quelques centimètres mais qui avait l’air imposant. Motta ne comprenait pas se qui se passait, ses sourcils étaient toujours froncés et il croisa le regard plein de tristesse de la jeune femme.
"Que se passes-t-il ? Tu veux…Continuer à te battre ? Tu veux vraiment que cela se termine ainsi ?! Je ne suis pas certains que tu en seras très heureuse. Ce combat ne désigneras pas de gagnant…"
Le sayen à l’armure verte ne savait pas trop ce qui se passait mais il essayait tout de même de raisonner Claire, espérant y parvenir. Il préférait bien entendu ne pas prolonger ce combat, mais que ressentait la jeune femme au fond d’elle, qu’allait être sa décision ?
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Sujet: Re: Let me break you ~ [ PV. Motta ] Mar 4 Sep 2012 - 20:17
"Pourquoi ?! Pourquoi agis-tu ainsi ? De quelle malédiction parles-tu ? Quelles victimes ?!! Je ne sais pas de quoi tu parles… Mais si nous ne nous sommes pas voilés la face, pourquoi continuer ce combat ? Nous en connaissons déjà l‘issue: il y auras deux perdants dans tous les cas de figures. Si tu n‘y crois pas, alors nous n‘avons aucune chances…"
Alucard avait un sourire qui en disait long. Il fixait Motta de ses grands yeux rouges qui parlaient d'eux-même : cet homme était bien plus qu'un simple mortel. Et bien plus qu'un monstre. Son regard dévoilait parfaitement sa personnalité, et surtout, ses intentions les plus profondes. Motta ignorait tout de cette histoire, tout du passé de Claire, tout de cet homme qui paraissait si grand et si impressionnant par sa carrure et son charisme. C'était lui, le premier vampire, le premier Dieu du commun des mortels, asservissant des légions entière de toute espèce considéré inférieure à la sienne ; c'était celui qui avait les tout pouvoirs. C'était le dieu Seth en personne, et la mort ne pouvait pas lui faire peur, car il en est le porteur. Depuis tout ce temps, tous ces siècles, enfermé dans le corps de Claire, se tapissant dans les recoins les plus sombre de son être pour l'y entraîné et la rendre comme lui. Des siècles à se faire ronger par cet homme, profitant de ses faiblesses pour qu'elle devienne ce qu'elle est aujourd'hui.
Claire avait les yeux plonger dans ceux de Motta. C'était la première fois que son regard était si expressif. Elle se contentait d'être muette, alors que l'imposant Dieu Seth se tenait maintenant derrière elle. Il était immense, comparé à la jeune femme qui semblait à ce moment frêle et sans défense, comme une marionnette de la volonté de cet homme. Celui-ci apparu en un clin d'oeil devant la succube et la prit délicatement par le menton, l'obligeant à ne regarder à présent que lui.
Alucard: Tu ne vaut pas mieux que moi. Regardes-toi. Tu n'as même pas pu sauver Hadès de son désespoir. Tu n'as pas pu sauver Thérésa lorsqu'elle s'est faite tuée pour te protéger. Tu as tué Miria car le Yoma prenait le dessus sur elle, Raki car il était prit par la malédiction d'Isley. Même le Paradis n'a pas voulu de toi, et ton pauvre Darcia a dû te délaisser. Toutes les personnes qui t'ont aimé et réciproquement on eut un tragique destin. Tout est juste de ta faute, tu t'es rebellé et tu en fais les frais. Et lui ? Dit-il en jetant un regard noir à Motta, tu veux aussi qu'il crève la bouche ouverte ? Visiblement, puisque tu oses aimer un mortel, pitoyable qui est empreint d'une fierté inutile ! Pestait-il, prit par une colère telle que le ciel commença à sombrer dans la nuit, les nuages recouvraient celui-ci et menaçait de faire s'abattre des éclairs. Moi qui suis un Dieu, ton roi, pourquoi m'as tu ainsi jeter dans tes abysses ? Pourquoi n'accepte-tu pas le fait que ces mortels soient inférieur à nous ? Nous aurions pu régner en Roi de ce monde pittoresque comme de tous les autres. Pourquoi ?
Claire ne semblait plus être aussi calme qu'à l'origine. Elle qui avait un sang froid légendaire venait visiblement de le perdre. D'énormes ailes sortirent de son dos, elles étaient semblable à celle d'une gargouille, aussi dur et impressionnante. Ses yeux jaunes pétillaient d'éclats rougeoyant, son armure qui était à moitié décrépie laissait voir un sceau imposé sur son ventre: le sceau de création d'Hadès. Un cercle rempli de signe, qui s'illumina. Même dans le mal, cette femme était si belle... elle semblait inexistante, elle semblait être une hallucination d'un esprit, un fantasme de l'homme... mais le regard plein de haine mêlée à ce désespoir trahissait ce sentiment de mirage. Son regard délivrait ces choses d'une manière si forte qu'on ne pouvait passer à travers. C'était là toute sa corruption : il était horrible de voir une telle femme être envahi par des sentiments si sombre. Oui, elle avait toujours été de la race des démons, plus ou moins. Ou plutôt elle était la première hybride : mi succube, mi vampire, et qui s'apparentait aux démons. Mais Hadès n'était pas l'homme que tous croit qu'il est. Au fond, il était le seul Dieu censé et sachant vraiment éprouver des sentiments tel que l'amour, la joie, plus que tout autre. Et il l'avait créer à son image... Claire n'était pas un démon, mais un ange déchu, tombé du ciel et prit entre les mains crochues d'un vampire ancestral, de ce cher compte Dracula.
Alucard : Je sais pourquoi...
Alucard sembla drainer une essence noire du corps de Claire. On ignorait encore ce que c'était.
Alucard : Ta vraie nature me répugnes... tu n'es qu'un démon d'apparence, puisque Chronos a décidé de faire de toi ce fameux Ange déchu, le premier tombé du ciel. Il t'as fait renier tes origines pour que ton existence ne soit plus rien. Tu as beau être le premier des hybrides, tu n'es enfait voué qu'à la nature angélique, ce pourquoi tu ne pourra jamais être une grande guerrière avec ce fardeau. Tu as donc besoin de moi.
Les ailes de gargouille qui étaient sorti du dos de la succube se transformèrent en deux grandes ailes d'ange. On voyait des plumes noires en tombé pour ne laisser que le blanc éclatant de celles-ci. Elle avait troquer son armure contre une robe elle aussi entièrement blanche, moulant de manière parfaite ses formes. C'était cela : la forme d'ange, une femme si belle et si douce capable de tromper n'importe qui par son apparence. A présent, on ne descellait plus aucun sentiments néfastes dans ses yeux, seulement de la souffrance.. beaucoup de souffrance.
Alucard : Tu ne gagnera jamais la guerre que tu mènes depuis si longtemps. Tu as peut-être libéré les peuples que j'avais asservi, sauvé la nation de ma tyrannie, mais tu en fais les frais. Et ce jusqu'à ce que je puisse te dévorer entièrement de l'intérieur. Un jour je pourrai enfin retrouver un corps d'hôte et reprendre ce que j'avais commencé. Il avait prit Claire par les épaules d'une manière peut douce, l'obligeant à le regarder dans les yeux. Mon amour pour toi n'es qu'une chance pour la peine que tu recevra lorsque je serai de nouveau de retour parmi les mortels. N'oublie jamais que tu m'appartiens, angelum meum.
Petit à petit, on le voyait disparaître dans l'atmosphère, seul restaient ses yeux et son sourire carnassier alors que son corps se dissipait. Il était partit. Mais où ? Alucard dans les moments de faiblesses de Claire sortait de son corps et tentait de rester un maximum hors de celui-ci afin de recouvré ses pouvoirs petit à petit. Et elle n'y pouvait rien.
- - - La jeune femme s'approcha lentement du sayen, sa démarche féline n'apportait qu'un plus au charme qu'elle délivrait, dans ce moment, dans cette tenue. Lorsqu'elle fut pratiquement collé à lui, elle planta ses yeux dans les siens. La couleur de ses yeux avaient reprit leur marron habituel, teinté d'un bleu azur qui rendait ses yeux unique. Elle se réfugia dans les bras de Motta, elle l'enlaça si fort contre elle, comme si elle n'attendait que ça... la jeune femme avait détacher une partie de l'armure du sayen pour passer ses douces mains aux doigts long et fin sur le torse du colonel, puis elle les glissa dans son dos et se colla intimement à lui. On ne pouvait pas vraiment dire ce qui se passait à ce moment, la Claire froide, distante, difficile à cernée, avait laisser place à une femme fragile, avec une volupté et un charme peu commun, aux yeux envoûtant, à la voie suave : c'était ainsi qu'elle était, c'était sous cette forme qu'aucun homme n'avait pu résisté à elle, c'était comme ça qu'elle avait été façonné. Et en ce moment, elle semblait diffusé sans crainte tout l'amour qu'elle portait à ce mortel, comme disait Alucard.
- J'aimerai tant un jour ne faire plus qu'un avec toi... les mots semblaient s'être bloqué dans sa gorge, ses émotions étaient mis à nu. Si je pouvais encore donner mon âme au diable pour ton bonheur, je le ferai sans hésité. Ses yeux étaient humides, que lui arrivait-elle ? Je ne pourrai jamais vraiment t'avoir. Je ne pourrai jamais resté avec toi, vivre et nager dans le bonheur à tes côtés. Je ne pourrai plus te serré dans mes bras, plus goûter à tes lèvres, ni même m'endormir à tes côtés en croyant être au paradis. Des larmes s'écoulaient lentement sur les joues rosées de la jeune femme qui pourtant, ne baissait pas les yeux. Tous les mortels que j'ai aimé on rejoint la mort, parce que je n'appartiens pas votre monde. J'ai détruit mon monde, et j'ai été puni. Toi... dit-elle en baissant d'un octave. Non, toi, je ne veux pas te perdre... l'éternité qui m'est réservé est déjà si pénible, alors je ne veux pas être celle qui sera la causes de tous tes malheurs. Et pourtant... Je t'aime tant.
Ses derniers mots la laissait maintenant sans voix. Les actes étaient plus significatif que les paroles. Ce pourquoi elle colla ses lèvres à celle de son colonel, ils échangèrent un langoureux baiser, ses mains remontèrent doucement pour enlacer la nuque du guerrier, resserrant un peu plus son étreinte sur lui, comme par peur de le perdre. Chaque larmes qu'elle avait commencé à verser avait fait pleurer également le ciel, alors qu'il faisait nuit noire, une pluie douce se détachait des cieux...
