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Sujet: Re: Au fond de la démence Sam 25 Fév 2017 - 19:42
Décidément, les rebondissements étaient monnaie courante ici ! Alors que le machin, qui avait été contaminé par Celerya -tout en l'ayant très bien accueilli,au passage-, avait inexplicablement gagné en vitesse pour la projeter sur la vague déferlante et s'en tirer plus ou moins bien, il sembla se passer quelque chose en cette dernière. Alors qu'elle était livide pendant un instant, elle envoya subitement son poing sur le visage de cet chose puis enchaîna sur une multitude d'autres coups. On aurait alors cru qu'elle avait eu une révélation. Cela se voyait à son expression qui semblait un peu apaisée. Elle se téléporta alors soudainement derrière Trunks et s'empara furtivement de son épée. Puis elle retomba dans une colère noire et se rua sur le reptilien. Chronoa, depuis Tokitoki, fut tout aussi surprise que son subordonné sur place : Celerya semblait avoir repris un alignement bon, mais se montrait encore génocidaire et impitoyable envers toute forme de mal ! *Cependant, cela veut dire que j'y suis presque !* Arrivant instantanément sur sa cible, Celerya utilisa une technique consistant à asséner un coup d'épée chargée en Ki. Elle s'en servit à deux reprises. Elle accordait donc une grande importance à l'extermination de l'insecte géant. Elle tenta donc de le trancher le plus possible. Trunks, trop concentré sur Celerya, ne prêtait guère attention à l'autre Saiyajin qui s'était incrusté avant de repartir en un instant, mis en déroute par Sano, qui venait de re-manifester sa présence.
"Celerya ! Non ! Maîtrise-toi, je t'en prie ! Tu y es presque ! Tu as recouvré tes esprits, n'est-ce pas ? Si tu veux vraiment tuer quelqu'un... Éradiquer quelqu'un... Tue l'autre ! Ainsi tu seras guérie par toi-même et tu n'auras plus à disputer l'emprise de ton corps avec ce sérum ! Allez, Celerya ! Courage ! Annihile cette autre conscience malsaine créée artificiellement par ce poison !"
Pourquoi Trunks n'agissait-il pas ? Pourquoi ne bougeait-il pas ? Parce qu'il avait réellement confiance en elle. Celerya était en mesure de se reprendre. Ses encouragements façon pouvoir de l'amitié fonctionnaient ! Bientôt, Celerya serait enfin libérée de ce fardeau et rejoindrait la Time Patrol !
[HRP : Post court désolé, j'avais pas grand-chose d'autre à dire.]
MαΓκ II
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Sujet: Re: Au fond de la démence Dim 26 Fév 2017 - 2:03
"Taper !!!"
Ouais donc tout allait bien : Je me suis pris un gentil gnon dans la face après avoir vu que je lui avais tiré le cheveux, car il y en avait plein dans ma main. Peut-être était-ce la source de ses mystérieux pouvoirs ? En tout cas, je m'étais fait reconstituer la face de façon structurellement rebondissante, avant de me faire enchaîner avec une rafale de coups de poing dans ma cage thoracique, ce qui eu pour effet de me couper le souffle, bien que je n'en avais pas nécessairement besoin. C'était une excellente question d'ailleurs, je devrais y réfléchir. Peut-être que si je retenais ma respiration, je n'aurais pas besoin de la reprendre à un moment ou à un autre. C'est le genre de questions qui me viennent quand je suis dans un état de douleur atroce. Je transmets l'électricité transmise par mes récepteurs à la douleur, et je l'envoie autre part. Vous devriez essayer, ça permet de se détendre, et d'éviter de souffrir, surtout. Ainsi, je n'ai aucun problème à me faire tabasser à Mach 80 par une aryenne de l'espace qui vient de sortir du salon de coiffure. Moi j'étais sur mon petit nuage, avec une gueule inexpressive. Puis, ça s'est arrêté. Sortant de ma rêverie, je me rendis compte que je m'étais fait enfoncé dans le sol. Je me relevai difficilement. Visiblement, pour que mes muscles soit fébriles comme ça, je m'étais pris une sacré patate. Genre une patate séchée sur le coin de la rue une fois qu'un troupeau de vaches l'ai écrasé. Une patate comme ça. Une fois correctement debout, je décidai, avec le total de mon cerveau, de lui gueuler dessus.
"Même pas mal !"
À ce moment, je sentis un truc dans ma gorge. Quelque chose qui remontait, accompagné de brûlures dans l’œsophage. J'étais en train de vomir quelque chose, comme un chat avec une boule de poile. Quelque chose de pointu, perpendiculaire à la paroi, qui était parfait pour rester le plus longtemps possible à l'intérieur ainsi que me pour me griffer au possible l'arrière-gorge. Et puis je l'ai craché par terre. Je le regardai. C'était une côte cassée, tachée de sang. Je la ramassai alors.
