L'aventure commence ! [Libre]

"Waouh !" criais-je en m'envolant au-dessus de l'un de ces si grands et nombreux buldings.

Cela faisait maintenant trois mois que j’étais arrivé dans ce monde si différent et que j'avais découvert mes nouveaux pouvoirs. En parlant de pouvoirs, j'avais bien sûr gardé mes anciens pouvoirs que je n'avais malheureusement pas pu testé en combat réel pour l'instant. En effet, dès mon arrivée j'avais commencer l'entrainement afin de voir si j'étais toujours en forme. Bref, revenons à nos moutons. J'avais décidé il y a quelques jours d'aller voir la ville et m'y voici entrain de survoler les buldings. Ne me demandez surtout pas si je cherchais quelque chose car ça n'est pas le cas. Je m'amusais simplement en regardant les civils. Je regardais aussi les merveilles technologiques de cet endroit. Tout à coup, alors que je volais, j'aperçu du monde regrouper en un endroit. Je me posa alors au-dessus d'un petit bâtiment d'où je pouvais voir ce qu'il se passait. Des bras-de-fer organisés par deux charlatans. Les deux hommes se ressemblaient comme deux goûtes d'eaux. Ils avaient tous les deux un crane chauve, ils étaient très maigre et portaient un simple gilet marron ainsi qu'un jean bleu. L'un deux était debout faisant approché les gens alors que l'autre était assis et faisait les bras-de-fer. Je vis alors ce dernier battre plusieurs personnes jusqu'à ce qu'un gars très grand avec des cheveux noirs un bandana rouge et une tenue de combat noire face son apparition. Il paya alors l'un des deux frères charlatans puis fit le bras-de-fer qu'il gagna. D'un coup, le gars qui appâtait les gens leva son bras gauche puis deux gardes du corps bondirent sur le gars qui avait gagner. Ce dernier les attaqua alors tous les deux avec de simples coup de pied. Il regagna alors son argent ainsi qu'une somme de 700 zénis. Des zénis ? Sa doit être l'argent d'ici. Bref, les deux frères partirent alors laissant leur gardes du corps K.O sur place. Je les suivis alors jusqu'à ce qu'ils arrêtent de courir. Je sauta alors devant eux puis leva mon Zanpakuto jusqu'à ce qu'elle soit pile sous las gorge de l'un d'entre eux.

"T'es qui toi ?!" Dit celui qui n'avait pas mon arme sous la gorge.

"Peu importe ! J'ai vu ce qu'il s'est passé les gars et si vous voulez pas mourir tout les deux, dites-moi où on est et aussi, filez-moi un peu de fric. J'ai rien sur moi." Criais-je alors sur les deux idiots.

Celui qui n'avait pas mon arme sous la gorge vida alors ces poches. Je ramassa alors ce qui en tomba. 1000 zénis. J'enleva alors mon Zanpakuto de la gorge de l'un des deux frères puis les laissa filer. L'un d'entre eux me cria alors Satan-City. Je regarda alors autour de moi puis vis une multitude de personnes étonnées. Je continua alors d'explorer la ville. Je tomba alors sur un restaurant. Je voulus y entrer, mais la personne qui était devant l'entrée (surement un garde du corps) me dit de ne pas y entrer avec mon arme en main. Ne pouvant me séparer de mon Zanpakuto, au cas où quelqu'un m'attaquerai, je décida de recommencer à voler au-dessus des nombreux buldings de la ville.

Alors que je m’apprêtais à partir au loin en volant, j'entendis quelqu'un crier devant le restaurant.

"-Qui-es tu ? D'où viens tu ?"

Voyant qui avait dit ceci, je me posa au-dessus du restaurant qui était en face de lui et de celui avec qui il parlait. Il parlait d'ailleurs avec un blond un petit peu plus petit que moi. Il portait un haut jaune à manches courtes et un pantalon en cuir. Le gars qui avait fait le bras-de-fer lui demanda si il était avec "l'autre". Le petit blond lui dit alors de se calmer puis baissa la tête en disant tristement qu'il était malheureusement seul. Il dit alors à son interlocuteur de se présenter. Il lui dit ensuite directement qu'il avait faim et qu'il voulait qu'ils rentrent dans le restaurant. Avant qu'ils ne bougent, je lança mon Zanpakuto devant eux deux puis sauta à côté de cette dernière. Je la sortie alors du sol où elle était solidement encrée.

"Salut les gars ! Vous avez l'air de bien vous amusez non ? Je peux en être ?" Dis-je un sourire aux lèvres

J'attendis alors leur réponse en mettant mon Zanpakuto sur mon épaule.

Après mon entrée en scène très impressionnante, je vis la plupart des passant ainsi que les deux personnes à qui je parlais très étonnées. Le gars du bras-de-fer (comme j'adore l'appeler), me dit alors agressivement que je ne venais pas d'ici et que j'affolais tout le monde. Il demanda aussi ce que je faisais. Pourtant, ça se voyait bien. Je faisais une entrée spectaculaire afin de voir leurs réactions à tout les deux. Il me demanda ensuite de lui expliquer la raison de ma venue sur cette planète.

"Sa se vois non ? Je fais une entrée de malade ! Sinon, pour ta deuxième question, je ne sais pas moi-même ce que je fais ici. Je suis sûr d'une chose, je ne suis pas de ce monde." Dis-je tranquillement contrairement à la personne qui me parlait.

Après ma réponse, je vis le blond recula en agitant ses mains comme si il voulait nous calmer. Il nous demanda alors de nous calmer puis nous dis que si nous voulions nous battre, nous n'avions qu'à le faire dans une arène. Il nous dit aussi qu'il avait faim en se tenant le ventre. Il finit ensuite par complimenter mon arme. En entendant le compliment qu'il avait fait sur mon Zanpakuto, je fis un sourire en coin en disant.