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Sujet: Re: Let me break you ~ [ PV. Motta ] Ven 14 Sep 2012 - 22:46
Le jour où il avait rencontré Claire pour la première fois, Motta n’aurait jamais imaginer se trouver dans une situation aussi délicate que celle dans laquelle il se retrouvait aujourd’hui. Il s’était passé bien des choses depuis mais pas assez, visiblement, pour empêcher le passé tragique de celle en qui il avait pleinement confiance de ressurgir et de continuer de la rongée. Le colonel ignorait tout ou presque de son propre passé mais il n’en savait pas plus sur celui de Claire. C’était d’autant plus déstabilisant ce jour là puisque il se retrouvait dans une situation où il était normal qu’il remette en question beaucoup de choses au sujet de cette femme avec qui il s’était attaché de sentiments profonds. Elle avait semblée dans un premier temps bien décider à le tuer mais au fil du combat, et comprenant que Motta l’avait démasquée elle s’était petit à petit calmer. Le colonel des armées sayennes était décider à mener à bien l’attaque que les siens avaient amorcer mais il ne pouvait se résoudre à mettre un terme à la vie de cette personne avec laquelle il se battait en ce moment. Ses sentiments étaient bien sûr troublés mais il était assez fort pour ne rien laisser paraître et se concentrer sur l’essentiel.
Un homme étrange était apparu, il était imposant et avait un regard noir qui n’inspirait pas confiance, mais pas de quoi faire paniquer le colonel qui ne tremblait même pas face à lui. Cet homme qui venait de les attaquer semblait avoir une énorme influence sur Claire, ont aurait dit qu’il pouvait la briser rien qu’avec des mots, elle qui paraissait toujours si forte d’habitude. Qu’était-ce donc ? Motta avait l’impression que cet homme n’était pas vraiment là, il ne dégageait pas d’énergie comme tout être vivant normal. Il avait vraiment quelque chose de spécial. Alucard s’adressa à Claire, un discours plutôt long mais le ton qu’il avait restait toujours si intimidant, Motta se demandait bien qui était cet homme, comment il était apparu et surtout pourquoi ? Il raconta des choses sur le passé de Claire, le sayen resta silencieux en écoutant, sans trop comprendre ce qu’il se passait. Mais après ça, il en savait un peu plus sur le passé de la belle, même si cela restait confus pour lui. Le colonel se tenait sur ses gardes et était prêt à réagir au cas ou l’homme aux airs inquiétant ne devienne violent. Finalement, ne sachant pas trop quoi faire, le guerrier de l’espace osa mettre en garde cet inconnu.
"Je ne sais pas qui tu es mais en ma présence tu ne feras aucun mal à Claire…"
Le sayen s’était avancé mais l’entité semblait plutôt se concentrer sur la jeune femme, les menaces de Motta ne servait pas à grand-chose mais en même temps il ne savait pas trop à qui il avait affaire. En revanche, c’était pas ça qui allait lui faire peur, il se tenait prêt à intervenir tandis que des ailes étranges poussaient dans le dos de Claire sous le regard surpris du colonel. Après cela Alucard parla encore à Claire avant de disparaître petit à petit jusqu’à ce qu’il ne soit plus du tout visible, effaçant par la même occasion la menace qu’il était susceptible de représenter. Motta était toujours un peu confus, il n’avait pas trop saisis tout ce qui venait de se passer, c’était tellement inattendu et… étrange. Bref, il ne remarqua que lorsqu’il sentit quelque chose ou plutôt quelqu’un s’appuyer à lui, que Claire s’était mise contre son torse, l’air si fragile. Cela faisait vraiment une drôle d’impression de la voir ainsi. Leur regards se croisèrent, c’était un échange assez intense, et le jaune femme enlaça le guerrier. Elle essaya de défaire son armure, il était difficile de résister à une femme comme elle mais Motta n’oubliait pas pourquoi il était là. Même si la tentation était grande, il serait un peu naïf de se laisser faire si facilement après tout ce qui s’était passé. Le guerrier écouta la jeune femme parler, elle semblait sincère, des larmes coulaient de ses yeux. Il la retint de défaire complètement son armure, puis il essuya les pleures de la jeune femme qui avaient dû mal à cesser de couler. Le sayen résistait à la tentation pour aussi ne pas profiter d’elle.
"Tu n‘es pas la cause de tous mes malheur… Et tu ne me perdras pas, je peux te l‘assurer. Moi aussi…"
Le sayen ne termina pas sa phrase, il s’était retrouvé à échanger un baiser avec la belle lorsque cette dernière l‘embrassa soudainement en l‘enlaçant. Quelques instants après il retira ses lèvres, une fine pluie avait commencé à tomber, sa main droite se posa sur la joue de la jeune femme. Il avait pris conscience qu’il était toujours sur le champ de bataille, face à une personne qu’il combattait il y a encore quelques minutes et qui pouvait être considérer comme un ennemi jusqu‘alors. Il avait du mal à trouver les mots, il se demandait bien ce qui allait se passer maintenant. Est-ce que Claire allait rester fidèle à Majin Vegeta ? Il y avait trop de choses à éclaircir, depuis quand était-elle du côté du Roi de Kanasa ? Le colonel se posait beaucoup de questions. Il resta alors un peu distant, remettant son armure correctement il pris la parole sérieusement.
"Et maintenant ? Que comptes-tu faire ? Tu sais, il y a beaucoup de choses que j‘aimerai savoir à propos de toi, de tes relations avec Majin Vegeta, cette guerre…" Il s’arrêta de parler un instant en détournant le regard puis ses yeux se reposèrent sur le visage de Claire, l‘air navré. "Désolé. J‘aimerai beaucoup faire de cet instant un moment unique et je ne veux pas continuer ce combat. Mais nous sommes sur un champs de bataille… Après ce qu‘il viens de se passer je suis un peu troubler, tu comprends."
Malgré l’attitude de Claire, le guerrier resta correcte avec elle, il avait aussi besoin de réponses c’est pourquoi il n’était pas aller plus loin. Le sayen n’avait pas non plus envie de gâcher un moment qui s’annonçait agréable mais en tant que haut dirigeant de son peuple il ne pouvait pas permettre de se laisser aller dans une situation aussi critique. L’événement était trop important et il se devait d’accomplir son devoir.
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Sujet: Re: Let me break you ~ [ PV. Motta ] Jeu 25 Oct 2012 - 15:38
Décidément, notre pauvre Motta n'était pas aussi bien tombé que l'on pouvait le croire: cette femme à l'allure d'une déesse ne renfermait que de sombres desseins dont elle était l'auteur. Peut-être pas directement, non, mais son passé et ce qu'elle était à l'heure actuelle était le résultat d'une vie de damné. Quels secrets cachait-elle encore ? Pourquoi n'avait-elle rien dit sur cet être vampirique qui hante son corps et son âme depuis des siècles ? Malgré son aura évidente de démon, n'était-elle pas au final ce qu'on appel un ange déchu ? Ne voudrait-elle pas préservé les gens qu'elle aime – ce qu'elle n'a jamais pu faire jusqu'ici – d'elle ? Au fond, n'était-elle pas entrain de devenir une sorte de protectrice avec Motta, bien que le vigoureux sayen n'en ai guère besoin... ? La culpabilité de reperdre un être qui lui est cher, voilà ce qui la menait à réagir ainsi. Pourtant forte tête et caractère plutôt dur, elle restait frigide la plupart du temps afin de ne créer aucun lien, même juste de sympathie, avec autrui. Mais que pouvait-elle faire à présent par rapport au lien qu'elle entretenait avec Motta et qui, de toute façon, ne semblait pas vouloir s'éffondrer du jour au lendemain. C'était mal de brûler d'une passion pour un mortel, comme le disait si souvent les Dieux. Et pourtant, combien de demi-dieu sont né ? Combien on été renié des Dieux, comme ce cher Achille, magnifique jeune homme dont Claire avait fait la connaissance sur Terre en une époque reculée ? Pourquoi ne doit-on pas mélanger les " races " ? Pourquoi la succube ne pourrait-elle pas avoir enfin trouvé sa faiblesse ? Oui, un " simple " mortel qui avait dégelé son coeur depuis si longtemps inerte. Comment décrire ce flot démotions qui la parcourait rien qu'en le regardant ? Lui ce fier sayen, cette race qui pourtant la répugnait parfois, mais elle ne pouvait nié l'évidence. La jeune femme était tombé folle amoureuse d'un homme qu'elle ne connaissait pourtant que depuis peu, mais qui a eu le don de la faire s'éveiller de sa solitude amoureuse. Il suffit de voir comme ses yeux pétillent lorsqu'elle le regarde, le dévorant du regard – ce regard que les hommes aiment tant chez elle, le regard d'une femme n'ayant pas peur du feu – et brûlant d'envie de se jetter dans ses bras. Il était impossible d'y résisté. Le coup de foudre de Zeus l'avait frappé en plein coeur.
Alucard avait fait son apparition, théâtrale comme à sa plus grande habitude – il fallait dire que c'était d'un naturel chez lui, cette manière de se déplacer et de parler qui faisait penser à une scène de théâtre. Il avait un charisme incomparable, une prestence – du fait de sa taille et sa carure imposante en partie – qui pourrait défier n'importe quel concurrent. Il était fait pour se donner en spéctacle, représenter, diriger, être un maître. C'est ce qu'il avait toujours été jusqu'au jour où Claire, la femme qu'il convoitait depuis des siècles, se retourna contre lui et l'arracha de sa suprêmatie. Un bon coup de poignard dans le dos pour l'un des plus grand conquérant parmi les Dieux. Ce pauvre homme se retrouve maintenant prisonnié dans le corps de la femme dont il est fou amoureux, et en même temps, envers qui il nourrit une profonde rancune. Cependant, il sait profiter de la situation: il y a des avantages à être dans le corps d'une déesse, surtout quand on la connait bien, même très bien. Pour rendre quelqu'un fou petit à petit, quoi de mieux que de hanter son esprit en faisant remonter de douloureux souvenirs à la surface ? Technique de torture psychologique de barbare, me direz-vous, mais quand on veut sortir d'une telle pagaille, faut-il savoir mesurer les conséquences de ses actes. Il pense qu'il pourrait rallié sa succube à sa cause pour de bon et revenir en tant que maître aux pleins pouvoirs du monde sur tous les autre peuples. Que d'ambition que notre cher vampire ne peut pas accomplir tant qu'il n'aura pas trouvé moyen de se rematérialisé en tant que Dieu sous enveloppe mortelle et non pas en tant que simple bout d'esprit dans le corps d'un ange.