"Eh, mais c'est à moi, ça ! Bof, pas grave, ça repousse."
Je la jetai en arrière. Des types étaient en train de se casser la gueule en arrière plan, mais je n'y prêtais pas attention. Y'en avait un qui disait que je ressemblai à rien, mais au moment où j'allais rétorquer, il s'enfuit après s'être pris un poing dans la face de la part d'un autre type. Le moment inutile. Mais où était-elle, la buveuse menstruelle hystérique ? Je la vis bientôt, avec une épée qu'elle venait de voler au jeune gars qui me rappelait quelque chose. Mais c'était qui ce type déjà. Je réalisai bientôt que la gentille madame voulait me démanteler en tranche droites et fines afin de me vendre séparément, tout en gueulant comme l'autiste qu'elle était. J'activai, vous l'avez deviné, le Time-Skip, me permettant de sauter en arrière afin d'éviter la redoutable frappe dans tous les sens de façon ordonnée mais sans organisation, mais me forçant à me prendre une autre réparation ineffective dans la face. Je tentais de m'entraîner à économiser l'énergie que je dépensais avec ma carte de sortie de problèmes en tout genre.
"Celerya ! Non ! Pense au pouvoir de l'amitié ! Combats le sérum noir ! Tu as repris tes esprits un court instant blah blah blah..."
"Attends, c'est à cause de ce jus de prune qu'elle est autant vénère ? C'est pas parce que c'est son temps du mois ? Internet m'a menti..."
Je lui montrais mon bras où était le fameux "sérum noir", avec ma main vers le haut. Puis cette dernière se déboîta du poignet, ce que me força à l'agiter dans tous les sens afin de la remettre en place. Cela marcha au bout de trois secondes. Je puisai un instant dans ma mémoire, afin de me souvenir. C'est vrai qu'elle s'était un peu calmée après avoir subi une attaque de plein fouet. Et puis elle s'est de nouveau énervée. Un peu bipolaire sa meuf. Donc elle avait des problèmes parce qu'elle était trop conne pour boire son jus de raisin, et avait décidé de se l'injecter directement dans le sang. En gros, elle s'était refilée un Sida d'une minorité ethnique, et maintenant, vu qu'elle était raciste, elle cassait tout. Bref, elle a bouffé du goudron en kilolitres et elle rage parce que ça a pas bon goût... Pourquoi je me répète ?
"Eh, Trunks, elle s'est calmée une fois que tu l'as attaqué, donc faut lui casser la gueule et après tu la raisonneras. Si tu veux je lui aspirerais ce fameux "Sérum Noir". Ça a pas l'air de me faire de l'effet."
Sans le faire exprès, je lui avais dévoilé que je savais son nom, car je venais de m'en rappeler. C'était le gamin de Brief, que j'avais buté pour volé sa machine temporelle. J'espérais qu'il soit un minimum plus fort que la "dernière fois". Personnellement, je brandissais ma main vers le haut, paume vers le ciel, chargeant de l'énergie qui prenait une teinture rose. La Vanishing Ball, que j'avais hérité d'un certain Majin. Une technique très puissante. Bon, elle était peut-être un minimum beaucoup plus forte que moi. Mais ça voulait dire que si je lui absorbais son énergie, alors je deviendrais plus fort. Eh eh eh... Bref, si elle s'approchait de moi, j'arrêterais le temps, et je la laisserais entrer d'elle même dans mon attaque. Si elle tentait de m'attaquer, elle souffrirait d'une attaque d'énergie d'origine Majinesque sans pouvoir lever la main sur moi. En gros, elle se prendrait mon attaque dans la gueule sans pouvoir rétorquer. Ce qui veut dire... Qu'est-ce qui m'arrive, à la fin ?!
Celerya
Saiyan
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Sujet: Re: Au fond de la démence Lun 27 Fév 2017 - 0:15
Ces incompétents me faisaient bien rire, certains d'entre eux arrivaient en quête de challenge et d'autres fuyaient en découvrant l'étendue de ma toute puissance mais ou qu'il pouvaient être, ils avaient tout intérêt de rester à proximité car de toute façon j'allais tous les exterminer, cela n'était qu'une question de temps. Regardez moi ça, tout de même. Ses pitoyables êtres vivants redoutant la mort se dandinaient comme ils le pouvait pour continuer de faire battre leurs pauvres corps inutiles. Très franchement, j'en venais à penser qu'il fallait que je leur arrache les tripes pour qu'ils finissent par comprendre qu'ils n'en avaient aucunement besoin pour la destination que je leur réservais. Tous allaient goûter à l'enfer tel que moi je l'ai connu et ensuite je ravagerais le reste de cette planète pour parsemer de haine et de peine le reste de ce pathétique univers. Fuyez, hurlez tant que vous le pouvez encore car il ne me faudra pas beaucoup de temps avant que je ne déploie le fruit de ma frustration sur vos foyers et vos terres.
