| | Age : 26 Date d'inscription : 25/06/2014 Nombre de messages : 16428 Bon ou mauvais ? : neutre Zénies : 4870 Rang : Z TechniquesTechniques illimitées : Vague explosive/Javelot d'energie/Déplacement instantanéTechniques 3/combat : Super canon garric/Cœur ArdentTechniques 1/combat : Big bang attack
| Sujet: Grandeur nature [LIBRE] Mar 25 Sep 2018 - 23:44 Dans ses nombreuses aventures, Pythar avait eu l’occasion de visiter plusieurs mondes en solitaire ou bien même avec certains de ses amis, ces petites aventures survenaient l’espace de quelques jours entre deux rencontres, deux combats, s’était un bon moyen de s’échapper de la routine. Depuis la capture du laboratoire de Kyouma, le saiyan au bouc ayant découvert les prothéens s’était intéressé à l’exploration spatiale dans le but de découvrir plus d’espèces inédites, mais aussi potentiellement de menaces, de secret, c’était simplement l’appel de l’aventure. Tenace et déterminé comme il était, le fils de Thalès n’avait pas besoin de beaucoup plus de raisons pour se lancer à grand coup de capsules dans les confins du cosmos, son regard se perdant dans les étoiles alors qu’il rentrait des coordonnées situées au-delà de l’univers connu. Bien que le matériel des guerriers de l’espace était performant, manufacturé par des années d’échanges technologique, le voyage était long, plusieurs jours étaient nécessaires au Roi pour atteindre la destination quelque peu aléatoire qu’il convoitait. Sa cible ? Une lointaine planète sans civilisation apparente malgré son abondance en ressource, il était assez étonnant de trouver des planètes aussi prometteuses sans vie « intelligente », peut être que l’espèce dominante y était éteinte, ou bien que la nature avait simplement décidée de ne pas jouer la course à l’armement neurologique sur son propre sol. En tout cas le Dyarque avait l’esprit curieux, bien décidé à explorer ce petit monde, sa dernière balade dans l’espace remontant bien de l’époque ou il voyageait avec Vegeta, le prince des guerriers de l’espace. Pour passer le temps durant le voyage, comme dans toutes les capsules, l’utilisateur était en cryostase, ainsi le trajet ne parut être que quelques heures pour l’ami de Sharotto : En réalité il avait dormi quelques 12 jours. Mais sans trop s’en rendre compte, Pythar repris ses esprits, la capsule avait mis fin à l’hibernation artificielle, laissant au saiyan le soin de découvrir l’environnement qu’il allait convoiter. - Spoiler:
La grande planète en question était verdoyante, sans doute en liant avec sa luxueuse végétation, les forêts semblaient faire la loi sur ce monde inconnu de l’homme de Yuno, une petite lune naturelle se présentait aussi à la vue du guerrier, elle semblait aussi abriter la vie. En un rien de temps, la capsule du saiyan fut visible dans le ciel par toutes les espèces vivantes assez perspicace pour le comprendre, le vaisseau de l’ami de Charlo heurta le sol quelques secondes plus tard. L’impact au sol fut violent pour le sol boueux de la planète verte, provoquant une onde de choc ravageant quelques buissons et arbres alentours tout en créant un petit cratère dans une bruit détonnant, les oiseaux s’envolaient de terreur face à l’arrivée du premier colon. Mettant un pied dehors après s’être assuré que l’atmosphère était viable, Pythar sortait souriant de sa capsule, portant son armure royale sans cape ainsi que son fidèle détecteur rouge. Autour se trouvait une végétation très avancée comme s’en doutait le fils de Thalès, ce dernier fit quelques pas en fermant préalablement son véhicule, traversant quelques décors très similaires à ceux des autres planètes tropicales. Pendant qu’il se déplaçait, le saiyan maintenant ses sens en alerte, sentant plusieurs forces autour de lui, c’était sans doute des indigènes locaux ou des cousins des fameux dinosaures, rien de bien dangereux, mais la prudence et toujours de mise. Continuant sa marche, le Dyarque fut rapidement interpelé par les bruits ambiants, plusieurs cris plus ou moins stridents et des silhouettes se déplaçant dans les buissons : Pythar savait qu’il était le centre d’attention de toute la jungle, au moins cents yeux devaient l’observer et sa perception énergétique ne le contredisait pas. Puis soudain, un petit hurlement retenti dans le dos du père de famille, se retournant immédiatement, le Roi fut confronté à un authentique raptor, ce dernier semblait accompagné de deux semblables et ils se ruaient à trois vers Pythar. Mais le saiyan n’était clairement pas impressionné par trois créatures aussi faiblardes, elles ne risquaient pas de lui faire de mal et en prévention il tira un kikoha aveuglant du creux de sa main droite tendue vers les attaquants, les faisant fuir de peur sous l’étonnement de la technique. La mise en déroute des trois dinosaures faites, le Z-Warrior n’avait plus qu’a se mettre à la recherche d’un temple, d’une ruine ou d’une espèce dominante dangereuse, poursuivant sa marche vers de petits sommets proches. Dans une telle végétation, il était de bon ton d’observer les environs depuis un point en hauteur, l’homme au bouc voulait éviter de se faire remarquer davantage en flottant dans les airs ; Sa capsule avait déjà fait suffisamment de bruit, autant ne pas en rajouter. "Bon, ce n'est pas si mal."
| | Age : 38 Date d'inscription : 24/09/2018 Nombre de messages : 10 Rang : -
| Sujet: Re: Grandeur nature [LIBRE] Mer 26 Sep 2018 - 12:10 Bonheur… ivresse… chasse. La meute bouge autour de moi, je peux sentir leur présence, plus que de voir le bruit de leur mouvement. Chacun connaît sa place, son devoir, sa mission. Je bouge à l’unisson avec les miens, mes mains agrippent au dernier instant une branche, alors que je m’y hisse a la force d’un bras sans mal. Mon muscle se tord, se contracte, puis me porte, laissant mon second bras libre pour maintenir la lance dans mon autre main. Mes pieds touchent rapidement le bois rugueux et humide, couvert par endroit de mousse glissante. Le crépitement des insectes minuscules en fuite s’harmonise à celui du bois gémissant sous mon poids ou celui de mes frères.Odeur… âcre… Connais… L’odeur qui se porte violemment à mes narines me retourne presque l'estomac, elle rappelle celle d’une proie les entrailles mises à nue pendant plusieurs jours. La fleur qui la dégage est grande et a l’avantage d’attirer certains prédateurs préférant les proies putréfiées à celles encore fraîches. Un grognement rauque jaillit du fond de ma gorge, suivit par plusieurs semblables tout aussi discrets. Nous savons où chasser, et surtout, ce soir, nous mangerons. Je me tasse sur moi même et prend de l’élan pour effectuer un puissant saut dans le vide. Ma main, comme par instinct, se referme sur une liane, et je m’y laisse pendre et porter en toute confiance. Quand je sens qu’elle arrive à la fin de sa possibilité de rotation, je ramène mes jambes contre mon corps, mes orteils s’enroulant autour de l’objet végétal, pour me permettre de me propulser plus loin. Une nouvelle fois, je peux sentir l’air caresser mon visage, mon cœur battre d’excitation à l’idée de la proie qui nous attend, et enfin, mes pieds touche à nouveau une écorce rêche. Sans un arrêt, sans un doute, en total harmonie avec mon environnement, je m’élance en une course particulièrement silencieuse au sein de la jungle… dans MON foyer. Foyer perturbé par un bruit puissant que je ne connais pas.Bruit… nouveau… Danger! Je m'arrête net alors que la jungle s’ébranle sous la puissance du son. Non, pas du bruit, mais DES bruits. L’énorme gémissement, suivi par les cris de panique, de colère ou se provocation des autres habitants de la flore. Un grognement à ma droite attire mon attention. Mahu, mon second, me demande par ce simple geste si nous devons aller voir. Le choix me revient... Ma main se tend vers lui, qui se plie et tasse sur lui même pour glisser le haut de son faciès sous ma paume calleuse. Le contacte rugueux de sa chair fripée, devient un plaisir alors que son pelage chaud et épais me laisse enfouir mes doigts dedans. Je grogne, puis gémit deux fois, avant de me détourner de notre lieu de chasse surement déserté. Inutile de perdre notre temps à tenter de suivre une proie déjà en fuite