- Alucard est le premier de son espèce. Un vampire, qui a asservi la race des loup-garoux en premier, puis les humains, et il a pour but d'être le chef de ce "monde de mortel". Il vient des enfers, tout comme moi. Hadès ne l'a pas directement créer: Alucard est l'accumulation de haine, de violence, de torture, c'est le fruit de tous les sentiments les plus atroces qu'il soit. C'est une créature du même type que MV, un être dit sans coeur, sans pitié, qui ne vie que pour lui et n'agit que dans son propre intérêt.
Claire expliquait les choses calmement, elle semblait avoir reprit son sang froid légendaire, bien qu'il était dur de ne pas s'emporter violamment quand l'on se fait tourmenté par ce genre d'esprit depuis des siècles.
- J'imagine que tout cela doit te sembler confus, nous ne venons pas du même monde. Cela semblait l'éxaspérer: était-elle donc la seule à descendre encore de l'Olympe ? Où était Kratos ? ... Je vie depuis bien longtemps, bien avant que la Terre ou que votre planète ne soit encore créer. Mon créateur s'appel Hadès, il était le dieu des enfers et, gardien du styx, le grand fleuve où les âmes des morts qui ont servi le mal errent. Quand Hadès m'a créer, c'était à une époque où il était tombé amoureux d'une jeune femme, Perséphone. Elle était sa muse, et s'inspirant de cela, il décida de me créer à l'image du pouvoir que la femme peut détenir sur un homme amoureux: une envoutatrice à laquelle on ne peut résister et à qui on offrirait son âme sur un plateau d'or.
En disant cela, elle eut un petit sourire: Hadès avait toujours été considéré comme " LE méchant " et pourtant, ce fut le seul à n'aimer qu'une seule femme et à ne l'avoir jamais trompé. Claire était le fruit d'un nouveau sentiment qui s'était emparé du tout puissant maître des enfers, un sentiment puissant, bénéfique, grâce auquel on était capable de soulever des montagnes. Ce même sentiment qui avait fait " revivre " le coeur frigorifié de la belle succube, qui se tenait en face de son amant, les yeux pétillants, un petit sourire aux lèvres qui lui siais si bien et, une profonde envie d'éternisé ce moment. Elle savait qu'elle pourrait passer des heures, là, près de lui, rien qu'à le regarder.
Inévitablement, Motta se retrouvait maintenant dans une impasse. Que devait-il penser et faire ? Claire était maintenant dévoilée comme alliée de MV, et cela en restait pour le moins troublant. Les questions se heurtaient certainement dans l'esprit du sayen, ce pourquoi il pausa précipitamment des questions auxquelles les réponses allaient être très claires. Après tout, il fallait choisir un camp, choisir son parti et ce, en fonction de ses intérêts, ce qu'elle avait fait sans hésité.
- J'ai choisi de rejoindre l'alliance de MV seulement pour mes propres intérêts. Il n'y a pas d'histoire de rancune envers qui que ce soit, et ce n'est pas parce que je déteste quelqu'un en particulier dans mon ancienne alliance que j'ai retourné ma veste. Non. J'ai fais cela car je pense que de suivre le bord de MV me sera plus bénéfique. Je ne cherche ni la paix, ni la guerre. Il n'y a que le pouvoir. Regarde autours de toi, les gens se détruisent pour lui. Son regard avait prit un air mélancolique: c'était la triste vérité et personne n'y pouvait quelque chose. Pour s'en sortir dans ce monde, il faut être reconnu, et craint. Comme notre cher kanasien. Et le meilleur moyen d'y parvenir, c'est de prendre exemple sur ce qu'il a fait.
Claire laissa Motta remettre correctement son armure, elle avait retiré ses mains pour les croisés sous sa poitrine, levant alors son visage vers le ciel assombrit par la présence d'Alucard. Le ciel était bleu nuit, parsemé de nuage noir menaçant, l'averse s'était quant à elle arrété.
- C'est à toi de prendre une décision, mon colonnel. En disant cela, son petit air de femme joueuse revint ravivé son regard. J'ai un contrat à respécter. C'est toi ma cible. Je dois te garder près de moi par tous les moyens. Et c'est ce que je ferai sans hésiter. Alors à toi de voir: on peut encore s'amocher un peu, ou bien passer un bon moment.
Son petit sourire mesquin pouvait être très énervant, surtout lorsqu'on se demande comment cette femme peut garder un tel sang-froid dans les circonstances actuelles. Décidément, Claire trouve toujours un moyen de tourner la situation dans son sens, de tel sorte que cela puisse devenir amusant...
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Sujet: Re: Let me break you ~ [ PV. Motta ] Dim 4 Nov 2012 - 23:06
Avec la menace Alucard écartée, Motta se sentait un peu soulagé: il n’aurait pas à combattre quelqu’un ou plutôt quelque chose qu’il ne connaissait pas. Ce petit événement qui avait interrompu le combat du sayen à l’armure verte et de la jolie succube avait un peu effacé dans leur mémoire qu’il n’y a encore que quelques minutes ils s’affrontaient dans un duel tout à fait sérieux. Cela les avaient un peu rapprocher l’un de l’autre mais lorsque la jeune femme essaya de se blottir contre le colonel et d’avoir un moment d’intimité, ce dernier resta un peu en retrait en repensant à ce qui s’était passé et ce pourquoi il était présent sur Kanasa aujourd’hui. Claire s’était retournée contre l’alliance Ganshou et l’armée sayenne pour servir Majin Vegeta, elle avait trahis. Le sayen à l’armure verte était bien loin d’imaginer jusqu’à ce qu’il le découvre que celle avec qui il avait passé des moments très intimes avait changer de camp, si on lui aurait dit avant d’arriver sur Kanasa il ne l’aurait pas cru mais maintenant dans son esprit c’était une évidence. Alors que faire ? Bien sûr il voulait comprendre pourquoi, il y avait beaucoup de questions qu’il se posait et auquel il aimerait avoir des réponses. C’était très confus dans sa tête et il avait dû mal à l’accepter mais il fallait se rendre à l’évidence: Claire écoutait les ordres de Majin Vegeta. Au fond de lui, le sayen était très remonté, comment pouvait-elle s’allier à une ordure comme lui ?
Le colonel avait demandé à Claire de lui en dire plus pour mieux comprendre, à la fois ce qu’il se passait avec Alucard mais aussi sa situation avec le roi de Kanasa. Tout d’abord la jeune femme expliqua un peu d’où elle venait, sa relation avec ce Alucard, tout ce qu’elle raconta était très étrange et sortait de l’ordinaire. Elle vivait depuis longtemps mais paraissait pourtant très jeune, à vrai dire Motta n’avait jamais demandé les origines de Claire, il savait qu’elle n’était pas un être vivant ordinaire, ce qui l’importait c’était qu’elle soit là, avec lui. Mais maintenant, cette situation remettait tout en cause et le comportement de Claire la décrédibilisait un peu aux yeux du sayen, il ne savait plus s’il devait lui faire confiance. Il l’écouta finir son discours au sujet de son passé sans dire le moindre mot. En même temps il n’avait pas pu tout assimilé, il y avait encore trop de zones d’ombres et puis que dire après de telles révélations ? Le silence était préférable, Motta était toujours en pleine réflexion mais il connaissait ses priorités. Ensuite, Claire répondit à ce qui, à ce moment là, étaient les questions qui intéressait le plus Motta: son alliance avec le tyran Majin Vegeta. Elle disait avoir rejoint le champion de Dösatz uniquement pour ses intérêts personnels, mais le sayen aimerait justement bien savoir de quoi il s’agit ! Claire disait que de s’allier avec Majin Vegeta lui serait bénéfique et que ce n’était aucunement une histoire de rancune envers quelqu’un en particulier. Lorsqu’elle avoua vouloir le pouvoir Motta serra les dents, alors c’était avec ce genre de femme qu’il avait créer un lien qu’il n’aurait jamais créer avec une autre ? Il ne savait pas quoi en penser, mais il était clair qu’elle avait joué un double jeu, restait à savoir jusqu’où. Quant elle eu finit, il décida de prendre la parole.
"Le pouvoir ? Je n‘aurai jamais cru que cela puisse t‘intéresser. Mais c‘est vrai que je ne t‘ai jamais demandé qu‘elle était tes ambitions, pour moi cela n‘avait pas d‘importance…" Il s’arrêta un instant, sa voix et son regard traduisait son sentiment de déception, comme s’il s’était fait avoir comme il faut. Après ce qui s’était passé, que serait-il juste de penser ? Il était bien normal de douter, mais un guerrier de son rang n’en n’avait pas le droit. "Tu as longtemps jouer un double jeu alors… Cela depuis le début ? Je ne comprends pas comment tu peux t‘allier à un homme comme lui. S‘allier à celui qui est considérer comme l‘un des plus puissant où le plus puissant est assez facile, je comprends par contre que tu veuille assurer ta position mais je ne pensais pas que tu étais comme ça. Tu sembles avoir choisis ton camp."
Un long silence s’installa après cette dernière phrase fataliste, Claire avait mis le sayen face à ses responsabilités, celles de prendre une décision dans cette situation qui mènerait sûrement à un événement décisif de la bataille. Motta n’avait pas souris en l’entendant dire qu’elle avait l’intention de rester près de lui, car c’était sous les ordres de Majin Vegeta qu'elle le faisait. Qu’était-il bon de faire alors ? Le colonel devait soit rejoindre ses alliés, soit rester à se battre contre Claire ou à faire autre chose avec elle. D’un point de vue purement personnel le choix aurait pu être vite fait mais en tant que représentant des forces sayennes le colonel ne pouvait se résoudre à abandonner les siens. Il y a des choses auxquelles ont ne peux pas faire de croix, des principes qu’on ne peux pas jeter comme ça simplement par égoïsme et puis le raisonnement le plus logique ne faisait guère de doute dans l’esprit du guerrier.