« Bon sang mais ils vont se taire, les demeurés ?! »m'écriais-je, agacée par leurs pathétiques paroles.
C'est sur qu'avec un garçon sorti de nulle-part et qui jacassait des paroles incohérentes sur la maîtrise de soi, je ne pouvais que me sentir irritée mais c'est bien cette chose à la sale gueule de criquet mutant qui m'avait au plus haut point énervée. Il disait sincèrement vouloir me « casser la gueule », juste comme ça ? J'avais bien l'intention de lui faire regretter ses propos démesurés envers ma personne ; jamais je ne me suis jamais senti aussi en colère et je n'étais pas la seule puis-ce que la seconde entité hurlais de plus en plus fort au fond de moi. De toute façon, j'allais les crever tous les deux et je m'en foutais pas mal si ceux d'en face ripostait ou pas car la seule chose qui comptait pour moi, c'était de savoir le nombre de cadavres que je pouvais entasser en la durée d'une journée.
« Allez, venez vous mesurer au pouvoir d'une véritable guerrière sayenne ! » lançais-je furieusement en reprenant mes forces.
Au fur et à mesure que que l'animosité me gagnait je sentais que je reprenais le contrôle sur l'autre. Si l'un de ces idiots pensaient réellement que des brèves mots perdus dans le vent allait m'affecter, alors il se trompait totalement. Ma soif de puissance nourrie le sérum qui s’empare de moi, cette enveloppe charnelle gagne en puissance au fur et à mesure qu'elle accumule les cadavres et je ne comptais pas laisser les premiers venus gâcher la joie que pouvait me procurer un tel foutoir, mon foutoir ! Cela faisait déjà un bon moment que j'avais perdu patience fasce à ses deux ahuris. Tandis que le plus grand de ceux qui restaient me balançait vulgairement une orbe énergétique de couleur rosâtre. Si j'avais eut encore assez d'énergie pour balancer une attaque aussi destructrice que les précédentes, je n'aurais pas eut de mal à désintégrer cet insecte disproportionné.
« Putain... »marmonnais-je en plaçant mes bras en avant afin de réceptionner l'attaque.
Il est vrai que j'aurais pu tenter la contre mais avec la réserve d'énergie qu'il me restait et mes dernières blessures, c'était complètement inutile de s'attarder sur un choix que je en pouvais réaliser. C'est donc sans attendre que j'ai pris mon destin entre mes mains et ait tenté bien que mal de renvoyer la balle à l'envoyeur... sauf qu'elle a explosée avant, me causant diverses brûlures tout en me décoiffant et on déchirant mon écharpe ainsi que que extrémités de mon sweet par la même occasion. Quel connard. Je n'aurais pas tardé à lui foncer dessus une nouvelle fois pour tenter de le retrancher à la manière d'un véritable boucher. Agitant ma lame dans tous les sens, je n'avais même pas remarqué que ma transformation avait cessé. J'avais certes perdue en vitesse mais je continuais tout de même de me ruer sur cet insecte qui avait eut l'audace de me menacer, évidemment c'était sans me rendre compte de ce que cela impliquait... et par ailleurs, c'était quoi ses marques noires qui le parsemait ? E rêvais ou alors le sérum noir était finalement entrain de faire effet ?
Sano
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Sujet: Re: Au fond de la démence Ven 3 Mar 2017 - 19:53
Le gars que j'avais attaqué c'était à peu près tout mangé dans la face. J'étais assez fier, alors comme ça je n'étais pas si faible que ça. Comme quoi on pouvait toujours trouver plus faible ou plus fort que soit, c'était assez particulier. Lorsque je lui envoya mon barrage de kikoha, il sortit une gigantesque épée, me renvoyant la plusieurs des kikoha que je lui avais envoyé. Ahaha. Pourquoi pas. Les kikoha se rejoignirent tous pour exploser, une explosion très puissante qui souleva un écran de fumé assez impressionnant et très puissant. Heureusement que j'étais partit de la en me téléportant au sol, les dégâts auraient pu être vraiment énorme. Du coin de l’œil j'aperçus mon adversaire fuir. Quel enfoiré. Il n'y avait presque plus personne, plus que le gentil aux cheveux bleus, l'insecte mutant et la folle dingue en pleine crise d'adolescence. Malgré l'accord qu'on avait passer ensemble, je ne pensais vraiment pas qu'elle me laisserait en vie lorsqu'elle aura détruit les deux autres. Non. Enfin c'est ce que j'aurais fais à sa place. Déployant mon aura rougeâtre, ce que j'allais faire allait être assez simple, je devais la détruire. Je me rua vers la sayen pendant qu’elle était en train de découper l'insecte géant en une ribambelle de morceau. Me téléportant au dessus d'elle, je me laissa retomber assez vite pour atterrir sur son dos à pieds joints pour essayer de l'immobiliser au sol. Si elle esquivait, mon coup créera un cratère avant de soulever un petit écran de fumé très stylé. Une fois ça fait, je m'envola à toute vitesse en direction du ciel, chargeant de l'énergie dans ma main droite pour envoyer une vague déferlante. L'attaque était assez violente même pour quelqu'un de son gabarit. Le sérum qui coulait dans mes veines et la fureur inexplicable qui me rongeait le cerveau étaient des power-up non négligeable. Mais elle était tout de même plus forte que moi, ce qui rendait assez aisée pour elle d'esquiver cette attaque ainsi que de la contrer si elle avait encore l'énergie de le faire. Une fois l'attaque lancée, je me dirigea en direction du guerrier aux cheveux bleus. Une fois arrivé à son niveau, un douleur lancinante me frappa en pleine tête. Mais qu'est-ce que c'était ? Que m'arrivait-il ?!