avant même que nous ayons eu le temps de nous placer. Aucun de nous ne dépasse les deux mètres, ce qui sans cette jungle aux proportions titanesques est pratique pour se déplacer furtivement, mais pas pour attaquer de manière stupide. Moins efficace encore de courir après une créature de plus de dix mètres qui fuit sous la peur…Curieux… intrus… territoire… défendre! Je relâche mon frère de lait et sans même un geste dans sa direction, reprends mon chemin en sens inverse. L’immense impact m’a offert une vue de la forêt que je n’aurais sans doute jamais pu avoir par moi même. Comment expliquer… c’est comme si à partir de l’épicentre, la vague s’en suivant me dévoilait dans un étrange ballet d’ombre et de lumière les formes de tout ce qui se trouve sur son raz-de-marrée. Habituée à avoir peu de temps entre chaque son pour mémoriser mon environnement. Me laissant guider par ma mémoire vers le lieux du ‘’combat’’ entre deux créature sans doute monstrueuse, je me grise de l’odeur humide et végétal qui emplit mes poumons. Puis, l’odeur change.Chaleur… Brûlure… Fumée... Le ki autour de la chose chaude semble éteint… et quand mes pieds foulent le sol couvert de terre et de cendre, je m'accroupis à nouveau sur moi même. Mes doigts s’enfouissent dans la terre retournée alors que j’approche de l’objet et à son contact, couine. La chaleur brûle, le bout des doigts de ma main gauche m’élance doucement alors que je m’écarte de l’objet… non sans avoir frapper ce dernier de ma lance. Ce n’est pas un animal… c’est… un quelque chose… dangereux. Je reste à distance raisonnable de la capsule, jusqu'à ce qu’un bruit gutturale d’une sœur m’informe qu’elle a trouvée une piste. Je délaisse l’objet chaud, pour la rejoindre.Piste… proie… chasse! Je m’élance, suivie de près par les bruits de mouvements de mes frères et sœurs. C’est sans mal que je rejoins les cimes. Une fois en hauteur, il n’est pas difficile de suivre l’aura de l’intrus. Il est petit, comme moi et mon clan… et ne marche que sur deux pattes. Silencieusement, nous nous déplaçons avec lenteur, alors que d’un simple claquement de langue, je fais comprendre aux miens que je peux le traquer seule, les laissant ainsi libre de chasser une autre proie. Il n’y aurait pas assez de viande sur ce truc pour toute la meute de toute façon.Suivre… Silence… Intriguée... J’évolue avec souplesse et dans un silence quasi parfait, les bruits naturels de la jungle couvrant mes mouvements. J’avoue, être à présent seule me laisse libre de laisser ma curiosité naturelle s’exprimer. Je suis loin de me douter qu’il peut aisément savoir où je me trouve par la simple lecture du ki… puisque qu’ici, il n’y a que moi pour voir et sentir les choses de cette façon.Quoi qu’il en soit, je continue de suivre le son régulier de ses pas. Il repousse la végétation, l’écarte et sa mobilité me semble quelque peu maladroite. Il fait tellement de bruit… pourtant, la plupart des créature de la jungle l’observe, le mesure, le soupèse. Il est donc dangereux… une proie difficile. Tant mieux… Mais le suivre ainsi, durant de longue minutes, puis heure, me semble être pour le moment le meilleur moyen d’en apprendre plus sur la meilleur technique pour le chasser.Changement… Bruit… Zone sombre… Finalement le bruit de son pas change et le ki environnant me semble moindre et plus difficile à percevoir. Je suis obligée de quitter les hauteurs pour rejoindre le sol, prenant mes précautions pour ne pas être prise en chasse par une autre créature. Mes pieds touche une roche plate étrange… non lisse, mais plate… Je m’accroupie sur moi même et pose ma main sur la pierre, la touchant avant d’avancer lentement à quatre patte. L’air frais fait place lentement à une absence d’air… enfin pas tout à fait, l’air viens derrière moi. L’air est moite, humide et poussiéreuse, une odeur de renfermé m’agresse les narines, voir même de moisissure. Je 'avance un peu plus profondément dans le couloir, jusqu’à sentir e sol se dérober en partie sous mes pied. Couinant, je me raccroche au bord et me hisse rapidement, ma lance ayant sombré dans le troue. Le bruit se répercute dans sa chute et m'apprend que le fond est loin et tapissé de pieux...Peur... Je souffle et me tourne, prête a continuer mon chemin pour retrouver ma proie. | | Age : 26 Date d'inscription : 25/06/2014 Nombre de messages : 16428 Bon ou mauvais ? : neutre Zénies : 4870 Rang : Z TechniquesTechniques illimitées : Vague explosive/Javelot d'energie/Déplacement instantanéTechniques 3/combat : Super canon garric/Cœur ArdentTechniques 1/combat : Big bang attack
| Sujet: Re: Grandeur nature [LIBRE] Jeu 27 Sep 2018 - 21:10 L'explorateur du jour traversait la verdure luxuriante de la planète sans nom, cette dernière n'était définie que par le vert irlandais de cette même nature qui s'imposait au-delà de l'atmosphère. Toujours guidé par son instinct d'aventure, le guerrier de l'espace suivait le cours d'une petite rivière ruisselant sur plusieurs kilomètres de jungle, permettant au Roi de se déplacer sans trop naviguer entre les buissons de plusieurs mètres de hauts ou les mangroves géantes de cette zone humide. Toujours sur ses gardes à l'audition de bruits de pas lourds et distincts, le Dyarque se doutait de la présence de surperPrédateurs qui n'enviaient en rien les ridicules raptors rencontrés précédemment ; Si Pythar était fort, il n'en demeurait pas pour autant invincible et n'avait aucune idée des capacités des créatures peuplant cet environnement aussi immense qu'imprévisible. Chanceux de par sa proximité avec la rivière, le fils de Thalès avait une vue directe sur le ciel, le soleil frappant son visage et réchauffant son armure qui devenait bien difficile à porter, inhabitué aux températures tropicales, le pauvre guerrier était en sueur. Ce facteur n'était pas anodin dans un tel piège vivant, le saiyan était maintenant odorant pour les plus gros prédateurs, lui qui voulait se déplacer discrètement, c'était perdu. Dans sa progression, l'ami de Tentra gardait l'oeil vif, à la recherche d'une trace de civilisation, une structure, un monstre géant, quoi que ce soit pouvant susciter son intérêt en priant pour que ce ne soit pas un groupe de robots géants. Au fil de quelques autres minutes de marche, Pythar discerna une construction non-naturelle au bord de la rive, cette dernière était couverte de liane et de buissons, néanmoins, l'on pouvait clairement y reconnaitre les murs droits et les formes géométriques prévisibles d'une structure Humaine. Cet élément cassant les rondeurs du décor semblait n'être qu'une ruine, en s'approchant l'air curieux, le Roi constatait qu'il ne s'agissait pas d'un bâtiment mais de la base d’un gigantesque pilier s'étant surement écroulée des siècles auparavant. Le pilier, du moins ce qu'il en restait été haute de 4 mètres pour une largeur d'environ 8 mètres, il ne restait que la base de ce dernier ; En grattant la verdure parasite collée à la pierre, Pythar découvrit que la matière de ce pilier était une sorte de marbre sombre, solide et d'un charbon assez clair. L'homme de Yuno était intrigué, il y avait donc un peuple ici avant, mais si ce dernier n'était pas répertorié dans les bases de données de Vegeta, s'était surement un problème d'époque : Cette civilisation était sans doute très ancienne et éteinte depuis plusieurs centaines d'années. En scrutant les alentours, L'homme en armure constata la véracité de son hypothèse, le reste du gigantesque pilier trônait sur le chemin de la rivière, les débris tous couverts de mousses comme la base. Cette petite découverte intriguait le guerrier légendaire de l'espace, peut-être y avait-il quelque chose d'autre sur cette planète, voire de proche ; S’il y avait un pilier effondré reconnaissable, d'autres constructions avaient elles aussi surement survenues, cependant, rien ne semblait réellement visible depuis l'espace. En se grattant longuement le menton, Pythar se rendit alors compte qu'il était probable que les bâtiments soient sous terrain, il devait donc y avoir un passage, cependant, il ne semblait pas être autour de la colonne. Remis en route, avançant en longeant la rive, écoutant le bruit des insectes et oiseaux, le saiyan se rendait