"Je ne tiens pas à me battre contre toi mais je ne pense pas que tu me laisseras partir comme ça… Passer un bon moment ne m’aurai pas déplu mais après ce qui s’est passé tu comprends bien que c’est difficile pour moi d’en avoir autant envie qu’auparavant. Tu es prête à obéir à Majin Vegeta au point de m’affronter ? Je pense qu’il n’est pas trop tard et tout peu encore s’arranger. Mais si t’allier à Majin Vegeta est vraiment ce que tu veux alors soit ! Ma décision, c‘est de poursuivre la démarche faite par l‘armée sayenne jusqu‘ici sur Kanasa ! Alors ? Tu vas m‘affronter ou bien… ?"
Alors que Claire ne semblait pas vouloir laisser de choix au sayen, il semblerait que ce dernier tente de renverser la situation en posant le problème à l’envers. Mais avant toute chose, le colonel espérait pouvoir raisonner celle à qui il vouait des sentiments profonds mais aujourd’hui troublés.
Spoiler:
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Sujet: Re: Let me break you ~ [ PV. Motta ] Mer 7 Nov 2012 - 13:14
Claire se retrouvait face à son destin: choisir un camp ou celui qu'elle aimait. Auparavant, chaque fois qu'elle avait été confronté à une telle situation, elle avait choisit la personne qu'elle portait dans son coeur plutôt qu'un quelconque camp. Mais à quoi cela l'avait-il mené ? Rester dans la vie de ces personnes les avait fait mourir, une par une, devant ses yeux, alors qu'elle était impuissante... ne pouvant mourir, ne pouvant contrer la malédiction qui pesait sur elle depuis qu'elle avait renversé l'Olympe en compagnie de Kratos. Elle regrettait bien son créateur et sa femme, parfois même aussi Hélios, Eros, Nyx, son cher Erebe, Gaïa pour sa sérénité ainsi qu'Héra, et même quelque demi-dieu qu'elle avait rencontré sur Terre, comme ce guerrier que l'on disait imbattable: Achille. Mais de toute les mortels qu'elle avait connu, c'était bien à eux qu'elle s'était le plus attaché, malgré elle. La jeune femme avait dû rester forte, garder la tête bien sur les épaules, mais après tout, pour un être damné, il ne pouvait y avoir que ce genre de vie qui l'attendait. Même si au fond, tous ses évènements lui pesait bien plus lourd sur le coeur qu'elle ne voudrait le montrer ou l'admettre, Claire était resté fidèle à elle-même. Qui peut juger ce qu'est le bien et le mal ? On pourrait dire que la vie de cette femme avait été très mitigé entre ce que l'on appel le " bien " et le " mal ", et qu'elle fut bien souvent jugé comme étant du côté des "gentils" jusqu'à ce qu'elle perde tout ceux qu'elle avait aimé, et qu'elle se retrouve avec Alucard, encré en elle, au plus profond de son âme. C'était un véritable fardeau d'avoir cet homme – ou plutôt ce monstre – qui l'avait tant dégouté dans son corps. Mais quelle autre solution s'était offert à elle ? Aucune. On ne pouvait tuer ce Dieu, personne ne le pouvait. Il vient du plus profond des abymes, de la corruption à l'état pur. En enfermant son âme dans son corps, elle s'était sacrifié pour libéré le peuple des loup-garoux qu'elle affectionnait tant, et les humains, qui commencaient à être eux aussi asservi par ce tyran. Pourquoi ? Parce qu'elle savait qu'elle était condamné, ne pouvant s'attacher à autrui au risque d'en souffrir, encore et encore. Claire n'avait plus rien à perdre, et après tout... c'était un démon. Elle avait connu un seul ange dans sa vie, qui lui avait dit que bien qu'elle avait été façonné dans les enfers, au fond, elle était bien plus humaine qu'elle ne le pensait, et que son coeur était tel ceux des anges. Il était juste déchiré et corrompu par le démon qui la souille depuis des siècles. Mais cela, c'était son choix.
Spoiler:
Pour la première fois, alors qu'elle tentait de reprendre son air stoïque, Claire se sentait trembloter légèrement, une sensation étrange avait envahit son corps: elle s'était permise, pour la première fois également, de lire dans les pensées de Motta, et ce qu'elle y voyait semblait complétement la destabilliser. Ses yeux était rempli de tristesse, elle retenait ses larmes, une fois de plus troublé. Il n'était pas difficile de ressentir la rage qu'il tenait au fond de lui vis à vis de ce qui arrivait en ce moment, et la décéption évidente du fait qu'elle les ait tous trompés. La jeune femme tenta d'arrêter les signes évidents du fait qu'elle était entrain de perdre tout contrôle, que cela pourrait la faire pleurer comme à la perte de Thérésa ou de Raki. Mais pourquoi ce que cet homme pouvait penser d'elle la préoccupait tant ? Pourquoi avait-il un tel pouvoir sur Claire ?... heureusement, elle avait réussi à se calmer, mais ses yeux étaient toujours embués de larmes, elle se retenait simplement de se laisser aller une fois de plus. Elle avait toujours été forte, il fallait le rester, même si le colonnel ne la laissait absolument pas indifférente sur ces sentiments. Evidemment qu'il allait le prendre ainsi, au fond, elle ne s'en cachait pas: elle le savait. Mais s'il ne pouvait comprendre qu'à l'heure actuelle, le seul intérêt qu'elle pouvait avoir dans sa vie, c'était bien le pouvoir – après tout, de quoi était-elle capable à part combattre ? Une petite vie simple et posé auprès de Motta, cela aurait pu être un rêve ensiageable, un jour... si elle n'aurait pas été dans les conditions actuelle. Claire avait bien dompté Alucard dans son esprit, elle arriverait bien à passer outre ses sentiments pour Motta !.... non... ?
Visiblement le fait qu'elle lui avoue que le pouvoir était la seule chose qui lui semblait intéréssante au nivau de ses ambitions n'avait pas beaucoup plu à ce dernier, qui avait sérré les dents, et qui se retennait certainement d'exploser en lui criant dessus ses 4 vérités. La jeune femme reprennait petit à petit son calme. Subir, elle avait fait ça toute sa vie, elle savait bien dissimuler ses émotions, peu importe l'intensité du mal être. Il lui parlait avec tant de colère dans la voix... Claire le regardait cependant dans les yeux, - ce qui pouvait être énervant, enfait – mais c'était simplement car elle ne fuyait jamais ses responsabilités et ses choix. Oui, elle avait choisi son camp, et non, elle ne regrettait rien. Elle avait prit une décision qui n'était pas prête de changer, peu importe que ce soit auprès d'un tyran qu'elle avait choisit d'avancer. Si on regardait l'avancement actuel des choses, il était évident que Majin Végéta est le mieux placer pour faire avancer les autres en therme de pouvoir et de conquête, et c'est ce qui fait malheureusement tout, à l'heure d'aujourd'hui.
- Crois-tu que ton peuple est mieux placer que ce tyran ? J'ai vu votre espèce évolué. Vous n'êtes pas tous dans le même sac puisque tu m'as prouvé le contraire, mais... tout ce j'ai vu des sayens, c'est que ce sont des animaux assoifé de sang, qui aiment torturer leur adversaire, qui ont décimés des planètes entière et des innocents, sans même broncher. Alors ne viens pas me faire la morale sur mes choix. Que tu l'acceptes ou non, ma décision ne changera pas. Claire le fixait toujours, sûr d'elle, ses mots était comme des pics pour lui, certainement. Regarde autours de toi, il n'y a que des tyrans. Même vous, bien que vous ne voulez pas l'admettre. Personne n'est innocent, ici. Personne. Elle laissa un moment de blanc, puis reprit: Au départ je ne jouais pas un double-jeu. J'ai rencontré Majin Végéta sur Terre quelques long mois après mon adhésion à l'alliance. Et ses ambitions était pratiquement similaire aux miennes, ce qui m'a fait beaucoup réfléchir. Et puis une trahison, c'est beaucoup plus original que d'arriver et de dire "ah, aufait, je quitte l'alliance, je vais rejoindre Majin Végéta. " hm ? Evidemment, elle ne pouvait s'empecher d'ajouter sa touche d'ironie. C'était un moyen d'écarter ses sentiments.
Un froid s'était installer entre les deux protagonistes après cette réponse. Claire regardait toujours son bien-aimé, avec la même intensité dans le regard. Elle ne s'abaisserait pas à pleurer comme une gamine parce qu'elle était en ce moment même entrain, une fois de plus, de perdre quelqu'un qu'elle portait au plus profond de son coeur. Non, elle le dissimulait, encore. C'était inévitable, à ce moment, elle se rendait compte qu'elle l'aimait sans faille, pour lui porter un amour tel que celui-ci. Ses réactions lui faisait tant de mal au fond... mais la guérrière avait reprit son air de femme infaillible. Motta tentait de la résonner, visiblement. Cela fit sourire Claire, décidément il pensait qu'elle était un faible petit mouton duquel on pouvait tirer ce que l'on souhaite.
- Quand je prend une décision, c'est que j'y ai mûrement réfléchis, mon amour. Et encore de l'ironie. Cette femme avait tout pour que les gens la haïsse. Crois bien qu'au fond, je n'ai aucune envie de t'affronter. Mais cela sera bénéfique pour nous deux... tu semble porter une telle haine en toi vis à vis de ce que j'ai fait... alors haïs moi. Ce combat scellera notre destin à chacun. Tu n'acceptes pas mon choix, soit.
Claire prit une grande inspiration, elle n'avait pas mâcher ses mots, mais c'était à contre-coeur. Elle préférait qu'il la déteste plutôt qu'il ne souffre en la voyant changer de camp ainsi. Encore une fois, elle sacrifiait ses sentiments. Mais l'amour qu'elle lui portait était au fond bien plus important que tous le reste, ce pourquoi elle réagissait de la sorte.
Ce qui était inquiétant, c'était qu'il faisait de plus en plus noir, alors que les deux protagonistes parlait. De la neige était tombé en masse, d'un seul coup, et s'était déposé sur le sol en grosse couche. Il faisait maintenant tellement noir qu'une personne normale n'y vérrait que les ténèbres. Il était très difficile de pouvoir voir dans ses conditions. La jeune femme avait levé son visage vers le ciel, les sourcils froncé. Visiblement elle savait de quoi il s'agissait. Claire se retourna alors subitement, comme si elle avait retrouvé une aura qu'elle cherchait, et ses yeux s'écarquillèrent, les lèvres légèrement entrouvertes, alors qu'une main était déjà posé sur sa joue, caressant son visage.