Trunks (Futur)
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Sujet: Re: Au fond de la démence Mer 8 Mar 2017 - 15:50
Le monstre avait mangé cher. Une fois à terre, il se releva difficilement avant de crier qu'il n'avait "même pas mal". Juste après avoir dit ça, il vomit une côte, ajoutant que ce n'était rien puisque cela repousserait plus tard. Amis de la poésie et du bon goût, bonjour. Par la suite et pour esquiver les coups d'épée de Celerya, il usa du même on-ne-savait-quoi qui le sauva une fois de plus même si cela semblait le fatiguer.
Lorsque Trunks reparla à Celerya, le monstre eut un éclair de génie. Il comprit enfin que Celerya était folle à cause du "jus de prune" qui était en elle (sans mauvais jeu de mots, merci). Il lui fit ensuite remarquer que Celerya reprenait ses esprits uniquement lorsqu'il l'atteignait avec une attaque. Mais bien sûr ! L'épéiste n'avait absolument pas remarqué cela, ainsi il sentait comme un véritable élan d'espoir en lui. S'il parvenait à mettre Celerya K.O., elle sera en mesure de se libérer ! Une chose clochait : Comment connaissait-il son nom ?
Dans le même instant, Chronoa expliqua à Trunks qui étaient Mark II et Sano en quelques phrases. Dès lors, Trunks comprit qu'il ne devait pas non plus lui faire confiance, et décida qu'il était préférable de s'occuper lui-même de Celerya seul plutôt qu'avec l'autre, qui préparait une boule de Ki rose devant une Saiyajin hystérique. Elle encaissa l'attaque et perdit sa transformation mais Trunks ne vit pas si elle avait aussi subi l'assaut du demi-Saiyajin contaminé. Le guerrier du futur sauta sur l'occasion de se ruer sur elle pour arrêter sa course d'un coup de pied dans le ventre puis pour reprendre son épée. Il aperçut alors une vague d'énergie de Sano qui arrivait droit sur eux mais Trunks la para avec un Galick Gun. On en dit pas plus, car on va pas vous refaire toute la description de la technique pour la troisième fois, quand même.
"Mark II, laisse-moi en finir, s'il te plaît, sans quoi je serai obligé de m'occuper maintenant de ton crime d'avoir voyagé dans le temps, sans parler de ma revanche personnelle, si tu vois ce que je veux dire."
C'était assez ridicule que Trunks désigne le voyage temporel comme un crime, venant de lui ! Mais il se rachetait en servant Chronoa, la Kaioshin du Temps ! Le guerrier aux cheveux bleus observa alors Sano arriver devant lui et s'arrêter à cause de ce qui semblait être un mal de tête. Trunks profita de cette faiblesse pour libérer son aura et foncer droit sur lui, en assénant une multitude de coups de poing et de pied. Il termina son combo sur un Final Flash. Les bras écartés, il chargea donc ses mains d'une énergie jaune, avant de "rassembler" ses mains droit devant lui et déchaîner la vague déferlante sur le contaminé. Cela devrait le calmer l'espace d'un petit instant.
Il revint alors à la charge sur Celerya, en envoyant un kikoha dessus au cas où elle aurait tenté quelque chose. Quoi qu'elle eut fait, il tenta aussi de l'enchaîner au corps-à-corps tout en restant prêt à anticiper Mark II.