compte qu'il avait baissé sa garde : Pendant son analyse de la ruine, il aurait très bien pu être attaqué, fort heureusement, il n'avait pas été victime d'une attaque, sans doute par sa proximité de la rivière qui devait naturellement rebouter les petits prédateurs ne pouvant pas nager. Progressant davantage dans la jungle, le saiyan croisa donc comme prévu d'autres structures sans intérêt, arrivant finalement près d'un petit bâtiment rectangulaire aux angles droits malgré l'âge, ce dernier semblait avoir une porte d'entrée de taille humaine, aucune fenêtre, noir, couvert de mousse comme le reste. Aucune porte ne semblait protéger le domaine, l'on pouvait immédiatement rentrer à l'intérieur, ce dernier ne semblait d'ailleurs pas avoir été fréquemment visité, les murs étaient en on était, peu de verdure hors de l'entrée, juste des couloirs sombres qui semblaient se perdre dans une rampe descendante. Sur les parois des passages de deux mètres, des inscriptions et des symboles aux origines toutes à fait mystérieuses gravés dans la roche. Il semblait aussi y avoir des renfoncements dans les murs, sans doute d'antiques portes mais qu'importe, le guerrier allait simplement suivre l'un des chemins le menant sous terre, Pythar ne craignait pas un éboulement, en plusieurs siècles la structure semblait merveilleusement bien conservée. En marchant vers les profondeurs, le Dyarque s'interrogeait sur les anciens habitants de cette planète : Était-ce les prothéens ? Ou bien un vieux clan Namek ? Pour le moment c'était difficile à dire, ce n'était pas le style architectural des Nameks, et Pythar ne connaissait pas grand-chose des Prothéens et ferait mieux de se renseigner. Quelques minutes plus tard, Pythar pénétra dans une grande salle, un hall gigantesque, plusieurs colonnes s'élevaient vers un plafond situé 15 mètres plus haut, toutes les formes géométriques étaient droites, pas un rond, pas l'ombre d'un cercle, aucune sphère. La mousse ne semblait pas s'être invitée dans les profondeurs, éclairé par une boule de ki d'argent flottant dans les airs, Pythar découvrait un hall intégralement vide, surdimensionnée par rapport à la taille des couloirs. Au sol, des lignes gravées dans la roche se rejoignaient plus loin, au-delà de ce que les yeux du saiyan pouvaient voir dans l'obscurité ambiante, même avec son sommaire éclairage magique. S’avançant donc d’avantage vers le point de convergence des lignes gravés au sol, le saiyan fut nez à nez avec un socle de petite taille à un mètre de hauteur constitué de la même matière que les parois précédentes, sur ce socle se trouvait un drôle d’objet sphérique doré. Ce dernier était le seul qui brisait le terne fade des nuances de charbon des autres murs, une sorte d’artefact qui semblait bien innocent. Pendant ce temps, dans l’espace, une autre capsule se dirigeait vers la planète, c’était la capsule d’un autre guerrier de l’espace sans nul doute, cependant elle n’était en rien répertoriée dans les bases de données du gouvernement de Vegeta, qui était-ce donc ? Le bruit de l’impact n’était qu’a quelques kilomètres du lieu enfoui dans lequel s’étaient perdus les deux saiyans. Dans la structure souterraine, quelques vibrations pouvaient avertir les deux protagonistes, Pythar n’en pris pas compte, loin d’avoir les capacités de sentir de telles choses. Fixant toujours innocemment la pomme d’or. Maintenant dehors, l’être observait le ciel, levant son bras gauche, paume ouverte vers le ciel. - Spoiler:
« Voilà une superbe planète à purifier ! »
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| Sujet: Re: Grandeur nature [LIBRE] Lun 1 Oct 2018 - 20:10 Chasse… Recherche… Odeur… L’odeur me guide plus que les bruits. Sueur, il a chaud… quoi de plus normal. Je me déplace avec une lenteur mesurée, claquant de ma langue sur mon palais quand le besoin s’en fait sentir. J’appréhende ainsi un peu mieux le long couloir qui me conduit à une immense … ouverture. Je me tais et me tasse, une sorte de boule de ki me perturbe alors que je me glisse doucement vers un pilier, m’y hissant doucement pour mieux observer. Je penche la tête sur le côté, la pierre humide me semble particulièrement lisse sous mes doigts et mes pieds, ayant fortement du mal me maintenir en place, je fini par me laisser tomber au sol. Silencieuse, mes mains rejoignent elle aussi le sol alors que mes genoux se plient pour me laisser avoir une posture plus proche de la chose plate sur laquelle j’évolue à présent. Curieuse… inconnus… approche… Doucement j’approche de son dos, avant de finir par claquer ma langue sur mon palais, le laissant se tourner pour me voir. Je suis assez proche pour attaquer mais assez loin pour fuir, du moins selon mes critères. J’ignore tout de la vue que je lui offre, pourtant, ce qu’il peut voir de moi est loin de l’image de saiyan fier qu’il doit produire à ceux capable de voir. Pour moi, il était, étrange, différent… anormal… difforme d’une certaine façon. Avec son dos droit et ses bras trop court. C'était… je n’avais ni les mots ni les pensées suffisamment développée pour trouver un terme pour définir un tel être. Il avait l’air sans défense, sans crocs, sans griffes, sans rien pouvant ressembler au attribut habituel d’un prédateur. Même moi j’avais une épaisse griffe noirâtre fixé a ma main et le sang séché dessus laissait entendre qu’elle avait servit.Différent… deux pattes... Ma tignasse hirsute, crépue, doté d’un florilège de feuille, brindille et herbe, est pourtant relativement propre. Pas bien grande, je l’étais encore moins avec ma posture presque tassée sur moi même le plus bas possible pour avoir le meilleur centre de gravité et l’équilibre le plus stable. Être aussi proche du dallage avait également l’avantage de rendre ma fuite ou mon attaque plus rapide et moins facile à discerner. Mon visage en partie caché, c’est un unique oeil d’un blanc perlé tirant que le bleu, qui semble ‘’l’observer’’. Pas de pupille noir, pas d’émotion visible, juste cette perle pâle qui semble un peu plus visible par la lumière offert par la sphère de ki, cette peau salis par la poussière, la terre et la vie extérieur, et cette tignasse couvrant tant bien que mal un corps entièrement nue et musculeux. Et enfin, cette queue, se mouvement comme un balancier, typique des primates, mais plus encore des Saiyans. Je me redressais légèrement, sans pudeur, sans gêne, mais toujours sur le qui vive… mon dos encore particulièrement courbé quand mon bras d’appuie était à présent entièrement tendu et mes jambes pliée de manière à me donner une position accroupie moins menaçante. La peau laissait percevoir des cicatrices plus ou moins épaisse, plus ou moins rougie ou blanchie… preuve du temps qui passe, mais surtout du genre de vie que je dois avoir ici.Approche … danger? Je m’avance légèrement plus, tendant une main vers l’inconnu, mon regard sans doute fixé dans la mauvaise direction, quand mon corps semble parfaitement conscient de la présence de l’homme. Je bascule la tête de côté un instant, puis l’autre… animal, plus qu’humaine, même vaguement. J’examine la… chose. Parce que ce n’est plus une proie, mais un objet de curiosité. Je vais pour le toucher, voir si il est bien réel… quand quelque chose m’interpelle violemment. Une nouvelle onde suffisamment forte pour me laisser voir en grande partie le couloir, mais aussi grimacer sous l’effet de la vibration presque douloureuse du bruit se répercutant dans les couloirs. L’image qui me parvint me semblait comme… brouillée, dédoublée et difficile à comprendre dans mon esprit… mais difficile ne voulait pas dire impossible.Bruit… violent… encore… autre ? … Danger ? Ma peau tressaille et malgré le manque de présence de ki, impossible pour moi de ne pas sentir l’onde de choc violente qui vient d’avoir lieu. Je me tourne, frissonne et prise d’une crainte pour les miens, m’élance dans le couloir d'où je viens. Contrairement à l’apatride, la ‘’pomme’’ ne m’avais même pas intéressée une demi seconde. Ma course a quatre patte semble particulièrement efficace et sûre, alors que je claque nerveusement ma langue sur mon palais, m’éloignant de l’étranger pour retrouver l’extérieur. Cette fois ci, je savais ou se trouvait