Alucard: Tu vois, ma chère. Ce mortel ne mérite même pas de pouvoir te regarder.
La dernière chose qu'elle vit, c'était le sourire sadique du vampire. Le temps se mit à dégénéré, une tempête de neige et des bourrasques de vent d'une force incroyable arrivèrent. Un énorme cratère se forme au sol, déciment complétement la végétation autours. Dans ce cratère se trouvait de longue trainées de lave, comme si... comme si le démon qui se trouvait maitenant à l'intérieur provennait directement des enfers. Une énorme aura rouge avait entouré tout le cratère et était monté jusqu'aux cieux, jusqu'à l'ancienne Olympe, sûrement. C'était une démonstration de libérance d'aura bien plus imprésionnante qu'à l'accoutumé, surtout dans les conditions de tempête actuelle.
Si Motta avait regardé à l'intérieur du cratère après l'incident il n'aurait rien vu. Par contre, dérrière lui...
Toutes personnes à l'heure actuelle ignorait ce que pouvait être cette immonde créature. On avait du mal à bien le cerner avec la nuit noire qui était présente. C'était un ainé, le premier des hybrides. Le vampire sûpreme, celui capable de libéré la force de Seth. Le monstre qui avait auparavant la tête baissé leva son regard empli de haine vers Motta, ses yeux étaient d'un rouge sang sombre, son visage était ignoble, ses dents étaient toutes longues et pointues comme celle d'un cannibale, à l'exception des deux dents de l'attrait vampirique qui dépassaient encore plus que les autres, sa peau et ses ailes étaient telle du minerai, elles semblait aussi dure que la peau d'une gargouille. La bête faisait bien deux mètres de haut, et sa carrure imposante mettait en valeur une musculature des plus complexe.
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Claire n'avait plus rien d'humain...
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Sujet: Re: Let me break you ~ [ PV. Motta ] Dim 11 Nov 2012 - 15:18
On se retrouvait maintenant dans un moment crucial pour Claire et Motta, après que Alucard -qui avait interrompu leur combat- soit partit, ils étaient face à face, peut-être prêts à reprendre leur affrontement là où ils l’avaient laissés. Claire et Motta allait se battre l’un contre l’autre... C’était à peine croyable, bien sûr ils avaient déjà entamés le combat mais à ce moment là le colonel sayen n’était pas certain de savoir qui était son adversaire. Depuis qu’il connaissait la vérité il n’arrêtait pas de se demander « mais comment a-t-on pu en arriver là ?! », il n’aurait jamais pu se douter il y a quelques mois ou même encore quelques jours que cette femme à qui il vouait des sentiments que lui-même ne savait pas définir allait devenir son ennemi. C’était impensable. Il lui faisait pleinement confiance, était-il aveuglés par ses sentiments ? Peut-être mais la voir changer de camp ne semblait pas être un événement que les sayens et Ganshou auraient pu prévoir. Plusieurs émotions partageaient le colonel des armés sayennes dont la colère et la tristesse qui prédominait sur les autres. Evidemment qu’il se sentait trahis, et Fugma, Toma et les autres le seraient tout autant ! Voir pire, Motta était peut-être le plus indulgent: il ne voulait pas accablé la jeune femme et espérait que tout finirait par s’arranger. Mais Toma, qui n’avait aucun lien direct avec Claire n’aurait sans doute aucune retenue face à elle. Quant à Fugma, c’était peut-être celui qui se sentirait le plus trahit étant donné qu’il avait eu une aventure avec la succube et qu’il était le chef de l’alliance qu’elle avait trahis. Mais bien sûr Motta ignorait que le magma avait passé du bon temps avec la jeune femme et il se voyait comme le plus désarmé des trois face à elle. Sans doute que même le plus froid des hommes serait troublée à l’idée d’affronter sa bien-aimée, celle en qui il avait placée sa confiance.
Logiquement, le colonel tenait un discours qui montrait son sentiment de tristesse et de colère, il montra à Claire qu’il était très surpris de découvrir une facette de la personnalité de la succube attirée par le pouvoir en se mettant aux côté de l’homme dit le plus puissant de l’univers. La jeune femme rétorqua aux paroles du colonel en disant que les sayens étaient un peu comme Majin Vegeta et ses hommes, qu’en gros ils étaient animés de la même soif de massacre et de pouvoir. Mais là n’était pas la question pour Motta qui était bien conscient que son propre peuple n’était pas une espèce cherchant à assurer la paix dans l’univers. Ce n’était pas ce qui chagrinait le sayen mais de la voir se joindre à l’homme le plus fort, choisissant l’ennemi au détriment du camp Sayen/Ganshou était quelque chose qu’il avait du mal à accepter. Il n’aurait jamais penser que Claire aimait dominer et avoir du pouvoir même si son attitude parfois provocatrice pouvait laisser deviner qu’elle appréciait aussi s’imposer face aux autres. Motta pensait qu’elle était simplement ce genre de femme assez forte pour ne pas se faire piétiné au milieu de tous ces hommes. Bref, le genre de femmes appréciés par les sayens. Il n’avait pas tort mais là cela semblait aller plus loin que ça, la succube avait peut-être un besoin avide de pouvoir. Le guerrier n’avait pas chercher spécialement à lui faire la morale mais il avait espérer que Claire puisse vouloir atteindre ses buts en restant près de lui.
"Je ne te parles pas d‘innocents ou de morale. Chacun essaye de faire sa propre justice… Je pensait juste que nous avions la même conception de ce mot…"
Motta, qui n’était pas un grand parleur avait juste dit ces quelques phrases, suffisantes pour comprendre qu’il acceptait mal que Claire se range du côté de celui qui avait porter atteinte au peuple sayen, son peuple qu’il s’était juré de protéger. C’était comme un coup de poignard dans le dos, difficile en effet à digérer. Autrement dit, il n’était pas question de bien ou de mal, cette opposition concernait belle et bien Claire et Motta personnellement. Par la suite, après un moment de silence, Claire avoua être sous les directives de Majin Vegeta bien avant de s’allier aux Ganshou, il y avait donc peut-être moins de regrets à avoir puisque cette trahison était déjà programmée depuis longtemps. On pourrais dire que les sayens et Ganshou s’étaient alliés au mauvais moment et que c’est en quelque sorte ce qui était à l’origine de ce sentiment amer que ressentait le colonel. Cela le laissa sans voix pendant un moment, il avait fallut que le sayen à l’armure verte tombe sous le charme de la belle espionne de Majin Vegeta. Mais de toute manière, les sayens étaient ennemis de l’alliance Maléfique et pour ne pas se sentir trahis comme aujourd’hui il aurait fallut que la rencontre entre Claire et Motta ne se fasse pas. Un choix du destin qui faisait aujourd’hui plus de malheureux que d’heureux.
Visiblement, il était impossible de raisonner la succube, après un silence glaciale elle déclara avoir pris une décision irrévocable, auquel même son bien aimé ne pouvait altérer. Il n’était donc plus utile de négocier, surtout que la jeune femme semblait prendre de plus en plus cette attitude provocatrice qu’elle utilisait pour éveiller chez son interlocuteur un sentiment d’agacement. Comme à son habitude, le colonel ne répliqua pas à ce genre de paroles, il n’aimait pas utiliser sa salive pour rien encore moins face à quelqu’un qu’on ne pouvait faire changer d’avis. Bizarrement, alors qu’ils parlaient, de la neige s’était mise à tombé. Claire avait ensuite une attitude bizarre, levant la tête vers le ciel puis comme si elle regardait quelque chose ou quelqu’un précisément mais c’était devenu tellement noir que c’était difficile à dire. Rapidement, le temps se fit de plus en plus désagréable ce qui était très bizarre, une tempête de neige était apparu et Motta protégea son visage avec son avant-bras. Le temps était complètement déréglé c’était assez surprenant. Le colonel ne compris pas trop ce qui se passait, décidément avec Claire il se produisait des événements bien étranges (=P) et en plus Motta n’y voyait presque rien dans ce déluge incompréhensible. La succube avait laissé place à une affreuse créature qui n’était sûrement pas là pour faire office de gargouille. Motta crût reconnaître l’aura de Claire à travers cette chose et en plus il ne la voyait plus alors il n’y avait qu’une explication à cela… Elle était devenue ce monstre !
"Mais qu‘est-ce que c‘est que ça ?! C‘est toi Claire ? Hum… Je te préférait avant, cette apparence ne me dit rien qui vaille, ça doit être un coup de ce Alucard… L‘enfoiré, je compte bien faire reprendre à Claire sa forme originelle."
Avait-il dit sur un ton un peu mélangés de divers sentiments et une touche d’humour en espérant avoir affaire à une blague. Mais il semblerait que ce soit la réalité, Claire était devenu ce monstre et cette chose n’avait pas l’air très commode. Pour que la jeune femme redevienne elle-même il fallait sans doute la mettre hors combat alors le colonel décida de s’attaquer à la bête courageusement. Il testa un kienzan qu’il envoya en direction de son torse puis se téléporta un peu plus près du monstre pour mieux y avoir et attaquer plus efficacement. Il lâcha alors deux Dodompa de chaque main pour voir comment il réagirait.
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Sujet: Re: Let me break you ~ [ PV. Motta ] Mar 13 Nov 2012 - 13:26
Etait-ce réellement un privilège d'être un Dieu, au final ? Sur Terre, leur destin change inévitablement, ils ne sont plus dans le même monde, les règles en sont totalement changées. La preuve dans le cas présent. Claire n'est qu'un être damné, celui que les hommes détestent et ont redouté pendant des années, cette créature au corps si froid que lorsqu'elle vous attrape entre ses immondes griffes, on appel cela " l'étreinte de la mort ". Comment une femme d'une telle beauté pouvait-elle caché un tel démon en elle ? En effet, les vampires ont toujours été réputé pour avoir un charme absolument fantastique, auquel les humains en tout cas, ne résistent pas. Mais la jeune femme était la première de son espèce, une succube, mis vampire, un mélange, un hybride. Elle aussi possédait evidemment cette aptitude fourbe d'avoir tout pour plaire: une démarche féline d'une sensualité inexplicable, une voix douce et envoûtante, un visage à en faire pâlir de jalousie n'importe qu'elle reine, et surtout, un corps qui s'accorde bien avec le reste. Mais il fallait être un idiot pour ne pas savoir que dérrière toute magnifique apparence se cache le plus térrible des monstres. L'hybride, l'ainé, le maître des vampires. Ils n'étaient que trois à posséder cette forme: Alucard, Viktor, et elle. Les trois ainés par excellence de la race qui domina toutes les autres pendant des siècles, avant bien entendu qu'elle ne mette un terme à tout cela. Cette forme est une forme également donné par les Dieux. Alucard étant le premier Dieu des vampires qui apparu sur Terre, et étant le dieu Seth, il possède sa forme d'hybride. Viktor, transformé par Alucard afin de le sauver de sa mort certaine, a reçus lui aussi cette forme, bien que moins puissante, et donc une petite partie de ses pouvoirs. Quant à Claire, lorsqu'Alucard la mordi après son retour sur Terre, il lui transmit tout son savoir, pour qu'ils puissent lire l'un en l'autre comme dans un livre, et qu'elle soit sa femme à la tête de sa tyrannie.