MαΓκ II
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Sujet: Re: Au fond de la démence Jeu 9 Mar 2017 - 12:21
Je pense que je l'énerve un peu, vous trouvez pas ? Ouais donc, la rageuse après avoir dis plein de gros mots pas beaux s'était pris l'attaque de plein fouet, après une tentative foireuse qui a indubitablement foiré, s'est mangé ma boule rose destructrice en pleine face, lui mixant électriquement les cheveux, critiquant de façon physique son écharpe, et, bien entendu, lui faisant passer à un teint quelque peu cendré. La voila donc cramée, mais toujours debout, par la boule d'énergie. Mon plan de création de l'attaque puis de recul en arrière à travers l'arrêt fut donc une réussite aussi bien sur le plan de l'offense que sur le plan du cassage de pied de l'adversaire. Son tailleur allait pas être content, tout comme son coiffeur, car cette jolie brûlure venait de lui brunir les cheveux. Durant le Time-Skip, je fis quelque bonds en arrière. C'est à ce moment là que je vis, en arrière plan, un type ramener une urne à un autre, pour partir aussitôt. Celui qui avait gagné l'urne me regarda d'un air à me voler l'âme, avant de repartir dans le temple qui était en arrière plan depuis tout ce temps. Étrange personnage, me dis-je. Soudainement, je fus stoppé dans mon observation, par une douleur intense au niveau de mon bras. Par réflexe, j'usai de mon bouton de non-répercussion à mes erreurs, à fin de gueuler un bon coup à cause de la douleur tout en me tirant, pour me placer à coté du jeune à la coupe au bol. Une fois après avoir évacué la colère engendrée par mon mal, le temps s'arrêta. Je vis alors là où j'avais mal : Je n'avais plus de bras. Scrogneugneu, me dis-je, car un bras, ça restait important. La madame semblait avoir utilisé l'épée pour m'infliger ce mal. Aussitôt, je me pris une vague déferlante, dans le dos, qui m'envoya voler un peu plus loin. L'équivalent de se prendre une grosse vague dans la gueule. Après avoir ragé quelque dalles, je relevai la tête, difficilement, encore sonné. Et j'entendis une voix :
"Mark II, laisse-moi en finir, s'il te plaît, sans quoi je serai obligé de m'occuper maintenant de ton crime d'avoir voyagé dans le temps, sans parler de ma revanche personnelle, si tu vois ce que je veux dire."
"Non..."
Je compris vaguement qu'il savait mon nom. Tachant de me relever, avec un bras en moins, je fis pas moins de deux essais, chacun avec son lot de "ouille ouille ouille". J'avais quelque peu le vertige, la migraine, un trouble de la perception, un mal à la gorge, une douleur fantôme, une hémorragie, le choléra, la peste, le cancer, le sida, et une diabolo menthe. Peut-être pas tout, quand même, mais vous comprenez ce que je veux dire. J'avais vachement mal au bras, mais la flemme de réagir à cette douleur. J'étais vraiment, mais vraiment assommé par cette vague déferlante. Salopard de coup bas dans le dos. Je me serais fait un petit dodo sur place, personnellement. Je baillai alors, pour complimenter mes pensées. J'avais vaguement compris que coupe-au-bol voulais fracasser la gentille demoiselle, alors j'allais pas l'en empêcher. Je pris donc du recul, et m'assis en tailleur, loin de leur rencard quelque peu violent.
Tranquille dans mon coin, je vis que les alentours étaient quand même assez beaux. On était à coté de nuages, et je pris un peu de temps pour les observer. Je pris un peu de temps pour regarder mon bras. Il était coupé au niveau de l'avant-bras, et du sang noirci en dégoulinait un peu. J'aurais pu le faire repousser, mais j'avais la flemme. C'était l'équivalent pour moi de vouloir enlever un pansement pour laisser une blessure cicatriser, mais de ne pas vouloir de peur de souffrir à max dû à un potentiel arrache d'un max de poil. Oui, se repousser les membres faisait mal comme pas possible. Donc je dirigeais juste la douleur actuelle de mon bras vers un autre centre nerveux, celui de ma main désormais inexistante. Je n'ai jamais su comment ça avait marché, mais je n'avais plus mal à présent. Mais j'étais toujours un max crevé.
Soudainement, je sentis un boost. Une vague d'adrénaline. Toute ma fatigue venait de disparaître, et je savais pas pourquoi. Mon bras n'avait pas repoussé, non, mais il s'était arrêté de saigner. C'était déjà ça. Je vis alors que mes veines étaient noircies. Genre, vraiment noircies. On pouvait voir le noir à travers la peau, tellement c'était noirci. J'aurais été presque dégoûté si ça me plaisait pas de devenir encore plus flippant que je l'étais. J'eu un joli sourire à mes lèvres inexistantes. Un bec serait mieux pour désigner ce que j'usais comme bouche. Fin, j'étais content. Le goudron dégueulasse que l'autre filait aux gens à l'aide de ses dents était plutôt pas mal. Environ à ce moment, un type vint devant Trunks. Je crois qu'il était là depuis le début du combat, mais je sais pas vraiment. Il se tint la tête, ayant, visiblement, une douleur au niveau de l'instrument qui lui permettait de réfléchir et prendre des décisions. Il se fit casser la figure illico, d'après ce que j'ai vu, et il se pris une grosse vague d'énergie. Je me levai. S'il avait pu parer l'enchaînement, il n'aurait pas pu éviter de se prendre le gros rayon d'énergie dans sa tête.