le trou dans le sol, et l’éviter en le franchissant en marchant sur le mur me parut particulièrement simple. Je m’habituais à cette pierre lisse et particulièrement difficile en terme de préhension et d’accroche. Comme les roches couvertes de mousse près des points d’eau grondant et bruyant.Air… extérieur… chercher… Le tunnel laissait l’air frais et naturel pénétrer à l’intérieur de lui avant même que l'humidité et la chaleur de la jungle ne pèse à nouveau sur mes épaules et ma peau. J'inspire amplement cet air familier chargé d’odeur, avant de claquer de ma langue contre mon palais et de m’élancer en direction de la source de ki inconnue, allant vers lui avec la même curiosité et approche. Regagnant sans mal les auteurs, je m’élançais et trouvais mon chemin à l’instinct, sans un bruit plus fort qu’un autre. Jusqu'à arriver à ma cible, qui une fois encore, me renvoyait une image de lui particulièrement différente de ce que j’avais connue, ou vue dans ma vie. Lui aussi était sur deux pattes, mais son corps était différent, avec une queue… comme moi mais plus longue… A dire vrai, son corps entier ressemblait davantage à celui d’un prédateur. Mais son Odeur… elle… elle était horrible ! Elle me rebutait comme celle d’un gros a grande dent, ou d’un trois tête. J’avais une façon de décrire les animaux de la jungle, mais ne me donnais pas la peine de leur offrir des noms quand je savais que je les tuerais un jour ou qu’il me dévorerait un autre.Approcher ? … ou danger ? J’allais approcher de la créature quand instinctivement, quelque chose en moi s’éveillait pour me hurler que la bête était dangereuse et donc, d’y aller prudemment. écoutant mes instincts, je fis claquer deux fois ma langue sur mon palais avant de changer de positionnement plus bas sur l’arbre, pour rester hors de sa vue, mais surtout pour tester sa réaction sans craindre un jet d’acide ou quelque chose du genre. J'étais si loin de penser au réels pouvoirs que ses étrangers avaient et surtout, de combien il était simple pour eux d’en usiter à leur guise. Mais j'avais également ce besoin de comprendre ce qu’ils étaient et pourquoi ils étaient tout deux venus au même moment sur MON territoire. Parce que oui, cette jungle était à moi ! J’étais la chose qui dominait ici, et il était hors de question de me faire détrôner ou reléguer au second plan sans raison… n’est ce pas ? | | Age : 26 Date d'inscription : 25/06/2014 Nombre de messages : 16428 Bon ou mauvais ? : neutre Zénies : 4870 Rang : Z TechniquesTechniques illimitées : Vague explosive/Javelot d'energie/Déplacement instantanéTechniques 3/combat : Super canon garric/Cœur ArdentTechniques 1/combat : Big bang attack
| Sujet: Re: Grandeur nature [LIBRE] Ven 5 Oct 2018 - 13:34 L’environnement dense et tropical ambiant, la richesse minérale visible depuis l’espace par de gigantesques gisements brillants de cristaux, la faune diverse et variée hostile mais complexe : Pourquoi cette planète était inhabitée d’une civilisation en particulier ? C’est ce que le saiyan s’était demandé en parcourant les ruines de ce qui semblait être un bâtisse ancienne, survivante d’un âge technologique à l’apostat de ce qu’a pu connaître cette planète perdue. Il était difficile de situer l’ancienneté de cette construction, contrairement aux arbres ou aux os, il n’y avait ici aucun indice sur le vieillissement de la structure, sa nature même était encore inconnue aux yeux du guerrier qui n’était pas expert en la matière. Mais aventureux comme il l’était, Pythar n’allait pas rentrer chez lui bredouille, parcourant les antiques couloirs de ce qui n’aurait pu être qu’une ruine ; C’était une toute autre chose en intérieur : Des couloirs longs et ordonnés, une architecture originale mais droite. Mais après quelques minutes de marche dans les passages aux parois couleur charbon, le Dyarque parvint dans un grand hall, s’approchant d’un piédestal accueillant un étrange objet sphérique d’or sale. Cette curiosité était d’une autre colorie que le reste de la fondation, elle avait peut-être une utilité, d’ailleurs, à part quelques gravats lié à l’âge, cet objet était le seul du bâtiment, rien d’autre ne trainait au sol, pas de babioles comme on en trouverait sur Vegeta. Intrigué, le fils de Thalès aurait bien aimé savoir si cet artefact avait une utilité, cependant, quelques bruits vinrent ébranler la concentration du saiyan.
En effet, de fins bruits de pas que le guerrier de l’espace avait su entendre, se retournant immédiatement pour se rendre compte qu’il n’était pas que le centre d’intérêt d’animaux uniquement, une femme squattait devant lui. Mais la position de l’inconnue avait beau être rare pour le souligner, sa présence dans ce lieu ancien et certainement oublié pouvait relever d’avantage les interrogations immédiates du Roi, mais là encore, ce n’était pas le plus important. En effet, cette mystérieuse protagoniste ne portait aucun vêtement, elle portait de longs cheveux ébouriffés lui constituant une sorte de manteau naturel de chevelure, elle semblait avoir le regard vide. A n’en pas douter, ce personnage aux allures sauvage était une saiyan, sa queue se balançait régulièrement sans doute par instinct ; Effectivement, les détails présents sous les yeux de l’homme de Yuno lui indiquaient sans hésitation que cette pauvre femme est en réalité une sauvage locale, certainement une guerrière de l’espace oubliée qui s’est chargée de massacrer la population. Néanmoins un détail piquait le saiyan, la civilisation qui semblait avoir disparue doit l’être depuis au moins deux ou trois cents ans alors que la dame de la jungle en avait 30 tout au plus.
Cette créature sans langage semblait également porter un regard vide, ne fixant pas le guerrier de l’espace, les yeux de cette dernière étaient vitreux, elle était sans doute aveugle, pas étonnant vu la dangerosité de l’environnement, même pour un guerrier de l’espace ; Envoyés bambins, le niveau de puissance des jeunes combattant était souvent plafonné à 30 unités, insuffisant pour affronter de gigantesques gorilles faisant pâlir King-Kong. Sur ses gardes, levant les bras, l’homme en armure lourde restait sur ses gardes, en grandissant dans un monde hostile, un membre de sa race peut devenir extrêmement violent, il était probable que cette dernière suive le même sort et soit agressive d’instinct.
Silencieux mais sérieux, le barbu restait immobile, assistant à la prestation de l’arrivante qui semblait mettre au placard tout plan d’attaque pour s’approcher, le bras tendu, du Dyarque, malgré le fait qu’elle soit aveugle, elle devait être capable de ressentir par le Ki la position du père de famille ; Cependant, Pythar pouvait en faire de même, ainsi ce dernier pouvait savoir que la force de la sauvage n’était pas très élevée, à peine la force de Son Goku lorsqu’il affronte Raditz, un niveau tout simplement bénin à côté du sien. Mais avant qu’un contact puisse avoir lieu, un petit tremblement se fit ressentir, très léger et loin d’être réellement inquiétant, cependant, cela semblait une raison suffisante à la créature craintive pour quitter les lieux en vitesse, s’éloignant du combattant sans un mot dans une course à quatre pattes. Tendant à son tour son bras, Pythar voulait rassurer l’inconnue.
« Attends, tout va bien ! »
Mais elle était déjà partie loin, puis elle ne comprenait sans doute pas le… japonais ?
D’un bref soupire, le guerrier fut éclairé de sa tâche une fois sorti de ce temple de marbre : Trouver et ramener cette femme à la civilisation, si c’était possible ; Il était en effet probable que cette dernière se soit habituée à un milieu sauvage et qu’elle ne veuille pas quitter « son monde ». Néanmoins, elle se souvenait peut-être de sa mission ? Si elle a conscience de sa mission, elle doit au moins en connaitre les mots, cet élément permettra au saiyan d’établir un premier contact avec elle.
Mais pour le moment, Pythar allait s’intéresser à la « pomme » comme le mentionne la narration de Bra.
-Pendant ce temps-
Alors que Fenneli observait, sans le savoir, super Wulhut 3, ce dernier marchait dans la forêt en sifflotant avec un démarche d’un Mickey des années 20, les bras se balançant dans le rythme de ses pas.