"Merci pour le compliment sur mon Zanpakuto ! J'avoue qu'il est classe."

A la fin de ma phrase, un gargouillis se fit alors entendre. C'était mon ventre. Je mis alors ma main sur mon ventre à mon tour puis planta mon Zanpakuto au sol.

"Bon les gars, moi je vais aller manger j'ai faim. Surveillez mon arme pour moi en attendant s'il vous plaît." Dis-je alors en me dirigeant vers le restaurant en leur faisant un salut de la main.

Une fois que je fus entré dans le restaurant, je me mis à une table près de la fenêtre afin de pouvoir surveillé mon arme. Les deux gars ne voulaient pas surveillé mon arme. Lorsque le serveur arriva, je commanda un plat puis recommença à surveiller mon arme. A chaque fois que quelqu'un s'approchait trop de mon arme, je le fusillait du regard ou je sortais carrément du restaurant pour les éloignés. Au bout d'un moment, je vis plusieurs voitures de police qui se dirigeaient vers une une grande rue. Je retira alors mon Zanpakuto du sol, suivis l'une de leur voiture puis arriva devant une bijouterie. Les voitures étaient toutes regroupées devant la bijouterie. Les policiers étaient derrière ces dernières avec leurs armes et l'un d'entre eux possédait un mégaphone. Il semblait vouloir négocier avec les 4 braqueurs de bijouteries qui possédaient d'ailleurs quelques otages. Les braqueurs ne semblaient pas disposés à écouter et tirèrent même sur l'un des policiers qui tomba à terre. Deux policiers se rapprochèrent alors du blessé afin de voir les dégâts. D'après ces deux là, il venait de se prendrez une balle en plein estomac.

"Si vous nous laissez pas passer, les otages subiront tous le même sors. Je ne pense pas que vous voudriez courir ce risque..." Dit-il en visant l'un des otages qui était à terre et en souriant.

Les policiers posèrent alors tous leurs armes à terre laissant les quatre derniers hommes armés passer. Lorsqu'ils arrivèrent à côté de moi, l'un d'entre eux me regarda droit dans les yeux en me disant.

"Eh gamin, t'as pas compris ? Il faut lâcher ton jouet là."

Il essaya alors de prendre mon arme mais lorsqu'il fut arrivé à deux doigts de la touchée, je lui mis un coup dans le ventre avec la poignée de mon Zanpakuto. Il lâcha alors son arme.

"Qu'est-ce-que tu fais gamin ? Tu veux vraiment qu'ils meurent ?"

"Personne ne vas mourir là maintenant.... sauf peut-être vous !" Dis-je en bondissant sur leur chef.

Lorsque je fus arrivé devant lui, je mis ma main devant son visage. Très étonné, il tomba à terre, comme ça d'un coup. J’explosai alors de rire devant cette scène. L'un des deux voleurs qui restait commença alors à trembler de peur puis s’enfuit. Je le rattrapa alors puis lui donna un coup de poing dans le visage. Je le vis alors s'envoler jusqu'à s'écraser sur un bâtiment. Le dernier paniqua alors puis tira toutes ces balles sur moi. Je les renvoya toutes avec mon Zanpakuto. Il se livra alors de lui même. Les personnes qui avaient vus la scène me regardèrent alors tous étonnés. Je sauta alors de buldings en buldings jusqu'à arriver à l'endroit où les deux personnes à qui je parlais tout à l'heure étaient. Ils mangeaient des nouilles. Je souris alors puis sauta derrière eux.

"Dites les gars, vous sauriez pas où je pourrais trouver un adversaire à ma taille ?" Dis-je avec un grand sourire.

Je planta alors à nouveau mon épée dans le sol attendant leur réponse.

Après que j'ai demandé un adversaire à ma taille à ces deux gars, le gars au bandeau me dit que je possédais un niveau égal au leur. En entendant ceci, je me retint de répondre quelque chose de méchant. Comment pouvait-il savoir ça ? Il ne m'avait jamais vu à l’œuvre. Peut-être était-ce l'un de ces pouvoirs. Avant même que je ne puisse le lui demander, il me dit que je pouvais affronter Tidus. Je vis alors le blond qui s'étouffait presque avec ces nouilles. J'explosai alors littéralement de rire devant cette scène. Le dénommé Tidus cria alors sur son ami (je crois) que je n'avais qu'à choisir. J'entendis aussi d'autres choses mais je n'y fis pas très attention. Je posa alors mon arme au sol puis mis mon menton entre mon pouce et mon index. Je m'assis alors en tailleurs afin de réfléchir.

*J'ai déjà vu Kaaryz à l'action pendant un petit moment et il était plutôt pas mal mais ce n'était pas assez. Et pour Tidus hein ? Lui, il est comme moi. Il ne sait rien de comment il est arrivé ici et je ne l'ai pas encore vu à l'action. Kaaryz à l'air d'être d'ici lui. Il devrait connaitre un endroit de la ville où nous pourrions nous battre sans causer de lourds dégâts à l'entourage.*

Je me leva alors puis annonça le nom de mon adversaire.

"Tidus ! C'est toi que j'ai choisi ! Dis, Kaaryz, tu pourrais nous trouver un endroit de la ville où on pourrait se battre sans blesser quelqu'un ou faire de dégâts sur les bâtiments ?"

Je repris alors mon arme qui était au sol puis regarda le vendeur.

"M'sieur, on vous paiera plus tard si vous voulez bien."

"Comme vous voudrez jeunes gens !"

Je sortis alors de l'échoppe de nouilles attendant les deux guerriers.