Trunks partit se bastonner contre la fan de Linkin Park un peu cinglée, et il avait clairement dit que je ne devais pas venir l'aider. Bah j'allais l'écouter. J'activai alors mon Time-Skip, à la recherche du deuxième gars. Je le découvris bientôt, en position de faiblesse. Rendant au temps son cours normal, je plantai mon dard dans le dos du monsieur. Coupe-au-Bol allait certainement m'attaquer si je tuais ma victime, alors je me contentai d'aspirer juste tout le jus noir qu'il y avait, ainsi qu'un peu d'énergie, mais pas beaucoup. De quoi prendre de la puissance gratuitement. Normalement, il devrait au moins être assommé un petit moment le temps que son corps se réadapte au manque. Moi, en attendant, je regardais la scène de ménage entre les deux qui restent. Ma main traînait pas loin d'eux. Peut-être pouvais-je la recoller ?
"Casse-lui la gueule, Trunks !"
Celerya
Saiyan
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Sujet: Re: Au fond de la démence Dim 12 Mar 2017 - 0:59
Cet instant devenait incompréhensible et je perdais de petit à petit le fil de cette histoire insensée. Pourquoi es-ce que je me battais déjà ? Non, pourquoi j'étais là ? En sentant mes forces faiblir, je réalisais alors que la véritable difficulté ne venait non pas de mes ennemis mais de moi même. Il restait toujours une part de moi qui ne souhaitait pas aller au fond des choses. J'avais pourtant besoin d'exploiter la totalité du potentiel qui s'offrait à moi mais le désir de puissance de l'âme jumelle qui était en réalité mon hôte semblait s'estomper de petit petit. Pour être franche, je ne saisissais pas ce changement de comportement soudain chez la sayenne que j'habitais depuis déjà plusieurs années. Nous et nos semblables étions sensés être une race de combattant avide de puissance et c'est ce désir de puissance qui m'a permis jusque là de me manifester... si tu m'abandonnes maintenant Celerya, nous n'obtiendrons jamais la puissance que tu désirais tant pour protéger ton peuple, celui des sayens.
Il fut un temps ou je voulais devenir de plus en plus puissante afin de ne plus être traitée comme les faibles de basse caste que nous étions. Autrefois, tu m'as sauvée de ma faiblesse et m'a donné une toute nouvelle vie mais aujourd'hui, tu m'as transformée en monstre. Aveuglée par ce désir de puissance, je t'ai laissé carte blanche ne serait-ce qu'un dixième de seconde et tu t'es emparé de tout ce que je possédais, non... tout ce que nous possédions. Nous ne formons qu'un seul individu et pourtant tu t'es trahie toi même, autre moi. La substance que tu es ne t'a pas permise de réfléchir et de penser comme un être humain tel que moi. Nous avons des rêves, des espoirs et des sentiments mais toi tu n'as rien d'autre à désirer qu'une force aussi grande que ton ego sans limite. L'erreur de t'avoir plus ou moins laissé me contrôler m'aura au moins permise de savoir que l'héroïne que je souhaitais devenir n'était pas la personne qui désirait devenir plus forte à tout prix mais celle qui se battait pour protéger ses valeurs et ses bien.
Ne rejette pas la faute sur moi, c'est toi qui désirait ce pouvoir absolu. Je t'ai donnée la forme que tu désirais tant : celle que tout tes ennemis craindrait au point de se tétaniser au premier regard. Tu es devenue ce que tu souhaitais, le fléau de tes ennemis, la peur incarnée, l'incarnation de ta propre colère. J'ai longtemps puisé dans les ressources de ton corps pour dévoiler ton potentiel et mes semblables en feront de même avec tous les autres infectés. Je ne te parle pas seulement de l'autre individu et de la créature verdâtre mais aussi de tous les sujets du laboratoire. Bientôt, mon organisme prendra le dessus sur la totalité de vos capacités physiques, mentales et psychiques et nous deviendrons alors les êtres les plus puissants que l'Univers n'ai jamais connu. Lorsque nous atteindrons le stade final de notre évolution, nous ne formerons alors plus qu'une seule entité, celle qui ravagera les univers tout entier.