« tadatadatada ! Je suis l’ange du Froid ! Je vais purifier les infidèles ! »
Evidemment, l’ange du froise ne faisait absolument pas attention, il écrasait les buissons, passait à côté de super-prédateurs géants et provoquait un vacarme incroyable rien qu’en marchant, aussi gaiment qu’il puisse le faire. D’ailleurs, un gigantesque t-Rex n’avait pas perdu son temps, s’approchant du Hérault des temps nouveaux, la gueule bavante de se mettre sous la dent un être aussi peu prudent. Inutile de décrire le T-Rex, dans cet environnement hostile et difficile, ce dinosaure n’était même pas au sommet de la chaine alimentaire, bien qu’il avait un placement honorable lui permettant, lui, de faire un vacarme impressionnant. Ainsi le mastodonte vociféra l’ampleur de sa colère (et de sa faim) au petit maître de l’US army, évidement ce dernier n’avait pas vraiment peur, au contraire il rigolait.
« Issou ! La chancla ! T’a cru que tu avais une chance mon gros ! Va plutôt faire un régime comme ces enfoirés de Végan ! Vive la viande ! Sauf le porc ! »
Malheureusement, le gigantesque prédateur n’avait aucune idée de ce qu’était un végan, ni un musulman, ainsi, il continua de s’avancer en ignorant les insultes de l’être en blanc, se préparant à le gober. Wulhut se mit alors à rire de manière exagérée pour se moquer du dinosaure qui ne faisait pas le poids.
« Okays bah tu vas mourir ! »
Plaçant ses bras en forme de D, le démon du froid s’assurait à la fois une pose gracieuse et une technique dévastatrice, il cria d’un air strict.
« Rayon Du x10 !! »
Un rayon en forme de D (j’imagine) s’abattit sur le t-Rex, réduisant immédiatement ce dernier à l’état de poussière d’étoile, ravageant au passage tout ce qui se trouvait derrière le mastodonte carbonisé, soit environ 2 Km de forêt, des milliers d’animaux, des millions d’insectes. C’est donc sur 10 mètres de large que se présentait un cayon aride et désertique, de la terre brulante devenue infertile par l’action irréfléchie du tueur de bête qui n’avait fait que s’amuser.
« Génial ! Le repas est servi ! A pluse ! »
Affirmait l’ânge du froise en continuant son chemin, sans doute suivi de Fenneli, d’ailleurs, l’égocentrisme maladif de Wulhut le poussait à parler tout seul, révélant ainsi ses plans à une personne incapable de les comprendre.
« Nyaaah ! Je vais installer mon château ici, sur une des collines, puis je ferais mes temples en dessous, y a largement la place pour déplacer Wulhut Town, la ville de Brolya et l’US Army ! »
Voilà le plan maléfique du démon du froid : Reloger ses partisans sur une planète fertile et inconnue de tous pour y former son empire galactique, le tyran continuait.
« Et faudra que je fasse un pique géant pour y mettre la tête du Grand sage ! »
Se félicitait le combattant blanc en s’arrêtant net avait avoir escalader sans mal une petite colline docile donnant la vue sur une belle plaine doté d’une végétation moins dense au style d’une savane tropicale.
« Aller hop, à plus la nature, on ne se revoit jamais vu que je vais pas mourir moi ! »
Le membre de la race de Freezer fit alors apparaitre une grande boule d’énergie pourpre qu’il abattit sur la plaine, provoquant une explosion nucléaire, littéralement, détruisant tout ce qui se trouvait sur le point d’impact et les 3 kilomètres alentour. Il fallait noter que la plaine était très vaste et la colline très haute, malgré l’explosion puissante et terrible, Fenneli et Wulhut restaient très loin de l’impact, ils étaient bien à 5 km. L’explosion était belle est bien nucléaire, en effet, l’ange du froid était dans sa jeunesse le carburant d’une centrale électrique à l’uranium, en conséquence, il est devenu radioactif et son énergie peut donc provoquer le cancer sur ses adversaires : La zone détruite est donc dangereusement irradiée. Le champignon atomique se dessinait aussi dans le ciel, toutes les créatures volantes avaient disparu, toutes les créatures de la forêt s’étaient enfuies, même les vers de terre géants d’1 km de long ne pouvaient rien contre une telle puissance, en fait, pas même Fenneli. N’ayant jamais connue une telle détonation, la pauvre sauvage devait sentir le désespoir l’envahir, mais pire encore, elle devait sentir l’onde de choc se rapprocher : Dans un impact de cette envergure, un souffle fulgurant est projeté, balayant les maisons et les arbres comme de la poussière. Avec la distance, la force du vent allait sans doute être diminuée, mais il valait mieux pour l’alpha de ne pas se tenir dans un arbre, le choc étant assurément trop violent pour qu’elle s’y perche. De son côté, Wulhut rigolait encore, comme si l’extermination de masse était un sujet à discuter autour d’un café ou d’un générique de Dragon Ball GT, d’ailleurs, il en parlait.
« Voilà, j’ai écrasé cette plaine comme Baby écrase Goku ssj3 ! »
Progressivement, au bout d’environ 15-20 minutes, le champignon atomique disparaissait, la poussière se dispersant, laissant apercevoir une terre désolée n’enviant rien aux terres arides d’un univers post-apocalyptique tel que Fallout. Les lacs avaient disparu, la terre était brulante et sèche, infertile et irradiée mortellement, les quelques arbres encore debout n’avaient plus le moins feuillage, tout semblait gris et triste.
« Voilà ! Une victoire de plus pour le Hérault ! »
-pendant ce temps-
Pythar était encore dans le temple, avant l’explosion, il avait pris en main l’étrange objet, constatant que ce dernier n’était qu’une sphère décorée de symbole qui semblait inutile, une babiole dorée visiblement sans valeur technique. Puis vint le fracas de l’explosion atomique, faisant s’écrouler des morceaux du plafond pourtant solide de l’infrastructure et mettant immédiatement en alerte le guerrier de l’espace. Affolé par le danger immédiat, le saiyan n’avait qu’une idée en tête, sortir rapidement, le bâtiment entier menaçait de s’écrouler sous le séisme, c’est donc dans une course rapide que Pythar se dirigea vers la sortie, parvenant à retrouver son chemin sans trop de mal. Mais en s’attendant à retrouver la lumière du jour, le fils de Thalès fut surpris de retrouver un temps mitigé, couvert de nuages : La détonation nucléaire avait couvert le ciel de particules fines, bloquant les rayons du soleil et installant une ambiance plus sombre à la jungle.
Inquiet, le saiyan sonda les forces pour trouver le coupable de cette catastrophe certainement pas naturelle, identifiant immédiatement l’énergie puérile et maléfique de Wulhut.
*Merde, encore lui !*
Pensait avec beaucoup de justesse le Dyarque qui s’envola en panique afin de retrouver l’ange du froid.
-Plus loin-
Wulhut était fier de son massacre, maintenant il allait construire sa maison.
« Ah non ! Je vais faire un château ! »
Wulhut était fier de son massacre, maintenant il allait construire on château.
Le tout puissant être du froid utilisa alors sa psychokinésie pour soulever des roches proches, les rassemblant avec précision de manière à créer des murs sommaires avec les rochers les plus longs, un plafond avec le plus lourd de tous, créant finalement une maison des cavernes.
« Voilà une demeure adaptée à ma prestance ! Magnifique, mais un peu rustique quand même. »
Wulhut avait bien raison, la cabane ressemblait plus à l’habitant de la famille pierreAFeu qu’à Versailles, mais qui sur cette planète pouvait se prédire meilleur architecte que lui ? Il était technique le meilleur bâtisseur de la planète, et le seul. Puis soudainement, Wulhut se rappelait qu’il pouvait sentir, brièvement, les forces proches, repérant ainsi Fenneli ou qu’elle soit.
« Hey mais what the fuck y a d’autres gens ici ?! »
L’ange du froise découvrait ainsi le corps nue de la sauvage, égaillant son esprit.
« Ah mais on dirait une pute du 93 ! Je veux pas tes mst, « va des rétro satanas ! » »
Puis à la vue du caractère sauvage de cette dernière, Wulhut compris enfin la vérité.
« Ah mais j’ai compris ! »
Quelques secondes de flottement entretenaient le suspens.