Cette forme de Dieu remplace donc la forme de succube mythologique que l'on retrouve souvent: une femme aux pieds de bélier, avec des cornes tordu comme celle des boucs, et des ailes noirâtre. Là, il s'agissait d'une forme beaucoup plus élaboré, et ils n'étaient au final que deux à pouvoir recevoir et contenir un tel pouvoir. Motta était confronté à une chose qu'il n'avait jamais vu, et certainement personne d'autre à l'heure actuelle aurait eu l'immense privilège de voir un ainé se transformé en hybride de la sorte. Cela faisait des siècles, des millions de siècles, tout avait si changer... personne ne devait être au courrant du passé. Ce pourquoi les vampires restaient dans l'ombre, comme les loup-garoux, par leur traité de paix, et aucun des deux camps n'affichaient leurs identités face aux humains. Mais si un vampire transforme un humain ou si un loup-garou le fait de son côté, alors le traité sera rompu, et la guerre sera de nouveau en place. Heureusement, Claire tenait fermement son camp en main, et les loup-garoux avaient eux aussi un bon chef pour les tenir en place de leur côté...
L'éffroyable monstre regardait Motta comme s'il était un gibier sur son terrain de chasse. En effet, les conditions météo s'étaient tourné en faveur de la femme, qui était de toute évidence nyctalope, ce qui ne la dérangeait absolument pas de combattre dans une atmosphère si noire. L'abomination ne semblait pas être une simple forme incontrôlé par son hote, elle comprenait parfaitement les dires du colonnel, et ses paroles firent arracher un horrible rire à la bestiole, qui riait george déployé, d'une voix qui portait vite echo, une voix comme une brise de vent, flippante. On pouvait admirer toute sa magnifique dentition, bien pointues, lorsque la bête riait, et autant dire que ce n'était pas un spectacle vraiment agréable de se dire que l'on pouvait finir vite broyer entre des crocs aussi accérés. Le pire étant que le monstre lisait dans le sayen avec une telle facilité qu'il pouvait connaître tous ses sentiments et les ressentir lors de leur duel, mais il ne tentait pas de lire en lui pour prévoir ses mouvements, oh non, cela serait complétement inintéréssant et faiblard de la part d'un ainé. Visiblement le colonnel avait ajouté une pointe d'humour à ses dires, essayant de croire que cela aurait pu être une simple plaisanterie, malheureusement, ça ne l'était pas.
Le ciel noircit de la sorte cache beaucoup de choses dans l'ombre, oui beaucoup de choses... Mais pas six paires d'yeux rouges éparpillé autours de leur maître, fixant le sayen comme s'il était un morceau de viande fraîche. Le monstre ne bougea pas, son regard oppresant resta posé sur le sayen, alors qu'il envoya l'une de ses attaques sur lui. Avant qu'elle n'atteigne son torse, l'un des chiens de l'ombre s'interposa entre son maître et l'offensive, et aucun mal ne lui fit fait. L'action se répéta lorsque Motta se téléporta plus près du monstre, afin d'y voir plus clair certainement, et qu'il lanca de chacune de ses mains des Dodompa, auxquels les monstruosités de l'ombre répondirent en se jettant dessus et évitant la collision avec leur maître. Il ne restait que trois paires d'yeux, qui avaient profité des Dodompa que Motta avait envoyé et de la lumière que cela avait produit pour se déplacer dans les ombres dérrière-lui, bondissant sur ce-dernier, gueule ouverte et griffes sorties. Claire avait elle aussi changer de position, mais le monstre se fit vite découvrir lorsqu'il se téléporta près de l'un des flancs de Motta, portant de rapide coup de ses longues griffes ignobles dans ses côtes, puis il fit une nouvelle transposition et se retrouva devant lui, visiblement le monstre n'avait pas peur du corps à corps et s'y sentait plutôt à son aise. Il tenta une série de coups direct, ceux qui -sont vite porté de façon précise et qui font en général, bien mal – à des endroits précis du corps du colonnel afin de séctionné à répétition l'un de ses organes. Nouvelle téléportation, cette fois, le monstre bondit au-dessus du sayen, dérrière lui du côté de sa colonne vertébrale, les griffes en avant pour les planter dans son dos, et les faire glisser dans sa chaire afin de redescendre sans peine les deux jambes sur le sol.
Les cinq masques firent leur apparition dans le combat, d'immenses ombre dréssé tel des colosses dans le noir, seul leur masque étaient à peine visible, leur masque à l'expression stoïque. Visiblement le monstre n'était pas du style à vouloir bêtement s'amuser avec sa proie, quand il l'avait bien en vu, il voulait la décimé et avoir l'honneur de lui gober son sang quand il en aurait envie. Une nouvelle fois d'ailleurs, les paires d'yeux rouges réapparrurent, encore ce cher Cromwell, qui avait décomposé ses six têtes pour faire plusieurs gros molosses qui ne cessaient d'entouré le sayen dans l'ombre, comme s'ils l'auraient de toute manière. Notre monstre quant à lui avait encore disparut de la circulation: cela devait être réellement stressant de se battre contre un adversaire ayant l'avantage du terrain, ou plutôt, de la vue dans ce cas-ci. La bête bondit de l'ombre une fois de plus, après un moment de silence capable de réveiller les morts; et se servit de ses immenses ailes de gargouille pour créer une immense bourrasque de vent à l'encontre de Motta, soulevant ainsi la têrre et les débris des plantes et des arbres que sa transformation avait causé. Le pauvre colonnel qui se retrouvait déjà dans le noir se retrouvait maintenant face à une énorme soulevée de poussière dans la tronche, décidément... il devait être réellement heureux de la situation.
Les chiens en profitèrent pour se jeter à tour de rôle sur le sayen, tentant de lui arracher des gros bout de peau, et des membres certainement, à l'aide de leur immense machoîre remplie de dents tout à fait abominable, de véritable poignard, comme celles de leur maître. Le monstre se téléportait en même temps à chaque fois qu'un de ses chiens se jettait sur Motta pour lui envoyé des séries de coups de poing puissant dans le torse, tentant alors de brisé le plus possible son armure, il changeait de série à chaque passage de ses bestioles: d'autre fois, il tenta de lui porter de puissant coup de griffes du haut du torse à la tête – autant dire qu'un énorme coup de " patte " comme ceux-ci décapitaient n'importe quel humain -, la fois d'après il se téléporta dérrière lui pour lui asséner un coup dans le dérrière de la nuque, les mains jointes. Le quatrième chien s'élença, le monstre se montra plus fourbe et envoya cette fois-ci le restant des chiens sur Motta – donc trois – qui tentèrent de l'immobiliser, et l'ignoble monstre se téléporta juste au dessus du colonnel, se jetant sur lui toute griffes dehors, voulant planter ses griffes dans ses épaules pour le maintenir et tenté de choper sa nuque dans sa gueule pour bien l'amoché.
Après cette tentative, la bête se transposa loin du sayen, dans l'ombre, se cachant continuellement dans celles-ci puisqu'il en était originaire et qu'il contrôlait parfaitement les combats dans ce type d'atmosphère. Les grandes ombres formées de masques, quant à elle, restaient immobile et alligné, comme des colosses attendant un énévènement pour être réactif. Un long silence fit place, puis le monstre surgit de nul part, et apparut juste devant le sayen, il avait porté deux coups directe dans ses côtes afin de l'empaler et de le soulever légèrement du sol, si cela avait fonctionné. Il se la jouait directe, avec des coups puissant, il ne cherchait pas le jeu, bien que son regard sournois supposait le contraire.
- Alors, mortel, qu'est ce que tu ressens ? ... La souffrance physique est-elle une besogne pour des être aussi fébrile que vous ?
Sa voix était détestable, cette petite brise de vent tout douce, résonnant comme un eccho dans l'esprit de la personne qui l'entendait parler... cela ne semblait amener rien de bon, surtout le sourire à pleines dent que le monstre affichait, semblant au taquet pour toute réponse offensive de la part de sa proie.