...et après ? Nous ne nous en sommes peut-être pas rendues compte jusqu'à maintenant mais notre petite dispute mentale nous a fait perdre à toutes les deux le contrôle de ce corps. Tu as peut-être réussie à garder ton individualité en tant que monstre biologique et corrupteur mais ton pouvoir a trop diminué pour que tu puisses de nouveau me contrôler. Tu pourras certainement m'infliger la migraine pendant quelques temps mais notre carnage va s'arrêter là. A cause de toi, j'ai détruis le monde que je voulais sauver et maintenant que le mal est fait tu oses encore déformer la réalité. Il est bientôt temps pour toi de disparaître avec toutes les illusions que tu nous a laissées percevoir sans oublier bien-sur tous les mauvais souvenirs que tu as semé sur ton sillage. D'innombrables innocents ont été tués à cause de nous et je ne pourrais pas l'oublier car c'est à cause de toi qu’aujourd’hui il me fait expier mes crimes.
Qu'est-ce que tu fais ?
Ce que je devais faire !
Après avoir reçu l'enchainnement de Trunks. Celerya est tombée inconsciente durant un cours instant. Celle-ci se réveilla peu de temps après sa chute et se releva en lançant à Trunk un regard battant. La jeune femme avançait difficilement ; non pas à cause de la douleur ma de la détermination défaillante qui gangrenait son esprit au point de remplacer ses horribles pulsions par un océan d'hésitation. Qui était-elle ? Que devait-elle faire ? La sayenne, bien que grandement blessée, elle saisissait encore la lame du guerrier du futur. Ses pas lents mais affirmés se dirigeaient toujours vers le héros venu d’ailleurs pour la sauver. Les tremblements du corps de la guerrière laissaient percevoir le doute ou plutôt la dispute entre deux âmes liées qui en pouvaient contrôler ensemble la même enveloppe charnelle. Au moment même ou la battante était parvenue jusqu' à l'emplacement du guerrier aux cheveux violacés, un son des plus soudains se fit entendre.
*SHLACK*
Spoiler:
La lame s'est enfoncée. Celle-ci ne s'était pas plantée dans la chair du combattant venu du futur, non. L'épée ne s'était pas non-plus incrustée dans les entrailles de la guerrière pour ceux qui pensaient déjà avoir compris la suite. Cette arme avait simplement été plantée dans le sol par celle qui la tenait en main. Dans un ultime effort, celle-ci a retrouvée sa raison et sa personnalité mais rien de tout cela ne pourra changer ce qu'elle a fait par le passé. Effondrée suite aux nombreux efforts physiques et mentaux qu'elle a dû endurer, la brune semblait être en totale incapacité de parler. La fatigue l'ayant gagnée, la guerrière empoisonné venait tout juste de tomber dans les bras de Morphée.
Tu as gagné aujourd'hui, Celerya mais sache que lorsque l'occasion se représentera, je n'hésiterais pas à m'emparer de toi !
Trunks (Futur)
Demi-Saiyan
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Sujet: Re: Au fond de la démence Dim 2 Avr 2017 - 10:32
Trunks, après avoir averti Mark II, ne prêtait plus aucune attention à ce dernier. Il se concentrait sur Celerya, qui était inconsciente. L'épéiste avait peur d'y être allé trop fort mais fut soulagé en la voyant se relever difficilement mais sûrement. En revanche, son regard battant le soulageait moins. Elle était certes lente, mais toute aussi résolue. Résolue à quoi ? Elle seule le savait. Le Super Saiyajin ne disait mot, attendant de voir ce qui se passait. Elle s'empara de son épée mais il ne fit rien, voyant qu'elle était toute tremblante. En effet, c'était instable là-dedans, elle s'était certainement "concertée" avec elle-même durant cette petite inconscience. Alors que Celerya se tenait plus ou moins droite devant Trunks, armée de la lame de celui-ci, un bruit très strident se fit soudainement entendre.
Ce bruit était du au choc de la lame contre.... Le "carrelage" du palais. Elle avait planté son épée dans le sol droit devant elle. Cela pouvait paraître ridicule, inutile, mais le guerrier du futur comprit que Celerya avait recouvré ses esprits : elle avait su, pour l'instant, dompter le sérum, et contrôler parfaitement ses coups. En effet, l'épée étant une arme létale, si Celerya décidait de ne rien en faire même après une telle occasion, c'est que la mission du demi-Saiyajin était un succès. Ne pouvant plus soutenir son immense épuisement dû à ses multiples combats physiques (surtout celui-ci) mais aussi mentaux (comme à l'instant), Celerya s'écroula de fatigue, aussitôt endormie. Trunks rengaina son épée, puis la souleva afin de la porter dans ses bras.
"Mark II, je fermerai les yeux sur ton cas parce que je n'ai pas le temps de faire des heures supplémentaires dans cette mission, mais tu ferais mieux de rester dans le calme si tu ne veux pas qu'on en vienne à nous parler de toi."
Il regarda alors le ciel.