« Bah non j’ai pas compris en fait, t’es juste un déchet que je vais exterminer ! »
De son côté, Pythar était encore en chemin, il mettrait bien 1 ou 2 minutes à arriver étant donné qu’il venait juste de sortir du temple au moment où Wulhut prononçait ses dernières paroles. D’ailleurs Fenneli avait libre choix de ses actions, l’ange du froid n’avait pas encore attaquer, il attendait simplement ; Dans cette situation, la sauvage aux cheveux en brousse pouvait lancer l’offensive, fuir ou s’entourer de ses collègues primate pour faire régner sa loi sur la jungle, tout dépendait de sa compréhension décalée de la réalité. Fenneli devait faire un choix entre la bataille ou la retraite.
| | Age : 38 Date d'inscription : 24/09/2018 Nombre de messages : 10 Rang : -
| Sujet: Re: Grandeur nature [LIBRE] Mer 10 Oct 2018 - 20:55 Différent… Pareil… Perdu. Le moment d'interaction primitive avec le Saiyan n’avait pas duré, l’impacte ayant produit non pas ma fuite, mais mon besoin compulsif d’aller voir de quoi il retournait. J’avais besoin de voir et d’observer de quoi il s’agissait. Et c’est une créature pire que la première que je trouvais. Si lui aussi était debout, sur deux pattes, qu’ils avaient tout deux des queues, il n’en demeurait pas moins diamétralement opposé. L’un explorait, l’autre détruisait ce qui m’appartenait ! Une simple grande bouche et il avait ruiné une partie de la jungle… Et le pire était encore à venir.Puissant… Fou… Peur… Je n’avais pas compris son intention, mais tous les instincts en moi me hurlaient de rejoindre le sol alors que l‘intrus concentrait son KI de plus en plus. Je relâche mes appuis et rejoint le sol, poussant un souffle alors que je m'écrase contre l’herbe, la mousse et la terre, collant tout mon corps comme si je cherchais à fusionner avec la terre elle-même. La puissance s’éleva de plus en plus, puis, une énorme vague de puissance précéda une onde de choc d’une telle violence que j’avoue avoir ressenti une effroyable peur. Me redressant avec une lenteur mesurée au vue de mon esprit embrumé et de mes sens mis à mal, je tente de comprendre de quoi il retourne, mais tout ce que je ressens c’est l’énorme vide laissé par l'attaque de la créature.Perturbée… perdue… Désorientée... L’odeur humide fit place à une odeur plus âcre, et bientôt, de terre brûlée. Une sensation presque similaire à celle que je ressentais près des terres volcaniques… tout en étant différente. La créature émet beaucoup de sons désagréables, mais rien de bien intéressant ne sort de sa bouche, je crois. Je me redresse doucement, serrant le poing et le desserrant pour améliorer l’oxygénation de mes muscles. Il me repère, tente la communication, mais c’est déjà trop tard. Il ne le sait pas, mais il a tuer un certain nombre des miens et mon clan entier se réunit déjà dans mon dos peu à peu, près à attaquer à mon moindre signal. Tuer ou être tué, c’est bien la seule et unique loi ici…Combattre… Défendre… Protéger… Me tassant sur mes quatre appuis, je claque de ma langue sur mon palais avant que ne retentisse le cri de guerre généralisé de ma meute. Les hurlements dans mon dos s’étalent en demi cercle alors que je pousse à mon tour un hurlement, fondant sans une once de peur ou de doute sur l’intrus pour tenter une attaque de ma main allongée de la griffe. J’ai plus l’air d’une primitive qui tente de retenir un char avec sa lance qu'à une guerrière. Mais il est hors de question que je me laisse faire, que je capitule sans me battre. Tant que je vivrais, je ferais tout pour tenter de repousser ou détruire ce monstre. Parce qu’il détruit MON monde, et qu’il ne le fait même pas pour se nourrir ou pour quelque chose d’important… ça a juste l’air de l'amuser. Comme quand un des jeunes du clan joue avec une petite proie comme un lézard ou un insecte. Je ne suis pas l’un, ou l’autre, je refuse de devenir une proie docile, alors je vais faire de mon mieux pour demeurer un prédateur.Tuer… Tuer… Mes mouvements sont rapides, et l’intrus n’a pourtant aucun mal à m’esquiver … mais peut-il en dire autant quand, avec mes frères et soeurs, nous attaquons en nous synchronisant, le harcelant de coups et de retraites pour être hors de portée de ses attaques ? Je suis la seule à prendre plus de risques, a me retirer à moitié seulement, ou à profiter de l'assaut d’un autre pour tenter d’attaquer dans son dos. La traîtrise n’est pas un concept que je comprend ou connais. Je préfère simplement voir la réalité de mon monde en face. Si on ne joue qu’avec la force brute quand on est inférieur physiquement, on meurt sans avoir le temps de vivre. J’avais déjà eu une longue vie pour les miens, mais j’en voulais plus. Tout a mes attaques et a mes petits gémissements, jappements et autre modes de communication primitifs m’aidant à guider mon clan pendant que je gérais l'offensive et la défense, j’oubliais le second intrus, et ne ressentis ni son approche, ni sa présence.Douleur… Colère… Un mouvement pas assez rapide plus tard, et je prenais une frappe puissante de la queue de l’animal, m’écrasant contre le tronc d’un arbre qui grinça autant que mes os. Je crache le sang qui remplissait ma bouche alors que je passais le dos de ma main sur mes lèvres, aucunement gênée par la souffrance, mais davantage par sa supériorité. J’étais hors de moi de mon impuissance et de ma faiblesse alors que j’aurais du être capable d’en faire plus. Me replaçant à quatre pattes, je ne pouvais que constater que mon bras ne me répondait que par une douleur plus aiguë, sans doute mon épaule. Je grogne de toutes mes forces tandis que tout mon clan en faisait autant… du moins, ce qu’il en restait. Parce que si j’avais plutôt bien géré la bataille et mes propres retraites, nombre des miens avait été tué par le monstre qui se tenait encore face à moi… et le nombre de mes frères et soeurs encore vivants fond de seconde en seconde. | | Age : 26 Date d'inscription : 25/06/2014 Nombre de messages : 16428 Bon ou mauvais ? : neutre Zénies : 4870 Rang : Z TechniquesTechniques illimitées : Vague explosive/Javelot d'energie/Déplacement instantanéTechniques 3/combat : Super canon garric/Cœur ArdentTechniques 1/combat : Big bang attack
| Sujet: Re: Grandeur nature [LIBRE] Dim 14 Oct 2018 - 10:52 L’affrontement allait commencer entre deux genres de sauvages : Le sauvage naturel et le sauvage psychopathe ; Néanmoins, l’un avait un viscéral avantage sur l’autre par sa sainte puissance d’ange du froise. Effectivement, Wulhut possédait une puissance notable qui lui permettait de déjouer facilement les offensives de la bête saiyanne qui, même aidée de ses comparses primates, ne faisait pas le poids. Au fil de nombreuses tentatives la pauvre Fenneli pouvait voir fondre ses effectifs, tout les siens mourraient les uns après les autres, chaque cadavre devait empester et faire ressentir à la reine de la jungle la dureté de la réalité. De son coté, Super Wulhut 3 faisait n’importe quoi, tirant des lasers dans des directions au hasard en prenant des poses disco des années 80, imaginant sans doute impressionner le personnage féminin.
« Hey tavu comment je suis trop fort ?! »
Puis d’un bond enragé, la défenseuse se rua vers le destructeur, ce dernier beugla en donnant une frappe de la queue contre le visage de son adversaire.
« HIIIN ! TOUCHE-MOI PAS TU ME SALIS ! »
La pauvre guerrière fut alors projetée au sol, les quelques survivants de sa horde s’étaient enfuis, la plupart blessés ; Evidement l’espèce ayant recueillie la saiyanne était loin d’être éteinte par la simple action de Wulhut, cependant ils étaient affaiblis en nombre par quelques vingt cadavres. Dans une planète aux conditions extrêmes comme celle-ci, les espèces animales étaient très variées mais aussi très peu nombreuses, les macaques ayant aidé Fenneli n’étaient peut-être que 200 sur toute la planète, la perte devait compter à ses yeux.
Mais après la frappe qu’elle venait de subir, la sauvage ne pouvait plus rien faire, elle était à la merci du hérault des temps nouveaux.
« Wtf t’es une saiyanne en fait. »
Commenta Wulhut en la pointant du doigt de son index droit.
« Bah je vais te tuer. »
Un rayon similaire au rayon de la mort percuta alors Fenneli, cependant, le rayon n’avait eu aucun effet, comme si cette technique était incapable de blesser sa cible ; Wulhut était plié de rire.