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Sujet: Re: Let me break you ~ [ PV. Motta ] Dim 18 Nov 2012 - 20:55
Cette bataille sur Kanasa, déjà importante par son enjeu, se trouvait encore plus intrigante avec de nombreuses révélations. Surtout pour Motta. Le colonel se disait avant la bataille qu’il allait devoir livrer un âpre combat face aux hommes de l’alliance Maléfique mais il n’aurai jamais pu deviner se retrouver face à celle avec qui il avait partager des choses très intimes. Et plus les minutes passaient sur Kanasa, plus il apprenait des choses sur cette femme qu’il devait sans doute aimer profondément, c’était assez troublant, il avait l’impression de la redécouvrir, sous un visage totalement différent de ce qu’il avait connu jusqu’ici. Elle n’avait pas l’air d’être la jeune femme joyeuse qu’il avait côtoyer sur Terre. Bien sur, l’enjeu faisait que les sourires n’étaient pas au rendez-vous, ce serait même plutôt étrange de sourire dans cette situation. Ce combat changerait sûrement presque complètement le regard de Motta sur la belle, Claire était si différente aujourd’hui. Il avait eu l’impression de connaître tous ses petits secrets en très peu de temps, et ce n’était pas le genre de cachoteries banales d’un couple tout ce qu’il y a de plus normal. Non, tout ce qu’apprenait Motta était à l’encontre de l’image qu’il avait de Claire, ou presque, il avait dû mal à la reconnaître et espérait sans trop y croire que ce n’était là qu’un simple cauchemar. Il ne connaissait pour l’heure pas l’issue de cette bataille face à Majin Vegeta et ses hommes mais cela paraissait déjà comme un futur mauvais souvenir à très vite oublier. Au final, le colonel se disait qu’il s’était laissé avoir par une femme qu’il ne connaissait qu’à peine, et s’en voulait de ne pas avoir été plus curieux à son sujet. Peut-être aussi que ce qu’il savait d’elle lui suffisait, qu’il en était heureux et qu’il n’avait pas envie d’en savoir plus comme si au fond de lui il savait qu’elle gardait des secrets qu’il ne valait mieux pas qu’il apprenne. Mais tout ce qui se passait là, il aurait tellement aimé ne pas le vivre, revenir en arrière en essayant d’éviter ce moment cruciale. Il savait maintenant, qu’après ce combat, quoi qu’il advienne, plus rien ne serait comme avant…
Ce qui se passait en ce moment, avec la transformation de Claire en monstre était assez incompréhensible pour le colonel des armées sayennes, même s’il avait appris pas mal de choses sur la succube tout cela paraissait encore bien flou. A l’image de cette tempête qui venait de s’abattre sur eux, difficile d’y distinguer quelque chose. Cette situation obligeait Motta à ne pas trop se poser de question, quand le climat devient désastreux ce n’est jamais bon signe et le colonel savait qu’il risquait d’être en danger. Il n’y avait pas à tergiverser, quelque chose de mal venait de se produire, en l’occurrence là Claire s’était changée en quelque chose de très dangereux et le sayen devra faire preuve de prudence pour s’en sortir indemne. Il ne savait pas à quoi il avait à faire mais ce n’est pas pour autant que la peur ou le doute l’avait gagné, non Motta était un guerrier bien plus expérimenté que ça, et même si ses sentiments étaient troublés, cela n’affecterait pas sa façon de combattre. Lorsqu’on est en danger c’est dans la nature des êtres vivants de faire ce qu’il faut pour rester en vie, mais en tant que sayen, le colonel ne comptait pas avoir le rôle de la proie, ça non.
Ne sachant pas trop à quoi s’attendre, Motta décida de tester un peu le monstre en lançant une offensive. Cela allait lui donner un premier élément de réponse sur ses facultés, il décida donc d’y aller prudemment, c’était la meilleure chose à faire. Il n’y avait que cette solution, il savait très bien que la chose qu’il avait en face de lui devait posséder une force supérieure à la normale, Claire s’était transformée et qui dit transformation dit augmentation de l’énergie. Le sayen à l’armure verte avait donc entamer son offensive en commençant par lui lancer un Kienzan, puis il changea de position et tenta deux Dodompa. Mais ces trois attaques furent annulés à chaque fois par des sortes de bestioles sortant de l’ombre pour s’interposer. Très bien, il savait maintenant que le monstre pouvait se protéger de cette manière et Motta s’apprêtait alors à se débarrasser de ces choses, mais c’est justement ceux-ci qui s’attaquèrent à lui. Le colonel avait suivis leur position et n’eut pas trop de mal à les détruire en envoyant un seul Kienzan, très bien lancé de manière rotative afin d’éliminer les trois d’un seul coup. Cependant Claire s’était déplacée elle aussi pour l’attaquer, et le colonel fut un peu juste pour esquiver son attaque, il se téléporta à la dernière seconde par un réflexe digne des guerriers de son espèce. Il remarqua qu’il avait été effleurer et son armure en avait subit les conséquences, heureusement qu’il s’était déplacé instantanément ! Mais Claire n’avait apparemment pas finit son offensive et elle continua avec un nouvel enchaînement. Le sayen pu remarquer que le monstre était très à l’aise au corps à corps mais Motta l’était lui aussi également, ce n’était pas un gros problème, c‘était dans les gênes sayens de se battre ainsi. Claire s’était téléporter une autre fois, mais face au sayen par contre, elle attaqua avec violence mais le guerrier de l’espace fit preuve de beaucoup d’agilité pour passer à travers les coups de son adversaire. Il était rapide et profitait de quelques espaces pour mettre lui aussi de violents coups de pieds à la chose. Cependant, il se demandait s’il allait pouvoir tenir la cadence, son adversaire venait de se transformer et devait être à pleine puissance. Claire s’attaqua une troisième fois au sayen, au dessus de lui pour essayer de lui porter un coup fatal mais le guerrier se jeta sur un côté, roula par terre et se redressa sans aucune égratignure.
"Eh bien, voilà un enchaînement violent… Tu tiens tant que ça à me réduire en morceaux ? Je n‘avait jamais pensé que cela pourrait te faire autant plaisir…. Malheureusement pour toi, je n‘ai pas l‘intention de finir ainsi. "
Enfin, le monstre qui habitait Claire avait arrêter son offensive, il faisait toujours très noir et ça commençait à devenir embêtant surtout que la chose en profitait pour attaquer le sayen, cet environnement était plutôt à son avantage. Jusqu’ici, le colonel avait utilisé ses sens et ses réflexes pour s’en sortir, cela avait très bien fonctionner mais continuer ainsi risquait d’être usant à la longue, même pour le plus expérimenté des guerriers ça le serait. Alors il fallait trouvé un moyen d’y voir plus clair et le sayen à l’armure verte avait déjà son idée. Le monstre bondit encore une fois, c’est à ce moment là que Motta décida de sortir l’un de ses atouts: il se transforma en super sayen de niveau 1 ! Ainsi il y verrait mieux dans l’obscurité et ferait plus que jeu égal avec son adversaire. Lorsque Claire tenta de créer une grosse vague d’air, le guerrier se transforma pile au moment pour stopper le courant d’air, l’énergie déployer lui offrait une meilleure visibilité et il était bien entendu devenu plus puissant. Les chiens de Claire l’attaquèrent encore et le monstre fit de même mais Motta ne se laissa pas faire ! Le guerrier repoussa les bestioles assez aisément pour ensuite se concentrer sur son adversaire direct et esquiva chaque coup en essayant d’en donner à son tour pour répondre à chaque tentative du monstre. Il arrivait à éviter les griffes de la chose mais certains coups arrivaient parfois à toucher l’armure du sayen. Motta haussa son niveau et riposta par de nombreux coups dans le visage, dans les côtes, au ventre etc… tout en se téléportant. Claire asséna un coup par derrière mais Motta se retourna vivement et bloqua ses poings, il lui mit un coup de pied dans le ventre et le repoussa en lui lançant un Kienzan en pleine tronche mais la bête continuait son enchaînement, décidément pas rassasié. Les chiens tentèrent d’immobiliser le guerrier mais Motta les repoussa à coups de Kienzan, encore une fois le monstre attaqua par-dessus. Si cela n’avait pas marché une fois, cela ne marcheras pas non plus cette fois-ci ! Motta se balança les pieds en avant comme pour tacler dans le vide, le monstre de tapa que dans le sol et le sayen à l’armure verte en profita pour se relever, il se jeta au dessus de Claire alors au sol et lui asséna dans le dos plusieurs coups de pieds puis il s’élança dans les airs pour envoyé un Dodompa en plein dans le dos du monstre. Encore une fois, le monstre disparut dans l’ombre et revint en face de Motta, il tenta de l’empaler avec ses griffes pour le soulever. Il avait réussit mais le sayen avait reculé de quelques pas au moment où le monstre arriva sur lui, son armure avait été transpercer mais il n’aurait que quelques égratignures. S’il n’aurait pas bougé, il aurait pu avoir une grosse blessure mais là il avait limité les dégâts. Le monstre lui parla alors il répondit.
"Ce que je ressens ? Beaucoup d‘amertume, de tristesse, et ça fait bien plus mal que tes coups ! Je trouve que jusqu‘ici je m‘en sors pas trop mal, qu‘en dis tu ? Mais... "
Le guerrier ne termina pas sa phrase et il avait placé ses mains rapidement contre le torse du colosse qu’il avait en face de lui et son énergie avait augmenter subitement: Un puissant Final Flash à bout portant venait d’être dégagé des mains du guerrier de l’espace. Claire ne pourrait y échapper puisqu’elle tenait fermement son adversaire, elle serait donc repoussée par l’attaque et sans doute blessée. Motta continua son enchaînement, il avait bien l’intention de rendre les coups que la bête lui avait donné. Il se précipita sur Claire et lui donna un violent coup de pied en pleine figure puis se téléporta juste à côté d’elle et lui donna un coup de coude dans le ventre d’un mouvement rotatif qui lui permettait de prendre de l’élan pour se propulser dans les airs, il retomba violemment les deux pieds sur la tête du monstre puis remis les pieds au sol. Mais ce n’était pas terminé, il envoya trois Kienzan puis se téléporta derrière Claire pour la pousser contre les Kienzan qui lui fonçait dessus. Il se téléporta de nouveau en attendant de voir le résultat et se mit à l’abris un peu plus loin. Il réapparut quelques seconde plus tard devant la bête sans se décourager, il enchaina une multitude de coup de poings puis recula d’un bon en arrière en envoyant un Kienzan sur le bras droit de sa cible afin de la blessée. Il se relança directement sur son adversaire pour lui attraper le bras gauche pour la mettre dans son dos, il fit craquer son bras violemment et exerça une pression sur son dos pour faire tomber le colosse. Une fois fait il s’envola dans les airs et arma un Dodompa puissant qui visait le haut du corps de la bête. Il se téléporta encore une fois mais cette foi-ci pour se mettre à l’abris et observer son adversaire, pour savoir comment il s’en était tiré. Avec toutes ces attaques et notamment un Finale Flash qu’il ne prévoyait pas, le monstre devait avoir déguster pas mal mais Motta n’était pas un guerrier à prendre à la légère, que son adversaire soit allié du plus cruel des démons ou pas.
Spoiler:
Fiche de Motta Général des armées sayennes.