"Ça y est, Chronoa-sama, l'attente fut longue, mais... Celerya a pour le moment recouvré ses esprits ET pourra nous rejoindre ! Pouvez-vous nous ramener à Tokitoki ?"
Sur ces mots, une lumière blanche les entourait, puis ils disparurent.
MαΓκ II
Autres Races
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Sujet: Re: Au fond de la démence Lun 3 Avr 2017 - 15:23
"Mark II, je fermerai les yeux sur ton cas parce que je n'ai pas le temps de faire des heures supplémentaires dans cette mission, mais tu ferais mieux de rester dans le calme si tu ne veux pas qu'on en vienne à nous parler de toi." ...
"Quoi ?"
Faisceau magique de lumière lumineuse. Et voilà Trunks et son futur fuckbag de partis. Et moi, j'avais des vertiges. Bah oui, Fred, quand on a perdu un membre, on perd du sang, et sans sang, on perd la boule. Ah, et il restait l'autre gars, toujours par terre. Je regardai vite fait les environs, et lui mis un coup de pied dans les côtes, histoire qu'il reste assommé un petit peu plus de temps. C'est en le tabassant que je vis alors la mare de noir qui entourait le type par terre. Pas son sang, non, non. Lui était vivant. Je crois. Mais moi, j'avais perdu de l'hémoglobine. Et c'est pour ça, que je voyais mal, et que j'entendais mal. Très bien. Mon bras était au sol, non loin de là. Je titubais pour aller le reprendre. Je me cassai la gueule au moins deux fois. Et puis, au bout d'un moment, j'atteins le membre. Je me le replace, difficilement : ça glisse beaucoup trop. Puis à un moment, j'arrive à le caler correctement. J'attends quelques secondes, et bim ! C'est recollé, réparé, et repoussé ! Je me lève, pour observer les environs, mais la perte de sang est trop importante. Je me casse la figure, encore une fois. Comment je vais faire pour me tirer de cet endroit ?
Dans un éclair de génie, je décide de rouler sur le coté. Je roule donc, de façon gracieuse et élancée, une épaule après l'autre. Je peux apercevoir, dans ma manœuvre, un jeune Namek me regarder tristement, avec une forme de pitié, alors qu'un individu aux yeux ronds et la peau noire cendre est en train d'enchaîner les rails de farine à coté de lui. Ce Namek doit avoir une triste vie. Je continuai à réfléchir au moment où j'atteins le bord de la plateforme, puis le vide. J'entamai une chute libre d'une plate-forme située très très haut dans le ciel, avec comme destination le sol. Mais j'avais survécu à pire. Je veux dire, je m'étais pris une épée dans la tête avant de finir dans cette ligne temporelle, et la machine que j'avais utilisé était apparue depuis l'espace. J'avais fais un crash plus gros que celui dont j'allais souffrir à présent. Heureusement que je suis capable de résister à tout. Ah ah ah !
Me voilà donc en train de me régénérer tout en attendant l’atterrissage brutal et incongru qui allait certainement me remodeler quelque peu. Quelle ne fut pas ma surprise si celui-ci se produisit plus tôt que prévu : En effet, je me suis pris un avion en pleine tête. Je passai à travers le cockpit, la porte séparant la cabine de pilotage au reste des passagers, une hôtesse de l'air malchanceuse, pour me retrouve au fond de l'avion, lâchant un "ouch". Je regardai vaguement les environs, plein de gens terrifiés, qui paniquaient. Sauf pour un groupe de types en costumes-cravate. L'un d'entre eux, ignorant toute dépressurisation de l'air, ou même tout ce qui se passait, en fait, vint vers moi.
"Vous êtes inscrit au tournoi de Dösatz. Félicitations. Nous allons vous demander de vous rendre sur la planète immédiatement. Gloire et fortune sont à la clé."
Puis il ouvrit une porte, et sauta de l'avion, accompagné de ces potes. Je ne compris pas grand chose. Enfin... Gloire et Fortune ? Chic ! Je vais faire enfin parler de moi. Un tournoi, donc ? Sur Dösatz ? Cela voudrait donc dire que j'avais à tabasser plusieurs con, et je pourrais enfin être craint. Genre, je casse la gueule à tous leurs champions, tous leurs superhéros. Tout ce que des gens ont usé comme sécurité. Leurs protecteurs, leurs idoles, leurs objets de fantasmes, tous vaincus par moi. Tout le monde aurait peur de moi. Et donc tout le monde me connaitrait. Tout le monde saurait qui je suis. Nice.
Mon fil de pensées s'arrêta court lorsque l'avion se crasha sur le sol. Je fus propulsé de nouveau à travers la porte, la vitre, pour rouler sur au moins 20 mètres. Me relevant, je remarquai que j'étais devant une base de lancement. On dirait que tout était déjà écrit à l'avance.