« Hahaha ! C’est le rayon du x0 ! Tu y as résisté, incroyable ! »
Déclarait ironiquement l’ange du froid alors que ce dernier entendit le bruit du fondement de l’air par un énième protagoniste, c’était Pythar, ce dernier était sourcils froncés, l’air aussi sévère que possible, se posant face au démon. Le fils de Thalès s’était dépêché de quitter le temps en sentant la force démoniaque de celui qui avait affronté demonic Braveta ; Wulhut était dangereux, cruel, perfide et inconscient de ce qu’il faisait, son retour était évidement l’invocation de la zizanie. Le dyarque s’était déjà chargé d’enfermer l’ange du froid dans une jarre par le passé en apprenant le légendaire mafuban, une technique permettant de contenir une personne entière dans un objet conteneur. Cependant, le retour ici du fauteur de trouble signifiait que le sceau avait été brisé, d’une manière ou une autre, Wulhut s’était échappé. Mais connaisant bien le caractère du démon, Pythar n’allait certainement pas laisser ce dernier fuir.
« Wulhut, tu étais enfermé par mes soins, comment t’es-tu libéré ? »
L’être super rigola.
« Ah ouaise mais t’es qu’un bleux toi ! Ton misérable jarre ne pouvait pas arrêter les projets du sauveur que je suis, le prophète qui libérera le monde des singes comme toi, regarde dans quel état est la forêt par ta faute ! »
Wulhut eu un instant de blocage, se remémorant alors qu’il avait lui-même atomiser la jungle.
« Ah merde ! Bah c’était un sacrifice nécessaire, puis l’argument n’est pas valide, encore un… »
Pendant que le Hérault se justifiait tout seul, Pythar se transforma en super saiyan de niveau 2, un niveau supérieur à celui du fou de service qui ne semblait pas surpris.
« Bof t’étais en ssj3 la dernière fois. »
Pythar se transforma alors en super saiyan blue, énervé par les propos sans intérêts de l’ange du froid qui semblait désormais bien plus impressionné.
« Ah merde j’aurais peut-être dû me taire ! »
« Ferme la Wulhut ! Tu vas payer pour les dégâts que tu as causé par ton mépris de tout ce qui n’es pas ta personne ! »
D’un appui rapide au sol, le guerrier de l’espace aux cheveux d’azur fit un déplacement d’une vitesse sans égal, le pauvre membre de la race de Freezer n’eu même pas le temps de voir Pythar bouger qu’un poing droit s’enfonçait déjà dans son abdomen. Sur le coup, le meurtrier du grand sage ne pu que se plier en deux, titubant en arrière en crachant un filet de sang, plongé dans l’incompréhension de l’existence d’une transformation similaire au super saiyan 4. De son bras gauche, l’homme de Yuno fit ensuite, tout comme Trunks, disparaitre son adversaire d’une super vague déferlante dorée, laissant finalement Wulhut entier, mais dans un état lamentable, son corps était en sang, des plaies s’étaient invités sur chacun de ses membres.
Visiblement mal en point, le Hérault gardait pourtant le sourire.
« Je vais te montrer un truc ! »
En se courbant légèrement, l’ange concentra sa force, faisant alors disparaitre ses blessures comme par enchantement via son énergie ou une quelquonque magie, le sauveur des opprimés se montrait capable de se regénérer. Pythar était quelque peu étonné, mais franchement, il n’allait pas demander la raison pour laquelle Wulhut était en moyen de se restaurer de la sorte. Ainsi, le combattant au coup s’élança de nouveau dans la bataille, se mesurant à son opposant dans une mêlée déséquilibrée au possible, l’ange du froid était doté d’un grand pouvoir, néanmoins cela n’égalait pas le blue. De son expérience en combat prodigieuse, le fils de Thalès donnait des frappes ordonnées et puissantes, visant en fonction des mouvements adverses l’abdomen, le plexus solaire, les bras ou les jambes. Encaissant tout comme un bœuf, le justicier fou avait optimisé sa résistance à un point inquiétant, malgré les coups qu’il subissait, jamais il ne semblait fléchir, il ne perdait aucun membre et ne saignait pas. S’éloignant de la mêlée qu’il dominait pourtant, le Roi interrogea son opposant qui semblait être invincible.
« Tu sembles être devenu un vrai mastodonte. »
S’inquiétait Pythar.
« Bah ouais ! Big Gete star m’a redonné la vie en fusionnant mes cellules avec celles de Buu ! Du coup je suis super Wulhut 3 ! »
Le visage du saiyan au bouc s’assombrissait.
« Je vois, c’est pour cela que t’es aussi résistant. Je ne compte pas te laisser détruire cette planète. »
L’ange du froid se mit à rire follement, il savait bien qu’il ne serait pas facile à battre, il pensait d’ailleurs même pouvoir gagner.
« Ouais bah tu essayeras ! »
Wulhut était très confiant de sa situation, il pointa de son index droit le saiyan assez bête pour s’opposer à lui, criant avec fougue.
« Rayon du x100 ! »
Un énorme rayon bordeaux jailli du doigt du sauveur des peuples, ce dernier percuta les bras croisés de Pythar dans une petite explosion qui souleva un grand amas de poussière dans les restes d’une jungle à l’agonie. Heureusement, la différence de niveau entre le guerrier de l’espace et Wulhut était grande, ainsi le père de Darius et Akari n’avait pas beaucoup souffert de l’attaque de son adversaire. Néanmoins, le Roi ne devait pas trainer, doté d’une endurance sans doute infinie, l’ange du froid risquait de prendre l’avantage sur la durée, le super saiyan blue consommant beaucoup de ses forces.
Alors que la fumée se dissipait, l’ami de Charlo chargea dans sa main droite une sphère d’énergie bleuté, se téléportant en un instant face à son opposant pour huler en libérant la puissante détonation.
« Big Bang attack ! »
« Quoiquèse ? »
A bout portant, la technique de Vegeta fit se vaporiser Wulhut en poussière, malgré ses facultés incroyables, il n’était pas invincible et une telle puissance l’empêchait de se restaurer. Ainsi le fauteur de trouble disparaissait lentement, emporté par l’attaque, se désagrégeant au fur et à mesure, n’oubliant pas d’activer son bouclier de lave pour se suicider avant que l’attaque de Pythar ne le tue.
« Voilà… Tu ne m’as pas… tué… »
Affirmait l’ange du froise avant d’être réduit à néant.
Après son effort, observant la boule de feu quitter la planète avec les cendres du dangereux psychopathe, Pythar fit disparaitre sa transformation divine, soufflant quelques secondes après son effort, il manquait d’endurance décidément. Le constat alentour était désolant : La terre était brûlée, irradiée, il n’y avait plus d’arbres, plus d’animaux, des tas de cadavres ; Néanmoins, la sauvage que le Dyarque avait vu au temple était encore vivante, elle semblait un peu sonnée, par chance elle n’était pas gravement blessée, le guerrier s’approcha d’elle pour l’inspecter visuellement. En apparence, c’était bien une saiyanne, elle possédait une queue de singe mais semblait ne jamais avoir connue de civilisation, dommage. L’armure un peu cabossée, Pythar allait tout de même voir si cette inconnue réagissait à ses paroles.