Past:
Transformations: - Gorille Géant - Super Sayen 1 - Super Sayen 2 - Super Sayen 3
Age : 34 Date d'inscription : 12/08/2008 Nombre de messages : 22941Bon ou mauvais ? : Do you have the valor necessary to purge this realm of evil ? Zénies : 3610 Rang : -
Sujet: Re: Let me break you ~ [ PV. Motta ] Dim 25 Nov 2012 - 15:45
Si Motta pensait que son adversaire était limité en ressource, il se trompait lourdement sur son compte. Le maître vampire, appelé également l'ainé, n'est autre que la forme primaire des ascendants d'Hadès, autrement dit du Satan d'antan, le père de tous les démons. Le maître vampire détient quatre " forme ", bien que cela ne le change pas tant physiquement, on les désignes sous " forme " afin d'établir un panel de puissance. D'ailleurs, leur force réside dans les coups reçus. Tout ce qui ne tue pas le démon ne le rend inévitablement plus fort. C'est dans cette optique que le mécanisme de Claire est lui aussi constitué. En effet, les vampires ne sont pas des maître dans un art particulier, mais maîtrise un bon nombre de choses, comme l'hypnose, l'invisibilité, traverser des murs, se changer en animaux, brume, vapeur, pouvoir voir le jour aussi bien que la nuit, lire dans les pensées d'autrui, le temps s'adaptent également à leur humeur, par exemple et, surtout, ce sont d'excellente machine de guerre au corps à corps. Un coup de " patte " avec leurs énormes griffes lorsqu'ils sont transformé décapiteraient aisément n'importe quelle tête. On sentait que le monstre avait une aise déconcertante à se battre au combat rapproché, et visiblement, le sayen aussi, ce qui n'était pas très étonnant. Mais l'avantage de la bête résidait dans son apparence: il avait été conféctionné pour se battre au combat rapproché. Pas d'armure, non... pas de futilité ! Sa peau fait très bien office d'armure, les épées et les balles ? De la rigolade. Ses énormes ailes digne d'une gargouille, imposante, s'alliant parfaitement à la carrure de rugbyman de du démon, le protégeait tout aussi bien des offensives lancées à son égard. Il faut se méfier d'absolument tout chez ce spécimen: sa bouche armée de dents dépassant toute concurrence, des mains n'ayant même plus de doigts approprement dit, mais de longues griffes qu'il étend et rétracte à sa guise, des jambes longues et musclées, des cuisses en béton, des bras musclés à outrance – mais pas volumineux à la façon d'un adepte de gonflette – un torse composé de séries d'adbos parfaitement tracé et démarqué, et tout ça, recouvert par une épaisse couche de peau, brillante telle du minerai, aussi dur que la roche elle-même. Il était difficile de dire, dans la nuit, s'il s'agissait d'une immense statue éffrayante à l'éffigie d'un film d'horreur, ou d'un horrible monstre constituant la réalité. La plupart des gens préfèrent malheureusement la première réponse, et se font vite dévoré sans rien pouvoir faire.
Les offensives du démon, le sayen les avaient contrées. Il s'était d'ailleurs changer en SSJ1 durant l'attaque, afin d'élever son niveau, mais aussi par une certaine présence de faiblesse, puisqu'il savait qu'il finirait par s'épuiser en restant un niveau en dessous de celui-ci. Motta avait riposté de nombreuses fois aux coups qui lui avait été porté, envoyant des coups dans la figure, dans les côtes, autrement dit là où il était logique que ça fasse le plus mal. Mais comme un titan, même en se prennant certains coups, le monstre, tout sourire, ricanait quand ses os sous sa peau craquaient. Cela semblait étrangement le revigoré, plutôt que de l'affaiblir. Il était assez difficile de comprendre la nature de la souffrance d'un tel démon: né dans la souffrance, dans les flammes de l'enfer, ils ne craignent bien souvent pas ce qui est censé les atteindres physiquement, là réside justement leur force, comme stipulé ci-dessus. Cependant, même une antité possède un point faible. Les fragments d'âmes et de coeurs de Claire étant tous dispatché, conformément au rituel, dans chaque masques, ils restaient bien à l'abri, caché de tout regard, et cela était loin d'être une évidence même que son véritable point faible soit ceci. Les enchaînements du démon et du colonnel s'emboitèrent comme une évidence même, ils s'affrontaient sans vraiment donner d'issue au combat. Quand l'un bougeait le petit doigt, l'autre trouvait directement un contre, et bien souvent la téléportation était chez chacun d'eux leur mécanisme de défense. En effet, le dodompa que Motta avait projeter sur le vampire n'avait pas prit effet car celui-ci s'était directement téléporté sur le sayen pour l'empaler, le soulevant du sol. Le sayen avait eut un mouvement de recule, la monstruosité avait donc seulement qu'une partie de ses griffes plantés à travers l'armure du sayen, et une moindre partie dans sa peau à vif sous l'armure.
Finallement, son piège avait fonctionné. Le sayen avait marché dans le coup: il était évident qu'il n'allait pas se laisser empaler comme un idiot sans réagir. Après ses paroles, il placa ses mains contre le torse du titanesque monstre, à ce moment là le corps de l'antité brilla intensément – on aurait pu croire que c'était le Final Flash que venait de lancer le sayen qui donnait cet effet – mais en vérité, il venait d'activer son mécanisme de défense ultime, le chiageru taimu. Alors qu'il tenait fermement Motta contre lui, il s'avança d'un geste brusque, fonçant dans le final Flash et plantant ses griffes plus profondément à travers son armure et donc dans sa peau pour le tenir, alors que l'attaque du colonnel qui devait percuté de plein fouet le démon se retourna de façon immédiate contre lui ! Motta devait être cette fois bien amoché, se prendre sa propre pleine puissance en pleine face n'était pas vraiment une partie de plaisir, bien qu'il s'était changé en SSJ1, cela ne le sauverait certainement pas des dégâts causé par sa propre offensive, puisqu'il lui aurait été impossible de l'esquivé à cette distance. C'était soit lui soit le vampire, le choix avait été vite fait pour le monstre qui ne comptait pas non plus user trop vite sa régénération. Et ainsi, il pensait bien plus avoir atteint le sayen qu'il n'aurait pu le faire de lui même, car le colonnel savait ce qu'il faisait, sauf là, où il s'était visiblement fait avoir comme un bleu.
Ce renvoi d'attaque avait cependant annihiler complétement les deux bras du monstre, puisqu'il avait justement resséré son étreinte sur Motta à ce moment cruxial pour enfoncé ses énormes griffes profondément dans sa chaire. Il se retrouva propulsé par l'impact qu'avait causé le Final Flash contre son propre utilisateur, cela avait aussi bien brûler sa peau, aussi résistante soit-elle, il avait été tout de même juste à côté de l'impact, bien qu'il l'avait redirigé sur son lanceur. Cependant il semblerait que le sayen avait tout de même des ressources dans lesquelles il puissait régulièrement: il ne s'arrêtait pas, allant pour donner un puissant coup de pied au monstre qui se tordit complétement en deux en s'élançant vers l'arrière, une technique de contorsionniste bien plus impresionnante qu'on ne pourrait le croire, constitant à tordre son corps dans tous les sens possible afin d'esquiver les coups. Cependant le sayen s'était téléporté pour donner un coup dans le ventre du monstre qui lui permi de prendre assez d'élan pour sauter sur sa tête, le monstre bascula comme un pantin désarticulé pour que les pieds de l'opposant atterisent sur ses épaules plutôt que sur son crâne. Le colonnel se reposa ensuite au sol par la suite, continuant d'enchaîner, il lança des kienzan sur le démon, et se téléporta dérrière lui pour le pousser dedans. Heureusement pour lui, il se servit de son chien à six têtes qu'il fit apparaître de justesse devant lui pour se prendre l'impact en pleine figure. Le sayen était partit se cacher pendant l'impacte, pendant que le démon se régénérait: les brûlures disparaissaient, et les particules de ses bras se régénéraient d'abord lentement, puis de plus en plus vite.
Le colonnel réapparut quelque secondes après l'impact devant le monstre et enchaîna une multitude de coup de poings, que le monstre sans usage de bras esquiva tant bien que mal avec des mouvements souple vers l'arrière et sur les côtés, se prennant cependant certain coups dans les cotes qui lui fit cracher son sang noir et corrompu sur le sayen, alors que l'abomination continuait de sourire comme un sociopathe, ce qui pouvait soulever un certain énervement chez l'adversaire qui se faisait foutre de sa tronche en permanence. C'était certainement en partie pour déconcentré l'opposant, ce petit sourire narquois qui disait: " Quoi que tu tentes, je suis immortel, tu ne pourras jamais me tuer " exercant chez les plus faibles mentalement une énorme pression. Un kienzan fut lancer en direction du bras du monstre, mais comme ils n'étaient encore pas totalement régénéré et que ce n'était que des particules, il n'eut pas de mal à faire un large mouvement sur le côté gauche pour esquiver l'attaque. Le sayen s'élança sur le monstre, voulant attraper la partie du haut de son bras gauche qui était reconstitué pour lui mettre dans le dos, mais le démon déplia ses énormes ailes pour tenter de transpercer ce dernier: s'il tentait de l'enculé, il allait souffrir ! Cela avait visiblement résigner le sayen à aller plus loin dans son offensive. Il fallait dire que ses ailes de gargouilles était surplombées d'énormes griffes, et qu'il ne devait pas être agréable de se faire empaler par celles-ci.
Le colonnel préféra se téléporter dans les airs, armant cette fois un dodompa plutôt qu'un kienzan. Une énorme brume violette entoura le monstre: encore son énorme chien à six têtes, qui protegea son maître de l'impact. Le sayen s'était encore une fois téléporté à l'abris après ses attaques afin de pouvoir constater l'état de son opposant, sans aucun doute.
La vrai question maintenant était de se demander comment allait l'état de Motta, plutôt, qui s'était retrouvé penaud en ayant sa propre attaque retourné contre sa tronche !
- Tu sous-estime tes ennemis, colonel. Tu penses être supérieur parce que tu as la capacité de te transformé en super sayen et de troqué tes cheveux noir contre de l'or, mais ceci ne t'avantage pas forcément dans la situation actuelle... La voix douce de Claire résonnait comme un eccho, alors que c'était pourtant le monstre qui était là. Cela pouvait être complètement déconcertant d'entendre une telle voix d'ange sortir d'une monstruosité. Tu ne feras plus long feu, maintenant. Disait le monstre, un rictus déplaisant sur le visage. Je te conseil vivement d'en finir vite avec moi, je ne compte pas te laisser de chance de t'en sortir.
Les grandes ombres surplombées de masques, quant à elle, s'étaient dispersées et visiblement cachées dans les ombres de la forêt encore environnante pendant les offensives des deux personnes. Le monstre ne les faisaient sortir de l'ombre que quand il en aurait l'utilité imminente, mais pour le moment, il déplia ses ailes, tournant son regard vers là où s'était " caché " le sayen pour reprendre son souffle un instant, marchand alors dans cette direction doucement, comme s'il était sûr d'atteindre sa proie d'une manière ou d'un autre.