« Ça va ? »
| | Age : 38 Date d'inscription : 24/09/2018 Nombre de messages : 10 Rang : -
| Sujet: Re: Grandeur nature [LIBRE] Mar 23 Oct 2018 - 20:29 Monstre… Mort... Sonnée et au sol, j’étais à son entière merci alors qu’il allait sans aucun doute m’achever. Il parle, Saiyanne… je connais ce mot sans toutefois le comprendre. Ce que je parvenais à assimiler à la perfection, c’est que j’allais mourrir et que je refusais de détourner le visage, affrontant l’image de ma fin proche. L’immonde créature avait gagné, et elle avait surtout démontré qu’elle était un bien meilleur prédateur que moi. Mais quand le rayon aurait du me désintégrer, rien n’eu lieu. A la place, la présence de l’autre individu se fit sentir. Inutile de chercher sa présence, puisque le son de sa présence me montre l’endroit ou il se tient.Interrogation… Surprise… Il venait de me protéger ? Vraiment ? Pourquoi ? Parce qu’il était… curieux lui aussi ? Ou parce qu’il voulait lui aussi vaincre le monstre face a nous? Je n’en avais pas grand chose à faire, mais j’étais reconnaissante pour le moment. J'écoutais le bruit de leurs bouches, je sentais leurs odeurs et percevais leurs mouvements via mon don. J’avais conscience de leur présence, mais aussi de la différence de puissance entre les deux. L’un me semblait plus rayonnant, quand l’autre fou prenait des postures plus… craintive ? Ils échanges, parlent, communiquent et même si je ne les comprends pas, je peux aisément reconnaître des sons communs entre les deux. Doucement, je m’écarte, mettant un épais arbre entre moi et les deux colossales puissances qui s’affrontent. Je peine à suivre leurs mouvements et les minutes qui s’égrainent me semblent particulièrement longues. L’odeur est lourde de brûlé, de terre, ainsi que de mort…Calme… Danger ? Quand tout s'arrête, je ne peux que voir que la créature qui m’as défendue semble… affaiblie, fatiguée… sa respiration et sa manière de bouger est différente. Je ne sais pas si tout le monde pourrait remarquer cela, mais moi, je l’entends, je le sens. Il approche de moi et c’est tout naturellement que je me tasse sur moi, prête à tenter de me défendre ou de fuir. Mais c’est sans menace qu’il parle, sa voix est posée, bien plus claire et calme que lorsqu’il échangeait avec l’autre. Alors, j’approche a mon tour, doucement, soufflant d’une voix visiblement peu habituée à l’exercice de dialogue.- Sai… yan… ?Je tournais doucement autour de lui, cherchant les similitude entre moi et lui, et il y en avait un certain nombre. Deux pattes arrières, des pattes avant qu’il n’était pas obligé d’utiliser, et une queue. Me redressant une fois mon tour fini, c’est accroupie face à lui que je me retrouve, tendant doucement la main pour toucher la sienne, semblant toujours aussi craintive, mais bien moins encline à fuir.Curieuse… Je penche doucement mon visage sur le côté, levant la tête vers lui, arborant une lèvre fendue. Le sang y perle, quand le reste de mon visage semble toujours aussi neutre. Cette fois, à la lumière naturelle, il ne peut pas manquer les deux perles blanches nacrées qui semblent ne rien voir. Pourtant, difficile de ne pas noter que je semble aussi à l’aise que possible dans mon environnement. Comme par une tentative de mimétisme, je me redresse, gardant quelque peu mon corps voûté, plus par habitude qu’autre chose. Il peut alors voir sous la tignasse brune, le corps musclé de manière sèche, les cicatrices, mais surtout la taille relativement petite qui est la mienne. Doute... Laissant un instant le mâle de côté, je tourne un regard vers les morts de mon peuple, celui qui m’as élevée et vue grandir. Avant de revenir vers lui, le visage toujours penchant de côté, mais le dos plus droit. Ma queue de saiyan s’enroulant autour de ma cuisse, alors que je semble attendre quelque chose… quoi ? Je ne suis pas sûre de le savoir moi-même à dire vrai. | | Age : 26 Date d'inscription : 25/06/2014 Nombre de messages : 16428 Bon ou mauvais ? : neutre Zénies : 4870 Rang : Z TechniquesTechniques illimitées : Vague explosive/Javelot d'energie/Déplacement instantanéTechniques 3/combat : Super canon garric/Cœur ArdentTechniques 1/combat : Big bang attack
| Sujet: Re: Grandeur nature [LIBRE] Ven 26 Oct 2018 - 19:20 Pythar venait de régler son compte à Wulhut une bonne fois pour toute, ce dernier s’était évaporé dans une boule de lave de sa propre création pour ne pas se faire couvrir de honte sur cette dernière action en faveur du dyarque. Le guerrier de l’espace n’avait pas cherché à comprendre les motivations de l’ange du froid, ce dernier était un imprévisible et stupide destructeur de planète, il n’avait pas de motivations plus dignes que le Tyran Freezer ; Il méritait donc une fin à l’image de ce dernier. Le combat avait été court mais fatiguant, le fils de Thalès avait tout misé sur une exécution rapide et maitrisée de ses capacités, éliminant alors en deux minutes à peine le Hérault au péril de sa propre endurance, mais ça en valait la peine : Wulhut était détruit.
Le père de Darius s’était ensuite approché de la mystérieuse saiyanne sauvage, elle ne semblait pas aussi craintive que lors de leur première rencontre, malgré son état primaire, elle devait sans doute vivre dans un certain milieu social pour ne pas attaquer tout ce qui bouge. L’ami de Sharotto fit rapidement le lien entre cette femme et les multiples créatures éparpillées sur le champ de bataille, cette guerrière de l’espace avait été recueillie par cette bride de peuple, ce jour ne devait pas être facile pour elle. Pythar l’interpela alors, peut être saurait-elle apprécier le langage du leader de Vegeta, c’était une approche veillant à attiser sa curiosité ; Et ce plan fonctionna à merveille, laissant même l’indigène prononcer timidement un simple mot : « saiyan ». L’homme de Yuno avait donc vu juste, affichant un petit sourire qui se transforma rapidement en stupeur à la vue des mouvements curieux et imprévisibles de la jeune femme qui attrapa sa main droite comme s’il était une curiosité de musée. La mine un peu mal à l’aise, le guerrier au bouc appuya sur quelques-uns de ses boutons latéraux disposés sur son détecteur.
« Je ne vais pas te laisser seule ici, on va aller sur Vegeta. »
Le cas des « enfants sauvages » n’était pas rare sur la planète rouge, toutes les semaines l’on découvrait des planètes ravagées par des saiyans envoyés bébé sur des planètes lointaines, ce sont des milliers de systèmes qui ont étés touchés par les plans du Roi déchu. Mais comment convaincre cette dernière de se rendre dans une capsule ? Pythar détectait bien la présence de la capsule de Fenneli dans une zone montagneuse de la planète, mais il fallait réussir à la faire entrer dans le véhicule.
Evidement, l’idée la plus simple serait d’assommer la sauvage, mais cette dernière pourrait très mal le prendre pour la suite, il fallait être plus subtil, le saiyan en armure se grattait le bouc, alors que les deux capsules se posaient face aux protagonistes avec une douceur toute relative. Le fils de Thalès allait essayer d’attirer Fenneli dans la capsule, cette dernière pouvait être pilotée à distance et endormir son utilisateur, il suffisait donc de la faire rentrer à l’intérieur ; Pythar se rendit alors devant le véhicule vieux et sale de l’indigène, ouvrit ses portes.
« Vegeta...? »
Déclarait bêtement le guerrier de l’espace en tapotant l’entrée de la capsule, oui, c’était une tentative d’attirer Fenneli aussi subtile que pour attirer un Félin, mais qui sait, aucune tactique n’était donnée perdante. Peut être que cette idée allait échouée, dans ce cas-là, Pythar essayera simplement autre chose pour qu’elle finisse par s’installer dans la capsule qu’il refermera immédiatement après. La pauvre aura l’impression d’être enfermée, mais elle comprendra plus tard que c’est pour sont bien, la capsule dégageait rapidement du gaz soporifique ayant la capacité d’endormir la tribale.
*Bon, je vais directement l’envoyer dans un centre spécialisé, je n’ai malheureusement pas le temps pour gérer son enseignement. *
Et oui, Pythar était Dyarque, père et membre de la Z Team, il ne pouvait pas en plus de cela être professeur, l’obligeant à déléguer l’apprentissage et l’éducation de Fenneli à d’autres. L’ami de Charlo restait face à la capsule de sa trouvaille, cette dernière pouvait observer son bourreau, ou son sauveur à travers la vitre l’espace de la bonne minute ou elle se maintiendrait éveillée, se fut ensuite le blackout.
En effet, les deux capsules décolèrent et prirent la direction de Vegeta 1, la jeune indigène allait recevoir toute l’attention qu’elle méritait dans une civilisation en pleine évolution : les saillants. Le trajet s’éternisa quatre jours, s’était exceptionnellement long et ne paru pour la guerrière que quelques minutes, néanmoins, son corps engourdi trahissait facilement sa notion du temps faussée par le gel. Fenneli se réveillait seule, elle n’était plus dans son milieu naturel, ni une capsule, elle était dans une chambre surveillée le temps d’être apte à vivre en société, elle était allongée dans un lit, couverte d’un drap, une armure complète sur la table. Un formateur irait bientôt à sa rencontre pour lui apprendre le langage, l’histoire des guerriers de l’espace et les techniques de combat primordiales, c'était les débuts de Fenneli.
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